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Fiducies de revenu, fiscalité et médias : une analyse de cas en économétrie financière

Morin, Éric January 2008 (has links) (PDF)
Le présent mémoire est une analyse économétrique du rendement boursier des fiducies de revenu. Les fiducies de revenu ont constitué jusqu'à 15% des entités inscrites à la Bourse de Toronto et ont été un placement populaire jusqu'en 2006. Étant donné que les détenteurs de parts des fiducies n'étaient pas admissibles au crédit d'impôt pour dividendes et que le rendement boursier est un rendement avant l'impôt des particuliers alors il s'en suit que le rendement boursier des fiducies devait être, à risque égal, systématiquement plus élevé que celui des sociétés par actions afin de compenser pour l'absence de crédit d'impôt. Cette compensation se nomme «effet fiducie» et nous cherchons à estimer sa présence dans le rendement des fiducies à l'aide de modèles économétriques d'évaluation d'actifs financiers. En raison de certaines caractéristiques fiscales, la valeur théorique de l'effet fiducie est inconnue mais strictement positive. Par ailleurs, puisque la médiatisation des fiducies a été importante, nous avons ajouté à nos modèles des variables dichotomiques captant l'impact de certaines caractéristiques médiatiques dans le temps. Trois modèles ont été estimés et deux de ceux-ci ont pour facteurs explicatifs des variables financières et économiques. Le dernier a comme facteurs des composantes principales. Lorsque les variables médiatiques sont ajoutées à ces modèles, l'effet fiducie est significatif dans les trois cas. L'effet fiducie est toutefois plus élevé et davantage significatif avec le modèle à composantes principales. Toutefois, lorsque les variables médiatiques sont omises, l'effet fiducie est significatif uniquement avec le modèle à composantes principales.
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Évaluation des firmes de biotechnologie à l'aide d'approches basées sur les options réelles : approche de type numérique et approche Binotech

Bergeron, André January 2009 (has links) (PDF)
Le mémoire examine le potentiel de deux méthodes d'évaluations de la valeur d'une entreprise sur la base d'un échantillon de firmes oeuvrant dans le domaine des biotechnologies. Selon la première méthode, nommée Binotech, l'action d'une firme de biotechnologies est traitée comme étant une option financière. Avec la deuxième méthode, dite numérique, le rendement des firmes est considéré comme un mouvement brownien dont la moyenne est définie selon la méthodologie proposée par Bergeron, Savor et Kryzanowski. (2004). Les évaluations obtenues à l'aide de chacune des deux méthodes, sont ensuite comparées aux valeurs marchandes des firmes c'est à dire leurs valeurs boursières. Les résultats obtenus indiquent que la performance respective des deux méthodes est étroitement liée à la volatilité du rendement boursier des firmes de l'échantillon. Or, la volatilité des firmes, tend à être reliée à leur taille, tout comme, souvent, le degré de diversification de leur portefeuille de molécule. En conséquence, la performance de l'une ou l'autre des deux méthodes examinées est meilleure pour les entreprises de grande taille et l'évaluation des petites firmes ayant un portefeuille non diversifié demeure un défi difficile à relever. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Biotechnologie, Options réelles, Étude empirique.
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La causalité entre l'inflation et les rendements boursiers réels au Canada

Bettaieb, M'hamed. January 1998 (has links)
Thèses (M.Sc.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1998. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Mesures conditionnelles de performance pour fonds d'obligation /

Glode, Vincent. January 2004 (has links)
Thèse (M. Sc.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. 101-111. Publié aussi en version électronique.
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L'évaluation d'un produit dérivé : une apporche discrète

Sabbah, Isaac January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Trois essais sur la volatilité boursière et ses variations asymétriques

Ben Bader, Mohamed 03 1900 (has links) (PDF)
La volatilité boursière joue un rôle central en finance. Elle intervient dans une multitude de décisions telles que le choix de portefeuille et sa diversification, la gestion du risque financier et l'évaluation des contrats financiers dérivés. Connue comme étant l'une des principales mesures de risque, la volatilité a suscité l'intérêt des chercheurs qui visent, notamment, à l'estimer et expliquer son évolution. Plusieurs résultats révèlent que la volatilité se caractérise, entre autres, par ses variations asymétriques (Avramov, Chordia et Goyal, 2006; Mele, 2007; Shamila, Shambora et Rossiter , 2009; etc.). Cette asymétrie veut que pour la même variation absolue du rendement, la hausse de la volatilité due à la variation négative dépasse sa baisse résultant de la variation positive. La contribution de cette thèse, composée de trois essais, consiste à proposer un modèle permettant de refléter au mieux les variations asymétriques de la volatilité et caractériser la prime de risque qui s'y rattache. Dans le premier essai, nous couvrons, en général, les principaux écrits majeurs, notamment récents, sur la volatilité boursière. En particulier, nous vulgarisons d'abord le concept de la volatilité comme mesure de risque où nous distinguons, d'une part, entre risque et incertitude et d'autre part entre risque existant et risque perçu. Puis, nous présentons les résultats marquants sur ses composantes (systématique et spécifique) en contexte des modèles classiques (de marché, CAPM). Ensuite, nous discutons de l'effet du marché d'options sur la volatilité boursière. Notre intérêt à cet effet se justifie par la croissance grandissante du volume des transactions sur les marchés des options depuis la création en 1973 du marché standardisé des options à Chicago (CBOE). Finalement, nous synthétisons les acquis en matière d'estimation de volatilité et faisons un tour critique des principales classes de modèles servant à en décrire l'évolution où des modèles représentatifs de chaque classe sont caractérisés tant dans leurs hypothèses et leurs dynamiques que dans leur performance au niveau des tests subis. Dans le deuxième essai, nous proposons un modèle à volatilité stochastique où l'asymétrie de la volatilité résulte de deux effets : l'effet de levier financier et l'effet rétroactif (ou effet feedback). Notre modèle suppose que, pour une firme donnée, la volatilité de son rendement boursier dépend et de la variabilité de sa valeur marchande (reflet de son risque d'exploitation) et de son levier financier (reflet de son risque financier). Nous recourons au filtrage particulaire, technique attribuée à Gordon, Salmond et Smith (1993), pour tester notre modèle en considérant son caractère non linéaire. Notre étude empirique est menée avec un échantillon de 332 firmes américaines non financières à données journalières. Elle porte sur la période qui s'étend du 2 janvier 1996 au 31 décembre 2008. Les résultats montrent que l'inclusion de la variation du levier financier dans le processus de la volatilité permet d'améliorer la performance de prédiction du modèle. Ils révèlent également que l'asymétrie de la volatilité résulte, notamment, de l'effet rétroactif en périodes d'instabilité. Par contre, son ampleur dépend du niveau du levier financier en périodes de stabilité. Dans le troisième essai, nous caractérisons la prime de risque de la volatilité asymétrique ainsi que les facteurs qui expliquent ses variations. En utilisant les prix d'options (d'achat et de vente) sur l'indice américain S&P 100, pour la période qui s'étend du 3 janvier 2006 au 18 décembre 2010, nous trouvons que cette prime est, en moyenne, négative. Cela transparaît d'ailleurs doublement, et dans l'écart significatif entre la volatilité implicite dans les prix d'options et la volatilité instantanée du S&P 100, et dans le rendement moyen négatif des portefeuilles de réplication jugés sûrs à risque près, celui de la volatilité. De plus, la prime de risque de la volatilité asymétrique s'avère changeante et dépend du niveau de la volatilité et de l'échéance des options vu que la sous-performance des portefeuilles de réplication augmente en périodes de volatilité accrue, surtout pour les portefeuilles formés avec des options à longue échéance. Également, les résultats dévoilent une asymétrie dans la variation de cette prime voulant qu'en valeur absolue sa hausse due à une volatilité élevée dépasse généralement sa baisse résultant d'une relative stabilité du marché. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : risque, volatilité boursière, variation asymétrique, effet de levier financier, effet rétroactif, filtrage particulaire, prime de risque de la volatilité.
7

Impact du risque politique sur les taux de rendement boursier et leur volatilité : le cas du Québec /

Essaddam, Mohamed Naceur. January 2002 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2002. / Bibliogr.: f. 137-150. Publié aussi en version électronique.
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Modélisation stochastique des caisses de retraite

Bédard, Diane January 1997 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Évaluation statistique et prévision de la performance de gestionnaires d'actifs

Simard, Marie-Hélène 23 April 2018 (has links)
En finance, la gestion passive consiste à gérer un portefeuille d’actifs afin d’obtenir un rendement similaire à un indice de marché ciblé. La gestion active quant à elle vise à obtenir un rendement supérieur. Les coûts reliés à une gestion active et les risques associés sont plus élevés. Une compagnie d’assurance se pose la question si les gestionnaires d’actifs ont les capacités de battre l’indice de marché de façon statistiquement significative. Un modèle au coeur du type d’analyse permettant de répondre à cette question est le modèle d’évaluation des actifs financiers (MÉDAF). Dans ce mémoire, différents modèles de régression et deux approches ont été retenus pour évaluer la performance de ces gestionnaires dans le cadre du MÉDAF, soit une approche par critère et une approche par prévision. Nos résultats suggèrent que certains gestionnaires d’obligations ont les capacités de battre l’indice de marché de façon significative alors que ce n’est pas le cas pour les gestionnaires d’actions. / In finance, passive management is about managing assets to achieve a return similar to a targeted market index, whereas active management aims to achieve superior performance. The costs associated with active management and the associated risks are higher. An insurance company wants to know whether the asset managers have the ability to beat the market index, statistically speaking. The principal model to answer this question is the CAPM. In this thesis, different regression models and two approaches were used to evaluate the performance of these managers under the CAPM, an approach based on criteria and an approach based on forecasts. Our results suggest that some bond managers have the ability to beat the market index significantly, while this is not the case for stock managers.
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L'évaluation de l'efficacité des campagnes de publicité sociale

Champagne-Saint-Arnaud, Valériane 12 April 2024 (has links)
La publicité sociale, que plusieurs inscrivent dans le domaine plus large du marketing social, occupe une part importante de l’industrie de la communication marketing au Québec : des dizaines de millions de dollars sont investis chaque année dans des campagnes publicitaires promouvant des causes sociales et environnementales multiples. Si les annonceurs sociaux choisissent cette forme de communication persuasive, c’est parce qu’ils sont animés de la conviction qu’elle est efficace pour susciter l’adoption de « bons » comportements ou l’abandon de « mauvais » comportements chez le public visé. Or, cette assertion soulève inévitablement des questions : l’efficacité des campagnes de publicité sociale est-elle évaluée? Le cas échéant, sur quels indicateurs et méthodes s’appuient ces évaluations? Sont-ils arrimés aux plus récentes connaissances issues de la recherche scientifique? Dans les écrits scientifiques, deux constats émergent : l’absence de consensus sur ce qui constitue une campagne efficace et sur la manière d’évaluer cette efficacité, ainsi que le manque de données empiriques sur les pratiques d’évaluation des professionnels. De tels constats conduisent naturellement à s’interroger sur la dynamique d’échange entre la recherche scientifique et les professionnels de la publicité sociale. Les données scientifiques sont-elles transférées aux professionnels? Dans l’affirmative, les intègrent-ils à leurs pratiques? Encore une fois, la revue de la littérature permet de constater que ces enjeux ont été peu documentés empiriquement jusqu’à présent. Dans ce contexte, l’étude s’est penchée sur l’enjeu général de l’arrimage entre les connaissances issues de la recherche scientifique (CIR) et les pratiques d’évaluation des campagnes de publicité sociale au Québec. S’appuyant sur un devis méthodologique mixte, un questionnaire a d’abord été soumis à soixante-deux professionnels de la publicité sociale oeuvrant au Québec, afin d’établir un portrait chiffré de leurs pratiques à l’égard de l’évaluation des campagnes ainsi que du transfert et de l’utilisation des connaissances scientifiques. Puis, vingt-trois professionnels ont participé à des entretiens individuels pour explorer plus en profondeur les raisons qui sous-tendent ces pratiques. / L’analyse conjointe des résultats du questionnaire et des entretiens a révélé que les pratiques des professionnels sont partiellement rigoureuses pour évaluer l’efficacité des campagnes, puisqu’elles présentent des lacunes autant pour mesurer les réactions que les résultats générés. Cette conclusion s’articule autour de cinq observations principales : (1) les professionnels n’effectuent pas systématiquement une évaluation des campagnes et, lorsqu’ils le font, c’est principalement à court terme après leur déploiement; (2) les indicateurs et les méthodes utilisés pour évaluer les réactions couvrent rarement la phase d’implication du récepteur; (3) le recours fréquent aux statistiques de popularité d’une campagne sur Internet fournit des données peu pertinentes pour en mesurer les effets réels qu’elle génère; (4) les indicateurs permettant de mesurer le processus de changement comportemental ne sont pas systématiquement utilisés et (5) les professionnels misent souvent sur des méthodes subjectives reposant sur des mesures autorapportées par le public cible des campagnes. Qui plus est, les entretiens ont révélé la tendance des professionnels à sélectionner certaines données et/ou à les interpréter à leur avantage, ce qui peut conduire à déclarer efficaces des campagnes qui ne le sont pas en réalité. Par ailleurs, l’étude révèle que les professionnels de la publicité sociale entretiennent un lien ténu avec le monde la recherche scientifique. Les activités de transfert et d’utilisation des CIR sont peu fréquentes et, lorsqu’elles sont réalisées, c’est principalement dans une visée utilitaire. Autrement dit, les CIR ne servent généralement pas à guider les décisions stratégiques et créatives en aval, mais plutôt à les supporter en amont. Finalement, l’étude offre un apport théorique important en proposant un nouveau cadre conceptuel et opérationnel de l’évaluation des campagnes de publicité sociale. Clarifiant ce qu’est une campagne de publicité sociale efficace et établissant une catégorisation précise des indicateurs et des méthodes permettant de l’évaluer, ce cadre fournit une distinction claire entre les réactions générées par une campagne et ses résultats d’une campagne, deux concepts qui souffraient d’une importante imprécision dans la littérature scientifique jusqu’à présent. L’évaluation des réactions s’appuie sur une nouvelle modélisation en trois phases, fruit de la fusion de modèles hiérarchiques et non hiérarchiques de la réception d’une publicité sociale. L’évaluation des résultats, quant à elle, s’enracine dans un modèle théorique du changement comportemental éprouvé empiriquement – l’approche de l’action raisonnée de Fishbein et Ajzen (2010) – dont il décompose chacune des variables pour en faire cinq indicateurs d’efficacité publicitaire. / The joint analysis of the results of the questionnaire and the interviews revealed that the professionals' practices are partially rigorous in evaluating campaign effectiveness, since they have shortcomings in both measuring target audience reactions and behavioral results. This conclusion is based on five main observations: (1) professionals do not systematically carry out an evaluation of campaigns and, when they do, it is mainly in the short term after their deployment; (2) the indicators and methods used to assess the reactions rarely cover the target audience involvement phase; (3) frequent use of popularity statistics for an Internet campaign provides irrelevant data for measuring audience reactions; (4) the indicators used to measure the behavioral change process are not systematically used and (5) professionals often rely on subjective methods based on selfreported measures by the target audience. Moreover, the interviews revealed the tendency of professionals to select certain data and/or interpret them to their advantage, which may lead to declaring campaigns that are not effective in reality. In addition, the study reveals that social advertising professionals have a tenuous connection to the world of scientific research. The transfer and use of scientific knowledge are infrequent and, when carried out, it is primarily for utilitarian purposes. In other words, scientific knowledge is generally not used to guide policy and creative decisions downstream, but rather to support them upstream. Finally, the study offers an important theoretical contribution by proposing a new conceptual and operational framework for the evaluation of social advertising campaigns. Clarifying what an effective social advertising campaign is and establishing an accurate categorization of indicators and methods for evaluating it, this framework provides a clear distinction between the target audience reactions and the behavioral results of a campaign. These are two concepts that have suffered from significant imprecision in scientific literature so far. The reactions assessment is based on a new three-phrase model. This is the result of the merging of hierarchical and non-hierarchical models of information processing. The evaluation of behavioral results, for its part, is rooted in a theoretical model that is proven empirically – the Fishbein and Ajzen (2010)’s reasoned action approach – of which it breaks down each of the variables to make five indicators of advertising effectiveness. / Social advertising, which is part of the broader field of social marketing, occupies a significant part of the marketing communications industry in Quebec. Tens of millions of dollars are invested every year for advertising campaigns that promote multiple social and environmental causes. If social advertisers choose this persuasive form of communication, it is because they are convinced that it is effective in encouraging the adoption of "good" behaviors or the abandonment of "bad" behaviors among the targeted audience. Nevertheless, this assertion inevitably raises questions: is the effectiveness of social advertising campaigns evaluated? If so, what indicators and methods are used to support these evaluations? Are they linked to the latest evidence based on scientific research? Two findings emerge from the scientific literature: the lack of consensus on what constitutes an effective campaign and how to evaluate this effectiveness, as well as the lack of empirical data on professional evaluation practices. Such findings naturally lead to question the dynamics of exchange between scientific research and social advertising professionals. Is the scientific data transferred to the professionals? If so, do they incorporate them into their practices? Once again, a review of the literature shows that up until now, these issues have been poorly documented on an empirical level. In this context, the study looked at the general issue of the link between knowledge generated from scientific research and the evaluation practices of social advertising campaigns in Quebec. Based on a mixed methods design, a questionnaire was first submitted to sixty-two social advertising professionals working in the province of Quebec. Its purpose was to establish a quantitative profile of their practices with respect to campaign evaluation and the transfer and use of scientific knowledge. Twenty-three professionals then took part in oneon- one interviews to further explore the reasons behind these practices.

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