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Négociation internationale et théorie structurationniste : le cas des conférences des parties sur les changements climatiques (1995 à 2001)Gaudreau, Antoine January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Herméneutique, oralité, temporalité. L’écriture traductive théâtrale de l’interprétation des classiques à la mise en voix. Phèdre et Dom Juan traduits pour la scène italienne contemporaine / Hermeneutics, Orality, Temporality. The interpretation of the Classics and Projection of Voice in Theatre Translative Writing. A study of contemporary translations of Racine’s Phèdre and Molière’s Dom Juan for the Italian stageMaggi, Ludovica 31 January 2019 (has links)
Dans la présente thèse nous formulons une réflexion sur la traduction des classiques du théâtre à travers les trois catégories traductologiques de l’herméneutique, de l’oralité et de la temporalité. A cet effet, nous envisageons la traduction comme le résultat d’un processus herméneutique concernant l’œuvre dans sa totalité. Au centre de ce processus, nous plaçons le sujet traduisant, dont la culture individuelle – à son tour reflet et déclinaison de la culture collective de l’espace-temps cible – constitue l’horizon d’interaction avec l’œuvre source. En découle la saisie d’un Sens total, au-delà du simple sens textuel, qui inclut une inscription dans la temporalité et l’identification d’une théâtralité, tout particulièrement vocale. Posant cette construction comme hypothèse de fond, nous recherchons les marques d’une telle interprétation de l’œuvre dans l’oralité de la traduction. Nous imaginons cette dernière comme la projection d’une voix performée et la concevons comme un tissu composite dans lequel les dimensions linguistique, rythmique et vocale participent à la construction d’un discours contemporain sur l’œuvre classique, le théâtre du passé, le théâtre du présent, sur la traduction elle-même et sa relation au temps. Un corpus de traductions italiennes contemporaines de Phèdre et Dom Juan destinées à la représentation scénique constitue la pierre de touche pour la vérification de notre hypothèse, tout en apportant un éclairage sur la réception des classiques du théâtre français en Italie. / In this thesis, we focus on theatre classics and on the interaction between hermeneutics, orality and temporality. To this aim, we think of translation as the result of a hermeneutical process which goes beyond the text and includes an interpretation of the play as a whole. In this framework, the translator plays a central role as they interact with the source text through the hermeneutical horizon of their individual and collective culture, extracting a Sense which extends to the perception of a specific temporality and theatricality. Our hypothesis is that this Sense can be found in the orality of the translative writing, which we consider to be the projection of voice in performance and which we define as a combination of language, rhythm and vocality, resulting in a contemporary discourse about the classic work, about theatre – both past and present – and about translation itself, as well as about its relationship to time. A corpus of Italian translations of Phèdre and Dom Juan for the stage helps verify our hypothesis, while offering an insight into the reception of French classical theatre in Italy.
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Concevoir l’historicité. L’histoire et les différentes formes de temporalité chez Hegel et Schelling / Conceiving Historicity. Hegel and Schelling on History and the Different Forms of TimeAuthier, Raphaël 04 June 2019 (has links)
La « philosophie de l’histoire » de l’idéalisme allemand, si l’on entend par là un ensemble de thèses permettant de découvrir un sens de l’histoire, a fait l’objet de nombreux travaux, en particulier celle de Hegel. Mais la réflexion des penseurs idéalistes sur l’histoire ne s’est pas limitée à l’interprétation des événements historiques passés. Une large part a consisté au contraire à élaborer un concept d’histoire dont l’extension ne se limite pas aux transformations sociales et politiques des groupes humains (mais qui concerne l’ensemble des productions humaines, voire la nature elle-même), et dont la compréhension ne recoupe pas l’usage de cette notion dans la conscience commune. Il nous a semblé que l’originalité de Hegel et de Schelling résidait notamment dans la richesse qu’ils attribuent à ce sens ontologique de l’histoire (conçue comme Geschichte et non comme Historie). Notre travail a consisté à interroger précisément la manière dont Hegel et Schelling ont élaboré un tel concept, qu’il vaudrait mieux qualifier d’événementialité ou d’historicité, pour le distinguer de la connaissance ou du récit de ces événements. Nous avons proposé ainsi de clarifier le sens du concept d’histoire par une comparaison des différentes formes de temporalité (temps naturel, temps de la conscience, histoire, durée, éternité) et de leur rôle respectif dans les systèmes de Hegel et de Schelling, de façon à souligner le caractère central du problème de l’historicité au sein de ce corpus, et à suggérer de quelle façon sa compréhension a déterminé le positionnement ultérieur des philosophes « post-idéalistes » (de Marx et Kierkegaard à l’idéalisme britannique ou à l’École de Francfort). / Many scholars have treated the “philosophy of history” developed by German idealists as a set of arguments designed to find a purpose in history. Yet the idealist thinkers did not limit their investigation to the interpretation of past historical events. On the contrary, a significant part of their work is dedicated to outlining a concept of history that is not limited to social and political transformations affecting human groups, but instead includes the totality of humanity’s creations, and even nature itself. This concept of history differs, sometimes radically, from how the term “history” is, and has been commonly understood. The source of the difference is Hegel and Schelling’s focus on such a rich ontological meaning of the notion of history (taken as Geschichte, as opposed to Historie). This thesis traces how Hegel and Schelling developed this concept, which might be more aptly characterised as historicity, to distinguish it from the knowledge or the chain narration of past events. It thus clarifies the meaning of the concept of history by comparing different forms of time (natural time, psychological time, history, duration, eternity) and their respective roles in Hegel’s and Schelling’s systems. This comparison is intended to underline the centrality of the problem of historicity in German idealism, and to suggest how its understanding has shaped the development of “post-idealist” European philosophy (from Marx and Kierkegaard to British idealism or to the Frankfurt School).
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L'impossible rature de la présence ou la spatialité du néant : l'apport du "non-lieu" chez Sohravardî / The impossible end of presence or the spatiality of nothingness : the contribution of the « no-where » from SohravardîDookhy, Riyad 06 July 2016 (has links)
Le Dasein ne pourra jamais « être » son « là ». Une telle remarque pourra surprendre. Toutefois, dès lors que la totalité ou la plénitude d'un « là » soient pensées, ce dernier se révèle transi de néant. Or, parler du néant implique une méthode propre, car c’est l’absence de tout « phénomène ». Devons-nous plutôt, et « déjà », constater la mort de la phénoménologie, son incapacité de « dire » ce qui est radicalement « sans » phénomène, même à entendre ce qu’elle nous aura enseigné ? C'est alors une Méthode du Néant qui se « donne » – ou plutôt « qui se sera déjà donnée », maintenant, comme dans l’Histoire – comme reste irréductible, têtu et tenace. Ce Néant implique qu’il est tant sans « temporalité » que sans « spatialité ». Il nous importe, par conséquent, de pouvoir « penser » le « non-lieu » et d’entendre à nouveaux frais ce que l’histoire nous en informe, notamment dans la pensée de Sohravardî. Le paradoxe est que cette histoire est peut-être elle-même hors histoire. / The Dasein cannot « be » its « be-ing-there ». Such a proposition may surprise us. However, where the totality of a « there » is considered, the latter reveals itself as kneaded by « nothingness ». Further, nothingness would imply its own method. Here, one is dealing with the absence of all phenomena. Should we, and « already », find in favour of the death of phonemenology, of its incapacity to « say » what is radically « without » phenonmenon, even where we are to heed what this tradition has taught us ? A Method of Nothingness, the kind which is sought here, seems to propose itself – or rather « has already proposed itself », as it is within History – as an irreducible, stubborn and tenacious one. Nothingness does imply the absence of « temporality » as well as « spatiality ». Consequently, we are driven to « think » the « no-where » and to heed afresh what history has taught us, namely the thought of Sohravardî on the matter. The paradox is this may bring us outside history itself.
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Avoir lu et savoir lire la littérature : Influence de "répertoires" diversement construits sur la réception d'un même récit dans trois communautés interprétativesSève, Pierre 05 November 2009 (has links) (PDF)
Une opinion répandue tant parmi les théoriciens de la réception littéraire que dans la communauté didactique postule que la lecture d'une œuvre dépend pour partie des lectures faites antérieurement. Notre recherche vise à vérifier ce postulat dans une sorte de logique expérimentale. Trois classes ont été invitées à lire un même roman après avoir fréquenté en amont des œuvres différentes : la première n'a rien lu qui fût spécifiquement en relation avec le roman choisi, la deuxième a lu des œuvres qui pratiquaient des formes narratives semblables, la troisième des œuvres qui présentaient des fictions similaires. Des traces des lectures opérées par les élèves ont été recueillies. Elles montrent que la deuxième classe est plus habile à rendre compte des stratégies narratives. En revanche, la troisième classe ne manifeste pas de supériorité dans la restitution des enjeux de la fiction. Ce résultat oblige à tempérer le postulat initial. En analysant les séances de travail au moment de la lecture du roman, on peut déterminer trois paramètres qui, dans le cas de figure étudié, interviennent autant que l'influence des lectures antérieures : le projet d'enseignement du maître, visible dans sa manière de conduire la classe et dans sa manière d'accueillir les souvenirs de lecture, le mode de présentation des œuvres proposées en amont et la conception de la littérature et de son enseignement telle que les élèves se les représentent
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L'humanisme géographiqueBrun-Picard, Yannick 01 March 2005 (has links) (PDF)
La thèse part du postulat d'une géographie science des espaces terrestres des hommes, afin de tendre en direction de l'existence, donnée comme hypothèse, d'un noyau commun : l'humanisme géographique. La multitude des influences, la reconnaissance d'auteurs incontournables, ainsi que l'existence d'un nuage complexe dans lequel se développe la géographie, permettent d'accéder à une base conceptuelle constituée des concepts de différenciation, de réentrée, de rupture/continuité et de moindre contrainte, liée à la géographicité. Cette base est articulée sur la temporalité qui favorise l'accès à l'objet de la géographie l'interface humanité/espaces terrestres. Cet ensemble contribue à l'émergence des enjeux épistémologiques d'une géographie dynamique avec trois outils : l'espace, le paysage et le territoire. Ceux-ci facilitent la maîtrise des espaces terrestres en prenant pour référence un noyau commun : l'humanisme géographique.
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Le temps chez Patinir, le paradoxe du paysage classiqueDupouey, Paul 24 May 2008 (has links) (PDF)
Montrer le monde, est-ce montrer le "siècle", le temps, cet " incorporel " selon les stoïciens pour lesquels le terme est plutôt péjoratif, cette forme dégradée de l'éternité selon les platoniciens ? La présence du temps, linéaire, fleuve ou immobile, oblitère-t-elle intimement le paysage classique soit, selon Philippe Descola, " de Patinir à Lorrain " ? Une réflexion sur le temps n'y serait-elle pas tout aussi présente qu'une tentative, rarement revendiquée, de représentation de la " nature ", notion encore ambiguë sous la Renaissance (autant les choses elles-mêmes que leur essence, voir leur principe actif), " terme vague " plus tard encore pour l'Encyclopédie. Y a-t-il un paradoxe du paysage ? Ce genre pictural est apparu concomitamment à la fin des millénarismes et à la " sécularisation ", soit dans un contexte d'évolution radicale et complexe du rapport au temps qu'il soit symbolique, politique, historique, économique, technique ou autre, phénomène abondamment étudié par l'histoire, notamment culturelle, mais aussi l'économie, la sociologie, la théologie... Parallèlement aux deux autres grands genres, le portrait avec les âges de la vie et leur psychologie, ou la nature " morte " avec l'intention morale de ses " vanités ", il en méditerait la dimension métaphysique, l'indétermination de la notion de nature s'avérant sans doute faire système avec celle de la notion de temps. Dans cette thèse, la première à être consacrée en France à ce peintre, ces hypothèses sont abordées à partir de l'œuvre de l'anversois Joachim Patinir (~1484 - ~1524), créateur du paysage cosmique (" weltlandschaft "), premier peintre occidental reconnu comme " peintre de paysage " (Dürer : " Joachim Patinir, der gut landschaft malher "), même si, bien entendu, le paysage est depuis longtemps présent dans la peinture et l'ensemble des arts occidentaux, comme en Orient, mais non d'abord pour lui-même. A ce titre, entre autres éléments iconographiques spécifiques (dont une iconologie juive encore à approfondir) il est le peintre des grands " lointains ", terme que, ainsi que tant d'autres, le lexique de l'espace partage justement avec celui du temps. A l'autre extrêmité du cycle, sont également sollicités Poussin et Lorrain, pères du paysage héroïque ou, autre référence néoplatonicienne, " idéal ", et qui achèvent de donner à ce genre ses lettres de noblesse.
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Etude contrastive de la temporalité en français et en vietnamienNguyen, Thuc Thanh Tin 20 September 2013 (has links) (PDF)
Alors que les valeurs temporelles, aspectuelles et modales en français sont principalement exprimées par les déterminants grammaticaux du verbe, l'expression de la temporalité en vietnamien s'appuie sur des marqueurs d'ordre lexical. L'objectif de cette recherche a été de montrer la différence qui existe dans la manière d'exprimer la temporalité en français et en vietnamien et donc de concevoir l'expression des valeurs temporelles, aspectuelles et modales dans chacune de ces langues. Ces valeurs étant véhiculées par des déterminants grammaticaux du verbe en français et par des marqueurs lexicaux en vietnamien, l'analyse a consisté tout d'abord à préciser les valeurs de ces éléments dans chaque langue, après avoir rappelé les points de vue de certains prédécesseurs dans ces domaines. Ensuite, une étude contrastive d'un extrait du Petit Prince en français et de deux de ses traductions en vietnamien a permis de mettre en évidence non seulement les facteurs qui régissent la présence ou l'absence de marqueurs en vietnamien, mais aussi les changements de sens et d'effets stylistiques qu'induisent le passage d'une langue à l'autre et le choix singulier qu'est à même de faire le traducteur. Cette recherche peut donc avoir une incidence immédiate pour l'enseignement du français à des apprenants vietnamiens et plus largement à des étudiants de Français Langue Etrangère comme pour la traduction.
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Figures du sujet dans la narration des années 1990-2000 : une approche socio-poétique de la narration discordanteSidaoui, Sihem 23 June 2010 (has links) (PDF)
Figures du sujet dans le roman fin de siècle des années 1990-2000, interroge, dans une perspective socio-poétique, les dispositions que prend le sujet dans deux espaces littéraires et culturels, à partir d'une étude synchronique de quelques romans tunisiens et français contemporains : Hayet ou la passion d'Elles d'Anouar Attia, Un an de Jean Echenoz, Monsieur L... d'Azza Filali, La Télévision de Jean-Philippe Toussaint et Dondog d'Antoine Volodine. Notre point de départ a été le constat d'une orientation post-formaliste dans les discours critiques littéraire et philosophique qui marquent un " retour spectral " du sujet historique. Des problèmes esthétiques, épistémologiques et poétiques sont mis en relation. Plus qu'une crise du personnage, une déficience ludique du narrateur est notée dans le corpus français. Dans une perspective sociocritique, le déficit du narrateur renvoie à une crise des institutions plutôt qu'à un abandon du projet politique de la modernité. Dans les romans tunisiens, la crise du sujet personnage est isolée. L'autorité du narrateur est maintenue, tout en étant déjouée pour signifier un écart et un désir : créer les conditions de possibilité d'une ouverture de l'expérience. La " narration discordante " est l'expression d'un problème de lisibilité du monde de la fiction. Toutefois, d'un point de vue pragmatique, les stratégies narratives de la discordance deviennent ce qui aiguise la présence du sujet lecteur, sollicité pour une contribution à la lisibilité de l'histoire. Nous y lisons, dans les deux cultures, une invitation du discours littéraire au sujet historique à tenter de tracer les contours d'une modernité politique inédite.
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Comptes rendus de perception dans le contexte des N fenêtre(s) et porte(s). Approche sémantique et pragmatique. / Perceptual reports in fenêtre(s) and porte(s) nouns context. Semantic and pragmatic approachMaëso Gardeil, Florence 08 November 2014 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’expliquer pourquoi l’insertion de comptes-rendus de perception ou CRP dans un fragment narratif, lorsqu’elle entraîne une rupture dans la progression thématique de ce fragment, ne compromet pas sa compréhension.Les études narratologiques (Hamon, Adam et Petitjean) définissent les textes descriptifs comme des séquences qui se caractérisent par des marqueurs d’introduction et de clôture corrélés. Les études sur l’accès cognitif à l’information (Vogeleer) montrent, par ailleurs, que les CRP décrivent une situation accessible dans la situation spatio-temporelle d’un sujet. Ce sont des énoncés thétiques qui se caractérisent par leur absence de thème (Furukawa). A l’écrit, le contexte gauche d’un CRP peut compenser son absence de thème en décrivant une situation qui permet d’inférer le lieu cible de perception (Emma s’approcha de la fenêtre) d’un sujet introduit en amont. Les énoncés de ce type sont ainsi apparentés au DIL.La classification d’un corpus de CRP intégrant les noms fenêtre(s) et porte(s), nous a conduit à distinguer six types de CRP parmi lesquels les séquences de compte rendu de perception indirect libre ou CRPIL sont les plus fréquentes. Dans ces séquences, lorsque le premier CRP de l’extrait n’a aucun lien avec son contexte gauche, il décrit une situation perçue accessible dans la situation spatio-temporelle du sujet qui la perçoit, qui est donc inédite jusqu’à son introduction dans le monde fictif. La coïncidence spatio-temporelle entre le sujet et cette situation peut être dénotée dans certains extraits par un SP spatial ou temporel antéposé dans le premier CRP de la séquence et potentiellement cadratif (Charolles). Ce SP signale le point de vue du sujet introduit en amont, dénote le lieu cible ou la localisation temporelle de la situation décrite dans le CRP et permet d’interpréter tous les CRP de la séquence. Dans les extraits ne mentionnant pas de SP, le lieu cible et le temps de la situation perçue sont inférés dès l’introduction du premier CRP, cette inférence validant tous les CRP de la séquence. La rupture topicale suscitée par l’introduction des CRP signale, dans tous les cas, l’émergence du point de vue d’un personnage introduit en amont. / The aim of this thesis is to explain why the inclusion of perceptual reports (PRs) in a literary narrative does not interfere with the comprehension of such narratives, despite when breaking their thematic progression.Narratological studies (Hamon, Adam and Petitjean) define descriptive texts as sequences characterised by correlated introductory and closing markers. Furthermore, research on evidentiality (Vogeleer) shows that PR describe a situation that is accessible in the space/time situation of a subject. PRs are thetics statements characterised by a lack of topic (Furukawa). In the written form, the left context of the PR may make up for the lack of topic by describing a situation that may be used to infer the place targeted by the perception (Emma s’approcha de la fenêtre) of a subject introduced earlier. Statements of this type are thus similar to represented speech and thought or RST.The classification of a corpus of PRs incorporating the nouns fenêtre(s) and porte(s), leads us to distinguish six PRs types among which represented perceptual reports (RPRs), are most frequent. In these sequences, when the first PR of the excerpt has no link to its left context, it describes a perceived situation accessible in the spatial/temporal situation of the subject that perceives it, which is therefore unknown until introduced into the fictitious world. The spatial and temporal coincidence of the subject and this situation may be noted in certain excerpts by a spatial or temporal prepositional phrase (PP) that is placed earlier in the first PR of the sequence and that is potentially framing (Charolles). This PP signals the point of view of the subject introduced earlier, denotes the target location or temporal location of the situation described in the PR and makes it possible to interpret all the PRs in the sequence. In the excerpts that do not mention a PP, the target location and time of the perceived situation are inferred once the first PR is introduced, with this inference validating all perceptual reports in the sequence. The topical break caused by the introduction of PRs signals, in all cases, the emergence of the point of view of a character introduced earlier.
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