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L’emploi du vernaculaire haïtien dans la traduction d’une sélection de textes tirés de The Butterfly’s Way sous la direction d’Edwidge Danticat

Duval-Delatour, Marie-Jude January 2017 (has links)
The Butterfly’s Way, publié en 2001, relate, à travers 33 histoires brèves, l’expérience de la diaspora haïtienne, particulièrement en Amérique du Nord, qui, prise entre deux cultures, cherche à affirmer son identité. Cette thèse est une réflexion sur le processus de traduction française/créole d’une sélection de textes tirés de ce recueil. Notre intérêt dans cette traduction est de souligner le caractère haïtien des personnages à travers leur discours. La question posée était de savoir s’il était risqué ou non d’introduire le créole dans la traduction de TBW. Nous avons tenté d’y répondre à travers un parallèle entre les deux langues en présence en sol haïtien et leur comportement vis-à-vis l’une de l’autre, et des pistes de réflexion proposées par des chercheurs en traductologie et en linguistique.
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Housing in medieval and post-medieval Greece /

Sigalos, Eleftherios, January 2004 (has links)
Th. Ph. D.--Archaeology--University of Leiden, 2004. / Bibliogr. p. 157-171. Glossaire. Index.
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Du vernaculaire à la déprise d'oeuvre : Urbanisme, architecture, design / From vernacular to deprise d'oeuvre : Urbanism, architecture, design

Hallauer, Edith 01 December 2017 (has links)
Cette thèse a pour point de départ le constat de l’émergence de revendications vernaculaires dans le champ urbain « alternatif » (Paquot, 2012 ; Béal & Rousseau, 2014) contemporain, en urbanisme, paysage, architecture et design. Des néologismes récents semblent empreints de tautologies et de paradoxes : on parle « d’urbanisme convivial » (Grünig, 2013), de « vernaculaire contemporain » ou de « nouveau vernaculaire »(Frey, 2010). Une première étude terminologique autour du vernaculaire dévoilera une étymologie fondamentalement dialectique et relative : ce mot savant désigne l’aspect populaire des choses – noms communs, pratiques ordinaires, savoirs non-doctes. Mais la géohistoire du vernaculaire révèle surtout sa subversivité latente, confirmant là sa place dans le champ des alternatives. C’est à partir des concepts de « travail fantôme » et de « genre vernaculaire » (Illich, 1983), que nous établirons que le terme est apparu lorsque la chose a disparu. Une dépossession (des savoirs, des techniques, des biens communs, des modes de faire) se lit au creux des révolutions industrielles (Giedion, 1980) et des mutations des pratiques de subsistance, désormais reléguées au champ des loisirs (Corbin, 2009). Le terme est donc intimement lié à un caractère revendicatif, de reprise, qui n’est pas sans écho avec un type de pratiques critiques en design : être contre, tout contre (Papanek, 1974). C’est alors par l’analyse de différents types de reprises récentes, posant les esquisses d’un paysage existentiel du vernaculaire (Jackson, 1984), que nous proposons l’idée de déprise d’œuvre, déployant les paradigmes d’un urbain soutenable. Dans un contexte de déprise urbaine qui la voit apparaître, la déprise d’œuvre répond à la maîtrise d’œuvre, par la quête du recouvrement des savoirs qu’aura révélé le vernaculaire : faire, laisser faire, faire faire. Nourrie d’improvisation, de processus et d’expérience (Zask, 2011), cette attitude affirme finalement le rôle de vecteur rhétorique et mobilisateur que joue le vernaculaire dans la réinvention de pratiques urbaines / This research starts from observations of the emergence of "vernacular claims" in the alternative urban fields (Paquot, 2012; Béal & Rousseau, 2014) : urbanism, landscape, architecture and design. Recent neologisms seem to be characterized by tautologies and paradoxes : "convivial urban design" (Grünig, 2013), "contemporary vernacular" or "new vernacular" (Frey, 2010). A first terminological study of the vernacular will reveal a fundamentally dialectical and relative etymology : this scholarly word refers to a popular aspect of things - common names, ordinary practices, non-doctoral knowledges. But the geohistory of the vernacular reveals mostly a latent subversiveness, confirming its place in an alternative field. From the concepts of "ghost work" and "vernacular gender" (Illich, 1983), we will establish that the term appeared when the things disappeared. A dispossession (of knowledge, of techniques, of common goods, of crafts) can be found in the depths of industrial revolutions (Giedion, 1980), and from subsistence practices mutations, relegated to leisure fields (Corbin, 2009). The term is thus intimately linked to a reclaim feature, which is not far from a type of critical practices in design: to be close, very close (Papanek, 1974). By analyzing different types of recent recoveries, sketching in the edges of an existential vernacular landscape (Jackson, 1984), we finally suggest the idea of an déprise d’oeuvre, deploying some sustainable urban paradigms. In a context of urban shrinkage, this déprise d’oeuvre responds to traditionnal maîtrise d’oeuvre, in a quest to revover the knowledge revealed by the vernacular : to do, to let do, to make do. Nourished by improvisations, processes and experiences (Zask, 2011), this approach finally confirms the role that the vernacular plays as a mobilizing vector in the reinvention of urban practices
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Vernaculaire moderne? : vers une compréhension de la notion d'architecture vernaculaire et de ses liens avec la modernité architecturale

Bisson, Marie-France January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise a pour but l'exploration de la notion d'architecture vernaculaire afin d'établir si une architecture vernaculaire moderne est concevable et quels sont les objets qu'elle qualifie. L'intérêt d'une telle recherche est issu de préoccupations liées à la documentation, et possiblement à la conservation, d'une architecture moderne actuellement négligée par les différentes instances à l'oeuvre pour la sauvegarde de l'architecture. L'exploration de la notion de vernaculaire en architecture passe en premier lieu par une recherche étymologique qui permet de dater les premières incursions du mot dans les discours sur l'architecture en Angleterre. L'évolution de la définition est ensuite suivie au travers les textes d'auteurs anglo-saxons reconnus pour leurs études sur l'architecture vernaculaire. L'examen des différentes méthodologies et des objets étudiés par ces auteurs majoritairement issu des sciences humaines démontre que l'architecture moderne est exclue de leurs recherches jusque dans les années 1980 environ. L'apport des architectes, des historiens de l'art et des critiques n'est pas non plus pris en compte par ceux qui s'intéressent au vernaculaire. Afin de comprendre le lien qui peut unir vernaculaire et modernité, ces textes de spécialistes liés à l'art et à l'architecture sont ensuite étudiés et nous dévoilent que l'architecture vernaculaire fut pour eux une source d'inspiration dans la conception et la compréhension d'une architecture moderne. Toutefois, leurs objets d'études sont différents de ceux qu'étudient les spécialistes du vernaculaire. De cette seconde exploration ressort que par leurs préoccupations, les critiques, historiens de l'art et architectes ont non seulement contribué à introduire de nouveaux objets dans le corpus de l'architecture vernaculaire, mais ils ont oeuvré à les insérer dans l'histoire de l'architecture qui les négligeait traditionnellement. La notion d'architecture vernaculaire apparait liée à la définition d'une architecture moderne. Ces deux idées ne sont donc pas antinomiques. La mise en relation des différentes démarches d'auteurs étudiés au sein de ce mémoire permet de constater que la définition du mot vernaculaire n'est pas établie en fonction d'un objet précis ou de caractéristiques immuables. Sa définition renvoie plutôt à une idée dynamique, liée à l'écriture de l'histoire de l'architecture. Ainsi, les objets appelés vernaculaires changent en fonction de la méthodologie de l'auteur dans sa recherche ou de son point de vue sur l'histoire de l'architecture. Ce constat renvoie d'ailleurs aux définitions des dictionnaires qui associent l'adjectif vernaculaire à des concepts tels que « monumental » et « style ». Depuis les années 1980, des auteurs d'horizons différents en appellent à un renouvellement de l'histoire de l'architecture, au moyen de l'exploration de thèmes socioéconomiques qui sont le plus souvent associés à l'architecture vernaculaire. En somme, la notion de vernaculaire ne peut être un outil à la conservation ou la documentation d'une architecture moderne qui ne soit pas monumentale. Toutefois, répondre aux questions que son étude soulève, permettrait de mieux cerner l'objet de l'histoire de l'architecture et l'objet de la sauvegarde. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Architecture, Vernaculaire, Moderne, Modernité, Histoire de l'architecture.
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Architect Henri Maclaine Pont : een speurtocht naar het wezenlijke van de Javaanse architectuur /

Leerdam, Ben F. van, January 1900 (has links)
Proefschrift--Bouwkunde--Technische universiteit Delft, 1995. / Titre au dos : "Architect Maclaine Pont" Résumés en anglais et en bahasa indonesia. Bibliogr. p. 181-193.
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Typologie de la maison traditionnelle à cour en Corée et adaptation des changements /

Kim, Hyung-Woo. Unknown Date (has links)
Th. 3e cycle--Archictecture domestique--Paris-Villemin, 1988. / Thèse dactylographié d'un exemplaire officiel.
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Charte de protection de l'habitat traditionnel créole guyanais.

Bourgeois, Marc, January 2006 (has links)
Texte remanié de: Magistère--Génie de l'aménagement--École polytechnique de l'Université de Tours, 2006. / Bibliogr. f. 72-73.
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L’esthétique populaire de l’habitat à Tunis / Popular aesthetics of urban dwellings in Tunis

Khaldi, Leila 09 November 2018 (has links)
La fabrication populaire des habitations et de leur aspect extérieur en particulier font l’objet de discrédit de la part des groupes dominants de la société. Considérée comme illégitime car produite en marge des procès de production officiels et architecturaux, l’esthétique vernaculaire actuelle des habitations populaires constitue pourtant la majeure partie du paysage urbain tunisois. Ce travail se veut une modeste contribution à la réhabilitation symbolique de cette fabrication et de son esthétique en particulier. L’aspect des façades telles qu’elles se présentent à la vue des passants à partir de l’espace public nous a conduite, en tant qu’architecte, à nous questionner au départ sur la façon de faire des habitants constructeurs pour fabriquer une esthétique sur la façade de leur habitation, tout en cherchant à nous enquérir de l’existence ou non d’une conscience de l’image ainsi renvoyée d’eux-mêmes à l’espace urbain. Les nombreux échanges menés avec nos interlocuteurs durant les enquêtes de terrain et l’analyse des données recueillies nous ont progressivement convaincue que les modalités de fabrication esthétique du côté habitant se basaient moins sur des considérations formelles que pratiques, ainsi que d’une considération grandissante de l’image de l’habitation telle qu’elle est renvoyée à l’espace public. / The popular construction of dwellings and their appearance in particular are discredited by the dominant groups in society. Considered as illegitimate as it is produced on the margins of official and architectural production processes, the current vernacular aesthetic of popular dwellings however constitutes a major part of the Tunisian urban landscape. This work is a modest contribution to the symbolic rehabilitation of this production and its aesthetics in particular. The façades as they appear to bystanders from the public space has led me, as an architect, to initially question how the inhabitant builders proceed to create an aesthetic on the facade of their dwelling, while seeking to inquire about the existence or not of an awareness of the image thus returned to the urban space. The numerous consultations with our interlocutors during the field surveys and the analysis of the collected data gradually convinced us that the methods of aesthetic fabrication by the inhabitant were based less on formal than practical considerations, as well as a growing awareness of the image of the dwelling as it is sent back to the public space.
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Tradition orale et esthétique romanesque dans les trois premiers romans d'Ahmadou kourouma : les Soleils des Indépendances (1968), Monne, outrages et défis (1990), En attendant le vote des bêtes sauvages (1998) : les sources d'un imaginaire

Mestaoui, Lobna 11 December 2009 (has links)
Le présent travail tente de démontrer comment l’œuvre d’Ahmadou Kourouma est traversée par le discours oral et traditionnel. Le substrat culturel vernaculaire structure l’œuvre et la modèle aboutissant à une poétique hybride, synthèse de deux traditions littéraires ( orale et écrite) et de deux univers symboliques( le terroir malinké et l’héritage occidental colonial). La question identitaire demeure au centre de nos interrogations sur Kourouma. Toutes ces analyses insistent sur l’importance accordée au terroir et à son apport dans l’émergence d’une écriture de l’intériorité. Notre propos s’articule en trois grands axes qui révèlent la densité des références culturelles dans les romans de cet auteur et le rôle qu’elles jouent dans l’élaboration d’un ancrage identitaire et d’une esthétique débridée / This thesis tries to demonstrate how the work of Ahmadou Kourouma crosses both oral and traditional speech. A cultural vernacular substratum structures the work and moulds it, culminating in a poetical hybrid; a synthesis of two literary traditions (oral and written) and of two symbolic universes (the Malinké legacy and the western colonial influence). The question of identity forms the crux of our examination of Kourouma. This analysis highlights the importance given to the Malinké origins and contributes to the emergence of a “interiority”. writing style. This research concentrates on three main themes which reveal the density of cultural references in the novels of this author and the roles which they play in anchoring a strong cultural identity and a rich aesthetical style
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Entre norme et identité, le CODOFIL et les programmes louisianais d’immersion en français / The norm and the identity : cODOFIL and the French Immersion Programs of Louisiana

Degrave, Jérôme 10 November 2011 (has links)
La Louisiane présente la particularité de posséder la seule agence d’État dont le rôle consiste à préserver et diffuser une langue minoritaire, en l’occurrence le français. Le CODOFIL (Conseil pour le Développement du Français en Louisiane) fut créé en 1968 par la loi 409 du Congrès de Louisiane. Son président fondateur, James « Jimmy » Domengeaux était persuadé que la réintroduction du français dans les écoles, à raison de trente minutes quotidiennes (dans le cadre d’un programme de Français Langue Seconde ou FLS), permettrait de freiner le déclin de cette langue, chassée des établissements scolaires par la constitution de 1921. Sa décision d’importer un corps enseignant étranger, majoritairement issu de France, de Belgique et du Québec afin d’enseigner le français international et non le vernaculaire louisianais, allait entraîner une rupture profonde entre la population francophone et le CODOFIL, sans pour autant ralentir la baisse du nombre de locuteurs cadiens. Cette situation poussait alors certains chefs d’établissement et parents d’élèves, dans les années 1980, à demander la création de programmes d’immersion française où les élèves reçoivent un enseignement des matières principales en français. Le succès constant de ces programmes (ils scolarisent aujourd’hui plus de 3.400 élèves en Louisiane) devrait logiquement en faire le fer de lance de l’action du CODOFIL car, au contraire du programme de FLS (dont les effectifs sont pourtant six fois plus importants), les classes d’immersion produisent véritablement des francophones. Une enquête présentée dans ce travail et menée auprès de 49 professeurs étrangers exerçant dans ces classes montre que tel n’est pas le cas et que le CODOFIL ne s’implique pas dans le volet pédagogique relatif aux programmes d’immersion et laissent aux enseignants étrangers le soin d’inclure, ou non, des séquences à vocation identitaire dans leur progression, tâche pour laquelle ils ne reçoivent aucune formation émanant du CODOFIL. Ce dernier se contente d’un rôle administratif de pourvoyeur de visas. La conséquence majeure de cette politique est l’absence presque totale de la langue et de la culture cadiennes dans les salles de classe. Une loi adoptée en juin 2010 par le Congrès de Louisiane, alors que ce travail de recherche était en cours, est venue modifier la mission du CODOFIL et établir l’enseignement immersif comme un de ses objectifs prioritaires : le législateur considère désormais que diffusion du français, programmes d’immersion et intérêt économique de l’État sont étroitement liés. / Louisiana is the only state in the USA to possess a public agency whose role consists in protecting and transmitting a minority language, namely French. CODOFIL (Council for the Development of French in Louisiana) was created in 1968 by an act of the Louisiana legislature. Its founder and first president James “Jimmy” Domengeaux held that the reintroduction of French in the schools of Louisiana with daily 30-minute classes (French as a Second Language program or FLS) would slow down the constant decline of this language that had been banned by the 1921 constitution. Domengeaux’s decision to import foreign teachers from France, Belgium and Quebec to teach international French and not the Louisianan variety that he deemed unfit for the classroom was to leave the cajun population displeased and resentful towards CODOFIL, while the number of French speakers kept falling. This situation led some school principals and parent support groups in the 1980’s to demand a change of policy and the creation of immersion. Instead of studying French as in the FLS program, pupils are taught the main subjects in French. Given the growing success of those immersion programs (they now comprise more than 3400 pupils in Louisiana) which churn out real French speakers (unlike the FLS programs and their 18 000 pupils), CODOFIL should be expected to focus its core action on them. A survey presented in this work and conducted with 49 French Associate Teachers (FAT) shows that CODOFIL is not, leaving the FATs to their own devices when it comes to teaching Cajun culture and language. Generally ignorant of those features when they arrive in Louisiana, they are deprived of a serious training. CODOFIL is content with its administrative role consisting in delivering. The main consequence of this policy is the near total absence of cajun culture and language in the classroom. A recent and unexpected act of the Louisiana legislature (June 2010), adopted while this work was still under way, is meant to radically alter the mission of CODOFIL and establish the immersion programs as a high priority: the transmission of French, immersion classes and the economic interest of the state are now regarded as closely linked.

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