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Contribution à l'étude des modifications structurelles de l'unité myotendineuse lors d'un étirement. Comparaison des méthodes de neurofacilitation et du mode de contraction excentrique / Myotendinous architectural changes during stretching. Comparison between PNF method and eccentric contraction.

ABELLANEDA, Séverine 07 September 2009 (has links)
Les étirements sont aujourd'hui une pratique courante dans les milieux sportifs et de réadaptation. Ils sont habituellement recommandés dans le but de contribuer à la prévention des blessures (Willson et al., 1991 ; Pope et al., 2000), à l’amélioration de la performance sportive lorsque celle-ci nécessite une amplitude articulaire importante (Heyters, 1985 ; Hortobagyi et al., 1985) et à la récupération de la mobilité articulaire dans le cadre d’un programme de réadaptation (Magnusson et al., 1996b). Ces méthodes, qui se sont développées ces dernières années, font classiquement appel à l’étirement passif et aux étirements neurofacilités (PNF), présentés initialement par Kabat (1958). Plus récemment, un intérêt particulier a été porté au travail musculaire excentrique. Des études ont montré que celui-ci permettait également d’augmenter l’amplitude articulaire (Willson et al., 1991 ; Nelson et Bandy, 2004). Dans une première partie de ce travail, il nous a semblé intéressant de comparer les effets de l’étirement passif à ceux des étirements PNF par "contracté-relâché" et "contracté de l’antagoniste". Si les modalités d'application de chaque étirement sont différentes, elles présentent un intérêt majeur. De fait, elles permettent de faire varier les conditions d'allongement des différentes structures du système myotendineux, en modulant l'activité volontaire des musculatures agoniste ou antagoniste. En effet, si l’étirement passif s'effectue sans activation volontaire, l’étirement par "contracté-relâché" consiste à faire précéder l'étirement passif, d'une contraction volontaire maximale isométrique de la musculature agoniste. L’étirement par "contracté de l’antagoniste" associe à l'allongement de la musculature agoniste, une contraction volontaire maximale de la musculature antagoniste. Si de nombreuses études s'intéressent encore actuellement à caractériser leurs effets respectifs, elles ont déjà permis de montrer que ceux-ci avaient au moins deux origines distinctes, l'une neurophysiologique et l'autre mécanique (Taylor et al., 1990 ; Hutton, 1993). Au plan neurophysiologique, il est bien accepté que ces méthodes induisent une modulation de l'activité réflexe tonique facilitant le relâchement musculaire et par conséquent l’amplitude articulaire (Guissard et al., 1988 ; 2001). Il est également bien admis que l’importance de ces effets sur la musculature est variable selon la méthode employée (Guissard et Duchateau, 2006). Au plan mécanique, des études menées chez l’animal ont montré que l’étirement passif modifie les caractéristiques viscoélastiques des tissus (Taylor et al., 1990), et de fait favorise l’allongement des tissus myotendineux (McHugh et al., 1992). Chez le sujet humain, plusieurs expérimentations ont montré que l’étirement par "contracté-relâché" permet d’obtenir un allongement myotendineux et un gain d’amplitude articulaire plus important que par étirement passif (Moore et Hutton, 1980). D’autres études ont montré que l’étirement par "contracté de l’antagoniste" permet de majorer encore les gains obtenus par l’étirement "contracté-relâché" (Osternig et al., 1990). Une première question posée dans ce travail est de savoir si la contribution des processus neurophysiologiques et mécaniques se traduit d’une manière spécifique sur le rapport de compliance des tissus de l’unité myotendineuse. Le développement de techniques d’investigation, telles que l’échographie, permet désormais d’observer le comportement de l’unité myotendineuse, d’une manière non invasive (Fukunaga et al., 1992 ; Herbert et Gandevia, 1995 ; Kuno et Fukunaga, 1995 ; Maganaris et al., 1998). Elle permet ainsi d’étudier les effets d’un étirement ou d’une contraction (Fukunaga et al., 1996) sur le rapport de compliance des structures musculaires et des tissus tendineux. S’il était intéressant d’étudier la spécificité de ces trois méthodes d’étirement classiques par rapport à leurs effets sur les tissus myotendineux, il nous paraissait pertinent d’observer celle d’un travail musculaire excentrique. En effet, la particularité de celui-ci est de soumettre l’unité myotendineuse préalablement activée, à un allongement. En réadaptation, le travail excentrique est généralement proposé dans le but d’améliorer plus rapidement la symptomatologie d’une tendinopathie (Stanish et al., 1986 ; Alfredson et al., 1998). Des études récentes ont indiqué qu’il peut également être proposé pour augmenter l'amplitude articulaire (Nelson et Bandy, 2004). Toutefois, ses effets sur les tissus myotendineux ne sont pas clairement définis dans la littérature. Chez l’animal, Heinemeier et al. (2007) ont comparé les effets d’un entraînement en contractions concentriques et excentriques sur les tissus de l’unité myotendineuse. Leurs résultats indiquent que si les tissus tendineux sont sensibles aux deux modes de contraction pour leurs effets favorisant la synthèse de collagène, les structures musculaires sont spécifiquement sensibles au mode excentrique. Chez le sujet humain, Crameri et al. (2004) ont observé une série de contractions excentriques d’intensité maximale augmente la synthèse de collagène au sein de l’ensemble des tissus de l’unité myotendineuse. Ces résultats montrent que les effets de ce travail ne se limitent pas aux tissus tendineux, tels que certains protocoles thérapeutiques le suggéraient, et que le tissu musculaire doit désormais être associé à la discussion des effets de ce travail musculaire. Dans ce contexte, la deuxième question que nous avons posée est de savoir si l’étirement de l’unité myotendineuse préalablement activée, telle que se caractérise une contraction excentrique, modifie le rapport de compliance des tissus myotendineux par rapport aux méthodes classiques. Autrement dit, si l’étirement de l’unité myotendineuse activée favorise spécifiquement l’allongement de l’un des tissus de l’unité myotendineuse. Dans une troisième partie, il nous a paru intéressant d'étudier le comportement à l’étirement de l’unité myotendineuse, dont la compliance était modifiée suite à une désadaptation à long terme. L’hypertonie spastique, qui caractérise une majorité de sujets parétiques spastiques, est généralement caractérisée par une augmentation anormale des résistances opposées à l'étirement passif (Carey et Burghart, 1993). L’origine de ces résistances peut être attribuée à des adaptations tant neurophysiologiques (Pierrot-Deseilligny et Mazières, 1985) que mécaniques et structurelles des tissus de l'unité myotendineuse (Berger et al., 1984 ; Tardieu et al., 1989). Il n’existe pourtant pas encore dans la littérature de consensus les définissant clairement (Fridén et Lieber, 2003). En outre, l’étude récente de Lieber et Fridén (2002) a mis en évidence des modifications de l’architecture des muscles fléchisseurs du carpe. Contrairement à ce qui est généralement proposé au sujet de la longueur des fascicules spastiques (Tardieu et al., 1982), Lieber et Fridén (2002) n’ont pas mis en évidence de raccourcissement de ces derniers. Ainsi, l’hypothèse de Tardieu et al. (1982), selon laquelle le raccourcissement des fascicules est à l’origine de l’augmentation des résistances à l’allongement, ne peut plus être soutenue. Il nous paraissait ainsi intéressant d’associer, à l’observation du comportement des fascicules, celui des tissus tendineux, dans le but de déterminer si l’une de ces deux structures présente des caractéristiques particulières, susceptibles d’expliquer le développement plus important de ces résistances à l’allongement. La troisième question que nous avons posée dans ce travail est de savoir comment se caractérise, à l’étirement, le rapport de compliance des tissus musculaire et tendineux dans un contexte de spasticité. Outre le fait que la réponse à ces différentes questions soit fondamentale pour mieux comprendre et spécifier la pratique des méthodes d’étirement, l’objectif de notre travail est non seulement de mettre en évidence le tissu dont l’allongement est spécifiquement favorisé par l’une ou l’autre méthode, mais également de contribuer à différencier celui qui limite l’étirement global du système myotendineux. Dans ce contexte, il sera intéressant de pouvoir recommander la pratique d’une méthode particulière, en fonction des besoins spécifiques de chacun.
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The effect of an injury prevention programme on the lower limb soft tissues in fast bowlers an intervention study.

Govender, Craig. January 2008 (has links)
<p>The aim of the study was to determine the effect of astatic stretching programme on injury prevention. Educational pamphlets and a static stretching regime were implemented to the experimental group.</p>
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Stretching på en högre nivå : En experimentell studie på tolv aktiva kvinnor om den akuta effekten på hopphöjd efter dynamisk och statisk stretching

Tornberg, Regina, Gustafson, Anna January 2013 (has links)
Syfte och frågeställningar Syftet med studien var att undersöka hur stretching i olika former akut påverkar hopphöjd. Vilken akut påverkan har statisk stretching på hopphöjd? Vilken akut påverkan har dynamisk stretching på hopphöjd? Vilka skillnader i hopprestation finns när det gäller den akuta effekten efter statisk och dynamisk stretching? Metod Studien var kvantitativ med en experimentell forskningsdesign och bestod av tre testtillfällen. Bekvämlighetsurval tillämpades och begränsades till 12 friska fysiskt aktiva kvinnor i åldrarna 18-30 år. Varje testtillfälle innehöll en uppvärmning på ergometercykel, tre vertikalhopp, en stretchingintervention (statisk, dynamisk eller kontroll), en aktiv vila på ergometercykel och ytterligare tre vertikalhopp. Vertikalhoppen (squat jump) utfördes på en kontaktmatta som beräknade den totala hopphöjden. De muskelgrupper som stretchades var gluteus maximus, hamstrings, quadriceps femoris och triceps sure. Tiden för den statiska stretchingen var 4 x 30 sekunder (s.) per muskelgrupp. Den dynamiska stretchingen utfördes med gungande rörelser i 1:1 s. cykler under 30 s. Under kontrolltillfället bedrevs ingen stretching alls. Resultat Testpersonernas medelvärde var 22,7  i ålder och 23,9 i BMI. Medelhöjden på hoppen efter den statiska stretchingen minskade signifikant med 5,4 % (p =0,009). Efter den dynamiska stretchingen sågs ingen skillnad i hopphöjd. Ingen skillnad sågs heller i jämförelsen mellan den statiska och den dynamiska stretchingen. Slutsats Resultaten visade att statisk stretching med en total tid på två minuter inte bör utföras innan en maximal hopprestation. Att stretcha dynamiskt hade ingen påverkan på hopprestationen.
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Vilken av stretchingmetoderna statisk stretching, dynamisk stretching och proprioceptiv neuromuskulär facilitering är mest effektiv för att öka rörligheten i hamstrings?- en litteraturstudie

Allirol-Molin, Céline January 2013 (has links)
Sammanfattning Bakgrund: Stretching har använts i många år inom sport och rehabilitering med målet att minska risken för muskelskador, bland annat skador i kombination med kort hamstrings. Flera olika stretchingmetoder används för att uppnå ökad rörlighet. Tre av dessa är; 1) Statisk stretching, 2) Dynamisk stretching, 3) Proprioceptiv neuromuskulär facilitering (PNF). Syfte: Syftet med den här litteraturstudien var att jämföra och undersöka tre olika stretchingmetoder (statisk, dynamisk och PNF stretching) för att se vilken som är mest effektiv för att öka rörligheten i hamstringsmuskulaturen. Metod: Sökning av artiklar gjordes i databaserna Pubmed, Sport Discus, samt Science Direct. Sökorden som användes var static stretching, dynamic stretching, pnf, flexibility samt range of motion. Totalt inkluderades till slut 26 artiklar i den här litteraturöversikten som dels överensstämde med inklusionskriterierna och som dessutom var tillgängliga gratis och i fulltext. Resultat: De flesta studierna var gjorda på unga vuxna mellan 16 och 35 år. Alla studier utom två visade på en statistisk signifikant ökning av rörligheten i hamstrings. Ferber et al. som studerade olika PNF-tekniker, uppvisade bäst resultat med en ökad hamstring rörlighet på 15,66 ± 0,95°. Den PNF-teknik som gav detta resultat var PNF- Agonist Contract-Relax. Slutsats: Baserat på de resultat som gavs i studierna verkar statisk stretching och PNF fungera lika bra, men, studierna som gjorts på PNF är för få för att verkligen kunna fastställa att denna teknik är lika bra som statisk stretching. Mycket få studier har gjorts på dynamisk stretching (färre än PNF) vilket innebär att det är svårt att bedöma exakt vilken effekt dynamisk stretching har på hamstrings rörlighet.
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The effect of hamstring stretching technique on hamstring flexibility and isokinetic strength /

Cheung, Kim-keung. January 2001 (has links)
Thesis (M. Sc.)--University of Hong Kong, 2001. / Includes bibliographical references (leaves 92-101).
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The effect of an injury prevention programme on the lower limb soft tissues in fast bowlers an intervention study.

Govender, Craig. January 2008 (has links)
<p>The aim of the study was to determine the effect of astatic stretching programme on injury prevention. Educational pamphlets and a static stretching regime were implemented to the experimental group.</p>
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The short to medium term effectiveness of proprioceptive neuromuscular facilitation stretching as an adjunct treatment to cervical manipulation in the treatment of mechanical neck pain

Wilson, Laura Maie January 2002 (has links)
Thesis (M.Tech.: Chiropractic) -Dept. of Chiropractic, Durban Institute of Technology, 2002 xiii, 93 leaves / The purpose of this study was to determine the short to medium term effectiveness of Proprioceptive Neuromuscular Facilitaion (P.N.F.) stretching [using the Contract- Relax-Antagonist-Contract (C.R.A.C.) technique] as an adjunct treatment to cervical manipulation in the treatment of Mechanical Neck Pain.
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Preexercise strategies the effects of warm-up, stretching, and massage on symptoms of eccentric exercise-induced muscle damage and performance : a thesis submitted to Auckland University of Technology in fulfillment of the degree of Doctor of Philosophy, February 2005.

Weerapong, Pornratshanee. January 2005 (has links) (PDF)
Thesis (PhD) -- Auckland University of Technology, 2005. / Also held in print (234 leaves, ill., 30 cm.) in Akoranga Theses Collection (T 613.711 WEE)
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The influence of cyclic loading on the extensibility of human hamstring muscle-tendon units in vivo a thesis submitted in partial fulfilment for the degree of Master of Health Science, Auckland University of Technology, 2005.

Dombroski, Erik January 2005 (has links) (PDF)
Thesis (MHSc--Health Science) -- Auckland University of Technology, 2005. / Also held in print (xvi, 130 leaves, ill., 30 cm.) in Akoranga Theses Collection. (T 613.718 DOM)
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An examination of pre-activity and post-activity flexibility practices of NCAA Division I and NCAA Division III basketball coaches

Prichard, Michael W. January 2009 (has links)
Thesis (M.A.)--Ball State University, 2009. / Title from PDF t.p. (viewed on July 12, 2010). Research paper (M.A.), 3 hrs. Includes bibliographical references (p. 31-35).

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