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L'expérience d'une Stimmung et le caractère ekstatique de l'existence humaine dans l'oeuvre de Martin Heidegger

Corbeil, Yvon January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Fiction et subjectivité chez Michel Foucault : récit des Ménines et dialogues à l'aune des théories de la fiction

Trottier, Sara 27 December 2020 (has links)
Le caractère littéraire de l’écriture de Michel Foucault a souvent été remarqué. Peut-on dire pour autant que certains passages de l’œuvre de Michel Foucault s’approchent de la fiction ? Comment comprendre la fiction et le rôle qu’elle joue dans une démarche qui ne se réduit pas à elle ? Ce mémoire s’emploie à décortiquer des extraits de l’œuvre foucaldienne : le premier chapitre des Mots et les choses (« Les suivantes ») (1966), les dialogues de Raymond Roussel (1963), L’archéologie du savoir (1969) et de L’ordre du discours (1971). Dans Fiction et diction (1991), Gérard Genette avait théorisé la possibilité pour les textes non-littéraires d’être tout de même qualifiés de littéraires. Nous nous proposons cette licence « conditionnaliste » à la fiction : il serait ainsi possible qu’elle puisse se retrouver dans des ouvrages de non-fiction. La méthodologie de notre étude se base, dans ses deux premiers chapitres, sur les théories de la fiction, adoptant le point de vue lectural à l’aide des théories de Karlheinz Stierle, Roger Odin, et de Richard Saint-Gelais. Le troisième chapitre est l’occasion d’un pas de côté pour envisager les rapports entre fiction et subjectivité : la fiction chez Foucault serait un moyen discursif pour réaliser la « mort de l’homme » dans le discours ou, en d’autres termes, pour accomplir la fracture textuelle du sujet philosophique. / The literary aspect of Michel Foucault’s works is well known. Is it enough to say, however, that some excerpts from his works are fictional ? How can we understand the role of fiction in texts that belong to a historical or philosophical approach ? This essay studies the narrative of Las Meninas in The Order of Things, the dialogues in Raymond Roussel (1963), The Archeology of Knowledge (1969) and The Order of Discourse (1971). In Fiction et diction (1991), Gérard Genette granted the “conditionalist” possibility for non-literary texts to be nonetheless qualified as literary. We suggest that this could be extended to fiction for works of non-fiction. Our methodology for the first two chapters relies on theories of fiction, such as those of Karlheinz Stierle, Roger Odin and Richard Saint-Gelais. In the third chapter, we envision fiction through the angle of subjectivity : fiction in Foucault’s works appears as a mean to manifest the “death of man”, or in other words, to fracture the philosophical subject.
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Du déploiement de l'individualité ou genèse du singulier par le vouloir-exister

Gagnon, Rémy 11 April 2018 (has links)
Cette thèse s'articule autour de deux questions. La compréhension que nous avons de la subjectivité épuise-t-elle le sens de l'individualité ? Et si ce n'est pas le cas, se pourrait-il que l'individualité (comprise à partir d'une lecture phénoménologique) soit un élément irréductible, et donc concret, de la pensée qui s'interroge sur les rapports que l'homme entretient avec le monde ? De ces interrogations se dégage un objectif double. Tout en cultivant notre attache particulière à la méthode phénoménologique (celle développée par Edmund Husserl), il s'agit de déterminer si la structure de l'individualité doit être ancrée beaucoup plus profondément au niveau ontique et, ainsi, de voir ce qui la fait être de manière irréductible. Nous pourrions présenter cette recherche comme une incursion au cœur de l'essence (concrète) de l'individualité, ayant pour objectif de dégager une ontologie du monde réel. Ce programme ne peut cependant avoir de sens que sur le fond, pour ainsi dire, de la restauration, qui consiste en un effort de requalification de l'individualité. Pour être crédible, cet effort doit se projeter dans deux directions : d'un côté, il s'agit de rejoindre le problème de la subjectivité ; de l'autre, de s'attacher à relever et à décrire l'essence de l'individualité. Dans le premier cas, la démarche est de nature critique. Dans le second cas, elle prend la forme d'une exploration, d'une recherche du fondement. Sur la question de la subjectivité, la démarche critique consiste essentiellement à mettre en doute la corrélation formalisée entre le moi et le flux de conscience et, ce faisant, la capacité de cette relation de nous informer sur la nature concrète des choses. Nous savons quelle impulsion la psychologie scientifique a donné à cette conception de l'identité du moi, conception en partie reprise par la phénoménologie (husserlienne notamment). C'est en inscrivant la conscience dans une structure stable où les différents vécus pouvaient se présenter comme des entités autonomes et invariables que l'on a pu traduire le réel en décomposant les vécus en représentations. Or comme cette thèse veut le montrer, cette manière (transcendantale) de concevoir notre rapport au monde nous reconduit à un sujet désincarné qui nous dit bien peu de choses sur la nature concrète de l'individualité, pour ne pas dire qu'il la disqualifie. Du moins, il semble que la subjectivité, à qui appartient le flux unitaire de la conscience, obstrue la voie qui conduit aux conditions de possibilité de l'individualité, de ce qui est pourtant senti comme indubitable. Là se situe l'enjeu de cette recherche : reprendre l'étude de la subjectivité afin de relever un fait primitif, un fait qui, s'il peut être amené sous la lumière du jour, doit pouvoir nous révéler un existant qui possède en soi sa raison d'être et le principe de sa propre existence, c'est-dire l'individu.
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De la répétition à la reprise : une critique conceptuelle

Bélanger-Michaud, Sara Danièle January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / [À l'origine dans / Was originally part of : Thèses et mémoires - FAS - Département de littérature comparée]
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L'autoaction : Une démarche vers l'autonomie créative

Lafontaine, Kim 07 April 2022 (has links)
Ce texte d'accompagnement consiste en une présentation de mon processus créateur, des expérimentations qui en résultent ainsi que des concepts qui soutiennent mes préoccupations actuelles. Dans un langage personnalisé, je m'intéresse au concept d'autoaction comme conducteur de l'autonomie créative. Selon ma définition, je dirais que l'autoaction est une action qui laisse entrevoir la subjectivité d'une personne et qui en ce sens, ouvre peut-être sur une autonomie créative. Celle-ci résulterait donc de l'exploration que fait une personne de sa subjectivité, et ce, au sein d'une action. La présente étude défendra l'idée selon laquelle l'interdépendance conceptuelle entre subjectivité, autoaction et autonomie créative est nécessaire pour ouvrir une réflexion, au sein de ma pratique artistique, sur des thèmes globaux comme celui de l'émancipation, la liberté ou l'intégrité. Il sera principalement question de démontrer que la présence d'une subjectivité affirmée, même dans tous ses états, est plus riche que la potentielle abnégation de celle-ci. Pour ce faire, je me concentrerai sur mes recherches en lien avec la notion de non objectivation de l'être humain développée par le philosophe Alexis Klimov ainsi que sur les mécanismes émancipatoires présents au sein de ma pratique artistique. / This accompanying text consists of a presentation of my creative process, the results of experiments and concepts that support my current preoccupations. In a personalized language, I am interested in the concept of self-action as a driver of creative autonomy. According to my definition, I would say that self-action is an action that suggests a person's subjectivity and that, in this sense, may open up creative autonomy. This would therefore result from the exploration that a person makes of his subjectivity within an action. The present study will support the idea that the conceptual interdependence between subjectivity, self-action and creative autonomy is necessary to open a reflection, within my artistic practice, on global themes such as that of emancipation, freedom or integrity. It will be primarily a question of demonstrating that the presence of an affirmed subjectivity, even in all its states, is richer than the potential abnegation of it. To do this, I will focus primarily on the outcome of my research related to the notion of non-objectification of the human being developed by the philosopher Alexis Klimov as well as on the emancipatory mechanisms present within my artistic practice.
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Du jugement en éthique appliquée : étude sur la co-appartenance de la subjectivité, de la santé et de l'éthique dans le jeu auto-référential de la créativité

Quintin, Jacques 13 April 2021 (has links)
"Thèse présentée à l'Université Laval comme exigence partielle du doctorat en philosophie offert à l'Université de Sherbrooke en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université Laval." / Du jugement en éthique appliquée. Étude sur la co-appartenance de la subjectivité, de la santé et de l’éthique dans le jeu auto-référential de la créativité. Comment pouvons-nous penser un événement singulier caractérisé par la temporalité qui concerne notre existence? Pour y parvenir, nous dégagerons une anthropologie tirée d’une lecture de l’histoire de la philosophie qui nous permettra de penser l’être humain com m e un être créatif, plus particulièrement un être créatif de soi. Cette création de soi, cette autopoièse, nous la nommerons 1 ’ auto-référentialité (avec un a) pour marquer l’ouverture, un changement enraciné dans la totalité. Ainsi la totalité ou l’identité sera une reprise de soi en intégrant le changement. Le sujet n’est jamais ainsi le même quoiqu’il demeure toujours identique, c’est-à-dire un soi créateur en faisant l’exercice du jugement auto-réfléchissant qui est un jugement sans concept s’exerçant à partir du réel singulier. Pour mieux cerner le travail de la créativité dans le jugement, nous procéderons par variations eidétiques autour de la subjectivité et de chacun de ses modes (le corps, l’agir, le sentir et le dire), de l’épistémologie, de la métaphore, de l’herméneutique, de la dialectique, de l’intersubjectivité, de la santé et de l’éthique. Cette variation eidétique nous permettra de montrer que les lois de la subjectivité, de la santé et de l’éthique sont les mêmes. Elles sont celles de la créativité où quelque chose de nouveau émerge à partir du jugement auto-réfléchissant. C’est pourquoi, au cœur de la créativité, ce qui se joue, est un processus herméneutique qui relance constamment la créativité du jugement auto-réfléchissant. C’est le caractère auto-référential de la créativité et du jugement auto-réfléchissant. Devant les événements singuliers, nous devons exercer davantage un jugement auto-réfléchissant qu’un jugement déterminant. Si un tel jugement pose du nouveau, c’est également un jugement qui exerce une libération envers nos anciens jugements dans lesquels nous sommes empêtrés en raison de leurs succès antérieurs. Alors ces questions que l’éthique met de l’avant sont des portes d’entrée pour ressaisir notre existence créatrice; notre subjectivité. Alors le jugement en éthique appliquée apparaît comme un acte de création de soi, de santé et de valeur.
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En accès et en marge de la subjectivité, de l'intersubjectivité transcendantales et du problème constitutif

Fortin, Pierrette 27 January 2022 (has links)
Ce travail s'interroge sur les fondements de la phénoménologie husserlienne en exposant la genèse de la subjectivité transcendantale pour ensuite développer plus longuement la théorie phénoménologique de l'intersubjectivité. A l'intérieur de la sphère intersubjective, l'alter ego apparaît à l'ego par le mode de l'intropathie permettant le passage au monde de l'expérience étrangère. La primordialité d'autrui pour la découverte et la compréhension de l'ego lui-même, centre de nos préoccupations, devient donc thématique. Est mis à jour l'interdépendance des vies dans un monde environnant commun englobant une communauté des monades, qui fonde l'édification de la sphère sociale et culturelle grâce à des relations réciproques de communication. - La problématique constitutive de l'horizon intersubjectif permet de connaître le labeur préparatoire correspondant du fondateur du criticisme phénoménologique.
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Les ingénieurs de l'âme : pouvoir et subjectivation sous Staline

Landry, Jean-Michel 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / On a l'habitude de penser que le système politique stalinien réprimait les subjectivités en les traquant jusque dans leurs plus intimes manifestations. Les archives soviétiques récusent pourtant cette analyse. Elles montrent que le régime de Staline accordait un soin précieux aux subjectivités; que des dispositifs avaient été aménagés afin de conduire les individus à transformer durablement la manière dont ils se percevaient. C'est le cas du roman stalinien, lequel eut pour fonction et pour effet d'inciter les citoyens soviétiques à cultiver un rapport à soi calqué sur la figure de l'« Homme Nouveau ». Ce mémoire pose en thèse que, sous Staline, le roman héroïque appartenant au genre « réaliste socialiste » se voulait un outil de transformation intérieure, et sa lecture un acte de subjectivation. Cet argument se verra étayé, entre autres, au moyen de la correspondance entre l'écrivain soviétique Nikolaï Ostrovski et ses nombreux lecteurs.
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Michel Foucault et le souci de soi dans l'Antiquité

Gagnon, Simon-Olivier 08 March 2019 (has links)
Nous proposons ici une étude sur la culture du souci de soi dans l’Antiquité, telle qu’elle est exposée et interprétée par Michel Foucault dans L’Herméneutique du sujet. En s’appuyant sur l’interprétation des textes des principaux représentants latins du stoïcisme impérial (Sénèque, Épictète et Marc-Aurèle), le mémoire rassemble les éléments d’une théorie foucaldienne du sujet. La première partie traite de la « genèse » du sujet chez Foucault en regard des « techniques de soi » qui le rationalisent. La deuxième partie situe le sujet qui s’élabore dans l’expérience pratique du rapport à soi, dans l’ascèse et dans la discipline, en regard du rapport à l’autre, au corps, au savoir et au langage. La dernière partie présente le contexte historique dans lequel l’injonction au souci de soi est devenue un impératif éthique. On fait alors l’hypothèse que la crise de la démocratie athénienne à la fin du Ve siècle a joué un rôle significatif dans l’émergence de l’injonction socratique et que cette dernière fait écho au verdict des classes dominantes sur l’incompétence politique des masses. Le souci de soi et l’exercice assidu de la maîtrise de soi apparaissent alors comme des préalables indispensables à la participation à la vie politique et aux décisions communes. La culture de soi connaît une lente transformation avec le déclin de la Cité-État, la domination romaine et l’hellénisation de Rome, tout en atteignant son paroxysme à l’époque du Haut-Empire. Elle s’achève dans la construction chrétienne d’une culture du renoncement. On suppose alors que dans chacune de ces configurations historiques, elle a rempli une fonction sociale importante, mais à chaque fois différente. / We propose a study on the culture of the care of the self in Antiquity, as it is exposed and interpreted by Michel Foucault in his course Herméneutique du sujet at the Collège de France. Based on the interpretation of the texts of the principal Latin philosophers of imperial Stoicism (Seneca, Epictetus and Marcus Aurelius), the dissertation brings together the elements of a Foucaldian theory of the subject. The first part deals with Foucault’s perspective on the "genesis" of the subject, with regard to the "techniques of the self " through which one rationalizes oneself. The second part situates the subject that is elaborated in the practical experience of the relation to oneself, in asceticism and discipline, with regard to the relation to the other, to the body, to knowledge and to language. The last part presents the historical context in which the injunction to self-care has become an ethical imperative. It is then suggested that the crisis of Athenian democracy at the end of the 5th century played a significant role in the emergence of the Socratic injunction, and that the latter echoes the ruling classes on the political incompetence of the masses. The care of the self and the constant exercise of self-control then appear as prerequisites for participation in political life and common decisions. The culture of the self slowly change with the decline of the City- State, Roman domination, and the Hellenization of Rome, while reaching its peak in the High Empire. The culture of the self ends in the Christian construction of a culture of renunciation. It is asserted then that in each of these historical configurations, the culture of the self has fulfilled an important social function, but each time different.
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Littérature et subjectivité essai d'épistémologie de la théorie littéraire

Gagnon, Alex January 2012 (has links)
Ce mémoire vise à jeter les bases d'une épistémologie de la littérature. Il interroge, à partir d'une analyse de leur structure logique interne, les grands courants de la théorie littéraire depuis la cristallisation du formalisme russe.Ce faisant, il cherche aussi, dans une perspective autoréflexive, à mettre au jour les conditions de possibilité de son propre projet : il apparaît, en fin de parcours, qu'une épistémologie du littéraire s'impose là où le concept même de littérature, avec un certain nombre de notions qui servaient à penser le phénomène littéraire, a considérablement perdu de son évidence. L'introduction générale du mémoire pose la question et déclare le projet tout en situant le problème. Effectuant une relecture de la querelle épistémologique entourant l'installation de la"nouvelle critique" dans le paysage intellectuel français, mettant ensuite au jour la diversité des traitements de l'oeuvre de Racine dans les nouveaux langages théoriques des années 1960, l'auteur pose la nécessité d'élaborer une épistémologie qui étudierait dans une perspective propre à l'histoire des idées, non pas les représentations littéraires du monde mais les représentations de la"littérature" elle-même dans le métadiscours, en tant qu'elles sont ramifiées et prises dans des configurations de savoir complexes. C'est précisément cette histoire de l'idée de"littérature" que le corps principal du mémoire entend inaugurer, à travers l'analyse détaillée du problème de la spécificité du littéraire autour duquel s'est constituée, au siècle dernier, la théorie littéraire sous les divers habits qu'elle a revêtus. Inspirée des principes et méthodes de l'archéologie du savoir, cette étude montre que, du formalisme à nos jours, les changements qui ont durablement affecté notre conception de la littérature révèlent en fait des transformations épistémologique [i.e. épistémologiques] plus profondes, plus générales, dont ils procèdent et, en même temps, qu'ils informent de façon significative : ce qui s'est transformé, c'est notre rapport à l'histoire, notre manière de concevoir la relation entre le monde et le langage, enfin notre conception du sujet vis-à-vis de la représentation. La conclusion du mémoire, pour sa part, à la fois effort de synthèse et déploiement d'une proposition programmatique, interprète les acquis de l'analyse qui la précède et dresse le modèle théorique à l'aune duquel il semble possible d'envisager une véritable histoire épistémologique de la littérature, qui ferait éventuellement l'objet d'une autre étude. Comme une généalogie du présent, cette histoire ne retracerait pas uniquement le processus de cristallisation de la notion de littérature en son sens moderne ; elle suivrait, pour en mieux comprendre les enjeux épistémologiques, voire anthropologiques, l'histoire qui a rendu possible que, aujourd'hui encore, et à travers l'expérience singulière que nous en faisons, il puisse exister quelque chose que nous appelons, avec un flou lui-même révélateur, la"littérature".

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