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Revue systématique et méta-analyse des interventions psychologiques pour l'anxiété comorbide aux troubles bipolaires

Garceau, Laurence 03 August 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 25 juillet 2023) / Les troubles bipolaires sont des psychopathologies sévères et chroniques dont les troubles anxieux représentent la comorbidité la plus prévalente (75 %). Au niveau du traitement, la pharmacothérapie recommandée pour les troubles anxieux peut s'avérer néfaste pour les patients bipolaires. Le recours aux interventions psychologiques appuyées empiriquement semble être une avenue complémentaire et particulièrement adaptée. Ainsi, cette étude vise à identifier, synthétiser et évaluer les recherches sur l'efficacité des interventions psychologiques pour l'anxiété comorbide aux troubles bipolaires en effectuant une revue systématique suivie d'une méta-analyse. Une recherche des bases de données PsycInfo, Medline, WEB OF Science, Psychology and Behavioral Sciences Collection, Cumulative Index to Nursing & Allied Health Literature et Cochrane Library a été réalisée. Les titres, résumés et textes complets ont été sélectionnés par deux à trois réviseures. Les données ont été extraites à partir du modèle de Cochrane. L'évaluation du risque de biais a été conduite avec les grilles du Joanna Briggs Institute. Une méta-analyse utilisant un modèle mixte incluant un effet aléatoire de l'étude et un effet aléatoire de l'échelle de mesure a été réalisée. L'hétérogénéité a été calculée avec les statistiques Q et I². Un total de 15,473 résultats a été identifié et l'échantillon final comprend 47 études uniques. La méta-analyse sur 11 études contrôlées randomisées démontre que les interventions psychologiques entrainent une amélioration significative de l'anxiété comorbide aux troubles bipolaires (T (14) = 2,19, p = 0,046, d = 0,20 (IC à 95% = 0,01 à 0,41)). Les résultats peuvent toutefois être influencés par un biais de publication. La thérapie cognitive comportementale constitue l'avenue de traitement la mieux soutenue pour traiter l'anxiété dans les troubles bipolaires. En somme, il semblerait nécessaire d'offrir une intervention ciblant directement l'anxiété ou qui est adaptée pour en tenir compte afin d'observer des bénéfices importants pour les troubles anxieux comorbides.
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La thérapie cognitive-comportement des psychoses en début d'évolution : étude pilote

Marois, Marie-Josée 23 March 2022 (has links)
Les résultats aux méta-analyses sont concluants quant à l'efficacité de la thérapie cognitive-comportementale des psychoses (TCCp) sur la symptomatologie positive auprès de populations chroniques. Néanmoins, seulement 50% des participants répondent à la psychothérapie et peu de données sont disponibles concernant les facteurs associés à son efficacité. Aussi, l'accès à la formation est difficile pour les cliniciens. Conséquemment, l'accès au service est difficile pour les patients. L'application des programmes de TCCp à des milieux cliniques autres que les milieux de recherche les ayant développés est nécessaire afin d'évaluer la validité externe de la TCCp. La présente thèse se propose d'étudier l'efficience d'un programme de TCCp australien auprès d'une population de psychoses débutantes de Québec. Dans cet objectif, une étude ouverte d'implantation en milieu clinique a été réalisée. Le programme offre 25 sessions sur 6 mois à vingt patients âgés de 14 ans et plus. Dans un premier temps, l'étude vise à évaluer l'application clinique de la TCCp sur le terrain (Chapitre II). Les résultats suggèrent que la TCCp est applicable dans les milieux cliniques. Le taux d'acception est de 75 %, le taux moyen d'observance aux sessions est de 84 % et les participants s'en disent généralement satisfaits. Les analyses rapportent des améliorations statistiquement significatives de la symptomatologie psychotique et du fonctionnement, lesquelles sont maintenues 6 mois plus tard. L'autocritique, l'observance à la médication et l'anxiété sont également améliorées de façon statistiquement significative au post-traitement. Dans un deuxième temps, l'étude vise à identifier des prédicteurs d'évolution chez les participants (Chapitre III). Les résultats montrent que le nombre d'erreurs persévératives au Wisconsin Card Sorting Test (Heaton et al., 1999) est associé à une moins bonne évolution et que la présence d'un diagnostic d'abus de substance en pré-traitement est associée à une meilleure évolution. Aussi, l'amélioration de l'adhérence à la médication entre le pré et le post-traitement est associée à une amélioration plus importante des symptômes psychotiques chez les participants, ce qui suggère que la TCCp ait une action synergique avec la pharmacothérapie. Enfin, l'analyse de l'ensemble des données permet d'émettre des recommandations concernant l'application de la TCCp dans les cliniques.
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Efficacité thérapeutique et adaptations culturelles de la thérapie cognitivo-comportementale pour traiter le trouble de stress post-traumatique chez les jeunes réfugiés

Lafrance, Valérie 05 1900 (has links) (PDF)
Les enfants et adolescents réfugiés constituent une population résiliente, mais à risque pour développer le trouble de stress post-traumatique (TSPT). Le TSPT nuit au fonctionnement, au développement et à l'intégration des jeunes réfugiés aux pays d'accueil. Il est important d'identifier des formes de traitement efficaces et recevables. Chez les jeunes non-réfugiés traumatisés, la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) détient l'appui empirique le plus solide, donc il est pertinent d'explorer son efficacité auprès des jeunes réfugiés traumatisés. Cette thèse vise à explorer la pertinence et la recevabilité de la TCC dans l'intervention auprès de jeunes réfugiés qui répondent aux critères diagnostiques du TSPT. Il s'agit d'une étude exploratoire effectuée sur la base de deux recensions systématiques d'une part, et d'une revue de littérature de l'autre. En ce qui concerne les recensions systématiques, deux objectifs sont formulés : 1) recenser les études évaluant l'efficacité d'interventions psychothérapeutiques ciblant le TSPT chez les enfants et adolescents réfugiés, demandeurs d'asile et déplacés; 2) recenser les études évaluant l'efficacité d'interventions psychothérapeutiques ciblant le TSPT, destinées à des adultes réfugiés ou à de jeunes immigrants. La section suivante de la thèse offre un survol de la littérature scientifique portant sur les adaptations culturelles d'approches thérapeutiques appuyées par les données empiriques (evidence-based therapy ou EBT) afin d'explorer pourquoi, quand et comment modifier la TCC pour mieux répondre aux besoins des jeunes réfugiés traumatisés. Les recensions ont été effectuées par mots-clés sur des bases de données spécialisées et en consultant les listes de références des notices retenues. Les études mesurant l'efficacité d'interventions offertes à de jeunes réfugiés traumatisés sont rares et comportent d'importants biais méthodologiques. Selon neuf études recensées, aucune approche ne détient un appui empirique solide. La KlDNET, une approche analogue à la TCC, fournit des résultats encourageants. Les études auprès d'adultes réfugiés et jeunes immigrants sont plus nombreuses et de meilleure qualité. Vingt-quatre études ont été recensées. La TCC et certaines approches analogues y reçoivent un appui empirique préliminaire. Les résultats portent à se questionner sur l'importance d'adapter culturellement les traitements. Face à des données empiriques insuffisantes, les recommandations de certains experts appuieraient l'initiative d'adapter culturellement la TCC pour traiter le TSPT chez les jeunes réfugiés. Une démarche parcimonieuse et méthodique est envisagée. Des études d'efficacité empiriques et contrôlées additionnelles sont requises au sujet du traitement des jeunes réfugiés traumatisés, notamment sur la TCC. La nécessité d'adapter culturellement doit être étudiée davantage. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : jeunes, réfugiés, trouble de stress post-traumatique, thérapie cognitivo-comportementale, adaptations culturelles
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Social cognition and anxiety following a first-episode of psychosis : markers of clinical remission in schizoprenia and the development of a manualized cognitive-behavioral group intervention for social anxiety

Montreuil, Tina 03 1900 (has links) (PDF)
Évaluation des prédicteurs de la rémission en schizophrénie en lien avec le développement d'une intervention cognitivo-comportementale de groupe pour le traitement de l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Depuis les dernières années, il existe un intérêt croissant pour la notion de comorbidité en psychiatrie. Malgré cette évolution dans la compréhension des problématiques psychiatriques, la relation entre l'anxiété et la schizophrénie demeure toutefois négligée. Cependant, la problématique de la schizophrénie et d'un trouble comorbide à l'axe I du DSM-IV demeure toujours peu explorée dans les écrits scientifiques disponibles. Parmi la recherche existante, portant plus particulièrement sur la comorbidité d'un trouble relié à l'anxiété chez les personnes qui sont atteints de schizophrénie, un très petit nombre d'études ont exploré les liens qui existent entre les symptômes de l'anxiété et la schizophrénie. Le champ des études portant sur la comorbidité chez les personnes présentant plus particulièrement un premier épisode psychotique, demeure davantage inexploré. L'anxiété sociale est le trouble le plus fréquemment diagnostiqué parmi les troubles qui se retrouvent sur le continuum de l'anxiété. Cette problématique représente aussi l'une des pathologies les plus répandues en ce qui a trait à la comorbidité en schizophrénie. Malgré un intérêt croissant pour l'application de la thérapie cognitivo-comportementale dans le traitement des symptômes reliés à la schizophrénie, très peu d'études ont à ce jour proposé une intervention d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale spécifiquement adaptée pour les personnes atteintes de schizophrénie. Sur cette base, la présente recherche porte sur une intervention de ce type avec cette population. Nous avons formulé l'hypothèse que les participants qui prendraient part à une thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale qui aurait été adaptée plus particulièrement pour les personnes atteintes de schizophrénie, manifesteraient une réduction significative des symptômes reliés à l'anxiété sociale ainsi que des symptômes psychotiques à la suite de l'intervention. Cette étude portant principalement sur l'efficacité d'un programme d'intervention pour le traitement de l'anxiété sociale en tant que comorbidité en premier épisode de psychose fut développée selon un devis non contrôlé. Dans le cadre de cette étude, 29 participants ont été recrutés et ont donné leur consentement à participer à l'étude. De ce nombre, 26 personnes ont complété avec succès le programme d'intervention. Les participants ont pris part à la thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale qui s'est déroulée en 14 séances hebdomadaires de 90 minutes chacune. L'effet thérapeutique de l'intervention a été évalué à l'aide de tests « t » d'échantillons appariés (T1 pré-test - T2 post-test) pour toutes les mesures de résultats thérapeutiques qui comprennent l'anxiété sociale, les symptômes positifs et négatifs de la psychose et les symptômes de la psychopathologie générale (dépression, insight, stigma). Le chapitre I de la thèse consiste en une introduction générale qui présente une recension des écrits scientifiques, et plus précisément sur les marqueurs de la rémission clinique en schizophrénie et sur la nature des comorbidités, plus particulièrement l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les chapitres II et III présentent deux études empiriques indépendantes qui ont examiné l'impact de la cognition sociale pour l'une des études, et, pour l'autre étude, la fonction de la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sur la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de ces recherches ont révélé que les déficits au chapitre de la cognition sociale et la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sont des marqueurs importants de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Le chapitre IV comprend un troisième article empirique qui vise à évaluer l'efficacité d'une intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée pour le traitement des symptômes reliés à l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de cette étude révèlent que l'intervention semble contribuer à une réduction significative des symptômes d'anxiété sociale, des symptômes négatifs de la psychose, des symptômes dépressifs et du stigma. Finalement, le chapitre V présente une discussion générale des résultats de la thèse ainsi que des implications cliniques, des considérations méthodologiques et des pistes de recherche future. Les marqueurs de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique sont présentés. Un modèle de l'anxiété sociale en premier épisode psychotique, selon l'intervention de groupe d'approche TCC manualisée, est proposé. Dans l'ensemble, les résultats thérapeutiques de ce programme de recherche suggèrent que l'intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée doit être soumis à un essai contrôlé randomisé (ECR). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anxiété sociale, premier épisode psychotique, schizophrénie, thérapie cognitivo-comportementale, intervention psychologique, résultats thérapeutiques, rémission, fonctionnement social, stigma, insight
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Analyse des stresseurs et approche cognitive de la détresse psychologique auprès de couples infertiles

Lambert, Daniel 19 November 2021 (has links)
La présente étude compare les relations entre soit 1) la présence de stresseurs, soit 2) l'adhésion à certaines cognitions, et le stress psychologique ainsi que la dépression rapportés par 30 couples infertiles consultant une clinique de fertilité. La sévérité contextuelle des stresseurs vécus est évaluée par le Life Events and Difficulties Schedule (LEDS) et l'évaluation subjective de ces stresseurs par onze dimensions subjectives. Enfin, la présence de cognitions relatives à l'infertilité est estimée par un questionnaire maison dont l'élaboration et la validation font l'objet de la première phase de cette étude. L'état de stress et la dépression sont respectivement évalués par la Mesure du Stress Psychologique (MSP) et le Brief Symptom Inventory (BSI). Les résultats démontrent que la dimension de fréquence de l'approche cognitive est celle qui est la plus associée à l'état de stress et à la dépression. Finalement, les thèmes les plus fréquents des pensées des couples infertiles de cette étude sont identifiés
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Profils comparatifs de personnes en début d'évolution d'une psychose relativement à leur acceptation ou à leur refus de participer à une thérapie cognitive-comportementale

L'Heureux, Nadia 03 June 2022 (has links)
Les thérapies cognitives-comportementales (TCC) sont de plus en plus utilisées et recommandées aujourd'hui dans le traitement des psychoses. Cependant, elles présentent une limite importante. En effet, des taux de refus de participation variant de 8% à 62% et des taux d'abandon variant de 2,7 à 26,6% sont observés dans certaines recherches sur la TCC et semblent indiquer une résistance à l'utilisation de ce service. Le but de la présente étude est de dresser des profils comparatifs d'individus en début d'évolution d'une psychose selon leur réponse à l'entrevue de recrutement pour une TCC dans un contexte de recherche. Vingt-sept personnes ont été rencontrées au cours du recrutement pour la TCC. Vingt-deux personnes (N=22) ont accepté de participer à la présente étude. Les profils ont été dressés à partir de variables socio-démographiques, des symptômes psychotiques, du niveau d'autocritique, de l'anxiété, du fonctionnement global, social et occupationnel, de l'estime de soi, de l'attitude face à la médication, de la perception des coûts et bénéfices associés à la TCC et de la perception d'efficacité personnelle. Le groupe refus a obtenu un score moins élevé à la PANSS pour l'échelle de psychopathologie générale (ρ = 0.0213), un niveau d'anxiété sociale moins élevé (ρ = 0.0072) et une meilleure perception d'efficacité personnelle à être en contact avec les autres (ρ = 0.0119). La tendance la plus nette dans les résultats est à l'effet que les individus qui refusent la TCC sont moins symptomatiques et vivent moins de symptômes de phobie sociale. Il y a toutefois un résultat suggérant que quand les symptômes sont très sévères, l'individu peut avoir tendance à refuser la thérapie. Des recherches futures pourront mieux clarifier le rapport entre la sévérité des symptômes et la probabilité qu'une thérapie soit acceptée.
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L'effet des interventions non pharmacologiques en début d’évolution de psychose sur les processus de mémoire de source : une recension systématique

Lajoie, Marie-Pier 27 December 2020 (has links)
La psychose se caractérise par d’importants déficits cognitifs limitant le fonctionnement et le rétablissement des patients. La mémoire de source, permettant l’identification de l’origine du souvenir, est atteinte tout au long du continuum d’évolution de la psychose : du risque génétique à la chronicité de la maladie. Les troubles de mémoire de source seraient également reliés à la présence et la gravité des symptômes psychotiques. Ainsi, des auteurs soulèvent l’hypothèse selon laquelle la mémoire de source serait un précurseur cognitif de la psychose et donc, une cible potentielle d’intervention précoce. Pourtant, les connaissances actuelles concernant l’intervention sur la mémoire de source dans les troubles psychotiques restent limitées, justifiant l’importance de dresser un premier portrait des interventions pertinentes pour moduler ces processus. Le présent mémoire doctoral vise dans un premier temps, à relever les études portant sur des interventions non pharmacologiques ayant évalué l’effet sur la mémoire de source en début d’évolution de psychose et dans un deuxième temps, à discuter de celles démontrant une amélioration de son fonctionnement. Une recension systématique a permis d’identifier treize études, dont trois interventions bénéfiques soit, le programme d’entraînement de la mémoire autobiographique REMAu, le programme d’entraînement métacognitif MST, ainsi que la stimulation magnétique transcrânienne répétée de la jonction temporo-pariétale. Ce mémoire présente une réflexion clinique et des recommandations afin de guider les interventions en début d’évolution de psychose et les futures études sur le développement de programmes ciblant la mémoire de source. / Psychosis is characterized by severe cognitive deficits that prevent functional recovery. Source memory, allowing the retrieval of contextual details characterizing the origin of memories, is shown to be altered all along the continuum of psychosis from asymptomatic to chronic stages. The source memory impairments are also associated with the presence and severity of the psychotic symptoms. Thus, previous studies suggest that source memory could be considered as a cognitive precursor of psychosis and a relevant target of intervention in early course of the pathology. There is an actual need to further our knowledge on the rehabilitation of source memory in early psychosis. It may be necessary to first draw a portrait of available interventions that can modulate source memory processes. This thesis aims to systematically review studies on non-pharmacological interventions in early course of psychosis which reported outcomes on source memory and then, to identify different interventions which support its functioning. A systematic review identified thirteen studies, from with three revealed a significant effect on source memory. Two programs which trained memory and metamemory, the Autobiographical Reminiscence Therapy (REMAu) and the Metacognitive Training (MST), as well as repetitive transcranial magnetic stimulation of temporoparietal junction appeared beneficial. This thesis presents encouraging findings on the impact of available interventions on source memory. Preliminary clinical recommendations are provided on effective intervention for source memory impairments in the early course of psychosis as well as guidance for the development of source memory intervention programs.
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Douleurs thoraciques non-cardiaques et activité physique : de la prévention à la prise en charge

Castonguay, Joanne 11 February 2021 (has links)
La présente thèse est constituée de deux études réalisées auprès de patients qui présentent des douleurs thoraciques non-cardiaques (DTNC). La première étude avait pour objectifs de documenter le niveau d’activité physique pratiqué par ces patients et sa relation avec le pronostic des patients quant à la présence d’incapacité liée aux DTNC 6 mois suivant une consultation à l’urgence. Pour ce faire, 279 participants ont été recrutés dans deux unités d’urgence et suivis sur une période de six mois. Les résultats démontrent que la moitié des participants n’atteignent pas le seuil minimal d’activité physique pour retirer des bénéfices sur la santé lors de leur consultation à l’urgence et que la pratique d’activité physique est associée à une incidence significativement plus faible d’incapacité liée aux DTNC dans les six mois suivants. La seconde étude avait pour objectifs d’évaluer l’effet d’un programme d’activité physique de dix semaines combiné à une thérapie cognitive comportementale (TCC) brève incluant une séance d’exposition aux sensations intéroceptives redoutées par l’activité physique sur le nombre d’épisodes de DTNC, leur intensité, ainsi que sur la qualité de vie, la détresse psychologique des patients, la présence d’incapacité liée aux DTNC, la sensibilité à l’anxiété, la vigilance aux sensations physiques internes et la tendance à interpréter ces sensations de façon catastrophique. Pour ce faire, un échantillon de 21 participants a été recruté dans deux départements de cardiologie. Ces derniers ont été assignés aléatoirement à l’une des deux conditions expérimentales (condition TCC + exercice physique et condition traitement usuel bonifié) et évalués à trois temps de mesure lors desquels ils ont été contactés pour réaliser une entrevue téléphonique, compléter des questionnaires auto-rapportés validés et se soumettre à différentes mesures liées à l’activité physique. Les résultats obtenus ne permettent pas de conclure à un effet probant de l’intervention à l’étude. L’amélioration observée chez les participants des deux conditions sur la majorité des variables peut s’expliquer par la réassurance supplémentaire offerte par la participation à l’étude et par l’augmentation de la pratique d’activité physique des participants des deux conditions. Les données recueillies par le biais de ces études permettent de mieux comprendre le rôle de l’activité physique dans l’évolution de l’incapacité liée aux DTNC et d’améliorer les connaissances quant à la prise en charge de cette problématique.
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Traitement cognitivo-comportemental des troubles anxieux chez des enfants âgés entre 4 et 7 ans qui présentent des symptômes associés au trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité en comorbidité : une étude pilote

Hébert, Sandra 14 January 2022 (has links)
Les études montrent que jusqu'à 28% des enfants d'âge préscolaire avec un trouble anxieux répondent également aux critères diagnostiques du trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) lorsqu'ils consultent dans des milieux cliniques (Leblanc, 2009; Wilens et al., 2002). Malgré cette forte prévalence, aucune étude à notre connaissance ne s'est intéressée au traitement psychologique de cette problématique chez ces enfants. Il est pourtant important d'intervenir rapidement auprès de cette population afin de prévenir la cristallisation des peurs et les conséquences associées à cette comorbidité (Carter, Briggs-Gowan, & Davis, 2004). La présente étude vise à évaluer, de façon préliminaire, l'efficacité d'une thérapie cognitivo-comportementale (TCC) familiale pour les troubles anxieux chez des enfants âgés de 4 à 7 ans qui présentent également des comportements associés au TDAH. Spécifiquement, cette étude vise à documenter l'effet de l'intervention au post-traitement et au suivi 3 mois sur les troubles anxieux, les symptômes anxieux et ceux associés au TDAH, ainsi que sur le stress parental vécu dans la relation parent-enfant. Elle vise également à documenter l'évolution des symptômes anxieux et de TDAH tout au long de la thérapie. L'intervention devrait mener à une rémission des troubles anxieux, une diminution des symptômes anxieux et des comportements associés au TDAH, ainsi qu'à une diminution du stress parental au post-traitement. Le maintien des gains ou une amélioration encore plus marquée est attendue au suivi 3 mois. Un devis de séries de réplication de cas à niveaux de bases multiples non concurrents de type A-B est utilisé dans la présente étude puisqu'il est appuyé par la pratique de la psychologie basée sur les données probantes (Jarrett & Ollendick, 2012; Kazdin, 2011). Cinq enfants âgés entre 4 et 7 ans sont recrutés via la liste de diffusion de courriels de l'Université Laval (n=4), ainsi que du Service de consultation de l'École de psychologie de l'Université Laval (n=1). Le Schedule for Affective Disorders and Schizophrenia, Epidemiologic Version (K-SADS-E; Kaufman et al., 1997) est administré aux parents afin d'évaluer la présence de troubles anxieux et de comportements associés au TDAH chez ces enfants. Des questionnaires sont également remplis par les parents afin d'évaluer les symptômes anxieux et associés au TDAH, ainsi que le stress parental. Notons que ces mêmes mesures sont utilisées au post-traitement et lors du suivi 3 moins. Par ailleurs, le Journal quotidien d'auto-observation des symptômes anxieux et des comportements associés au TDAH est rempli par les parents pendant la période d'attente (2, 3 ou 4 semaines), pendant l'intervention et deux semaines avant le suivi 3 mois. Les résultats révèlent la rémission de tous les troubles anxieux chez 90% (4/5) des participants à l'évaluation post-traitement, ainsi qu'un maintien de ces gains au suivi 3 mois. Une diminution significative des symptômes anxieux est également observée après l'intervention chez 50% des participants et 40% d'entre eux maintiennent les gains au suivi 3 mois. De plus, une amélioration des comportements associés au TDAH est observée chez 80% des participants à l'évaluation post-traitement. Au suivi 3 mois, les gains sont maintenus chez 20% des participants. Par ailleurs, les parents rapportent se sentir moins isolés socialement et plus compétents dans leur rôle parental après l'intervention. Une analyse graphique visuelle a également été réalisée, mais l'importante variabilité présente entre les interventions n'a pas permis d'attribuer les changements sur le plan des symptômes anxieux et de ceux associés aux comportement TDAH à l'introduction de l'intervention. Les résultats de cette étude préliminaire sont encourageants et soutiennent l'efficacité du de ce nouveau traitement familial pour les troubles anxieux chez des enfants âgés de 4 à 7 ans qui ont également des comportements associés au TDAH. Les résultats obtenus soulignent l'importance d'inclure les parents dans le traitement des enfants d'âge préscolaire afin de favoriser la généralisation et le maintien des gains. La participation parentale est d'autant plus importante chez cette tranche d'âge étant donné que ces enfants ont davantage besoin d'être soutenu, accompagné et renforcé dans l'application des stratégies cognitive et comportementale.
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Relation entre la durée du sommeil et la réponse au traitement de l'insomnie

Rochefort, Amélie 24 April 2018 (has links)
Malgré l'efficacité reconnue de la thérapie cognitive-comportementale et de la pharmacothérapie pour traiter l'insomnie, les individus souffrant d'insomnie ne bénéficient pas tous de ces interventions. L'objectif principal du mémoire était d'examiner la relation possible entre la durée du sommeil, mesurée objectivement avant le traitement, et la réponse à une thérapie cognitive-comportementale pour l'insomnie (TCC-I), administrée seule ou combinée à la médication (TCC-I+Med). Un objectif secondaire était de documenter la présentation clinique des participants avec une durée normale ou courte du sommeil. Les données utilisées pour répondre à ces objectifs étaient issues d'une étude contrôlée randomisée, menée entre 2002 et 2005, dans la région de Québec. Pour les besoins du mémoire, 159 participants (Mâge = 50,31, ET = 10,14 ; 61,0 % femmes) ont été assignés à l'un des quatre groupes déterminés selon : (1) la durée de leur sommeil tel qu'enregistrée à la polysomnographie et (2) le traitement qu'ils avaient reçu. Ainsi, les groupes suivants ont été formés : les participants avec une durée normale du sommeil (c.-à-d., > 6h) ayant reçu une TCC-I (n = 54) ou une TCC-I+Med (n = 54) et ceux avec une courte durée du sommeil (c.-à-d., ≤ 6h) ayant reçu une TCC-I (n = 26) ou une TCC-I+Med (n = 25). Aucune différence significative entre le groupe avec une durée normale du sommeil et celui avec une courte durée du sommeil en ce qui concerne les variables sociodémographiques, psychologiques et la sévérité des symptômes d'insomnie n'a été observée avant le traitement. Indépendamment du traitement, les participants avec une courte durée du sommeil avant le traitement avaient eu une réduction de la durée des éveils en milieu de nuit et une augmentation de l'efficacité du sommeil significativement plus importantes que ceux avec une durée normale du sommeil. Cependant, ces mêmes participants étaient significativement plus insatisfaits de leur sommeil et rapportaient davantage de conséquences diurnes que ceux avec une durée normale du sommeil. Ces résultats suggèrent que la durée du sommeil recueillie avant le traitement n'influencerait pas la réponse thérapeutique en ce qui a trait aux variables de sommeil, mais elle influencerait les mesures de satisfaction du sommeil et du fonctionnement diurne. Compte tenu de ces résultats plutôt mitigés, d'autres études seront nécessaires pour clarifier le lien possible entre la durée objective du sommeil et la réponse thérapeutique. Des résultats plus concluants permettraient d'orienter les individus souffrant d'insomnie vers un traitement ciblé à leur présentation clinique.

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