Software as a Service (SaaS) platforms paired with cloud-based storage is a common schema used among software providers across the globe. Such solutions usually accumulate vast amounts of usage and usage behaviour data. Utilizing this data in the form of monitoring solutions can potentially generate great value for both software users and software providers. Swedish authorities have taken a restrictive standpoint against incorporating cloud-based storage solutions into software used in the public sector. The project aims to identify a practical and reusable way of utilizing cloud data and to demonstrate to Swedish authorities how cloud-based storage models can be beneficial. The case of this project is the SaaS solution Gemini Portal+, a water and sewage management solution. The end result was a monitoring module to Gemini Portal+ where users can view the digital maturity of their Gemini Portal+ usage. The digital maturity is conveyed in an easily digested manner, with concrete and actionable information on how to increase digital maturity. The result has passed the requirements and stakeholders are satisfied with the result.

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Writers, editors, and everyday language users look to dictionaries, style guides, usage guides, and other published works to help inform their language decisions. They want to know what is Standard English and what is not. Commentators have been prescribing and proscribing certain usages for centuries; however, their advice has traditionally been based on the subjective opinions of the authors. Recent works have analyzed usage by relying wholly or partly on statistical and descriptive data rather than traditional opinion alone; however, no work has presented statistical usage data in a user-friendly and consistent format. This study presents a statistically based methodology for analyzing the standardness of disputed English usage points that can be presented in a dictionary-like format useful to writers and editors. Using data from the Corpus of Contemporary American English, this study determined the percent of use of several disputed usage items. Percents of use were then applied to a statistically based "standardness" scale with several levels. The scale presented in this study is adapted from scales that have been used previously to study language change. In addition, returns from the Corpus of Historical American English were used to present historical trends, if any, for each usage item. It was found that traditional sentiments about certain prescribed and proscribed usage items differ markedly from actual observed usage. Corpus data make it clear that even usage guides that purport to rely at least partly on descriptive data are often wrong about the prevalence and acceptability of usage items. To produce truly objective and accurate analysis, usage advice must depend on corpus data and use a standard usage-trend scale that accounts for how language changes.

Dictionaries and, to a lesser extent, usage guides provide writers, editors, and users of American English information on how to use the language appropriately. Dictionaries, in particular, hold authority over correct usage of words. However, historically, usage guides and dictionaries were created using the knowledge of a small group of people. Lexicographers like Noah Webster set out to prescribe a proper way of using American English. To make these judgments, they often relied on a combination of study and idiosyncratic intuitions. A similar process took place in creating usage guides. Though these manuals profess to explain how the language is used by American English speakers-or rather by the selected group of speakers deemed "standard" by usage guide editors and lexicographers-ultimately the manuals can only express the perspectives of the editors and lexicographers on this language. Historically, the views of these editors and lexicographers were the best tools available to assess language, but now computer-based corpora allow for studying larger swaths of language usage. This study examines how much dictionaries and usage guides agree with real-world usage found in corpus data. Using the Corpus of Historical American English, a set of dictionaries and usage guides published throughout the last two hundred years were analyzed to see how much agreement they had with corpus data in noting the addition of denominal verbs (i.e., verbs formed by the conversion of nouns as in 'They taped together the box.') in American English usage. It was found that the majority of the time dictionaries noted new denominal verbs before corpus data reflected accepted usage of these verbs. However, about a quarter of the time dictionaries noted new denominal verbs concurrently with the corpus data. These results suggest that dictionaries-and the subjective opinions of the lexicographers that created them-are more aligned with real-world usage than would be expected. Because of sparse listings, results for usage guide agreement was inconclusive.

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

The problem of the present study is to investigate specific background areas of pupils who show average use of English, and of pupils who are recognized as having below-average use of English. The study will attempt to bring out certain tendencies, by the use of standardized tests, which the two groups investigated possess in varying degrees. The aim of the study will be to bring out and evaluate the differentiating background factors as revealed by the results obtained on the standardized tests used in the investigation.

Une recension des écrits sur la toxicomanie, ses enjeux chez les jeunes et sur les approches d'intervention a été faite afin de faire le point sur les connaissances actuelles.Une description du programme du Dôme, basée sur la communauté thérapeutique, offert aux jeunes réfractaires à l'aide a également été effectuée. Enfin, les liens existants entre les caractéristiques et le fonctionnement dans le programme de réadaptation ont été explorés. Vingt (20) jeunes inscrits au dôme ont participé à l'étude. Les résultats exploratoires indiquent qu'il semble y avoir un lien entre le rendement dans le programme et la lourdeur de la consommation, l'estime de soi, l'indice de bien-être personnel, l'anxiété ressentie et la motivation à vouloir modifier sa consommation suite au programme. Contrairement à ce qui était supposé, l'âge et le nombre d'incidents de parcours vécus par les sujets ne semblent pas influencer le rendement dans le programme. Afin d'éviter de mettre en échec ces jeunes dont le parcours de vie est déjà chargé d'embûches, il importe donc de chercher à identifier les facteurs prédictifs d'un meilleur fonctionnement dans le programme de réadaptation. Cette démarche exploratoire renforce la pertinence de mener d'autres études sur la relation entre les caractéristiques personnelles et le fonctionnement dans les programmes.

Le dopage sportif se définit comme étant l’acte d’absorber une substance interdite pour améliorer ses performances sportives autant physiques que mentales. Le dopage sportif attire l’attention des médias et des chercheurs puisqu’il s’agit d’un phénomène qui prend de l’ampleur spécialement chez les jeunes et les adolescents, et notamment les garçons de 13 à 17 ans. Pour contrer ce problème, des programmes de prévention du dopage sportif ont été mis en place par plusieurs organisations. Toutefois, à notre connaissance, peu de ces programmes semblent avoir été évalués. L’objectif de l’étude est d’évaluer par une méthodologie qualitative une formation en ligne, destinée aux entraîneurs et visant à prévenir le dopage chez les joueurs de hockey de 13 à 17 ans au Québec. Des entrevues semi-dirigées ont été effectuées avec six entraîneurs ayant suivi la formation, afin d’obtenir leur perception et appréciation à l’égard de la mise en oeuvre de la formation, et de leur capacité à soutenir la mise en oeuvre d’interventions préventives auprès des joueurs. La méthode d’analyse de contenu de Paillé et Mucchielli (2012) a été utilisée pour conduire l’analyse des données. Un modèle adapté du cadre de Phillips (1996) ainsi que du Consolidated model Framework for Implementation Research (CFIR) de Damschroder et ses collaborateurs (2009), a été utilisé comme référence pour l’analyse.

Contexte : En moyenne, les garçons consomment du cannabis à un plus jeune âge et plus fréquemment que les filles. Ces écarts entre les sexes pourraient être influencés par le contexte scolaire et le sentiment d’appartenance à l’école puisque l’environnement social affecterait différemment la consommation des garçons et les filles. Cette recherche étudie la présence d’une potentielle variation entre écoles et d’un potentiel effet du sentiment d’appartenance sur l’écart dans la consommation de cannabis des garçons et des filles. Méthodes : Des régressions multiniveaux ont été réalisées à l’aide des données issues du questionnaire COMPASS-Québec de 2017 complété par 6 185 adolescents de 11 écoles secondaires. Résultats : Globalement, bien que les garçons consommaient plus fréquemment du cannabis que les filles, un sentiment d’appartenance plus élevé était associé à une initiation à la consommation à un âge plus tardif et une consommation moins fréquente. La différence de consommation mensuelle de cannabis entre les sexes variait selon l’école et selon le sentiment d’appartenance à l’école. Chez les élèves les moins connectés à leur école (quartile 1), les filles avaient un risque de consommation mensuelle similaire aux garçons, alors que les filles avaient un risque plus faible de 75 % par rapport aux garçons chez les élèves les plus connectés (quartile 4). Aucune différence entre les garçons et les filles n’a été observée avec la consommation précoce de cannabis, et ce, peu importe le niveau du sentiment d’appartenance. Conclusion : Les programmes en milieu scolaire ont avantage à développer le sentiment d’appartenance à l’école pour réduire la consommation de cannabis des élèves. En complémentarité, des interventions visant spécifiquement la consommation des garçons sont à envisager puisque le sentiment d’appartenance à l’école semble être un facteur protecteur plus fort chez les filles que chez les garçons. / Texte en français, comprend un article en anglais

<p>In our ever more international world, the English language plays an important role. This is</p><p>also reflected in its prominent position as a core subject in the Swedish school system. It is</p><p>therefore important that English teachers offer students an environment in which they have</p><p>the best possible opportunities to be successful in reaching the goals specified in the</p><p>syllabuses. One variable in a successful foreign language classroom is the teacher's usage</p><p>ofthe target language.</p><p>This study is about English teachers' views on the issue of target language usage in the</p><p>classroom, versus usage of the mother tongue. In this study, at Upper Secondary level, the</p><p>interviews show that the teachers are, more or less, in agreement that the target language</p><p>should be used all the time in the classroom. There are, however, occasions in which the</p><p>interviewed teachers do not work according to their own beliefs and methods and revert to</p><p>using Swedish. The main such occasions can briefly be said to be: explanation of grammar,</p><p>non-subject related "mentor's issues" and classroom management issues. In addition, this</p><p>study argues that the governing documents, previous research, as well as well-known</p><p>theories on the subject support a high usage of the target language by the teacher.</p>