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Architektur und Bauplastik in Burgund um 1100 : die Kirchen von Gourdon und Mont-Saint-Vincent /

Reiche, Jens, January 2002 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Bonn, 1999. / Bibliogr. p. 406-416.
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Prieurés bénédictins, aristocratie et seigneuries une géopolitique du Bas-Maine féodal et grégorien (fin 10e-début 13e siècle) /

Legros, Sébastien Pichot, Daniel. January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Histoire : Rennes 2 : 2007. / Bibliogr. f. 13-79. Annexes.
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La confection des pancartes chez les moines de Saint-Rigaud (dernier tiers du XIᵉ siècle) : étude d'un genre diplomatique méconnu

Lambert, Philippe 08 May 2024 (has links)
Au cours du dernier tiers du XI$^\textup{e}$ siècle, les moines de l'abbaye de Saint-Rigaud (Ligny-en-Brionnais, Saône-et-Loire) ont produit plusieurs grandes pancartes. Ces documents contiennent chacun la copie d'au moins deux textes dont les originaux sont aujourd'hui disparus. Ils se rapportent, pour l'essentiel, aux donations que les moines ont reçues des puissants seigneurs locaux peu de temps après la fondation du monastère en 1065. Malgré la richesse de ces documents, l'abbaye, ses moines et ses pancartes demeurent très largement méconnus des historiens. Ce mémoire poursuit un double objectif. Il s'agit en premier lieu d'étudier le sens social et la structure des pancartes en adoptant une approche qui soit la plus englobante possible, cela afin de comprendre leur processus de rédaction, leur contexte de création et les caractères matériels qui les distinguent des autres types d'écrits diplomatiques, la charte et le cartulaire au premier chef. L'étude détaillée de leur contenu doit ensuite permettre à la fois de mieux comprendre ce dont se compose une pancarte -- pourquoi les textes qui y figurent ont-ils été retenus plutôt que d'autres ? -- et de rendre aux moines et au monastère la juste place qui leur revient dans le paysage du Brionnais médiéval. On trouvera en annexe de ce mémoire la transcription des pancartes et de deux chartes produites par les moines vers la fin du XI$^\textup{e}$ siècle. / *During the last third of the 11th century, the monks of the abbey of Saint Rigaud (Ligny-en-Brionnais, Saône-et-Loire) produced several large pancartae. Each of these documents contains a copy of at least two texts, the originals of which have now disappeared. Most of them refer to donations received by the monks from powerful local lords shortly after the monastery was founded in 1065. Despite the wealth of these documents, the abbey, its monks and its pancartae remain largely unknown to historians. The aim of this dissertation is twofold. The first is to study the social meaning and structure of the pancartae from as broad an approach as possible, in order to understand the process by which they were written, the context in which they were created, and the material characteristics that distinguish them from other types of diplomatic writing, primarily the charter and the cartulary. A detailed study of their contents should then enable us to better understand what constitutes a pancarta -- why were certain texts chosen over others? -- and to restore the monks and the monastery to their rightful place in the landscape of the medieval Brionnais. The appendix to this dissertation contains transcriptions of the pancartae and two charters written by the monks towards the end of the 11th century.*
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Le doyenné de Candé aux XIe et XIIe siècles : Organisation de l'espace et structures sociales

Pecha, Michel 13 December 2006 (has links) (PDF)
La disparition de la romanité entraîne la dislocation des villae. L'habitat rural se disperse. La concentration des hommes débute sous les carolingiens pour culminer aux XIe et XIIe siècles. Les paroisses, émergentes au VIIIe siècle en cette région, se fragmentent et se multiplient dans les espaces reconquis. L'évêque Ulger, vers 1140, obtient la restitution des paroisses par les laïcs. La possession épiscopale est temporaire, les paroisses revenant aux abbayes. Des villages se créent autour de l'enceinte sacrée église cimetière, plus nettement dans le voisinage des châteaux, comtaux devenus seigneuries châtelaines par l'usurpation des droits du ban (affaiblissement du pouvoir comtal entre 1060 et 1109). A la fin de la période, le pouvoir politique est détenu par le sénéchal du lointain comte-roi, l'évêque contrôle les abbayes, celles-ci privilégient la longue durée, investissent, contrôlent et dominent l'espace et les hommes, les nobles, sacrifiant l'avenir au présent, abandonnent une part de revenus. Le peuple arrive à survivre par l'extension de l'ager. L'économie et la démographie progressent discrètement. Le territoire est, à la fin du XII siècle, entièrement humanisé.
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Eglises et abbayes romanes en Vendée

Dillange, Michel. January 1983 (has links)
Thesis (doctoral)--Université de Paris IV-Sorbonne, 1978. / Title on added t.p.: Répertoire scientifique des édifices religieux de l'époque romane dans le département de la Vendée. Includes bibliographical references (p. [247-262]).
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Abbayes, évêques et laïques, une politique du pouvoir en Hainaut au Moyen Age (VIIe-XIe siècle) /

Helvétius, Anne-Marie. January 1994 (has links)
Texte remanié de: Th.--Université libre de Bruxelles, 1991. / Bibliogr. p. 11-34.
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Palais-châteaux-abbayes-chapitres. Approche archéologique et historique des centres de pouvoir autour du pagus de Lomme au IXe-XIe siècle

Chantinne, Frédéric 24 September 2018 (has links)
Grâce aux apports de l’archéologie préventive ces dernières décennies, il est aujourd’hui possible de porter un nouveau regard sur le Premier Moyen Âge. En mobilisant toutes les sources disponibles, quelle que soit leur nature, notre objectif est d’éclairer le cadre matériel et la structure sociale de cette période difficile à appréhender des IXe-XIe siècles. Pour ce faire, nous avons fait le choix de nous pencher sur une région autour des vallées de la Meuse moyenne et de la Sambre, portant alors le nom de pagus de Lomme, aujourd’hui située au centre de la Wallonie. Nos régions étaient, à l’époque, organisées autour de ce que l’on peut appeler des « centres de pouvoirs », que l’on a qualifiés de palais, château, abbaye, chapitre,… remplissant chacun des fonctions comparables. Associés à des agglomérations, des « villes », ils servaient de lieu de centralité pour la gestion de matières économiques, politiques, religieuses, militaires, au cœur de territoires définis. Apparaît ainsi, en continuité avec l’Antiquité tardive, innervé par un réseau routier efficace permettant tant aux hommes qu’aux marchandises et aux matières premières de circuler, un monde dynamique, "connecté", berceau de notre cadre de vie. La recherche laisse entrevoir pour cette période un potentiel archéologique, un patrimoine méconnu, à étudier, à gérer, et à transmettre aux générations futures, alors qu’il ne cesse de disparaître chaque jour au gré des aménagements. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Une abbaye de renom à l'époque moderne : l'Abbaye aux Dames de Saintes (fin du XVe siècle - début XIXe siècle)

Tissot, Allan 16 April 2012 (has links) (PDF)
Entre la fin du Moyen Âge et la Révolution, l'histoire de l'abbaye de Saintes, deuxième communauté féminine de France par ses revenus, grand seigneur de sa province, s'avère incontournable tant pour la connaissance des communautés religieuses que celle de la Saintonge. Avoir recours aux actes notariaux et à toutes les sources externes disponibles permet de pallier la destruction des archives du monastère à la Révolution pour en établir une histoire globale.Le pouvoir royal ne parvient à y imposer la nomination des abbesses qu'en 1544, laissant se mettre en place une longue dynastie de supérieures de lignages du Sud-ouest. Après l'échec, en 1511 et 1530, de deux réformes de la communauté imposées par les autorités civiles, suite à une longue préparation dès le XVIe siècle, Françoise II de Foix, réussit durablement à mettre fin à des abus remontant au Moyen Âge. Rapportés par un journal janséniste, les épisodes mystiques extrêmes vécus par les moniales (1777-1787) défraient la chronique. Révélant l'isolement spirituel d'une communauté contemplative à l'époque des Lumières, ils sont riches de sens pour la connaissance de l'existence de pratiques surannées et de l'évolution des mentalités. C'est l'occasion pour l'évêque et la noblesse locale d'un projet de remplacement de l'abbaye par un chapitre de chanoinesses. Si des filles de parlementaires puis de négociants entrèrent à l'abbaye respectivement aux XVIIe et XVIIIe siècles, la vieille noblesse du Centre-ouest domina constamment l'effectif. La prise d'habit doit être située dans le cadre de stratégies familiales et servait à marquer une ascension sociale lignagère. Toute-puissance des abbesses, moniales vivant dans un relatif confort, la lecture tenant une grande place. Faisant preuve de ferveur, l'abbaye reçoit les courants spirituels successifs. A la Renaissance, elle protège des humanistes. Au XVIIe siècle, elle adhère de manière passionnée au jansénisme puis suit la voie du rigorisme avant de choisir une direction jésuite. Le monastère conserve son patrimoine à l'issue de nombreux procès. Il mène une politique de charité limitée eu égard à ses revenus mais s'avérant efficace. S'appuyant sur des receveurs ou des fermiers bien renseignées et ambitieux, il met en valeur efficacement ses biens, développant les brûleries à Oléron et faisant précocement assécher des marais en Poitou au prix de conflits. Les fermiers, souvent des proches des abbesses, connaissent une ascension qui les amènera à occuper les principales fonctions politiques après la Révolution, établissant ainsi une continuité inattendue entre Ancien et Nouveau Régime.
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Aristocratie et communautés religieuses aux marges septentrionales du royaume de France (fin IXe - début XIIe siècles) : le cas du diocèse de Noyon / Aristocracy and religious communities in Northern margins of kingdom of France (end of the 9th beginning of the 12th centuries). : the case of the diocese of Noyon

Chaffenet, Paul 16 June 2017 (has links)
À l'échelle du nord du royaume de France et plus spécialement de la Picardie médiévale, l'histoire du diocèse de Noyon, appréhendée du point de vue des rapports entre l'aristocratie et les communautés religieuses de la fin du IXe au début du XIIe siècles, révèle une relative exception documentaire : en Vermandois comme en Noyonnais, une certaine profusion de sources (essentiellement diplomatiques) permet une compréhension affinée de la place des abbayes et des chapitres dans les manifestations des politiques religieuses séculières. Les mêmes sources imposent d'accorder une attention particulière, mais non exclusive, aux politiques comtales et épiscopales en la matière. Or, pour l'ensemble de la période choisie, ces dernières ont été trop souvent perçues comme des blocs structurés et linéaires. Il convient de dépasser ces impressions d'homogénéité et d'immobilisme en montrant la diversité et l'évolution des influences réciproques unissant d'une part les communautés religieuses, d'autre part les comtes de Vermandois et les évêques de Noyon. Alors que les églises du diocèse étudié ont été considérées comme des lieux phares d'expression de la fidélité de l'aristocratie de second rang à l'égard des hauts pouvoirs princiers, il nous faut également questionner les comportements religieux de l'ensemble des puissants (spécialement châtelains) afin de montrer en quoi ils témoignent d'attitudes individualisées et contribuent à dessiner les contours des pouvoirs locaux. En d'autres termes, les rapports entre les aristocrates et les communautés religieuses, étudiés à la fois dans leur aspect matériel et spirituel, s'inscrivent-ils dans des sociétés politiques polarisées par le prince, que ce dernier soit évêque de Noyon, comte de Vermandois ou encore châtelain ? / In the north of the kingdom of France and more particularly in mediaeval Picardy, the history of the diocese of Noyon, apprehended from the point of view of the relations between aristocracy and religious communities from the end of the 9th to the beginning of the 12th centuries, reveals a relative documentary exception : in Vermandois as in Noyonnais, a certain profusion of sources (essentially diplomatic) allows a refined understanding of the place of the abbeys and chapters in manifestations of secular religious policies. The same sources require special but not exclusive attention to the policies of the counts and of the bishops in this area. However, for the whole period chosen, the latter were too often perceived as structured and linear blocks. It is necessary to overcome these impressions of homogeneity and immobility by showing the diversity and evolution of the reciprocal influences uniting on the one hand the religious communities, on the other hand the counts of Vermandois and the bishops of Noyon. While the churches of the studied diocese have been regarded as key places of expression of the fidelity of the second-rate aristocracy towards the high princely powers, we must also question the religious behavior of all the powerful (especially castellan) in order to show how they demonstrate individualized attitudes and contribute to drawing the contours of local authorities. In other words, the relations between aristocrats and religious communities, studied both in their material and spiritual aspects, are part of political societies polarized by the prince, whether the latter is bishop of Noyon, count of Vermandois or even castellan ?
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Aristocratie et communautés religieuses aux marges septentrionales du royaume de France (fin IXe-début XIIe siècles). Le cas du diocèse de Noyon

Chaffenet, Paul 16 June 2017 (has links)
À l'échelle du nord du royaume de France et plus spécialement de la Picardie médiévale, l'histoire du diocèse de Noyon, appréhendée du point de vue des rapports entre l'aristocratie et les communautés religieuses de la fin du IXe au début du XIIe siècles, révèle une relative exception documentaire :en Vermandois comme en Noyonnais, une certaine profusion de sources (essentiellement diplomatiques) permet une compréhension affinée de la place des abbayes et des chapitres dans la manifestation des politiques religieuses séculières. Les mêmes sources imposent d'accorder une attention particulière, mais non exclusive, aux politiques comtales et épiscopales en la matière. Or, pour l'ensemble de la période choisie, ces dernières ont été trop souvent perçues comme des blocs structurés et linéaires. Il convient de dépasser ces impressions d'homogénéité et d'immobilisme en montrant la diversité et l'évolution des influences réciproques unissant d'une part les communautés religieuses, d'autre part les comtes de Vermandois et les évêques de Noyon. Alors que les églises du diocèse étudié ont été considérées comme des lieux phares d'expression de la fidélité de l'aristocratie de second rang à l'égard des hauts pouvoirs princiers, il nous faut également questionner les comportements religieux de l'ensemble des puissants (spécialement châtelains) afin de montrer en quoi ils témoignent d'attitudes individualisées et contribuent à dessiner les contours des pouvoirs locaux. En d'autres termes, les rapports entre les aristocrates et les communautés religieuses, étudiés à la fois dans leur aspect matériel et spirituel, s'inscrivent-ils dans des sociétés politiques polarisées par le prince, que ce dernier soit évêque de Noyon, comte de Vermandois ou encore châtelain ? / In the north of the kingdom of France and more particularly in mediaeval Picardy, the history of the diocese of Noyon, apprehended from the point of view of the relations between aristocracy and religious communities from the end of the 9th to the beginning of the 12th centuries, reveals a relative documentary exception :in Vermandois as in Noyonnais, a certain profusion of sources (essentially diplomatic) allows a refined understanding of the place of the abbeys and chapters in the manifestation of secular religious policies. The same sources require special but not exclusive attention to the comital and episcopal policies in this area. However, for the whole period chosen, the latter were too often perceived as structured and linear blocks. It is necessary to overcome these impressions of homogeneity and immobility by showing the diversity and evolution of the reciprocal influences uniting on the one hand the religious communities, on the other hand the counts of Vermandois and the bishops of Noyon. While the churches of the studied diocese have been regarded as key places of expression of the fidelity of the second-rate aristocracy towards the high princely powers, we must also question the religious behavior of all the powerful (especially castellan) in order to show how they demonstrate individualized attitudes and contribute to drawing the contours of local authorities. In other words, the relations between aristocrats and religious communities, studied both in their material and spiritual aspects, are part of political societies polarized by the prince, whether the latter is bishop of Noyon, count of Vermandois or even castellan ? / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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