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Arts "touristiques" en Afrique et consommateurs Occidentaux: le cas de l'artisanat d'art au Niger

Boucksom, Audrey 06 July 2009 (has links) (PDF)
L'art « touristique » est une forme d'art à but commercial distribué dans le pays hôte pour la consommation des touristes et représentant des images stéréotypées du pays visité et de sa nation.<br />Ce qu'on appelle les arts « touristiques » africains diffèrent des arts touristiques occidentaux en trois points. Tout d'abord il s'agit essentiellement d'une production locale, souvent réalisée par des petites structures de production comme l'atelier. De ce fait le producteur d'objets « touristiques » africain a souvent la possibilité de rencontrer directement l'acheteur étranger et, il peut alors l'interroger pour tenter d'identifier ses goûts et ses envies. Par cet échange symbolique esthétique, l'acheteur étranger participe à l'introduction de nouveaux matériaux, formes et techniques dans la création d'objets. Deuxièmement, les objets issus de cet échange sont hybrides car influencés par les goûts des étrangers qui sont, et c'est là la dernière particularité, dans leur grande majorité des Occidentaux.<br />Mais, ces consommateurs occidentaux que les spécialistes du sujet ont trop facilement jugés comme étant des « touristes » ne sont pourtant pas uniquement des voyageurs de passage mais aussi des expatriés et des consommateurs en Occident. De ce fait les arts « touristiques » africains ne peuvent être exclusivement abordés comme un révélateur des goûts des touristes pouvant intéresser certaines problématiques révélées par la sociologie du tourisme mais doivent plutôt être appréhendés comme un révélateur des rapports entre l'Occident et le reste du monde.
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Poésie, langage, écriture. De l'ethnographie des Touaregs à une anthropologie de la poésie orale

Casajus, Dominique 29 June 2006 (has links) (PDF)
Le texte déposé ici est l'un des documents soumis en vue d'une Habilitation à diriger des recherches en lettres et sciences humaines, soutenue à l'Université Paris X-Nanterre le 29 juin 2006. Ce texte de synthèse retrace, comme c'est l'usage, la carrière du chercheur depuis ses enquêtes en pays touareg de 1976 à 1990. Avant d'aborder les recherches en cours, l'auteur fournit un résumé de ses deux principaux ouvrages, La tente dans la solitude. La société et les morts chez les Touaregs Kel-Ferwan (Paris/Cambridge, Maison des sciences de l'homme/Cambridge University Press, 1987) et Gens de parole. Langage, poésie et politique en pays touareg (Paris, La Découverte, 2000). Il entend marquer comment s'est imposé à lui, avec de plus en plus de force au cours des années, le fait que l'anthropologie doit être considérée comme une science historique : les concepts qu'elle utilise restent indexés sur le contexte d'écriture où ils sont apparus, et ne peuvent être transposés sans trahison ni isolés sans simplification. Ce qui suppose que l'anthropologue, tout comme les autres praticiens des sciences sociales, ne peut travailler qu'à un niveau d'abstraction assez bas.<br />Les recherches en cours, que le texte aborde ensuite, consistent tout d'abord en une réflexion générale sur la littérature orale, dans ses rapports avec l'écriture. Dans ce cadre l'auteur a notamment abordé la question homérique, à travers une analyse critique des thèses de Milman Parry et Albert Lord. Il s'est aussi attaché à montrer comment les thèmes de la poésie courtoise - qu'elle soit touarègue, arabe ou occitane - sont liés aux conditions de sa production et de sa réception. Ces recherches ont par la suite fourni la matière d'un livre paru en 2012 à CNRS Éditions : L'aède et le troubadour. Essai sur la tradition orale (voir http://www.academia.edu/1500254/Laede_et_le_troubadour._Essai_sur_la_tradition_orale). <br />Les recherches de l'auteur consistent par ailleurs en une réflexion sur l'histoire des premiers contacts entre Touaregs et Français. Cette réflexion a conduit l'auteur à retracer le parcours biographique de l'explorateur Henri Duveyrier (1840-1892), et de Charles de Foucauld (1858-1916). <br />Les autres documents soumis en vue de cette habilitation étaient un recueil d'articles, dont certains, consacrés au parcours de Charles de Foucauld, ont fourni la matière à une biographie parue en 2009: Charles de Foucauld, moine et savant (voir http://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00426237/fr/). À quoi s'ajoutait une biographie d'Henri Duveyrier parue en 2007 aux éditions Ibis Press sous le titre: "Henri Duveyrier. Un saint-simonien au désert".
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Le cheikh al-Mukhtâr al-Saghîr al-Kuntî (1790-1847) : médiation entre l'Etat peul du Macina et les Touaregs de Tombouctou de 1826 à 1847 : édition, traduction et commentaire de manuscrits / Cheikh al-Muḫtār aṣ-ṣaġīr al-kuntī : mediation between the fulaani state of Macina and the tuaregs of Timbuctu from 1826 to 1847 : Edition, translation and comment of manuscripts

Sissoko, Boubacar 18 May 2019 (has links)
L’État peul du Macina a été fondé en 1818 par le pasteur Sékou Amadou (m. 1845), qui a entretenu des relations épistolaires avec la prestigieuse famille kunta de Tombouctou. Les informations rapportées de la tradition orale considèrent le rapport entre ces deux parties comme conflictuel. Selon cette dernière, les Kunta auraient été agitateurs qui tentaient de soulever les Touaregs contre les souverains peuls du Macina. Or, d’après leur diffèrent échanges épistolaires, il nous semble que leurs relations ont connu deux périodes distinctes La nature de leur rapport varie selon les époques : celle qui s’étend de la prise du pouvoir par Sékou Amadou jusqu’en 1847, puis celle qui s’ouvre avec Aḥmad al-Bakkāy al-Kuntī, notamment à partir de 1851/2, jusqu’à la victoire d’al-Ḥāğğ cUmar Tall sur le dernier émir, Amadou Amadou, en 1862.L’un des chefs kunta de la première période fut le cheikh al-Muḫtār aṣ-Ṣaġīr (m. 1847). Il a accompagné la dynastie peule du Macina, entretenu les bons rapports que ses prédécesseurs avaient noués avec les Peuls et entrepris des bons offices entre ces derniers et les Touaregs de Tombouctou. Cependant, au cours de la médiation du cheikh kunta entre les Peuls et les Touaregs, quelques difficultés sont survenues, des divergences d’avis et d’interprétation se sont révélées sans pour autant avoir des conséquences notoires sur leurs rapports. Ses correspondances avec les souverains peuls du Macina ont permis de traiter les sujets brûlants de son époque, dont certains sont toujours d’actualités au Mali.Notre travail se propose d’éditer, de faire le commentaire, de traiter les quelques épîtres manuscrites que ces hommes, religieux et politiques, ont échangées, de montrer à quel point les deux traditions, orale et écrite, convergent ou divergent, et de faire une étude historique de la question touarègue au Mali, qui devient un conflit cyclique ! / The Fulani state of Macina was founded in 1818 the shepherd Sékou Amadou (1845), who had epistolary relations with the Kunta family of Timbuktu. The reported information from the oral tradition considers the relationship between these two parties as conflictual. According to the latter, the Kunta were agitators attempting to rise up the Tuaregs against the Fulani rulers of Macina. Now, according to their different epistolary exchanges, it seemed to us that this relation had known two distinct periods the nature of which varies, according to that which extends from the rise to power of Sekou Amadou until 1847, or that which opens with Aḥmad al-Bakkāy al-Kuntī, especially from 1851/2 until the victory of al-Ḥāğğ cUmar Tall on the last emir, Amadou Amadou, in 1862.One of the Kunta chiefs of the first period was Sheikh al-Muḫtār al-ṣaġīr (1847). He accompanied the Fulani dynasty of Macina, maintained the good relationship that his predecessors had forged with the Fulani and undertook good offices between them and the Touaregs of Timbuktu. However, during the mediation of Sheikh Kunta between the Fulani and the Tuaregs, some difficulties arose, differences of opinion and interpretation without having noticeable consequences on their mutual relations. His correspondences with the Fulani rulers of Macina made it possible to treat the burning topics of his time, some of whichare still relevant in Mali.Our work proposes to publish, to comment, to treat the few handwritten epistles that these men, religious and political, have exchanged, to demonstrate to what extent the two traditions, oral and written, converge or diverge, and to make a historical study of the Tuareg question in Mali, which has become a recurrent conflict.

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