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Political Goals, Economic Constraints: Explaining the Motivation and Effects of Economic Sanctions

Peeva, Aleksandra 16 October 2018 (has links)
Diese Dissertation untersucht ökonomische Sanktionen im Kontext der empirischen politischen Ökonomie. Obwohl sie aus drei unabhängigen Kapiteln besteht, ist das übergeordnete, verbindende Ziel dieser Forschungsarbeit ein Gesamtverständnis der Motivation und der Effekte von Sanktionen anzubieten, getragen von der generellen Idee der Wechselwirkungen zwischen ökonomischen Anreizen und politischen Zielen. Meine Forschung zeichnet die ökonomischen Restriktionen ab, mit denen sich die politischen Entscheidungsträger im Bereich der internationalen Beziehungen auseinandersetzen. / This dissertation explores economic sanctions in an empirical political economy context. While consisting of three independent papers, it aims at providing a holistic understanding of the motivation and effects of sanctions in particular, and the interplay between economic incentives and political goals in general. My research delineates the economic constraints that policymakers encounter in the field of international relations.
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Essays in open economy macroeconomics with borrowing frictions

Koumtingue, Nelnan F. 08 1900 (has links)
Cette thèse comporte trois essais en macroéconomie en économie ouverte et commerce international. Je considère tour à tour les questions suivantes: sous quelles conditions est-il optimal pour un pays de former une union économique? (essai 1); l'augmentation de la dispersion transversale des avoirs extérieurs nets des pays est-elle compatible avec une dispersion relativement stable des taux d'investissement? (essai 2); le risque de perte de marché à l'exportation du fait de l'existence des zones de commerce préférentiel joue t-il un rôle dans la décision des pays exclus de négocier des accords commerciaux à leur tour? (essai 3). Le premier essai examine les conditions d'optimalité d'une union économique. Il s'intéresse à une motivation particulière: le partage du risque lié aux fluctuations du revenu. Dans la situation initiale, les pays ont très peu d'opportunités pour partager le risque à cause des frictions: les marchés financiers internationaux sont incomplets et il n'y pas de mécanisme pour faire respecter les contrats de crédit entre pays. Dans ce contexte, une union économique apparait comme un arrangement qui pallie à ces frictions entre les pays membres seulement. Cependant, l'union dans son ensemble continue de faire face à ces frictions lorsqu'elle échange avec le reste du monde. L'arbitrage clé dans le modèle est le suivant. D'un coté, l'intégration économique permet un meilleur partage du risque entre pays membres et la possibilité pour le partenaire pauvre d'utiliser la ligne de crédit du partenaire riche en cas de besoin. De l'autre coté, l'union peut faire face à une limite de crédit plus restrictive parce que résilier la dette extérieure est moins coûteux pour les membres l'union. De plus, le fait que le partenaire pauvre peut utiliser la limite de crédit du partenaire riche génère une externalité négative pour ce dernier qui se retrouve plus fréquemment contraint au niveau des marchés internationaux des capitaux. En conformité avec les faits observés sur l'intégration économique, le modèle prédit que les unions économiques sont relativement peu fréquentes, sont plus susceptibles d'être créées parmi des pays homogènes, et généralement riches. Le deuxième essai porte sur la dispersion des avoirs extérieurs nets et la relation avec la dispersion des taux d'investissement. Au cours des récentes décennies, la dispersion croissante des déséquilibres extérieurs et les niveaux record atteints par certaines grandes économies ont reçu une attention considérable. On pourrait attribuer ce phénomène à une réduction des barrières aux mouvements internationaux des capitaux. Mais dans ce cas, il est légitime de s'attendre à une augmentation de la dispersion au niveau des taux d'investissement; ceci, parce que le financement des besoins en investissements constitue une raison fondamentale pour laquelle les pays échangent les capitaux. Les données indiquent cependant que la dispersion des taux d'investissement est restée relativement stable au cours des récentes décennies. Pour réconcilier ces faits, je construis un modèle d'équilibre général dynamique et stochastique où les pays sont hétérogènes en raison des chocs idiosyncratiques à leurs niveaux de productivité totale des facteurs. Au niveau des marchés internationaux des capitaux, le menu des actifs disponibles est restreint à une obligation sans risque et il n'y a pas de mécanisme pour faire respecter les contrats de crédit entre pays. A tout moment, un pays peut choisir de résilier sa dette extérieure sous peine d'exclusion financière et d'un coût direct. Ce coût direct reflète les canaux autres que l'exclusion financière à travers lesquels les pays en défaut sont pénalisés. Lorsque le modèle est calibré pour reproduire l'évolution de la dispersion transversale des avoirs extérieurs nets, il produit une dispersion relativement stable des taux d'investissement. La raison principale est que les incitations que les pays ont à investir sont liées à la productivité. Avec l'intégration financière, même si les opportunités d'emprunt se sont multipliées, les incitations à investir n'ont pas beaucoup changé. Ce qui permet de générer une dispersion accrue de la position des avoirs extérieurs nets des pays avec une dispersion relativement stable des taux d'investissement. Le troisième essai analyse un aspect de l'interdépendance dans la formation des accords commerciaux préférentiels: j'examine empiriquement si le risque de diversion des exportations en faveur des pays membres des zones de commerce préférentiel est un facteur déterminant dans la décision des pays exclus de ces accords de négocier un accord à leur tour. Je construis un indicateur qui mesure le potentiel de diversion des exportations auquel font face les pays et estime un modèle probit de formation des zones de commerce préférentiel créées entre 1961 et 2005. Les résultats confirment que les pays confrontés à un plus grand potentiel de détournement des échanges sont plus susceptibles de former une zone de commerce préférentiel à leur tour. / This thesis consists of three essays in open economic macroeconomics and international trade. I consider the following questions: Which countries find it individually optimal to form an economic union? (essay 1); is the rising cross-sectional dispersion in net foreign asset positions consistent with a relatively stable dispersion in investment rates? (essay 2); is the risk of trade diversion due to existing preferential trade areas an important factor in excluded countries decision to seek one? (essay 3). The first essay studies the individual optimality of economic integration. It emphasizes the risk-sharing benefits of economic integration. In an initial situation, countries have very limited possibilities to share idiosyncratic endowment risk because of financial frictions: international financial markets are incomplete and contracts not enforceable. A union is an arrangement that solves both the market incompleteness and the lack of enforcement problems among member countries. The union as a whole still faces these frictions when trading in the world economy. The model emphasizes the following key trade-off. There are two benefits from economic integration: better risk-sharing among member countries and the possibility for poor partners to use the rich partners' credit lines. The costs are the following: borrowing limits become tighter because defaulting on international debt becomes less costly for union partners. Since poor partners may benefit from the rich partner's credit limit, this generates a negative externality: rich partners will find themselves more often borrowing-constrained in a union compared to standing alone in the world economy. Consistently with evidence on economic integration, the model predicts that economic unions occur relatively infrequently and are more likely to emerge among homogeneous and rich countries. The rising dispersion of external imbalances over the recent decades and the record-high levels reached by some major economies has received considerable attention during the recent years. The second essay focuses on one of such imbalances: the net foreign asset positions (NFA). One can view this rising dispersion as a consequence of the reduction in barriers to capital flows. But in such case, one would expect the dispersion in investment rates to go up as well because one fundamental reason countries borrow and lend internationally is to finance their investments needs. Instead, the dispersion in investment rates was relatively stable. To explain this puzzling fact, I undertake a quantitative analysis of the global dispersion of net foreign asset positions and investment rates. The framework is an integrated model of world economy where countries differences arise from idiosyncratic shocks to their total factor productivity levels. International capital flows is restricted: the menu of assets traded is exogenously restricted to a risk-free bond, and international lending contracts are not legally enforceable. At any time, a country may choose to repudiate its foreign debt subject to financial exclusion and an output cost. The output cost captures margins other than financial exclusion through which defaulting countries can be punished. When calibrated to match the evolution of the cross-sectional dispersion in net foreign asset positions, the model produces a relatively stable dispersion in investment rates. The reason is because the incentives to invest are related to the productivity, not to the borrowing and lending opportunities. Although the opportunities to borrow and lend internationally have increased, the incentives to invest have not changed much, thereby generating a large cross-sectional dispersion in NFA positions with a relatively stable dispersion in investment rates. The third essay investigates empirically whether the risk of trade diversion faced by countries excluded from preferential trade areas (PTA) is determinant in their decision to seek a preferential trade agreement. Using the trade complementarity index, I derive a measure of the potential of trade diversion and estimate a probit model of the formation of PTAs between 1961 and 2005. The results show that country-pairs facing a larger potential of trade diversion are more likely to form a PTA in the future.
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The importance of regional economic integration in Africa

Madyo, Manone Regina 07 1900 (has links)
Motivation of virtually all regional economic integration (REI) initiatives has been prospect of enhanced economic growth. Although REI's role in contributing to growth and development was recognised and acknowledged, its importance in Africa has never been properly outlined. Theoretical background, economic assumptions and evidence of REI are examined to bring out REI's importance to Africa. Depicting from these, benefits and challenges of REI in Africa are explored. This dissertation analyses the progress, pace, approach, sequence of REI in Africa looking at different variables. Africa's regional integration blueprint and institutional framework are compared to EU's but selected areas are identified as essential for Africa. Progress on REI has been found to be slow. This study concludes that REI should be viewed as one aspect of strategy towards Africa's development and growth. However, the benefits of REI make it imperative for it to remain the central pillar of Africa's development agenda. / Economics / M.Com. (Economics)
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The importance of bilateral agreements on trade flows: a case of the Trade Development and Cooperation Agreement (EU-SA TDCA)

Kabamba, Georges Bukasa 06 1900 (has links)
This study analysed the intricacies of trade flows imbibed in the EU-SA TDCA. It assessed the trade creation and trade diversion effects of this bilateral trade agreement – using the top 10 selected commodity exports. This follows the report on the Harmonised System (HS) at the 2-digit codes. A Gravity Model Approach on bilateral trade flows is grounded on panel data models for the period 2000-2017 between South Africa as exporter country and the twenty EU countries (EU-20) as importer country-block out of the twenty-eight countries (EU-28). The study reports that the EU-SA TDCA enhanced significant trade expansion and trade creation effects. Mixed results for GDPs and GDPPKs for both South Africa and the EU countries were reported, but the overall results showed that the bilateral agreement do affect South African commodity exports more negatively, albeit with few positive effects from the EU countries in particular. Besides, ICTSA does have a negative effect on commodity exports, while the South African REER has the positive effect on export models. Lastly, the distance as a proxy of transportation costs negatively affects South Africa’s exports, while common colonial relationship and English as common official language have both a positive effect on exports. The findings imply that trade policies should focus on adequate telecommunication tools, alongside fair trade practices allowing South Africa to integrate with the global market, promote economic growth as well as enhance competitive advantage in most sectoral trades. / Business Management / M. Com. (Business Management (International Business and Finance))
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Essays in open economy macroeconomics with borrowing frictions

Koumtingué, Nelnan 08 1900 (has links)
Cette thèse comporte trois essais en macroéconomie en économie ouverte et commerce international. Je considère tour à tour les questions suivantes: sous quelles conditions est-il optimal pour un pays de former une union économique? (essai 1); l'augmentation de la dispersion transversale des avoirs extérieurs nets des pays est-elle compatible avec une dispersion relativement stable des taux d'investissement? (essai 2); le risque de perte de marché à l'exportation du fait de l'existence des zones de commerce préférentiel joue t-il un rôle dans la décision des pays exclus de négocier des accords commerciaux à leur tour? (essai 3). Le premier essai examine les conditions d'optimalité d'une union économique. Il s'intéresse à une motivation particulière: le partage du risque lié aux fluctuations du revenu. Dans la situation initiale, les pays ont très peu d'opportunités pour partager le risque à cause des frictions: les marchés financiers internationaux sont incomplets et il n'y pas de mécanisme pour faire respecter les contrats de crédit entre pays. Dans ce contexte, une union économique apparait comme un arrangement qui pallie à ces frictions entre les pays membres seulement. Cependant, l'union dans son ensemble continue de faire face à ces frictions lorsqu'elle échange avec le reste du monde. L'arbitrage clé dans le modèle est le suivant. D'un coté, l'intégration économique permet un meilleur partage du risque entre pays membres et la possibilité pour le partenaire pauvre d'utiliser la ligne de crédit du partenaire riche en cas de besoin. De l'autre coté, l'union peut faire face à une limite de crédit plus restrictive parce que résilier la dette extérieure est moins coûteux pour les membres l'union. De plus, le fait que le partenaire pauvre peut utiliser la limite de crédit du partenaire riche génère une externalité négative pour ce dernier qui se retrouve plus fréquemment contraint au niveau des marchés internationaux des capitaux. En conformité avec les faits observés sur l'intégration économique, le modèle prédit que les unions économiques sont relativement peu fréquentes, sont plus susceptibles d'être créées parmi des pays homogènes, et généralement riches. Le deuxième essai porte sur la dispersion des avoirs extérieurs nets et la relation avec la dispersion des taux d'investissement. Au cours des récentes décennies, la dispersion croissante des déséquilibres extérieurs et les niveaux record atteints par certaines grandes économies ont reçu une attention considérable. On pourrait attribuer ce phénomène à une réduction des barrières aux mouvements internationaux des capitaux. Mais dans ce cas, il est légitime de s'attendre à une augmentation de la dispersion au niveau des taux d'investissement; ceci, parce que le financement des besoins en investissements constitue une raison fondamentale pour laquelle les pays échangent les capitaux. Les données indiquent cependant que la dispersion des taux d'investissement est restée relativement stable au cours des récentes décennies. Pour réconcilier ces faits, je construis un modèle d'équilibre général dynamique et stochastique où les pays sont hétérogènes en raison des chocs idiosyncratiques à leurs niveaux de productivité totale des facteurs. Au niveau des marchés internationaux des capitaux, le menu des actifs disponibles est restreint à une obligation sans risque et il n'y a pas de mécanisme pour faire respecter les contrats de crédit entre pays. A tout moment, un pays peut choisir de résilier sa dette extérieure sous peine d'exclusion financière et d'un coût direct. Ce coût direct reflète les canaux autres que l'exclusion financière à travers lesquels les pays en défaut sont pénalisés. Lorsque le modèle est calibré pour reproduire l'évolution de la dispersion transversale des avoirs extérieurs nets, il produit une dispersion relativement stable des taux d'investissement. La raison principale est que les incitations que les pays ont à investir sont liées à la productivité. Avec l'intégration financière, même si les opportunités d'emprunt se sont multipliées, les incitations à investir n'ont pas beaucoup changé. Ce qui permet de générer une dispersion accrue de la position des avoirs extérieurs nets des pays avec une dispersion relativement stable des taux d'investissement. Le troisième essai analyse un aspect de l'interdépendance dans la formation des accords commerciaux préférentiels: j'examine empiriquement si le risque de diversion des exportations en faveur des pays membres des zones de commerce préférentiel est un facteur déterminant dans la décision des pays exclus de ces accords de négocier un accord à leur tour. Je construis un indicateur qui mesure le potentiel de diversion des exportations auquel font face les pays et estime un modèle probit de formation des zones de commerce préférentiel créées entre 1961 et 2005. Les résultats confirment que les pays confrontés à un plus grand potentiel de détournement des échanges sont plus susceptibles de former une zone de commerce préférentiel à leur tour. / This thesis consists of three essays in open economic macroeconomics and international trade. I consider the following questions: Which countries find it individually optimal to form an economic union? (essay 1); is the rising cross-sectional dispersion in net foreign asset positions consistent with a relatively stable dispersion in investment rates? (essay 2); is the risk of trade diversion due to existing preferential trade areas an important factor in excluded countries decision to seek one? (essay 3). The first essay studies the individual optimality of economic integration. It emphasizes the risk-sharing benefits of economic integration. In an initial situation, countries have very limited possibilities to share idiosyncratic endowment risk because of financial frictions: international financial markets are incomplete and contracts not enforceable. A union is an arrangement that solves both the market incompleteness and the lack of enforcement problems among member countries. The union as a whole still faces these frictions when trading in the world economy. The model emphasizes the following key trade-off. There are two benefits from economic integration: better risk-sharing among member countries and the possibility for poor partners to use the rich partners' credit lines. The costs are the following: borrowing limits become tighter because defaulting on international debt becomes less costly for union partners. Since poor partners may benefit from the rich partner's credit limit, this generates a negative externality: rich partners will find themselves more often borrowing-constrained in a union compared to standing alone in the world economy. Consistently with evidence on economic integration, the model predicts that economic unions occur relatively infrequently and are more likely to emerge among homogeneous and rich countries. The rising dispersion of external imbalances over the recent decades and the record-high levels reached by some major economies has received considerable attention during the recent years. The second essay focuses on one of such imbalances: the net foreign asset positions (NFA). One can view this rising dispersion as a consequence of the reduction in barriers to capital flows. But in such case, one would expect the dispersion in investment rates to go up as well because one fundamental reason countries borrow and lend internationally is to finance their investments needs. Instead, the dispersion in investment rates was relatively stable. To explain this puzzling fact, I undertake a quantitative analysis of the global dispersion of net foreign asset positions and investment rates. The framework is an integrated model of world economy where countries differences arise from idiosyncratic shocks to their total factor productivity levels. International capital flows is restricted: the menu of assets traded is exogenously restricted to a risk-free bond, and international lending contracts are not legally enforceable. At any time, a country may choose to repudiate its foreign debt subject to financial exclusion and an output cost. The output cost captures margins other than financial exclusion through which defaulting countries can be punished. When calibrated to match the evolution of the cross-sectional dispersion in net foreign asset positions, the model produces a relatively stable dispersion in investment rates. The reason is because the incentives to invest are related to the productivity, not to the borrowing and lending opportunities. Although the opportunities to borrow and lend internationally have increased, the incentives to invest have not changed much, thereby generating a large cross-sectional dispersion in NFA positions with a relatively stable dispersion in investment rates. The third essay investigates empirically whether the risk of trade diversion faced by countries excluded from preferential trade areas (PTA) is determinant in their decision to seek a preferential trade agreement. Using the trade complementarity index, I derive a measure of the potential of trade diversion and estimate a probit model of the formation of PTAs between 1961 and 2005. The results show that country-pairs facing a larger potential of trade diversion are more likely to form a PTA in the future.

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