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Nichthintergehbarkeit und Diskurs : Prolegomena zu einer Diskurstheorie des Transzendentalen /Niquet, Marcel. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habili.-schr.--Fachbereich Philosophie--Frankfurt am Main--J. W. Goethe-Universität, 1995. / Bibliogr. 259-266. Index.
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Of the question : Derrida and the deconstruction of philosophyM'Seffar, Khalid January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Transzendentale Erfahrung : Vorstudien zu einer transzendentalen Methodenlehre /Trappe, Tobias. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fakultät für Philosophie, Publizistik und Pädagogik--Bochum--Ruhr-Universität, 1994. / Bibliogr. p. 315-345. Index.
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Introduction à la phénoménologie cosmologique d'Eugen Fink. / Introduction to the cosmological phenomenology by Eugen FinkChaberty, David 25 May 2011 (has links)
Il s'agira d'envisager, en français, l'oeuvre du philosophe allemand Eugen Fink (1905-1975), dont le corpus complet n'est disponible qu'en allemand. Ce sera donc une "introduction" à sa pensée. A cet égard nous nous demanderons quelle est la continuité de la pensée dite du jeune Fink et de celle du Fink dit "de la maturité". Nous montrerons, contre certains préjugés, la continuité problématique, - cosmologique -, du penseur allemand. A la lumière de l'oeuvre ultérieure nous proposerons d'abord une nouvelle interprétation de la pensée du jeune Fink en même temps que son originalité vis à vis des maitres de Fribourg (Husserl, Heidegger). Dans une seconde partie nous exposerons une structure problématique que nous soutenons être celle du Fink de la maturité: d'abord une théorie du questionnement métaphysique, à la lumière de laquelle Fink réevalue les problèmes philosophiques fondamentaux: c'est à dire d'abord une cosmologie originale, une théorie de la phénoménalité fondamentale, à partir desquelles Fink repense de façon originale l'histoire de la métaphysique (antique et moderne). Après un appendice sur son interprétation de Nietzsche (qui prend son sens dans ce qui précède), nous concluerons sur sa position sur les problèmes qui lui furent contemporains (anthropologie et ontologie). / Tue purpose of this work is to introduce in french to german thinker Eugen Fink (1905-1975), which is most unknow in french. We will see the relation between the "young" Fink and the "old" Fink, and the continuity between the both period of his thought. First we will read newly the classics texts of the young Fink, and show the cosmological dimension of his thought, and then we will see how the "old" Fink drive his philosophy: with a theory, - new -, of the philosophical wondering, which drive to a new cosmology; from here, Fink read and think newly the history of metaphysics. To end, we will compare the Fink's thought with the theory of the man, from one side, and with the ontology of the last Heidegger, from the other side. This will be the first introduction to the whole Fink's thought in french.
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La refondation richirienne de la phénoménologie : Les multiples enjeux de la refonte et de la refondation de la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir à partir du traitement de la question de l’espace/temps phénoménologique archaïque / The rebuilding of phenomenology richirienne : the multiple challenges of the redesign and rebuilding of transcendental phenomenology in Marc Richir from addressing the issue of space/time phenomenological archaicAlexander, Robert 17 November 2011 (has links)
Notre thèse est consacrée à l’œuvre philosophique de Marc Richir – œuvre débutée en 1968 qui compte plus de dix mille pages en 2011, réparties en vingt ouvrages et plus de deux cents articles – et elle se résume à cette double ambition : 1/ apporter la démonstration que la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir (avec ses notions spécifiques et son architectonique), dans les enjeux les plus fondamentaux de sa refonte et de sa refondation, se comprend, se réfléchit et se fonde par un résidu, une trace ou un milieu (de vie du) transcendantal ; bref, par ce que nous nommons un élément ‘ogkorythmique’ fondamental qui constitue le placentaire du transcendantal, le squelette transcendantal du transcendantal. Cet élément, présent à tous les niveaux de cette nouvelle phénoménologie et qui en ouvre la compréhensibilité, est constitué par une masse rythmique non spatiale et non temporelle néanmoins en mouvement. Ce qui équivaut à penser la dynamique foncièrement irreprésentable, impossible, impensable et incompréhensible, d’une masse sans masse et d’un rythme sans rythme au cœur même de la phénoménologie et de la phénoménologisation richiriennes devenues par cette analyse, à nos yeux, une métaphysique phénoménologique fondamentale ; 2/ montrer la genèse des fondements phénoménologiques de cette pensée refondatrice – à la lumière de cet élément – comprise comme métaphysique transcendantale, par l’étude analytique des premiers écrits des années 60 et 70, où apparaît cette problématique fondationnelle ; et qui permet, en outre, d’éclairer les écrits postérieurs des années 80 à 2000, ce qui favorise le traitement de ces derniers de manière à la fois transversale et synthétique. / Our thesis is devoted to the philosophical work of Marc Richir - work began in 1968 with over ten thousand pages in 2011, divided into twenty books and over two hundred articles - and it comes down to this dual ambition: 1 / provide demonstrate that the redesign and rebuilding of transcendental phenomenology at Marc Richer (with its specific concepts and architectonic), in its most fundamental issues, understandably, is reflected and is based in a residue, a trace or a medium (life) transcendental short, by what we call an element 'ogkorythmique' fundamental is the placenta of the transcendental, the skeleton transcendental of the transcendental. This element, present at all levels of the new phenomenology and who opens the comprehensibility, consists of a mass rhythmic non-spatial and non-temporal nevertheless moving. Equivalent to the dynamics fundamentally unrepresentable think, impossible, inconceivable and incomprehensible, a mass without mass and a rhythm without rhythm at the heart of phenomenology and phenomenologizing richiriennes become by this analysis, in our view, a fundamental phenomenological metaphysics, 2 / show the genesis of the phenomenological foundations of this thought new foundations - in the light of this element - understood as transcendental metaphysics, for the analytical study of the early writings of the 60 and 70, which is the foundational issue, and which, moreover, inform the later writings of the 80 to 2000, which promotes the treatment of these so both transverse and synthetic.
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Fichte und Novalis : transzendentalphilosophisches Denken im romantisierenden Diskurs /Loheide, Bernward. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Münster--Universität, 1998. / Bibliogr. p. [379]-407. Index.
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La critique phénoménologique de l'ego cogito cartésien chez Husserl / The phenomenological critique of the cartesian ego cogito in HusserlAlmoustafa Taan, Bachir 07 February 2014 (has links)
Descartes a découvert l’ego cogito, mais il ne l’a pas exploité. D'après Husserl, cette phrase explique pour quoi Descartes n’a pas réalisé son projet d’une science absolument fondée. Selon Husserl, l’ego cogito restait stérile et incapable de constituer une connaissance transcendantale parce qu’il est une substance, un ego psychique situé dans le monde. Pour cela, il est nécessaire de démanteler la substantialité de l’ego cogito cartésien pour achever le projet cartésien déjà indiqué. Dans notre étude, nous tentons de montrer comment Husserl utilisait la réduction phénoménologique pour démanteler la substantialité de l’ego cogito et comment le démantèlement de la substantialité a permis à Husserl de passer de l’ego psychique à l’ego transcendantal et ensuite de l’ontologie à l’égologie transcendantale comme un champs de savoir absolu fondé sur l’évidence apodictique de l’ego cogito. / Descartes discovered ego cogito but he didn't explore it. This phrase, from the Husserl,s point of view, explains why Descartes didn't accomplish his enterprise absolute science. According to Husserl the ego cogito remained sterile, and unable to form absolute knowledge, because it is substance, psychological ego inside the world. So it is necessary to deconstruct the substantiality of Descartes,s ego to achieve his enterprise. In our study we explain how Husserl used his phenomenological reduction to deconstruct the substantiality of ego, and how the deconstruction of substantiality allowed Husserl to shift from the psychological ego to the transcendental ego, then from ontology to transcendental ecology, as a absolute knowledge based on apodictic evidence of ego cogito.
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Introduction à la phénoménologie cosmologique d'Eugen Fink.Chaberty, David 25 May 2011 (has links) (PDF)
Il s'agira d'envisager, en français, l'oeuvre du philosophe allemand Eugen Fink (1905-1975), dont le corpus complet n'est disponible qu'en allemand. Ce sera donc une "introduction" à sa pensée. A cet égard nous nous demanderons quelle est la continuité de la pensée dite du jeune Fink et de celle du Fink dit "de la maturité". Nous montrerons, contre certains préjugés, la continuité problématique, - cosmologique -, du penseur allemand. A la lumière de l'oeuvre ultérieure nous proposerons d'abord une nouvelle interprétation de la pensée du jeune Fink en même temps que son originalité vis à vis des maitres de Fribourg (Husserl, Heidegger). Dans une seconde partie nous exposerons une structure problématique que nous soutenons être celle du Fink de la maturité: d'abord une théorie du questionnement métaphysique, à la lumière de laquelle Fink réevalue les problèmes philosophiques fondamentaux: c'est à dire d'abord une cosmologie originale, une théorie de la phénoménalité fondamentale, à partir desquelles Fink repense de façon originale l'histoire de la métaphysique (antique et moderne). Après un appendice sur son interprétation de Nietzsche (qui prend son sens dans ce qui précède), nous concluerons sur sa position sur les problèmes qui lui furent contemporains (anthropologie et ontologie).
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Sur la transformation spinoziste de l'idée de transcendantal dans la première philosophie de G. Deleuze / On the Spinozist transformation of the idea of transcendental in G. Deleuze's early philosophyAn, Jing 20 June 2013 (has links)
L'idée de transcendantal, selon son inventeur E. Kant, doit être conçue comme la condition pure et préalable de toute expérience possible. Mais, pour G. Deleuze, une telle idée de transcendantal implique deux défauts fondamentaux : d'une part, elle n'est pas susceptible de rendre compte de la singularité de l'expérience réelle et sensible ; d'autre part, elle présuppose illégitimement qu'il existe un rapport de ressemblance entre le transcendantal qui est la condition et l'empirique qui est le conditionné. Ayant l'ambition de renouveler l'idée de transcendantal en dépassant ces deux limites foncières du transcendantalisme kantien, Deleuze élabore son propre empirisme transcendantal qui détermine le principe générateur du sensible singulier comme la différence d'intensité et définit la condition transcendantale non-semblable comme la différence de virtualité. La différence d'intensité et la différence de virtualité sont respectivement les objets des deux parties de l'empirisme transcendantal qui sont l'esthétique impliquante et la dialectique problématique. De plus, la différence d'intensité et la différence de virtualité, toutes les deux sont les multiplicités qui s'opposent à la simplicité de l'essence de la métaphysique traditionnelle. Et la théorie deleuzienne de la multiplicité complètement différenciée et absolument infinie trouve son origine de la philosophie de Spinoza qui se déploie à travers trois moments qui sont la substance en tant que Multiplicité suprême, l'attribut en tant que multiplicité intensive, et le mode existant en tant que multiplicité extensive. / The idea of transcendental, according to its inventor I. Kant, should be conceived as the pure and priori condition of any possible experience. However, for G. Deleuze, such an idea of transcendental involves two fundamental flaws: on the one hand, it cannot explain the singularity of the real and sensible experience; on the other hand, it presupposes illegitimately that there exists a relation of resemblance between the transcendental qua condition and the empirical qua conditioned. Having the ambition of renewing the idea of transcendental by surpassing these two limits of the Kantian transcendentalism, Deleuze elaborates his own transcendental empiricism which determines the generic principal of singular sensible as the difference of intensity and defines the non-ressemblable transcendental condition as the difference of virtuality. The difference of intensity and the difference of virtuality are respectively the objects of the two parts of the transcendental empiricism that are the implicating aesthetics and the problematic dialectics. Furthermore, both the difference of intensity and the difference of virtuality are the multiplicities which oppose to the simplicity of the essence of the traditional metaphysics. And the Deleuzian theory of the completely differentiated and absolutely infinite multiplicity finds its origin in Spinoza's philosophy which extends itself through three moments that are the substance qua supreme Multiplicity, the attribute qua intensive multiplicity, and the existing mode qua extensive multiplicity.
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Recherches de phénoménologie génétique entre le temps et la vie / Investigations on genetic phenomenology inbetween time and lifeDell'Orto, Francesca 01 March 2013 (has links)
Ce travail prend en examen le rapport, du point de vue phénoménologique, entre les notions de temps et de vie, et leur implications transcendantales. À ce but les recherches exposées ici se présentent comme l’étude, plus thématique que historiographique, et le développement de questions qui s’appuient sur le noyau profond de l’oeuvre husserlienne, bien que pas toujours directement abordées par Husserl lui-même. Notre thèse consiste à reconsidérer le statut du transcendantal depuis l’articulation entre la vie et le temps, c’est-à-dire entre la vie et la mort, en interprétant par cela toute l’évolution de la philosophie occidentale, qui s’est significativement déroulée sous le signe de la mort socratique. Husserl donne l’impression d’osciller entre la nécessité de distinguer la vie, en tant que détermination transcendantale, de la temporalité, relative à la dimension du constitué, et leur assimilation, dans la mesure où il reconnaît à une certain type de temporalité une originarité constituante et absolue. En d’autres mots, la tentative de définir la vie tombe sur la même ambiguïté qui émerge déjà à l’époque des Zeitvorlesungen à propos de la conscience absolue: tout comme le seuil entre temporalité constituante et temporalité constituée devient mince et perméable, de même façon celui entre vie et temporalité s’estompe en ce que Husserl appelle Vor-Zeitigung et pour laquelle «nous n’avons pas de noms». Il en va de la possibilité de penser la vie sans la réduire à une détermination physique ou biologique, en évitant tout naturalisme (ce qui ne signifie pas son complet discrédit), et de faire ressortir la priorité du sens toujours impliquée par la temporalité, sans pour autant la connecter à une détermination psychologiste. / This work takes into consideration the relationship, as in a phenomenological perspective, between the notions of time and life, and their transcendental implications. To this aim, here is presented a research coping with the study, thematic more than historiographic, and with the development of those issues that, even if not always tackled as such by Husserl himself, deal with the deeper core of Husserlian oeuvre. This dissertation reconsiders the status of the transcendental after the articulation between life and time, that is to say, between life and death, interpreting in this light the whole evolution of Western philosophy, significantly unwound under the sign of Socrates’ death.Husserl gives the impression to swing back and forth between the necessity of distinguishing life, as transcendental determination, and temporality, inasmuch as related to the dimension of the constituted, and their assimilation, insofar as he acknowledges to a certain type of temporality a constituent and absolute originarity. In other words, the attempt to define life meets the same ambiguity already emerged at the time of the Zeitvorlesungen about the absolute conscience: as the threshold between constituent and constituted temporality grows thinner and more permeable, that between life and temporality softens in what Husserl calls Vor-Zeitigung and that «we have no names [for]». Two issues are here at stake: on one hand, the possibility to think life without reducing it to a physical or biological determination, shying away from any naturalism (which does not entail its complete disrepute); on the other, the chance to consider life without connecting it to a psychologistic understanding, as the link with temporality would imply, though preserving, instead, the priority of sense.
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