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Supervielle, des premiers recueils à Débarcadères : quête et conquête d’une écriture poétique / Supervielle from his first collections to Débarcadères : quest and conquest of a poetic writing

Girard, Claude-Renée 22 January 2009 (has links)
Cette étude s’attache aux premières œuvres que publie Supervielle pour y déceler l’émergence progressive d’une écriture personnelle.Supervielle offre l’exemple assez rare d’un poète dont la vocation est précoce et l’épanouissement tardif : il n’a guère que dix-sept ans quand il publie, en 1901, son premier recueil, Brumes du passé. Or cette publication, loin d’être l’annonce d’une maturation rapide, ouvre une longue période, pendant laquelle Supervielle publie peu et d’une façon espacée. Neuf ans s’écoulent avant que paraisse Comme des voiliers. Il en faudra neuf autres pour que viennent Les Poèmes de l’humour triste, suivis peu de temps après, il est vrai, de Poèmes. A l’exception d’une dizaine de textes des Poèmes de l’humour triste et d’un autre de Poèmes, Supervielle ne retiendra rien, plus tard, de ces publications. Débarcadères semble marquer la fin de cette période pour en annoncer une autre. Confirmant l’accélération annoncée par Poèmes, le recueil paraît trois ans plus tard. C’est la première œuvre dont Supervielle autorisera la réimpression. Désormais, il n’en reniera plus aucune. Il reste qu’entre Brumes du passé et l’étape décisive de Débarcadères, en 1922, plus de vingt ans se sont écoulés. Ces années de tâtonnements sont significatives . D’œuvre en œuvre, les traits s’esquissent, disparaissent ou se travestissent , pour réapparaître ensuite et s’organiser. Au terme de cette quête patiente apparaît dans Débarcadères un univers dont la cohérence se construit entre le normal et l’insolite, l’être et le non être. Il naît d’une écriture qui a trouvé sa spécificité entre classicisme et transgressions, ombres et clartés. / Discovering how a personal way of writing has gradually expressed itself, this is what this study of Supervielle’s first publications is about.Supervielle offers the rare example of a poet whose talent has early appeared but took a long time to blossom after. He was just seventeen years old when Brumes du passé, his first poem collection, was released. This publication did not announce a quick talent maturation. It has opened a long period of time where Supervielle published just a few writings. Nine years had to be waited for Comme des voiliers ‘s release. Nine extra years will be needed for the publication of Poèmes de l’humour tritste, which will be promptly followed by Poèmes’s.Later, Supervielle will not keep anything from these first publications but a dozen from Poèmes de l’humour triste and another one from Poèmes.Débarcadères appears as a caesura between this period of time and a new one. In effect this collection was released three years later, confirming the production increase that was announced by Poèmes. This is also the first work that Supervielle will accept to be reprinted. He will not deny any of these poems henceforth. Nevertheless he will have taken more than twenty long years between Brumes du passé and Débarcadères‘s decisive step. These are significant years of trials and errors.Work after work, literary features appear, disappear or change, then reappear, organized at last. At the end of this long quest appears in Débarcadères a world whose consistency lies between normal and unusual, being and non being. It comes from a way of writing whose specificity relies on classicism and transgressions, darkness and brightness.
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L’humanisation dans l’œuvre de Jules Supervielle / Humanization in Jules Supervielle’s works

Fischbach, Sophie 21 November 2014 (has links)
Dans « En songeant à un art poétique », Jules Supervielle définit sa poésie comme une entreprise d’humanisation. Quelle acception convient-Il de donner à ce terme, et en quoi se révèle-T-Il pertinent pour aborder l’œuvre de l’écrivain ? C’est à cette question que tente de répondre cette thèse, en cherchant à déterminer le sens qu’il convient de donner à l’humanisation à partir du double héritage de l’humanisme de la Renaissance et de l’humanitarisme romantique, et en s’appuyant sur des manuscrits et des correspondances en partie inédits. Dans une première partie, l’étude de la théorisation de l’humanisation chez Supervielle nous amène à mener une réflexion ressortissant de l’histoire des idées et de l’histoire littéraire, en nous penchant sur l’idée de la littérature développée par l’écrivain, et en analysant le rôle joué par Jean Paulhan et par René Étiemble dans l’apparition de cette idée. La seconde partie analyse la genèse diachronique de l’humanisation, au sein d’un essai de géographie poétique qui se focalise sur le tournant que constituent les années 1920 et 1930. La troisième partie est consacrée à l’étude de la genèse synchronique, considérant l’apparition de l’humanisation dans les divers états d’un texte, en poésie, en prose et au théâtre. L’étude de l’humanisation dans l’œuvre de Jules Supervielle permet ainsi de préciser le paysage littéraire et l’interpénétration des idées de la littérature qui se développent dans la première moitié du XXe siècle, en marge du surréalisme. / In « En songeant à un art poétique », Jules Supervielle defines his poetry as an attempt at humanization. How should this term be understood, and how does it enlighten Supervielle’s work ? In order to answer this question, this dissertation sets out to define the meaning of humanization through the lens of the double legacy of the humanism of the Renaissance and the humanitarianism of Romanticism, and in the light of partly unpublished manuscripts and letters. In the first part, this dissertation studies how Supervielle theorizes humanization. It leads to an analysis of a history of ideas and of literature, in order to define Supervielle’s conception of literature and in order to assess Jean Paulhan’s and René Étiemble’s roles in this theorization. The second part is a chronological study of humanization that takes the form of an essay of poetic geography. It focuses particularly on the work of the 1920’s and 1930’s. The third part is a genetic one : we study how humanization appears in the different states of a poem, a prose and a drama. The Study of humanization in Supervielle’s works enables us to have a better understanding of the literary landscape and of the entanglement of literary ideas in the first half of the twentieth century, in the margins of Surrealism.
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Les yeux vivants : suivi de l'essai Écrire la mort

Benoit, Sophie 20 April 2018 (has links)
Il y a la Mort qui parcourt le monde, sabots aux pieds, en accomplissant elle-même sa nécessaire besogne et celle qui confie à l’Ankou, son serviteur, la tâche de transporter l’âme des morts dans sa charrette. Entre ces deux histoires, il existe tout un monde réel, quotidien, beau ou laid, peuplé de personnages qui ont pour caractéristique commune d’être… mortels. J’ai tenté, à travers mes écrits, de présenter ces gens que la mort frôle, guette ou, parfois, évite. L’essai qui accompagne ma création cherche à réfléchir à la difficile question d’écrire sur cette ultime inconnue qu’est la mort – celle qu’on ne regarde toujours qu’avec des yeux vivants. Parallèlement à mes propres histoires, je tente d’observer la présence de la mort chez Jules Supervielle et Roch Carrier, deux auteurs qui la mettent en scène dans leurs contes, mais de façon subtile, presque en filigrane. C’est cette manière d’écrire que je cherche à mettre en lumière dans la portion réflexive de ce mémoire. / In the beginning, we find Death walking around the world, completing her unappreciated task by herself. By the end, she has the help of her servant on Earth, the one the Bretons call l’Ankou. Between these two stories, there is a whole world – trivial, beautiful or ugly, but real – inhabited by people whose main similarity is that they can, and one day will, die. I have tried to write short stories that explore the lives of these people who Death observes, touches or even, sometimes, forgets. The essay that accompanies my creation attempts to address the challenges awaiting someone who wants to write about death, which we always look at with living eyes. Along with discussing my own stories, I also study death’s subtle presence in the work of Jules Supervielle and Roch Carrier. It is their way of writing that I seek to examine in the reflective portion of my project.
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Entre dévoilement et dérobade : l'écriture entre les mots de Silvia Baron Supervielle

Stoecker, Maxime 10 1900 (has links)
L'écriture dans une langue « d'adoption » est un phénomène littéraire de plus en plus courant. À ce jour, la contextualisation qui en est faite gravite principalement autour de l'identitaire et de l'exil, et néglige une approche moins biographique, plus attentive à ce que l'on pourrait appeler une poétique du bilinguisme, en filiation avec la philosophie du langage de Walter Benjamin. Le concept d'une langue pure, résonnant dans le silence de chacune des langues comme une présence antérieure, peut permettre d'accéder à cette ouverture des mots, et contribuer à réaliser leur simultané pouvoir de dévoilement et de dérobade, comme une invitation à l'écoute attentive de ce qui se dit à travers eux. de Silvia Baron Supervielle, écrivaine et traductrice francophone d'origine argentine, témoigne de l'extériorité inhérente aux langues. L'analyse du mémoire essaye de manière suggestive, par un agencement de concepts philosophiques complémentaires, de rendre palpable cette voix singulière dans trois publications de genres différents : réflexions philosophiques sur les langues (l'alphabet du feu), journal de lectrice et de poète (Le pays de l'écriture), poème en prose (La frontière). Il s'agit moins de formuler une théorie de l'entre- deux-langues que de montrer l'ouverture du verbe générée par l'écriture d'une langue à l'autre. / Writing in an «adopted» language has become more and more a common literary phenomenon. To date, its contextualisation mostly emphasizes on the topics of identity and exile, and neglects a less biographic approach, that would more likely refer to a poetic of bilingualism in the tradition of Walter Benjamin's philosophy of language. The concept of a pure language, resonating within the silence of each language like the evidence of an elapsed presence, can help to access this opening-dimension of words, their concurrent power of both unveiling and eluding what they supposedly name; it might lead to an attention on what's being said through them. The work of Silvia Baron Supervielle, a francophone writer and translator of Argentinian origin, testifies this exteriority inherent to all languages. By configuring complementary philosophical concepts, the thesis' analysis aims, in a suggestive way, to make this singular voice palpable in three publication of different genres: philosophical reflections on language (L'alphabet du feu), a diary of a reading poet (Le pays de l'écriture), and a poem in prose (La frontière). It intends less to develop a theory of the in-between-language than rather to show the opening of the word, generated by the writing from one language to the other.
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Entre dévoilement et dérobade : l'écriture entre les mots de Silvia Baron Supervielle

Stoecker, Maxime 10 1900 (has links)
L'écriture dans une langue « d'adoption » est un phénomène littéraire de plus en plus courant. À ce jour, la contextualisation qui en est faite gravite principalement autour de l'identitaire et de l'exil, et néglige une approche moins biographique, plus attentive à ce que l'on pourrait appeler une poétique du bilinguisme, en filiation avec la philosophie du langage de Walter Benjamin. Le concept d'une langue pure, résonnant dans le silence de chacune des langues comme une présence antérieure, peut permettre d'accéder à cette ouverture des mots, et contribuer à réaliser leur simultané pouvoir de dévoilement et de dérobade, comme une invitation à l'écoute attentive de ce qui se dit à travers eux. de Silvia Baron Supervielle, écrivaine et traductrice francophone d'origine argentine, témoigne de l'extériorité inhérente aux langues. L'analyse du mémoire essaye de manière suggestive, par un agencement de concepts philosophiques complémentaires, de rendre palpable cette voix singulière dans trois publications de genres différents : réflexions philosophiques sur les langues (l'alphabet du feu), journal de lectrice et de poète (Le pays de l'écriture), poème en prose (La frontière). Il s'agit moins de formuler une théorie de l'entre- deux-langues que de montrer l'ouverture du verbe générée par l'écriture d'une langue à l'autre. / Writing in an «adopted» language has become more and more a common literary phenomenon. To date, its contextualisation mostly emphasizes on the topics of identity and exile, and neglects a less biographic approach, that would more likely refer to a poetic of bilingualism in the tradition of Walter Benjamin's philosophy of language. The concept of a pure language, resonating within the silence of each language like the evidence of an elapsed presence, can help to access this opening-dimension of words, their concurrent power of both unveiling and eluding what they supposedly name; it might lead to an attention on what's being said through them. The work of Silvia Baron Supervielle, a francophone writer and translator of Argentinian origin, testifies this exteriority inherent to all languages. By configuring complementary philosophical concepts, the thesis' analysis aims, in a suggestive way, to make this singular voice palpable in three publication of different genres: philosophical reflections on language (L'alphabet du feu), a diary of a reading poet (Le pays de l'écriture), and a poem in prose (La frontière). It intends less to develop a theory of the in-between-language than rather to show the opening of the word, generated by the writing from one language to the other.
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Le féminin et le maternel dans l'imaginaire occidental : le mythe de Shéhérazade en analyse / The feminine and the maternal in the occidental imagination : The myth of Scheherazade in analysis

Rifai, Nabila 14 November 2012 (has links)
Cette thèse analyse le mythe fondateur des Mille et une nuits, ou « mythe de Shéhérazade », par une approche psychanalytique et comparatiste. Nous mettons en évidence que le récit-cadre des Nuits constitue un récit mythique, miroir de l’imaginaire collectif, qui révèle la place de la femme, du féminin et du maternel dans le processus de civilisation.En effet, les Nuits s’ouvrent sur un double adultère et un double meurtre: deux femmes, sultanes, trompent leur époux avec un esclave noir. Ce désir féminin transgressif est le déclencheur de tout le recueil. Il constitue le péché originel qui entraîne la déchéance et le chaos. Shahrayar, tel le patriarche de la horde primitive freudienne, se venge et instaure le meurtre de la femme comme loi. La parole infinie de Shéhérazade, à la fois amante et mère, crée une zone transitionnelle féconde et mène le sultan à renoncer à la jouissance éphémère pour entrer dans le champ de la sublimation et du symbolique. Par la fonction symbolique du langage, la conteuse conduit le tyran à advenir sujet, parlêtre, soumis aux lois fondamentales de la civilisation.Nous analysons l’évolution de la dialectique du féminin, du maternel et des lois symboliques dans les réécritures, imitations, pastiches, perversions, parodies, tragédies, suites et adaptations musicales du mythe de Shéhérazade du XVIIIe au XXIe siècle. / This thesis analyzes the founding myth of the Arabian Nights, or « myth of Scheherazade », with a psychoanalytical and comparative approach. This research points that the frame story of the Nights is a mythical story that constitutes the mirror of the collective imagination, which reveals the place of the woman, the feminine and the maternal in the process of civilization.The Nights open on a double adultery and a double murder scene: two sultanas commit adultery with a black slave. This transgressive feminine desire is the trigger of the Arabian Nights' collection. It constitutes the original sin that leads to the forfeiture and the chaos. Shahrayar, such as the patriarch of the Freudian primal horde, decides to take revenge on them and institutes as a law the murder of women. The infinite word of Scheherazade, who is at the same time lover and mother, creates a transitional fertile space and leads the sultan to give up the temporally enjoyment to enter the field of the sublimation and symbolism. With the symbolic function of the language, the storyteller leads the tyrant to become parlêtre, subject to the fundamental laws of civilization.We examine the rewritings, imitations, pastiches, perversions, parodies, tragedies, continuations and musical adaptations of the myth of Scheherazade from eighteenth to the twenty-first century, to analyze the dialectic’s evolution of the feminine, the maternal and the symbolic laws.

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