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Le système philosophique de Gilles Deleuze (1953-1970) / Gilles Deleuze’s philosophical system (1953-1970)

Krtolica, Igor 10 December 2013 (has links)
Le projet le plus général de Deleuze consiste en ceci : penser les conditions de l’expérience réelle, expérimenter les conditions de la pensée pure. Ce projet ne sera pleinement accompli qu’au début des années 1990, hors du cadre chronologique de notre étude (1953-1970). Nous soutenons la thèse que ce projet général non seulement repose sur un système philosophique précis, mais aussi qu’il se confond avec lui. Ce système se présente chez Deleuze sous différents noms : empirisme transcendantal, philosophie de l’expression, philosophie de la différence et de la répétition, logique du sens ou encore philosophie critique. Sous ces noms, nous croyons que c’est la philosophie comme système de l’expérience qui est en jeu. Deleuze n’oppose pas le système et l’expérience. Si la philosophie de Spinoza a longtemps été lue comme un système sans empirie, celle de Deleuze a surtout été interprétée comme un empirisme sans système. Certaines de ses déclarations nous invitent pourtant à penser autrement : le système n’est pas plus une construction logique abstraite que l’expérience n’est une réalité irréductible au système. La philosophie ne s’oppose donc pas à l’expérience chez Deleuze, elle en pense les conditions systématiques et elle est elle-même une expérience. C’est la genèse et la structure de cette philosophie que nous avons tenté de dégager dans cette recherche. Nous avons cru pouvoir montrer, non pas que le système et l’expérience sont une seule et même chose chez Deleuze, mais que la philosophie prétend atteindre au point où ils passent l’un dans l’autre. / The most general project of Deleuze consists in thinking the conditions of real experience, experimenting the conditions of pure thought. This project will only be eventually accomplished at the beginning of the nineties, that is to say after the period set for of our study (1953-1970). We defend the thesis that this general project is based upon a precise philosophical system, and above all, that it merges with it. This system, in Deleuze’s work, appears under different names: transcendental empiricism, philosophy of expression, philosophy of difference and repetition, logic of sense, or also critical philosophy. Under those names, we believe that philosophy as a system of experience is what is at stake. Indeed, Deleuze doesn’t oppose system and experience. If Spinoza’s philosophy has long been read as a system without an empiric dimension, that of Deleuze has mostly been interpreted as a non systematic empiricism. Yet some of his assertions lead us to think differently: the system is no more an abstract logical construction than experience is a reality irreducible to a system. Deleuze’s philosophy isn’t opposed to experience, it sets its systematic conditions and it is an experience in itself. It is the genesis and the structure of this philosophy that we have tried to expose in this research. Through this work, we believe we’ve managed to show that system and experience are not one and the same thing for Deleuze, but that philosophy claims it reaches the point where they become indiscernible.
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La refondation richirienne de la phénoménologie : Les multiples enjeux de la refonte et de la refondation de la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir à partir du traitement de la question de l'espace/temps phénoménologique archaïque

Alexander, Robert 17 November 2011 (has links) (PDF)
Notre thèse est consacrée à l'œuvre philosophique de Marc Richir - œuvre débutée en 1968 qui compte plus de dix mille pages en 2011, réparties en vingt ouvrages et plus de deux cents articles - et elle se résume à cette double ambition : 1/ apporter la démonstration que la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir (avec ses notions spécifiques et son architectonique), dans les enjeux les plus fondamentaux de sa refonte et de sa refondation, se comprend, se réfléchit et se fonde par un résidu, une trace ou un milieu (de vie du) transcendantal ; bref, par ce que nous nommons un élément 'ogkorythmique' fondamental qui constitue le placentaire du transcendantal, le squelette transcendantal du transcendantal. Cet élément, présent à tous les niveaux de cette nouvelle phénoménologie et qui en ouvre la compréhensibilité, est constitué par une masse rythmique non spatiale et non temporelle néanmoins en mouvement. Ce qui équivaut à penser la dynamique foncièrement irreprésentable, impossible, impensable et incompréhensible, d'une masse sans masse et d'un rythme sans rythme au cœur même de la phénoménologie et de la phénoménologisation richiriennes devenues par cette analyse, à nos yeux, une métaphysique phénoménologique fondamentale ; 2/ montrer la genèse des fondements phénoménologiques de cette pensée refondatrice - à la lumière de cet élément - comprise comme métaphysique transcendantale, par l'étude analytique des premiers écrits des années 60 et 70, où apparaît cette problématique fondationnelle ; et qui permet, en outre, d'éclairer les écrits postérieurs des années 80 à 2000, ce qui favorise le traitement de ces derniers de manière à la fois transversale et synthétique.
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Sur la transformation spinoziste de l'idée de transcendantal dans la première philosophie de G. Deleuze

An, Jing 20 June 2013 (has links) (PDF)
L'idée de transcendantal, selon son inventeur E. Kant, doit être conçue comme la condition pure et préalable de toute expérience possible. Mais, pour G. Deleuze, une telle idée de transcendantal implique deux défauts fondamentaux : d'une part, elle n'est pas susceptible de rendre compte de la singularité de l'expérience réelle et sensible ; d'autre part, elle présuppose illégitimement qu'il existe un rapport de ressemblance entre le transcendantal qui est la condition et l'empirique qui est le conditionné. Ayant l'ambition de renouveler l'idée de transcendantal en dépassant ces deux limites foncières du transcendantalisme kantien, Deleuze élabore son propre empirisme transcendantal qui détermine le principe générateur du sensible singulier comme la différence d'intensité et définit la condition transcendantale non-semblable comme la différence de virtualité. La différence d'intensité et la différence de virtualité sont respectivement les objets des deux parties de l'empirisme transcendantal qui sont l'esthétique impliquante et la dialectique problématique. De plus, la différence d'intensité et la différence de virtualité, toutes les deux sont les multiplicités qui s'opposent à la simplicité de l'essence de la métaphysique traditionnelle. Et la théorie deleuzienne de la multiplicité complètement différenciée et absolument infinie trouve son origine de la philosophie de Spinoza qui se déploie à travers trois moments qui sont la substance en tant que Multiplicité suprême, l'attribut en tant que multiplicité intensive, et le mode existant en tant que multiplicité extensive.
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Zwischen Metaphysik und Empirie : zum Verhältnis von Transzendentalphilosophie und Psychoanalyse bei Max Scheler, Theodor W. Adorno und Odo Marquard /

Jaitner, Arne. January 1900 (has links)
Diss.--Berlin--Freie Universität, 1999. / Contient un résumé. Bibliogr. 211-216.
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Transzendentale Theorie der Einheit und systematische Universalontologie : Studien zur Kategorienlehre Kant und Fichtes /

Franken, Martin. January 1993 (has links)
Texte remanie de: Diss. / Bibliogr. p. 207-210.
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Fiction et connaissance, du théâtre à la physique : l'esthétique et les sciences du point de vue de l'acteur : vers une philosophie féconde de l'absurde / Fiction and knowledge, from the theatre to physics : esthetics and the sciences from the actor's perspective : towards a fruitful philosophy of the absurd

Cloarec, Julie 14 December 2013 (has links)
La fiction, bien plutôt que de relever d'une illusion, stérile et dangereuse, engendrée par une imagination trop souvent réduite à n'être que la « folle du logis» par la tradition rationaliste de la philosophie, ne montre-t-elle pas toute sa pertinence et sa fécondité dans le double domaine de l'esthétique et de l'épistémologie, que ce soit, par exemple, dans le jeu paradoxal du comédien ou dans la métaphorisation du réel par le chercheur scientifique, qui s'alimentent, tous deux, à la source d'une mimésis où s'originent toute connaissance comme toute action humaines ? Mais la fiction ne trouve et ne prouve toute son ampleur théorique et pratique que d'être inscrite dans une « philosophie du comme si », dont la véritable filiation est à rechercher dans un kantisme élargi plutôt que dans l'orthodoxie pragmatiste. Ce fictionalisme, qui permet à l'esprit humain de se déprendre de ses habitudes conceptuelles en faisant primer l'intuition poïétique sur l'intelligence technique, ne peut lui-même faire son œuvre que d'être ancré en une philosophie de l'absurde qui, bien loin de réduire « l'homme absurde» au désespoir, en appelle à une décision existentielle de (c l'âme active» qui ré-éveille le génie qui sommeille en chaque homme à l'exigence d'une existence soucieuse de lucidité et de responsabilité, pour soi-même et les autres comme pour le monde. / Does not fiction, rather than arising from a sterile and dangerous illusion, engendered by a creative faculty that is too often reduced by the rationalist tradition in philosophy to nothing more than "an overactive imagination", reveal ail of its relevance and fecundity in the dual domain of esthetics and epistemology - for example in the paradoxical performance of an actor or the metaphorisation of the real by a scientific researcher, both of which draw from the source of a mimesis in which ail knowledge and ail human actions originate ? But the full theoretical and practical scope of fiction can only be found and proven when it is situated within a "philosophy of the as if, whose true filiation is to be found in a broadened Kantianism rather than in the pragmatist orthodoxy. Such a fictionalism, which allows the human mind to free itself from its conceptual habits by stressing intuition over technical intelligence, can itself do its work only by being rooted in a philosophy of the absurd which, far from reducing "the absurd man" to despair, calls for an existential decision of the "active soul" which re-awakens the spirit that lies dormant in each human individual to the demands of an existence mindful of lucidity an responsibility, for oneself and for others as for the world.
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Pensar em Deleuze : violência às faculdades no empirismo transcendental

Heuser, Ester Maria Dreher January 2008 (has links)
“Qu'est-ce que c'est penser?”, voici la question directrice de cette thèse, qui, par les lignes de force de la philosophie de Gilles Deleuze, la répond: penser c'est une violence sur les facultés. Réponse inspirée, surtout, de l'oeuvre Diferença e repetição, dont le thème kantien du conflit entre les facultés est l'endroit d'explication de ce leitmotiv qui traverse la philosophie de Deleuze et qui peut violenter la pensée sur l'enseignement de philosophie dans l'Education de Base. Traiter de la violence sur les facultés implique l'établissement d'une doctrine des facultés, ce qui, d'après Deleuze, ne peut être fait que moyennant un empirisme transcendantal. La thèse soutient que Deleuze a produit sa propre doctrine dans les oeuvres précédentes à la Diferença e repetição, dans ses écrits monographiques. OEuvres dans lesquelles il a développé les bases de son programme philosophique quand il a cherché à engendrer la genèse de la pensée, c'est-à-dire, faire la description génétique des conditions d'effectivité de l'expérience, tout en édifiant une théorie différentielle des facultés. Développement mené à terme dans la conjonction: avec Nietzsche, Kant, Proust, Sacher-Masoch et dans l'intersection entre Philosophie et Art et Science, formes de pensée ou de la création qui n'existent que grâce aux expériences-limites, quand la pensée et les autres facultés sont ébranlées par des forces hétérogènes à elles, en les rendant sensibles à l'impensable. Dans son premier chapitre, Crueldade da cultura, la thèse affirme que, par la théorie de la volonté de puissance, Deleuze a créé une méthode généalogique qui lui a permis de déterminer l'origine active et réactive des facultés et de leurs usages, de même qu'il a autorisé la thèse à donner de la visibilité à une généalogie des facultés; en outre, ce chapitre traite de la violence et de la culture dans la paideia grecque, à partir des oeuvres philologiques de Nietzsche. Coação do sublime, le deuxième chapitre de la thèse, présente l'importance de la théorie kantienne du sublime comme référence centrale pour la doctrine des facultés de Deleuze; soutien que le philosophe français a opéré une réversion du kantisme en faisant de cette théorie-là l'accès au problème d'une genèse de la pensée, car seulement l'exercice discordant des facultés qui se passe dans le jeu dissonant entre elles à partir de l'expérience esthétique est capable d'engendrer le penser dans la pensée. Le troisième et quatrième chapitres de la thèse, Força dos signos et A frieza da pornologia, respectivement, montrent que Deleuze a réinventé l'héritage de l'esthétique kantienne tout en faisant de l'oeuvre littéraire de Marcel Proust et de Sacher-Masoch ses laboratoires pour la création de la doctrine des facultés, le coeur de son empirisme transcendantal. Concevoir l'enseignement de philosophie à partir du sens produit par Deleuze pour ce problème – “Qu'est-ce que c'est penser?” – suppose, donc, privilégier les rapports agonistiques présents dans les trois formes de pensée et les mêler de façon à en pouvoir extraire des nouveaux mouvements de pensée, d'écrite et de possibilités d'existence. / “O que é pensar?”, eis a questão orientadora desta tese, que, pelas linhas de força da filosofia de Gilles Deleuze, responde-a: pensar é uma violência sobre as faculdades. Resposta inspirada, sobretudo, na obra Diferença e repetição, cujo tema kantiano do conflito entre as faculdades é o lugar de explicação desse leitmotiv que atravessa a filosofia de Deleuze e que pode violentar o pensamento sobre o ensino de filosofia na Educação Básica. Tratar da violência sobre as faculdades implica estabelecer uma doutrina das faculdades, o que, conforme Deleuze, só pode ser feito por meio de um empirismo transcendental. A tese defende que Deleuze produziu sua própria doutrina nas obras anteriores a Diferença e repetição, em seus escritos monográficos. Obras nas quais desenvolveu as bases do seu programa filosófico quando procurou engendrar a gênese do pensar, isto é, fazer a descrição genética das condições de efetividade da experiência, edificando uma teoria diferencial das faculdades. Desenvolvimento levado a termo na conjunção: com Nietzsche, Kant, Proust, Sacher-Masoch e na intersecção entre Filosofia e Arte e Ciência, formas do pensamento ou da criação que só existem mediante experiências-limites, quando o pensamento e as demais faculdades são abaladas por forças heterogêneas a elas, tornando-as sensíveis ao impensado. Em seu primeiro capítulo, Crueldade da cultura, a tese afirma que, pela teoria da vontade de potência, Deleuze criou um método genealógico que lhe permitiu determinar a origem ativa e reativa das faculdades e de seus usos, bem como autorizou a tese a dar visibilidade a uma genealogia das faculdades; além disso, esse capítulo trata da violência e da cultura na paidéia grega, a partir das obras filológicas de Nietzsche. Coação do sublime, o segundo capítulo da tese, apresenta a importância da teoria kantiana do sublime como referência central para a doutrina das faculdades de Deleuze; defende que o filósofo francês operou uma reversão do kantismo fazendo daquela teoria o acesso ao problema de uma gênese do pensamento, pois apenas o exercício discordante das faculdades que se dá no jogo dissonante entre elas a partir da experiência estética é capaz de engendrar o pensar no pensamento. O terceiro e quarto capítulos da tese, Força dos signos e A frieza da pornologia, respectivamente, mostram que Deleuze reinventou a herança da estética kantiana fazendo da obra literária de Marcel Proust e de Sacher- Masoch seus laboratórios para a criação da doutrina das faculdades, o coração do seu empirismo transcendental. Conceber o ensino de filosofia a partir do sentido produzido por Deleuze para esse problema – “O que é pensar?” – implica, portanto, privilegiar as relações agonísticas presentes nas três formas de pensamento e embaralhá-las de modo que delas se possam extrair novos movimentos de pensamento, de escrita e de possibilidades de existência.
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Pensar em Deleuze : violência às faculdades no empirismo transcendental

Heuser, Ester Maria Dreher January 2008 (has links)
“Qu'est-ce que c'est penser?”, voici la question directrice de cette thèse, qui, par les lignes de force de la philosophie de Gilles Deleuze, la répond: penser c'est une violence sur les facultés. Réponse inspirée, surtout, de l'oeuvre Diferença e repetição, dont le thème kantien du conflit entre les facultés est l'endroit d'explication de ce leitmotiv qui traverse la philosophie de Deleuze et qui peut violenter la pensée sur l'enseignement de philosophie dans l'Education de Base. Traiter de la violence sur les facultés implique l'établissement d'une doctrine des facultés, ce qui, d'après Deleuze, ne peut être fait que moyennant un empirisme transcendantal. La thèse soutient que Deleuze a produit sa propre doctrine dans les oeuvres précédentes à la Diferença e repetição, dans ses écrits monographiques. OEuvres dans lesquelles il a développé les bases de son programme philosophique quand il a cherché à engendrer la genèse de la pensée, c'est-à-dire, faire la description génétique des conditions d'effectivité de l'expérience, tout en édifiant une théorie différentielle des facultés. Développement mené à terme dans la conjonction: avec Nietzsche, Kant, Proust, Sacher-Masoch et dans l'intersection entre Philosophie et Art et Science, formes de pensée ou de la création qui n'existent que grâce aux expériences-limites, quand la pensée et les autres facultés sont ébranlées par des forces hétérogènes à elles, en les rendant sensibles à l'impensable. Dans son premier chapitre, Crueldade da cultura, la thèse affirme que, par la théorie de la volonté de puissance, Deleuze a créé une méthode généalogique qui lui a permis de déterminer l'origine active et réactive des facultés et de leurs usages, de même qu'il a autorisé la thèse à donner de la visibilité à une généalogie des facultés; en outre, ce chapitre traite de la violence et de la culture dans la paideia grecque, à partir des oeuvres philologiques de Nietzsche. Coação do sublime, le deuxième chapitre de la thèse, présente l'importance de la théorie kantienne du sublime comme référence centrale pour la doctrine des facultés de Deleuze; soutien que le philosophe français a opéré une réversion du kantisme en faisant de cette théorie-là l'accès au problème d'une genèse de la pensée, car seulement l'exercice discordant des facultés qui se passe dans le jeu dissonant entre elles à partir de l'expérience esthétique est capable d'engendrer le penser dans la pensée. Le troisième et quatrième chapitres de la thèse, Força dos signos et A frieza da pornologia, respectivement, montrent que Deleuze a réinventé l'héritage de l'esthétique kantienne tout en faisant de l'oeuvre littéraire de Marcel Proust et de Sacher-Masoch ses laboratoires pour la création de la doctrine des facultés, le coeur de son empirisme transcendantal. Concevoir l'enseignement de philosophie à partir du sens produit par Deleuze pour ce problème – “Qu'est-ce que c'est penser?” – suppose, donc, privilégier les rapports agonistiques présents dans les trois formes de pensée et les mêler de façon à en pouvoir extraire des nouveaux mouvements de pensée, d'écrite et de possibilités d'existence. / “O que é pensar?”, eis a questão orientadora desta tese, que, pelas linhas de força da filosofia de Gilles Deleuze, responde-a: pensar é uma violência sobre as faculdades. Resposta inspirada, sobretudo, na obra Diferença e repetição, cujo tema kantiano do conflito entre as faculdades é o lugar de explicação desse leitmotiv que atravessa a filosofia de Deleuze e que pode violentar o pensamento sobre o ensino de filosofia na Educação Básica. Tratar da violência sobre as faculdades implica estabelecer uma doutrina das faculdades, o que, conforme Deleuze, só pode ser feito por meio de um empirismo transcendental. A tese defende que Deleuze produziu sua própria doutrina nas obras anteriores a Diferença e repetição, em seus escritos monográficos. Obras nas quais desenvolveu as bases do seu programa filosófico quando procurou engendrar a gênese do pensar, isto é, fazer a descrição genética das condições de efetividade da experiência, edificando uma teoria diferencial das faculdades. Desenvolvimento levado a termo na conjunção: com Nietzsche, Kant, Proust, Sacher-Masoch e na intersecção entre Filosofia e Arte e Ciência, formas do pensamento ou da criação que só existem mediante experiências-limites, quando o pensamento e as demais faculdades são abaladas por forças heterogêneas a elas, tornando-as sensíveis ao impensado. Em seu primeiro capítulo, Crueldade da cultura, a tese afirma que, pela teoria da vontade de potência, Deleuze criou um método genealógico que lhe permitiu determinar a origem ativa e reativa das faculdades e de seus usos, bem como autorizou a tese a dar visibilidade a uma genealogia das faculdades; além disso, esse capítulo trata da violência e da cultura na paidéia grega, a partir das obras filológicas de Nietzsche. Coação do sublime, o segundo capítulo da tese, apresenta a importância da teoria kantiana do sublime como referência central para a doutrina das faculdades de Deleuze; defende que o filósofo francês operou uma reversão do kantismo fazendo daquela teoria o acesso ao problema de uma gênese do pensamento, pois apenas o exercício discordante das faculdades que se dá no jogo dissonante entre elas a partir da experiência estética é capaz de engendrar o pensar no pensamento. O terceiro e quarto capítulos da tese, Força dos signos e A frieza da pornologia, respectivamente, mostram que Deleuze reinventou a herança da estética kantiana fazendo da obra literária de Marcel Proust e de Sacher- Masoch seus laboratórios para a criação da doutrina das faculdades, o coração do seu empirismo transcendental. Conceber o ensino de filosofia a partir do sentido produzido por Deleuze para esse problema – “O que é pensar?” – implica, portanto, privilegiar as relações agonísticas presentes nas três formas de pensamento e embaralhá-las de modo que delas se possam extrair novos movimentos de pensamento, de escrita e de possibilidades de existência.
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Pensar em Deleuze : violência às faculdades no empirismo transcendental

Heuser, Ester Maria Dreher January 2008 (has links)
“Qu'est-ce que c'est penser?”, voici la question directrice de cette thèse, qui, par les lignes de force de la philosophie de Gilles Deleuze, la répond: penser c'est une violence sur les facultés. Réponse inspirée, surtout, de l'oeuvre Diferença e repetição, dont le thème kantien du conflit entre les facultés est l'endroit d'explication de ce leitmotiv qui traverse la philosophie de Deleuze et qui peut violenter la pensée sur l'enseignement de philosophie dans l'Education de Base. Traiter de la violence sur les facultés implique l'établissement d'une doctrine des facultés, ce qui, d'après Deleuze, ne peut être fait que moyennant un empirisme transcendantal. La thèse soutient que Deleuze a produit sa propre doctrine dans les oeuvres précédentes à la Diferença e repetição, dans ses écrits monographiques. OEuvres dans lesquelles il a développé les bases de son programme philosophique quand il a cherché à engendrer la genèse de la pensée, c'est-à-dire, faire la description génétique des conditions d'effectivité de l'expérience, tout en édifiant une théorie différentielle des facultés. Développement mené à terme dans la conjonction: avec Nietzsche, Kant, Proust, Sacher-Masoch et dans l'intersection entre Philosophie et Art et Science, formes de pensée ou de la création qui n'existent que grâce aux expériences-limites, quand la pensée et les autres facultés sont ébranlées par des forces hétérogènes à elles, en les rendant sensibles à l'impensable. Dans son premier chapitre, Crueldade da cultura, la thèse affirme que, par la théorie de la volonté de puissance, Deleuze a créé une méthode généalogique qui lui a permis de déterminer l'origine active et réactive des facultés et de leurs usages, de même qu'il a autorisé la thèse à donner de la visibilité à une généalogie des facultés; en outre, ce chapitre traite de la violence et de la culture dans la paideia grecque, à partir des oeuvres philologiques de Nietzsche. Coação do sublime, le deuxième chapitre de la thèse, présente l'importance de la théorie kantienne du sublime comme référence centrale pour la doctrine des facultés de Deleuze; soutien que le philosophe français a opéré une réversion du kantisme en faisant de cette théorie-là l'accès au problème d'une genèse de la pensée, car seulement l'exercice discordant des facultés qui se passe dans le jeu dissonant entre elles à partir de l'expérience esthétique est capable d'engendrer le penser dans la pensée. Le troisième et quatrième chapitres de la thèse, Força dos signos et A frieza da pornologia, respectivement, montrent que Deleuze a réinventé l'héritage de l'esthétique kantienne tout en faisant de l'oeuvre littéraire de Marcel Proust et de Sacher-Masoch ses laboratoires pour la création de la doctrine des facultés, le coeur de son empirisme transcendantal. Concevoir l'enseignement de philosophie à partir du sens produit par Deleuze pour ce problème – “Qu'est-ce que c'est penser?” – suppose, donc, privilégier les rapports agonistiques présents dans les trois formes de pensée et les mêler de façon à en pouvoir extraire des nouveaux mouvements de pensée, d'écrite et de possibilités d'existence. / “O que é pensar?”, eis a questão orientadora desta tese, que, pelas linhas de força da filosofia de Gilles Deleuze, responde-a: pensar é uma violência sobre as faculdades. Resposta inspirada, sobretudo, na obra Diferença e repetição, cujo tema kantiano do conflito entre as faculdades é o lugar de explicação desse leitmotiv que atravessa a filosofia de Deleuze e que pode violentar o pensamento sobre o ensino de filosofia na Educação Básica. Tratar da violência sobre as faculdades implica estabelecer uma doutrina das faculdades, o que, conforme Deleuze, só pode ser feito por meio de um empirismo transcendental. A tese defende que Deleuze produziu sua própria doutrina nas obras anteriores a Diferença e repetição, em seus escritos monográficos. Obras nas quais desenvolveu as bases do seu programa filosófico quando procurou engendrar a gênese do pensar, isto é, fazer a descrição genética das condições de efetividade da experiência, edificando uma teoria diferencial das faculdades. Desenvolvimento levado a termo na conjunção: com Nietzsche, Kant, Proust, Sacher-Masoch e na intersecção entre Filosofia e Arte e Ciência, formas do pensamento ou da criação que só existem mediante experiências-limites, quando o pensamento e as demais faculdades são abaladas por forças heterogêneas a elas, tornando-as sensíveis ao impensado. Em seu primeiro capítulo, Crueldade da cultura, a tese afirma que, pela teoria da vontade de potência, Deleuze criou um método genealógico que lhe permitiu determinar a origem ativa e reativa das faculdades e de seus usos, bem como autorizou a tese a dar visibilidade a uma genealogia das faculdades; além disso, esse capítulo trata da violência e da cultura na paidéia grega, a partir das obras filológicas de Nietzsche. Coação do sublime, o segundo capítulo da tese, apresenta a importância da teoria kantiana do sublime como referência central para a doutrina das faculdades de Deleuze; defende que o filósofo francês operou uma reversão do kantismo fazendo daquela teoria o acesso ao problema de uma gênese do pensamento, pois apenas o exercício discordante das faculdades que se dá no jogo dissonante entre elas a partir da experiência estética é capaz de engendrar o pensar no pensamento. O terceiro e quarto capítulos da tese, Força dos signos e A frieza da pornologia, respectivamente, mostram que Deleuze reinventou a herança da estética kantiana fazendo da obra literária de Marcel Proust e de Sacher- Masoch seus laboratórios para a criação da doutrina das faculdades, o coração do seu empirismo transcendental. Conceber o ensino de filosofia a partir do sentido produzido por Deleuze para esse problema – “O que é pensar?” – implica, portanto, privilegiar as relações agonísticas presentes nas três formas de pensamento e embaralhá-las de modo que delas se possam extrair novos movimentos de pensamento, de escrita e de possibilidades de existência.
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L’énigme Image-temps. L’Image-mouvement et L’Image-temps de Gilles Deleuze : essai de généalogie philosophique / The Time-image énigma

Pamart, Jean-Michel 28 September 2009 (has links)
En quel sens les livres que Deleuze a écrits sur le cinéma sont-ils des livres de philosophie ? Dans une démarche généalogique, notre travail montre comment Deleuze « capture » de façons différentes les œuvres de quatre philosophes – Kant, Bergson, Peirce, Spinoza – afin de lui permettre d’avancer dans sa propre philosophie. A partir d’une rencontre avec le cinéma dans son ensemble, Deleuze prolonge sa réflexion sur l’empirisme transcendantal, reconsidère la question de l’image et des signes, revisite secrètement l’éthique de Spinoza afin de nous proposer une nouvelle éthique, qui ne répond plus à la question « Que peut un corps ? » mais à sa généralisation « Que peut une image ? ». Suivant la figure d’un spinozisme post-kantien que nous identifions chez Deleuze, le temps comme affect de soi par soi chez Kant équivaut aux auto-affections du second genre de connaissance chez Spinoza : le temps devient le lieu où se déploie la vie spirituelle dans l’attribut de la pensée. A la fois genèse de la sensibilité, cosmogonie, sémiotique et éthique, L’Image-mouvement et L’Image-temps construisent une génétique des puissances de l’image dont les œuvres singulières des cinéastes sont à la fois les jalons et les pierres de touche : la rencontre avec ces œuvres permet à la philosophie de Deleuze de subir l’épreuve du réel et de la faire bifurquer au gré des rencontres avec les pensées des cinéastes. Deleuze se sert du cinéma, qui devient la vérification expérimentale de sa philosophie, cependant que le cinéma « capture » Deleuze, et l’amène à tracer des cheminements de pensée inédits. Dans cette parade amoureuse, Deleuze est la guêpe, le cinéma l’orchidée. / To what extent are the books written by Deleuze about cinéma philosophy books ? Following a genealogical reasoning, our study shows how Deleuze “captures” in different ways the works of four philosophers – Kant, Bergson, Peirce, Spinoza – in order to get ahead in his own philosophy. From his encounter with cinema as a whole, Deleuze continues his reflection about transcendental empiricism, reconsidering the issue of image ands signs and secretly revisiting Spinoza’s ethics to offer a new system of ethics which no longer answers the question “What can a body live ?” but its generalization “what can an image live ?” Following the figure of a post-kantian spinozism that we have identified in Deleuze’s work, time as an affect of the self by the self in Kant’s philosophy can be equated with the self-affections of the second kind of knowledge in Spinoza’s work : time becomes the place where spiritual life can spread in the attribute of thought. Being at the same time a genesis of sensitivity, a cosmogony, semiotics and ethics, The Movement-image and The Time-image constitute a system of genetics of image powers of which film-makers singular creations are both the landmarks and the touchstones : Deleuze’s encounter with these movies allows his philosophy to undergo the test of the real and to make it change its course each time he meets a film-maker’s thinking. Deleuze uses cinema which becomes the experimental checking of his philosophy where as cinema “captures” Deleuze and leads him to open up new ways of thinking. In this mating display, Deleuze is the wasp and cinema is the orchid.

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