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Le conte à visée morale et philosophique de Fénélon à Voltaire / The tale with moral and philosophical aim from Fénelon to Voltaire

Fourgnaud, Magali 22 November 2013 (has links)
À la fin du XVIIe siècle, la dissolution du pacte allégorique semblait avoir à tout jamais disjoint la fable et le conte, la première prenant en charge seule un but didactique et le second se définissant comme un récit pur, sans intention de transmettre un quelconque message. Paradoxalement, de la fin du XVIIe siècle jusqu’aux années 1775, un nombre important de contes affichent, dès leurs seuils (titres, épigraphes, frontispices, préfaces), une fonction cognitive : on assiste à l’émergence d’une nouvelle catégorie du conte, qui se réconcilie avec les savoirs. Cette thèse vise à montrer que la portée philosophique et morale de ce sous-genre réside moins dans le message transmis que dans le mode de déchiffrement qu’il induit et dans la singularité de l’expérience qu’il fait vivre au lecteur. Les contes à visée morale et philosophique ne sont pas des illustrations d’une thèse préalable, ils déclenchent la réflexion du lecteur grâce à un dispositif narratif particulier, qui repose sur un pacte de lecture non plus allégorique, mais analogique : le lecteur est amené à faire des liens entre ce qui a priori est sans rapport, à prendre une posture critique à l’égard de tous les discours (notamment religieux, politiques, pseudo-scientifiques et même fictionnels), et à s’interroger sur lui-même, en somme à être philosophe, au sens où l’entendait le XVIIIe siècle. Après avoir repéré les constantes structurelles et thématiques de ces textes, aussi divers soient-ils, nous étudions l’entremêlement des discours philosophiques et moraux et de la fiction, dans les contes de Fénelon, Montesquieu, Saint-Hyacinthe, Crébillon, Diderot, Rousseau, Voltaire et Marmontel. / At the end of the seventeenth century, the dissolution of the allegorical pact had seemed to separate the fable from the tale for ever, the first supporting only a didactic purpose while the second is defined as pure storytelling, without intending to convey any message. Paradoxically, from the end of the seventeenth century to the 1775s, a large number of tales claim straight away - in their titles, epigraphs, frontispieces, prefaces- to have a cognitive function: we are witnessing the emergence of a new category of tales, which is reconciled with knowledge. This thesis aims to show that the philosophical and moral implications of this sub-gender are not so much the message conveyed as the type of deciphering that it induces and the uniqueness of the experience it brings to life. Tales which have a moral and philosophical aim are not illustrations of a prior thesis, they trigger the reflection of the reader with a particular narrative device, based on a reading pact that is not allegorical, but analogical: the reader is led to make connections between what is a priori unrelated, to take a critical stance towards every kind of speech (including religious, political, pseudo-science and even fiction itself), and to question himself, in short to be a philosopher, in the sense understood in the eighteenth century. After identifying common thematic structures of these texts, while taking into account their differences, we study the entanglement of philosophical and moral discourse and fiction in the tales by Fenelon, Montesquieu, Saint-Hyacinthe, Crebillon, Diderot, Rousseau, Voltaire and Marmontel.
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La "FOUTERIE" versus les émois grandiloquents : étude de l'évolution du langage libertin à travers Le sopha de Crébillon fils et La philosophie dans le boudoir de Sade

Lavoie, Liette January 2007 (has links) (PDF)
Le libertinage, en plus d'être associé à une esthétique littéraire circonscrite à quelques décennies, a été un art de vivre, une étape cruciale dans le processus d'émancipation de l'Homme. Ce sont les libertins qui, à partir du XVIIe siècle, ont posé un regard critique sur tout ce qui se présentait comme une entrave à la liberté, sur les tyrannies religieuses, politiques, intellectuelles ou morales. Les pulsions physiques ayant subi de graves oppressions pendant l'Ancien Régime, il était inévitable que la sexualité devienne un enjeu majeur, voire le symbole même de l'affirmation de soi. Les romans libertins, qui remportent un franc succès malgré les interdits dont ils sont frappés, sont toutefois bien davantage qu'une présentation de scènes de débauche. Ils mettent en place des stratégies stylistiques et rhétoriques qui visent à dire la sexualité et, ultimement, à influencer les mentalités. Cette langue libertine se révèle être feutrée ou audacieuse, flamboyante, hypocrite ou irrévérencieuse selon les périodes qu'elle traverse. En effet, des débuts de l'époque libertine à sa chute irrémédiable au tournant du siècle, en passant par son apogée vers les années 1730, cette langue subit des métamorphoses foudroyantes que nous avons choisi d'analyser à partir de deux romans représentant les moments-clés. Rédigé en 1739 dans une langue fleurie et grandiloquente, Le Sopha de Crébillon fils incarne l'esprit de la période dorée du libertinage alors que La Philosophie dans le boudoir de Sade, paru en 1795, est plutôt saturé de mots interdits et d'idées scandaleuses qui laissent entrevoir l'émergence de l'écriture moderne. Les écarts entre ces oeuvres, tant en ce qui concerne le sujet et le style que le contact avec le lecteur, nous permettront de cerner les objectifs recherchés par les deux auteurs. Se détachant d'une part graduellement des anciens modes de pensée, ces écrivains manifestent un attachement marqué pour certaines réflexions du XVIIIe siècle. Nous nous intéresserons donc, dans un premier temps, aux emprunts faits aux discours philosophiques, techniques rhétoriques et lieux communs de la conversation mondaine afin de déterminer si leur entreprise de séduction se base davantage sur l'art de plaire ou sur celui de persuader. Nous poursuivrons par l'analyse des traits stylistiques qui les distinguent de la norme langagière de leur époque. Notre démarche procèdera de l'analyse minutieuse des marques textuelles comme le lexique et les figures afin de cerner le style de chacun. Si les écarts de Crébillon manifestent une tendance à camoufler les critiques sociales derrière l'ambiguïté et l'ironie, ceux de Sade visent à détruire les normes langagières par un excès de crudité. Nous verrons enfin si ces deux ouvrages licencieux s'inscrivent dans le genre pornographique. De plus en plus modernes d'autre part, les auteurs des Lumières commencent à réaliser l'importance du lectorat et à développer des techniques de communication. Nous nous intéresserons dans un troisième chapitre à la structure dialogique qui implique le lecteur dans Le Sopha, aux stratégies de répétition qui visent à anéantir sa sensibilité dans La Philosophie dans le boudoir, ainsi qu'à la présence commune de personnages-lecteurs qui ont pour objectif d'indiquer le mode de lecture à adopter. Nous constaterons enfin que cette conception de la littérature comme outil pour critiquer, imposer son individualité et influencer le public évolue rapidement vers la Modernité. Bref, il s'agit de voir comment ces deux écrivains ont participé à la transformation de la langue libertine en langue moderne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Libertin, Liberté, Langue, Lumières, Dix-huitième siècle, Crébillon, Sade.
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Le conte à visée morale et philosophique de Fénélon à Voltaire

Fourgnaud, Magali 22 November 2013 (has links) (PDF)
À la fin du XVIIe siècle, la dissolution du pacte allégorique semblait avoir à tout jamais disjoint la fable et le conte, la première prenant en charge seule un but didactique et le second se définissant comme un récit pur, sans intention de transmettre un quelconque message. Paradoxalement, de la fin du XVIIe siècle jusqu'aux années 1775, un nombre important de contes affichent, dès leurs seuils (titres, épigraphes, frontispices, préfaces), une fonction cognitive : on assiste à l'émergence d'une nouvelle catégorie du conte, qui se réconcilie avec les savoirs. Cette thèse vise à montrer que la portée philosophique et morale de ce sous-genre réside moins dans le message transmis que dans le mode de déchiffrement qu'il induit et dans la singularité de l'expérience qu'il fait vivre au lecteur. Les contes à visée morale et philosophique ne sont pas des illustrations d'une thèse préalable, ils déclenchent la réflexion du lecteur grâce à un dispositif narratif particulier, qui repose sur un pacte de lecture non plus allégorique, mais analogique : le lecteur est amené à faire des liens entre ce qui a priori est sans rapport, à prendre une posture critique à l'égard de tous les discours (notamment religieux, politiques, pseudo-scientifiques et même fictionnels), et à s'interroger sur lui-même, en somme à être philosophe, au sens où l'entendait le XVIIIe siècle. Après avoir repéré les constantes structurelles et thématiques de ces textes, aussi divers soient-ils, nous étudions l'entremêlement des discours philosophiques et moraux et de la fiction, dans les contes de Fénelon, Montesquieu, Saint-Hyacinthe, Crébillon, Diderot, Rousseau, Voltaire et Marmontel.
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Usages de l'épistolaire dans la littérature française du XVIIIe siècle (Crébillon fils, Rétif de la Bretonne, Laclos)

Pinon, Elsa 08 1900 (has links)
La scène littéraire du XVIIIe est marquée par la profusion des romans épistolaires et libertins, qui connaissent un succès parallèle. Par l'imposition d’une structure communicationnelle propre à la lettre, le roman épistolaire trouve la voie de l'introspection et de la subjectivité et prend progressivement certaines libertés quant à l'expression de la passion : si La Nouvelle Héloïse de Rousseau et les romans anglais tels que la Clarissa de Richardson contribuent à accroître la popularité du roman par lettres, la quantité de romans épistolaires qui délaissent le thème de l’amour « pur » au profit de la peinture des exploits libertins témoigne de l’engouement du public pour ce genre nouveau. Selon nous, le roman épistolaire libertin relève d’une association particulièrement probante qui fait de la lettre le support privilégié du récit des anti-héros libertins. La recherche d’authenticité en littérature fait de la lettre un moyen d’expression privilégié, tandis que les conséquences d’une société en pleine mutation occupent une place particulière dans les récits libertins. Nous postulons une adéquation spécifique entre les deux genres : la subjectivité de la lettre permet au libertin de s’exprimer sans filtre narratif, tandis que le principe libertin de l’intrusion d’un tiers (dans les aventures amoureuses ou, comme ici, dans la correspondance) permet au lecteur de prendre connaissance de l’ensemble des lettres. Notre étude portera sur trois romans qui associent de différentes façon la parole du libertin à l’épistolaire : Les Heureux Orphelins de Crébillon, Le Paysan et la Paysanne pervertis de Rétif de la Bretonne et Les Liaisons dangereuses, de Laclos. / The eighteen-century literary scene is marked by the success of both epistolary and libertine novels. Through the imposition of a communicational structure specific to letters, the epistolary novel deals with introspection and subjectivity, and takes some liberties with the expression of passion: if La Nouvelle Héloïse by Rousseau and English novels such as Clarissa by Richardson contribute to the popularity of the epistolary novels, the aforementioned novels forgo the theme of “pure” love in order to describe the exploits of libertine characters. This major shift provokes the interest of the public towards this new genre. We think that letters are used as the favoured medium for the libertine’s narrative because of the successful combination of epistolary and libertine novels. The search for authenticity in literature makes letters the most pertinent means of expression, while the consequences of a changing society occupy a particular place in libertine novels. We suggest a specific compatibility between the two genres: the subjectivity that is inherent in letters allows the libertine character to express himself without any apparent narrative filter, and the libertine’s principle of intrusion allows the reader to access all the letters. The novels in our study (Les Heureux Orphelins by Crébillon, Le Paysan et la Paysanne pervertis by Rétif de la Bretonne et Les Liaisons dangereuses by Laclos) each associate the libertine’s speech and epistolarity in a different way.
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Le conte de fées parodique français du XVIIIe siècle : un discours antimerveilleux

Caravecchia, Emilie Sarah 04 1900 (has links)
À première vue inoffensif, le conte de fées parodique français du XVIIIe siècle dissimule, sous le couvert de la féérie, un discours anticontesque et antiromanesque. Qu'ils soient explicites ou non, ces propos prennent généralement forme dans les métalepses émises tant par les narrateurs que par les narrataires dans le texte lui-même ou dans le péritexte auctorial. L'élaboration d'une typologie, à partir de dix contes publiés entre 1730 et 1754, offre une vue d'ensemble de ce phénomène narratif épars et ouvre la voie à une analyse transversale des discours tenus dans ce trope. Loin d'être innocent, le contenu des métalepses contesques laisse poindre une nouvelle poétique du conte et du roman qui s'éloigne progressivement de l'idéal classique régissant toujours ces deux genres au XVIIIe siècle. / Seemingly harmless, the satirical French fairy tales of the 18th century contain a hidden discourse against the novel, which does not abide by the rules of traditional fairy tales. Explicitly stated or not, these utterances are generally voiced as metalepsis by the narrators, the witnesses within the story, or an authority outside the main text. The development of a specific typology based on ten fairy tales published between 1730 and 1754, helps to present an overview of this uncommon narrative phenomenon, and allows for a more transversal analysis of these figures of speech. The contents of these fairy tale metalepsis give rise to a new poetics concerning novels and short stories. In turn, these tales gradually distances themselves from the established norms governing these two 18th century literary genres.
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S libertiny napříč stoletími / With libertines through centuries

Prokopová, Markéta January 2013 (has links)
The thesis focused in details on libertine literary movement in 17th and 18th century and subsequently its influence in later centuries. The first part deals with the general meaning of libertine literary movement, the second part contains information about the development of libertine literary movement in the 17th century with authors Cyrano de Bergerac and Theophile de Viau. The third part concerns the development process of libertine literary movement in the 18th century, specifically through the six authors: Crébillon younger, Louvet de Couvray, Restif de la Bretonne, Boyer D'Argens, Vivan Denon and Choderlos de Laclos and four specific libertine works: Therese philosopher, No tomorrow, About education of women and Dangerous Liaisons. The fourth section contains selected authors, for which it is possible to find the impact of libertine movements on their work or lifestyle. Key words: libertine, libertine movement of 17th century, libertine movement of 18th century, Cyrano de Bergerac, Théophile de Viau, Crébillon son, Louvet de Couvray, Restif de la Bretonne, Boyer D'Argens, Vivant Denon, Choderlos de Laclos, Therese philosopher, No Tomorrow, Dangerous liaisons
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Le conte de fées parodique français du XVIIIe siècle : un discours antimerveilleux

Caravecchia, Emilie Sarah 04 1900 (has links)
À première vue inoffensif, le conte de fées parodique français du XVIIIe siècle dissimule, sous le couvert de la féérie, un discours anticontesque et antiromanesque. Qu'ils soient explicites ou non, ces propos prennent généralement forme dans les métalepses émises tant par les narrateurs que par les narrataires dans le texte lui-même ou dans le péritexte auctorial. L'élaboration d'une typologie, à partir de dix contes publiés entre 1730 et 1754, offre une vue d'ensemble de ce phénomène narratif épars et ouvre la voie à une analyse transversale des discours tenus dans ce trope. Loin d'être innocent, le contenu des métalepses contesques laisse poindre une nouvelle poétique du conte et du roman qui s'éloigne progressivement de l'idéal classique régissant toujours ces deux genres au XVIIIe siècle. / Seemingly harmless, the satirical French fairy tales of the 18th century contain a hidden discourse against the novel, which does not abide by the rules of traditional fairy tales. Explicitly stated or not, these utterances are generally voiced as metalepsis by the narrators, the witnesses within the story, or an authority outside the main text. The development of a specific typology based on ten fairy tales published between 1730 and 1754, helps to present an overview of this uncommon narrative phenomenon, and allows for a more transversal analysis of these figures of speech. The contents of these fairy tale metalepsis give rise to a new poetics concerning novels and short stories. In turn, these tales gradually distances themselves from the established norms governing these two 18th century literary genres.
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Le féminin et le maternel dans l'imaginaire occidental : le mythe de Shéhérazade en analyse / The feminine and the maternal in the occidental imagination : The myth of Scheherazade in analysis

Rifai, Nabila 14 November 2012 (has links)
Cette thèse analyse le mythe fondateur des Mille et une nuits, ou « mythe de Shéhérazade », par une approche psychanalytique et comparatiste. Nous mettons en évidence que le récit-cadre des Nuits constitue un récit mythique, miroir de l’imaginaire collectif, qui révèle la place de la femme, du féminin et du maternel dans le processus de civilisation.En effet, les Nuits s’ouvrent sur un double adultère et un double meurtre: deux femmes, sultanes, trompent leur époux avec un esclave noir. Ce désir féminin transgressif est le déclencheur de tout le recueil. Il constitue le péché originel qui entraîne la déchéance et le chaos. Shahrayar, tel le patriarche de la horde primitive freudienne, se venge et instaure le meurtre de la femme comme loi. La parole infinie de Shéhérazade, à la fois amante et mère, crée une zone transitionnelle féconde et mène le sultan à renoncer à la jouissance éphémère pour entrer dans le champ de la sublimation et du symbolique. Par la fonction symbolique du langage, la conteuse conduit le tyran à advenir sujet, parlêtre, soumis aux lois fondamentales de la civilisation.Nous analysons l’évolution de la dialectique du féminin, du maternel et des lois symboliques dans les réécritures, imitations, pastiches, perversions, parodies, tragédies, suites et adaptations musicales du mythe de Shéhérazade du XVIIIe au XXIe siècle. / This thesis analyzes the founding myth of the Arabian Nights, or « myth of Scheherazade », with a psychoanalytical and comparative approach. This research points that the frame story of the Nights is a mythical story that constitutes the mirror of the collective imagination, which reveals the place of the woman, the feminine and the maternal in the process of civilization.The Nights open on a double adultery and a double murder scene: two sultanas commit adultery with a black slave. This transgressive feminine desire is the trigger of the Arabian Nights' collection. It constitutes the original sin that leads to the forfeiture and the chaos. Shahrayar, such as the patriarch of the Freudian primal horde, decides to take revenge on them and institutes as a law the murder of women. The infinite word of Scheherazade, who is at the same time lover and mother, creates a transitional fertile space and leads the sultan to give up the temporally enjoyment to enter the field of the sublimation and symbolism. With the symbolic function of the language, the storyteller leads the tyrant to become parlêtre, subject to the fundamental laws of civilization.We examine the rewritings, imitations, pastiches, perversions, parodies, tragedies, continuations and musical adaptations of the myth of Scheherazade from eighteenth to the twenty-first century, to analyze the dialectic’s evolution of the feminine, the maternal and the symbolic laws.

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