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Troubles du sommeil dans un modèle neuroendocrinien d’anxiété/dépression : stratégies de correction par des antidépresseurs monoaminergiques et innovants / Sleep/wake disorders in a neuroendocrine mouse model of anxiety/depression : correction strategies by monoaminergic and innovative antidepressantsLe Dantec, Yannick 09 October 2014 (has links)
Les pathologies dépressives se définissent par des symptômes hétérogènes qui incluent les troubles du sommeil comme facteur de comorbidité. La comorbidité des troubles du sommeil dans la dépression est habituellement marquée d’une diminution de sommeil lent, d’une augmentation de sommeil paradoxal et d’une fragmentation du sommeil, tant chez l’Homme qu’au sein des modèles animaux de la pathologie.Le premier objectif de ce travail expérimental a été de caractériser les troubles du sommeil suspectés dans un modèle animal de souris adultes rendues anxio/dépressives par l’administration chronique de corticostérone. Les résultats obtenus ont montré qu’une administration chronique de corticostérone induit une hypersomnie avec augmentation de sommeil lent, une diminution du sommeil paradoxal et une fragmentation des états de veille et de sommeil. La description du sommeil du modèle de souris CORT enrichit la classification actuelle en modélisant des troubles du sommeil atypiques présents chez près de 20% des sujets dépressifs. Le second objectif a été de corriger ces troubles du sommeil par l’administration chronique d’antidépresseurs classique (fluoxétine) et innovant (agomélatine). Si chacune des molécules antidépressives testées a révélé un effet bénéfique vis-à-vis de la somnolence des souris CORT, l’agomélatine a montré sa supériorité pour prévenir l’inhibition du sommeil paradoxal induite par la corticostérone et accentuée par la fluoxétine. / Depressive disorders are definded by heterogeneous symptoms that include sleep disorders such as comorbid condition. Comorbidity of sleep disorders in depression is usually marked by a decrease in NREM sleep, increased REM sleep and sleep fragmentation, both in humans and within animal models of the disease. The first aim of this experimental work was to characterize sleep problems suspected in an animal model of adult mice rendered anxio/depressive by chronic administration of corticosterone. The results showed that chronic administration of corticosterone induced hypersomnia with increased NREM sleep, decreased REM sleep and led to fragmented sleep/wake states. The description of the sleep cycle of the CORT mouse model of anxiety/depression enriches the current classification by modeling atypical sleep disorders present in nearly 20% of the depressed subjects. The second aim was to correct these sleep disorders by chronic administration of classical (fluoxetine) and innovative (agomelatine) antidepressants. If each antidepressant molecules tested showed a beneficial effect towards drowsiness of CORT-treated mice, agomelatine has shown its superiority to prevent the inhibition of REM sleep induced by chronic corticosterone which was enhanced by chronic fluoxetine treatment.
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Psychotraumatisme, troubles du sommeil et de l'éveil et effets sur le travailBuzatelu, Oana-Ileana. Louville, Patrice. January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine du travail : Paris 12 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 71-78.
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Physiopathologie du somnambulisme chez l'adulte : effets de la privation de sommeil et des éveils forcés au cours du sommeilPilon, Mathieu January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Électroencéphalographie, fonctions sensori-motrices et profil cognitif associés au trouble de comportement en sommeil paradoxalMassicotte-Marquez, Jessica January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Évaluation du rythme circadien de la mélatonine chez le personnel infirmier de nuit souffrant de troubles du sommeilBenhaberou, Dalila 08 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Le travail de nuit se développe de plus en plus dans nos sociétés. Beaucoup de travailleurs se plaignent d'un tel horaire, particulièrement à cause des troubles du sommeil. Une des principales hypothèses expliquant ces troubles repose sur l'adaptation des rythmes circadiens. Les travailleurs de nuit doivent travailler à un moment où leur horloge biologique les prépare au sommeil et dormir à un moment où leur organisme est en phase d'activation. Il semble que l'horloge biologique s'adapte peu à cette inversion du cycle éveil-sommeil, mais peu de recherches ont mesuré l'activité circadienne chez de véritables travailleurs de nuit.
Trente travailleurs du secteur de la santé ont complété le protocole de recherche qui consistait en 14 jours d'agenda de sommeil et 24 heures d'évaluation du rythme circadien de la mélatonine en laboratoire. Les sujets étaient répartis en deux groupes : un groupe de 15 personnes rapportant peu ou pas de troubles du sommeil et un groupe de 15 personnes signalant des troubles plus sévères.
Les résultats ont montré qu'une plus grande proportion de mélatonine sécrétée durant le jour était associée à une meilleure qualité de sommeil diurne. Toutefois, il semble que le moment de la sécrétion de la mélatonine n'est pas une condition suffisante à une bonne qualité de sommeil diurne, puisque la moitié du groupe des personnes rapportant peu de problèmes présentait une sécrétion essentiellement nocturne de la mélatonine. Ces résultats nous amènent à penser que certains travailleurs sont plus tolérants que d'autres à une désynchronisation entre leurs rythmes circadiens et leur sommeil. Puisque les deux groupes avaient un profil similaire pour leurs caractéristiques individuelles et professionnelles, il serait peut-être pertinent d'explorer la source de cette tolérance à l'inversion du cycle éveil-sommeil imposé par le travail de nuit.
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Thérapie cognitive comportementale du trouble panique : effet d'un traitement combiné sur les symptômes de panique et d'insomniePotocnik, Alenka 24 April 2018 (has links)
L'objectif de la présente thèse est de documenter les difficultés de sommeil chez les personnes souffrant d'un trouble panique ainsi que d'en étudier les variations lors de l'administration d'une thérapie cognitive comportementale du trouble panique (TCC-TP) suivie d'une thérapie cognitive comportementale de l'insomnie (TCC-I). La première étude consiste en une revue systématique de la littérature à propos des altérations du sommeil chez les personnes ayant un trouble panique. Des calculs de méta-analyse ont permis de documenter la présence de difficultés de sommeil significatives chez les personnes ayant un trouble panique en comparaison à des participants contrôles sains. Également, les résultats des analyses de la prévalence des attaques de panique nocturnes (APN) indiquent que 52,1% des participants ayant un trouble panique ont eu au moins une APN au cours de leur vie. Les altérations du sommeil identifiées dans la première étude pourraient être reliées à l'activité cognitive négative et à la sensibilité à l'anxiété. La seconde étude visait à explorer l'effet de l'administration séquentielle d'une TCC-TP et d'une TCC-I. Onze participants ayant un trouble panique avec APN et insomnie ont pris part à une TCC-PD suivie d'une TCC-I selon un protocole à cas unique à niveaux de base multiples. Durant la TCC-TP, quatre participants ont eu une diminution significative des symptômes de panique et deux ont eu une augmentation significative de l'efficacité du sommeil. Pour ces participants, ces améliorations se sont poursuivies durant la TCC-I. De plus, parmi les participants qui n'avaient pas connu de changements dans leurs symptômes de panique durant la TCC-TP, la majorité ont eu des gains significatifs durant la TCC-I. Il en est de même pour l'efficacité du sommeil. Ainsi, chez la plupart des participants, l'insomnie comorbide n'a pas diminué durant la TCC-TP, mais s'est résorbée avec une TCC-I subséquente. Également, les symptômes de panique se sont améliorés davantage durant la TCC-I que durant la TCC-TP, ce qui pourrait être expliqué, entre autres, par le rôle intégrateur du sommeil dans la consolidation et l'intégration des apprentissages effectués en thérapie.
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Étude des perturbations du sommeil dans le trouble bipolaire en phase euthymiqueSt-Amand, Julie 18 April 2018 (has links)
L'objectif de la présente étude est de décrire la nature et la sévérité des difficultés de sommeil et les problèmes de fonctionnement diurne des individus qui ont un trouble bipolaire lorsqu'ils sont dans la phase euthymique de la maladie. Quatorze participants avec un trouble bipolaire sont comparés à 13 participants avec insomnie primaire et à 13 individus sans problème de santé mentale et sans insomnie sur différents paramètres du sommeil et du fonctionnement diurne provenant de l'agenda du sommeil, de l'actigraphie et de mesures auto-rapportées. Les résultats font ressortir que les individus avec un trouble bipolaire ont un sommeil similaire à celui des participants sans problème de santé mentale/insomnie et significativement moins problématique que celui des personnes avec insomnie. Ces derniers prennent plus de temps pour s'endormir, passent plus de temps éveillés après l'endormissement initial, dorment moins longtemps et ont un sommeil moins efficace comparativement aux deux autres groupes. Néanmoins, les participants avec un trouble bipolaire demeurent avec certaines insatisfactions à l'égard de leur sommeil. De plus, leur profil de fonctionnement diurne se rapproche davantage de celui des personnes qui souffrent d'insomnie; ils sont moins actifs le jour, sont moins constants dans la réalisation de leurs tâches quotidiennes et se plaignent d'hypersomnie. Ces résultats, combinés à ceux d'études antérieures, suggèrent que les altérations du sommeil dans le trouble bipolaire sont variables même au cours des phases de rémission, que les plaintes de sommeil rencontrées dans ce problème de santé mentale ne sont pas forcément identiques à celles rapportées par les personnes qui souffrent d'insomnie et que les patrons de fonctionnement diurne semblent être plus constants d'une étude à l'autre. Des interventions visant à augmenter le niveau de stimulation et à renforcer une routine de vie pourraient être intégrées dans une approche globale de prévention des rechutes du trouble bipolaire.
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Difficultés subjectives de sommeil chez les personnes âgées présentant ou non un trouble cognitif sans démenceAdam, Anne-Marie 19 April 2018 (has links)
Les difficultés de sommeil sont fréquentes chez les personnes âgées à risque de développer une démence. Elles ont cependant été peu caractérisées jusqu'à maintenant. Le premier objectif de ce mémoire doctoral est de comparer des personnes âgées ayant un Trouble cognitif sans démence (TCSD ; condition qui accroît le risque de développer une démence) et des personnes sans trouble cognitif (non-TCSD) par rapport à plusieurs caractéristiques subjectives de sommeil. Le deuxième objectif consiste à étudier ces paramètres selon le sexe des participants. L'échantillon populationnel aléatoire est constitué de 2287 personnes franco-québécoises âgées de 65 à 96 ans. Les personnes avec un TCSD ont été identifiées sur la base d'un résultat au Mini-Mental State Examination inférieur au 15e percentile comparativement à un sous-groupe comparatif de participants stratifié selon le sexe, l'âge et le niveau de scolarité. Le Pittsburgh Sleep Quality Index (PSQI) a été utilisé pour obtenir des mesures subjectives de sommeil. Les variables potentiellement confondantes (âge, niveau de scolarité, nombre de maladies chroniques, troubles de l'humeur, troubles anxieux et utilisation de psychotropes) ont été contrôlées statistiquement. Des tests t de Student ont été effectués pour comparer, chez les hommes et les femmes séparément, les caractéristiques de sommeil des individus avec un TCSD et sans TCSD. Ensuite, l'association entre le TCSD et chaque variable de sommeil a été mesurée par des rapports de cotes obtenus sur la base de régression logistiques. Les résultats révèlent que, tant pour les hommes que pour les femmes, aucune différence significative n'est obtenue entre les personnes avec un TCSD et sans TCSD en ce qui concerne les difficultés de sommeil. Également, aucune association significative n'est obtenue entre la présence d'un TCSD et les différents paramètres de sommeil du PSQI, et ce, tant pour les hommes que pour les femmes. Dans l'ensemble, ces résultats suggèrent que les mesures subjectives de sommeil ne différencient pas les personnes à risque de développer une démence de celles présentant un fonctionnement cognitif normal.
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Traitement comportemental pour le trouble du sommeil lié à l'horaire de travail chez les travailleurs de nuit : une étude exploratoireClaveau, Sonia 20 April 2018 (has links)
Le travail à horaire non conventionnel est une réalité dans notre société et peut causer des problèmes de sommeil et de santé importants. L’efficacité de la thérapie comportementale pour le Trouble de l’insomnie est bien établie dans la littérature. Toutefois, peu d’études s’intéressent au traitement de l’insomnie au sein du Trouble de l’horaire de travail (THT). L’objectif du présent mémoire doctoral est d’explorer l’efficacité d’un traitement comportemental pour le THT. Quatre participants âgés entre 20 et 36 ans ont reçu un traitement en huit séances. Pour identifier la présence d’un THT, l’EDI (Échelle Diagnostique de l’Insomnie) adaptée à la situation du travail de nuit a été utilisée. Les résultats obtenus révèlent que le traitement comportemental semble diminuer les symptômes d’insomnie et de somnolence excessive ainsi que les symptômes dépressifs chez les personnes en souffrant. Ces résultats illustrent l’efficacité potentielle d’un traitement comportemental pour le THT.
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Impact du chronotype sur les paramètres du sommeil en fonction de l'horaire de travailSimon, Tarek 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Le présent mémoire vise à évaluer l’association entre le chronotype et les difficultés de sommeil en lien avec l’horaire de travail. À cette fin, 116 travailleurs du réseau de la santé de la ville de Québec ont complété le questionnaire de chronotype de Horne et Ostberg (MEQ; 1976) en plus de remplir quotidiennement un agenda du sommeil sur une période de 2 semaines. Les participants ont été comparés selon leur horaire de travail (travailleurs de jour n = 43; travailleurs de nuit n = 73) et selon leur chronotype (du matin n = 37; neutre n = 59; du soir n = 20) pour déterminer les effets indépendants et interactifs de ces variables sur la durée du sommeil durant la période de sommeil principale, la durée du sommeil sur une période de 24 heures et la somnolence après le travail. Tel que postulé initialement, les résultats indiquent que le chronotype et l’horaire de travail ont un effet sur la période de sommeil principale, mais pas sur le sommeil au cours de 24 heures, de sorte que les travailleurs de nuit ont une période de sommeil principale qui est significativement plus courte que celle des travailleurs de jour. De plus, le raccourcissement de la période de sommeil principale après le travail de nuit semble principalement observable chez les travailleurs avec un chronotype du matin ou un chronotype neutre, un patron de résultats qui concorde avec les connaissances actuelles sur le rythme circadien et qui corrobore plusieurs études antérieures. Le fait que tous les travailleurs ont obtenu une durée du sommeil équivalente sur une période de 24 heures suggère qu’il est possible de compenser pour une période de sommeil principale écourtée, en prenant des siestes. Ainsi, les résultats obtenus dans le présent mémoire mettent en évidence l’importance des siestes chez les travailleurs de nuit, surtout ceux et celles avec une prédisposition matinale. Enfin, l’absence de différence entre les groupes quant au niveau de somnolence après le travail suggère que la somnolence excessive n’est pas un problème qui se limite au travail de nuit.
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