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Extra-Musical Associations in Selected Pieces From Années de Pélerinage, Troisième Année, by Franz Liszt: A Lecture Recital, Together with Three Recitals of Selected Works of D. Scarlatti, F.J. Haydn, L.v. Beethoven, F. Schubert, F. Chopin, J. Brahms, R. Schumann, and Others

Lively, Judy Sharon 08 1900 (has links)
Volumes one and two of Annees de Pelerinage contain travel impressions. The pieces in volume three serve as a means of expressing a religious pilgrimage. The religiousmeaning is implied by the titles and by letters Liszt wrote concerning specific pieces. For the pieces to have programmatic significance, the music must support the verbal clues. This dissertation maintains that selected pieces in Annees de Pelerinage III are programmatic and that Liszt provided musical clues that have not been discovered or, if noticed, have not been analyzed in detail. Also, the dissertation explores similarities between selected pieces of Annees de Pelerinage III and other programmatic or texted works by Liszt sharing the same subject. The findings reinforce the premise that Liszt deliberately intended to express certain extra-musical ideas within the music itself. The paper briefly analyzes the musical reasons for labeling Annees de Pelerinaae III a cycle. Different sources call these pieces cyclic, citing the shared common religious theme as the reason. This dissertation discusses musical reasons that reinforce the idea of a cycle. Chapter II discusses Liszt's views on program music. Chapter III identifies common themes in Liszt's programmatic works and discusses the symbolic significance of thematic transformation. Chapter IV suggests an approach to analyzing program music. Chapter V discusses Liszt's musical narrative and his use of common rhetorical devices. Chapter VI analyzes extra-musical associations in selected pieces from the Annees de Pelerinaae—Troisieme Annee. Five pieces have been selected for analysis—Anaelus1. Aux Cypres de la Villa d'Este I and II, Marche funebre. and Sursum corda.
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Le "mouvement de 77" : perceptions littéraires / The movement of 1977 : literary perceptions

Hunin, Juliette 13 January 2011 (has links)
Neuf ans après 1968, l’Italie connaît une nouvelle année d’agitation. Pendant quelques mois la péninsule est parcourue par un mouvement social, politique et culturel extrêmement vigoureux et offensif qui prendra le nom de « mouvement de 77 ». Cette contestation irrévérencieuse évoluera au fil des mois : les manifestations vont se tacher de sang et le « mouvement de 77 » se radicaliser. Mais il sera vite oublié, l’Italie se précipitant, le 16 mars 1978 avec l’enlèvement d’Aldo Moro, au cœur de ce que l’on nomme les « années de plomb ». De ce fait l’historiographie italienne mentionne rarement cette année de mobilisation, et seuls quelques romanciers ont été inspirés par le mouvement insurrectionnel de 1977. Nous dégagerons les raisons littéraires qui ont poussé les écrivains à s’emparer du « mouvement de 77 », afin de comprendre l’exploration paradoxale de cette année : d’un côté volontairement refoulée de l’histoire et de la littérature, de l’autre instrumentalisée afin d’illustrer les valeurs, les échecs ou les victoires de toute une génération. Comment les écrivains ont-ils évoqué ce mouvement ? Comment se sont-ils mesurés à ses enjeux, à ses dérives et à ce qu’il représente ? Quelles solutions narratives ont-ils exploré pour en rendre compte ? Comment leurs textes répondent-ils aux « mythes », ces conceptions dominantes et réductrices que la société italienne, traumatisée par cette période de son histoire, a produit envers cette jeunesse contestatrice ? Nous suivrons la diachronie des perceptions littéraires de cet événement, de 1979 à 2007, à travers les œuvres de Bruno Arpaia, Nanni Balestrini, Ferdinando Camon, Enrico Palandri, Paolo Pozzi et Luca Rastello. / Nine years after 1968, Italia is going again through one year of agitation. For a few months, the peninsula is crossed over by a social, political and cultural movement, extremely vigorous and offensive, that was named "movement of ’77". This irreverent contestation is going to change with the passing months : the demonstrations become bloody and the movement of ’77 turns to more radicalism. But it will be soon forgotten when Italia, on the 16th of March 1978, day of the kidnapping of Aldo Moro, will rush into the heart of what were called the "Years of Lead". Thus, the italian historiography rarely mentions this year of mobilisation, and only a few italian novelists were inspired by the insurrectionary movement of 1977. We will draw the literary reasons that led those novelists to take over the "movement of ’77", in order to understand the paradoxical exploration of that year which was on one side forgotten by the history of literature, and on the other side used to illustrate the values, the failures and the victory of a whole generation. How did the writers picture that movement? How did they confront its stakes, its drifts, and what it represents? What are the narrative solutions they have found to express it? How do their texts answer to the "myths", these dominating and reducing conceptions that the italian society, traumatised by this period of its history, have brought to the contestating youth? We will follow the diachrony of the literary perceptions of that event, from 1979 to 2007, through the works of Bruno Arpaia, Nanni Balestrini, Ferdinando Camon, Enrico Palandri, Paolo Pozzi and Luca Rastello.
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Effets soutenus d'un programme d'enrichissement de la lecture implanté en première année du primaire

Bergeron, Laurence January 2007 (has links) (PDF)
L'importance de la lecture n'a plus à être démontrée. Cet apprentissage, long et complexe, permet l'accès à tout un monde de formation et d'informations. Il importe donc de prévenir les difficultés pouvant survenir lors de l'acquisition de cette habileté, en intervenant rapidement. C'est dans une telle optique qu'ont été développés et testés plusieurs programmes d'enrichissement de la lecture s'adressant aux élèves du début du primaire. Ce mémoire vise à évaluer les effets d'un programme destiné aux élèves de première année, Apprendre à lire à deux. En particulier, le mémoire cherche à déterminer si ce programme exerce un effet préventif, c'est-à-dire s'il y a un effet positif soutenu sur les habiletés en lecture des élèves. Trente et un enseignants et leurs élèves ont participé à l'étude. Un schème expérimental a été utilisé. Les classes de première année ont été assignées au hasard à une condition contrôle (activités régulières d'enseignement) ou à une condition intervention. Dans les classes de cette dernière condition, l'enseignement de la lecture a été enrichi à l'aide des activités du programme Apprendre à lire à deux. Les activités visaient l'apprentissage des habiletés suivantes: connaître le son des lettres, décoder des mots réguliers et lire globalement des mots irréguliers. De plus, les élèves devaient lire de courtes histoires. Les activités étaient réalisées en tutorat par les pairs, c'est-à-dire que les élèves étaient jumelés deux à deux, un plus fort avec un plus faible. Les habiletés en lecture de sept élèves (cinq faibles et deux moyens) par classe ont été évaluées immédiatement après que les activités aient été discontinuées, soit à la fin de la première année, et un an plus tard, alors que les élèves étaient à la fin de leur deuxième année du primaire. Des analyses descriptives (tailles d'effet) et inférentielles (multi-niveaux) ont été réalisées afin de déterminer si l'intervention avait des effets immédiats au post-test et si ces éventuels effets bénéfiques se maintenaient avec le temps, c'est-à-dire s'ils étaient encore détectables au suivi. Ces analyses ont été réalisées séparément pour les élèves initialement faibles et moyens, parce que nous avions formulé l'hypothèse que les acquis seraient plus susceptibles de s'estomper entre le post-test et le suivi pour les élèves les plus faibles. Les analyses réalisées au post-test à la fin de la première année indiquent que le programme a eu des effets bénéfiques sur les habiletés en lecture des élèves, en particulier pour les élèves moyens, mais aussi pour les élèves faibles. Malheureusement, ces acquis se sont généralement estompés entre le post-test et le suivi, sauf en ce qui concerne les habiletés de décodage des élèves faibles. Contrairement à ce qui était prévu, c'est donc chez ces derniers élèves que des acquis durables ont été observés. Nous considérons que les résultats sur la dissipation des gains en lecture indiquent qu'il est préférable de miser sur un enrichissement continu de l'enseignement de la lecture plutôt que sur une approche strictement préventive, c'est-à-dire visant uniquement les élèves plus jeunes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Enseignement, Lecture, Première année primaire, Effets soutenus, Tutorat par les pairs.
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La maîtrise de l'orthographe lexicale du français et de l'espagnol

Mayard, Sony January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire est une étude sur la maitrise de l'orthographe lexicale du français et de l'espagnol. Des spécialistes de l'orthographe affirment que les scripteurs hispanophones sont plus compétents que les francophones. Ils ne s'appuient pourtant sur aucune étude empirique pour justifier leurs affirmations. Par cette étude qui compare la compétence orthographique de 42 élèves mexicains et de 42 élèves québécois de sixième année, nous avons essayé de vérifier la véracité de ces affirmations à l'aide de quatre dictées administrées à chaque groupe dans sa langue. Le deuxième but de cette étude est de voir si une réforme peut aider les francophones à être plus compétents dans l'orthographe de leur langue. Les différents sujets abordés dans le cadre théorique sont les graphèmes et les phonèmes, l'orthographe grammaticale et lexicale, l'apprentissage de l'orthographe lexicale, les échelles de fréquences, les projets de réforme, et la typologie des erreurs. Nous avons énoncé les hypothèses suivantes: Les hispanophones devraient présenter le plus haut taux de réussite (en lien avec les affirmations des spécialistes) ; les mots non maitrisés se retrouveront parmi les mots peu fréquents (PF) (en lien avec les échelles de fréquence et les théories sur l'apprentissage de l'orthographe lexicale). Notre méthode repose sur le dénombrement de toutes les graphies erronées et une analyse graphique des types d'erreurs lexicales. Les résultats obtenus montrent une meilleure compétence des hispanophones sur le plan de l'orthographe grammaticale. Sur le plan de l'orthographe lexicale, nos résultats permettent de voir que les hispanophones produisent autant de graphies erronées que les francophones. Cependant, l'analyse des graphies montre une meilleure compétence lexicale des hispanophones. Cette étude cherchera également à savoir si certaines des réformes proposées du système orthographique français permettraient aux scripteurs francophones d'être plus compétents dans leur langue. Chez les hispanophones, il serait utile de poursuivre la réforme en s'attardant sur l'accent tonique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Orthographe, Réforme, Lexicale, Compétence.
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Effets d'une séquence d'enseignement de la préécriture sur la motivation des élèves à écrire des textes variés en première secondaire

Boulianne, Mélanie January 2008 (has links) (PDF)
La production de textes variés est une activité de résolution de problèmes nécessitant l'activation de nombreux processus. La complexité de cette tâche nécessite un engagement cognitif, métacognitif et affectif de l'élève, c'est-à-dire une grande motivation qui n'est malheureusement l'apanage que de quelques élèves. En effet, la perception de la valeur de la tâche et de ses compétences à l'accomplir ne sont que quelques variables qui peuvent créer obstacle à l'écriture. Certains élèves éprouvent des difficultés dès la préécriture, d'autres en auront davantage lors de la mise en texte ou au moment de la révision. Bien que plusieurs enseignants accordent une grande importance à la révision de textes, peu consacrent beaucoup d'énergie à la première étape du processus d'écriture, c'est-à-dire la préécriture. Pourtant, la démarche liée à la préécriture permettant à l'élève de bien préparer la mise en texte ainsi que de le commencer avec plus de confiance devrait être davantage enseignée afin de motiver les élèves à écrire. Nous avons élaboré une séquence d'enseignement à partir des recherches de Hayes et Flower sur la production de textes. Un portfolio en écriture créé par Fortier et Préfontaine (2005a), permettant à l'élève de connaître toutes les dimensions de la préécriture, a été utilisé pour construire la séquence d'enseignement. À la fin de la séquence, les élèves devaient reconnaître l'utilité des différentes étapes de la préécriture et se sentir habiles à les utiliser. Ils devaient ainsi être en mesure d'identifier correctement la tâche d'écriture, d'identifier leur intention d'écriture, d'identifier le destinataire de leur texte, de prévoir les difficuItés qu' iIs pourraient rencontrer ainsi que les forces qu'ils se reconnaissent. Enfin, ils devaient être capables de faire un remue-méninges, de créer un plan facilitant leur travail et de collaborer avec leurs camarades de classe tout au long de cette préécriture. Les variables retenues pour l'analyse ont été la connaissance des étapes de préécriture, la perception de la compétence par les élèves à accomplir ces étapes et la valeur qu'ils leur accordent. Le travail avec les sujets a d'abord consisté à recueillir leurs connaissances relatives à des activités de préécriture, leur sentiment de compétence face à celles-ci et leur perception de la valeur des activités avant la séquence d'enseignement par le biais d'un questionnaire comportant 42 questions. Puis, les élèves ont vécu différentes activités d'écriture afin de se familiariser avec toutes les étapes de la préécriture. À la suite de la séquence d'enseignement, les élèves ont répondu à nouveau au même questionnaire afin de vérifier si la séquence avait des effets sur leur motivation à écrire. Lors du prétest et du post-test, six élèves, retenus selon leurs résultats scolaires (deux faibles, deux moyens, deux forts) ont participé à des entrevues semi-dirigées afin d'apporter un éclairage sur certaines questions. L'analyse des résultats a montré que le fait d'enseigner la préécriture permet aux élèves de reconnaître une valeur à la tâche de préécriture et de bien comprendre l'importance de l'intention d'écriture, du destinataire, du remue-méninges et du plan. Toutefois, le fait que les élèves se sentent compétents pour faire leur préécriture ne s'est pas révélé comme un facteur assez considérable pour rendre les élèves plus motivés à écrire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Préécriture, Planification, Motivation, Écriture, Textes variés, Secondaire.
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Analyse de facteurs prédisant la reconnaissance et la rapidité de reconnaissance des congénères interlinguaux par des élèves anglophones de première secondaire lisant en français

Hébert, Nancy January 2007 (has links) (PDF)
Le lexique est à la base de tout langage. Son apprentissage dans une langue seconde prend du temps et peut parfois être ardu. Cependant, une certaine parenté entre la langue première et la langue seconde d'un apprenant peut en accélérer l'apprentissage. Bien que la présence de congénères interlinguaux (mots de même origine étymologique) dans des textes puisse aider l'élève à comprendre plus facilement, il n'en demeure pas moins que leur reconnaissance n'est pas nécessairement simple et peut poser certains problèmes d'interprétation, liés à l'existence des faux amis. En effet, les variations orthographiques ou sémantiques entre les deux langues peuvent l'induire en erreur et, à la longue, le faire hésiter par méfiance dès qu'il rencontre un mot apparenté. Nous savons, grâce à de nombreuses études sur le sujet, que les congénères interlinguaux ne sont généralement pas reconnus spontanément, sans enseignement préalable. Certains sont reconnaissables, d'autres pas. Est-il possible de prédire systématiquement lesquels seront reconnus et lesquels ne le seront pas? Notre recherche descriptive vise donc, de façon globale, à mesurer la capacité de 21 élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde de base, à reconnaître des congénères avant même qu'on ne leur enseigne l'origine étymologique des mots ou la présence de mots apparentés. Pour ce faire, nous reproduisons partiellement et élargissons une étude menée par Moss (1992) auprès d'étudiants hispanophones apprenant l'anglais. Ainsi, trois objectifs sont poursuivis. Le premier consiste à déterminer, parmi des variables lexicales à plusieurs niveaux (longueur du mot, nombre de différences orthographiques, classe du mot, type de changement orthographique), celles qui peuvent prédire la récognition ou la non-récognition des congénères chez des élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde. Le second objectif est de vérifier si la présence d'un contexte peut également prédire cette récognition. Le dernier vise à observer si ces mêmes variables peuvent prédire la rapidité de reconnaissance des congénères. Sur le plan méthodologique, nous avons créé et utilisé principalement deux types de tests: un test de traduction (sur papier) et un de temps de réaction (sur support informatique). La partie A du premier test contenait une liste de congénères (hors contexte) et la partie B, des congénères soulignés dans des phrases (en contexte). Chaque élève devait tenter de traduire sans aide chacun des congénères. Le deuxième test, quant à lui, présentait à l'écran d'un ordinateur une suite de congénères (hors contexte): chaque élève devait indiquer le plus rapidement possible si elle reconnaissait le mot ou non (le temps de réaction était calculé en millisecondes). Tous les congénères utilisés ont ensuite été codés dans un tableur électronique en fonction des différentes variables étudiées, de façon à permettre le calcul de coefficients de corrélation entre la reconnaissance, la rapidité de reconnaissance et les aspects. Les résultats du test de traduction ont révélé que la combinaison de sept des niveaux de variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe nominale, voyelles ajoutées, voyelle remplacée par une consonne, consonne remplacée par une voyelle, total des différences sur les plans des voyelles et des consonnes) avec l'absence de contexte ont prédit une non-récognition des congénères. En contexte, trois niveaux de variables ont prédit une non-récognition (classe adjectivale, voyelle remplacée par une consonne et consonne remplacée par une voyelle) alors que deux ont prédit l'inverse (voyelle effacée et consonne remplacée par une autre consonne). Ainsi, seulement deux niveaux de variables, soit le remplacement d'une consonne par une voyelle et d'une voyelle par une consonne, ont donné une prédiction similaire dans les deux parties du test. Pour ce qui est des résultats du test de réaction, sept niveaux des variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe adverbiale, dernière lettre différente, voyelle remplacée par une autre voyelle, consonne effacée et total des différences sur le plan des voyelles et des consonnes) ont prédit un ralentissement de la reconnaissance des congénères. Nous confirmons que la reconnaissance des congénères ne va pas de soi et recommandons aux enseignants de planifier et de structurer l'enseignement des congénères en tenant compte des facteurs pouvant en prédire la reconnaissance ou la non-reconnaissance lors de l'apprentissage (le nombre de lettres différentes, la différence proportionnelle et les différences sur le plan des consonnes) par exemple en misant davantage sur le contexte interne du congénère, en enseignant diverses stratégies de lecture et en ayant recours à une variété de support dont l'informatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Congénères interlinguaux, Faux amis, Vocabulaire réceptif, Français langue seconde, Temps de réaction, Mémoire, Transfert.
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Comparaison de la réussite des élèves dans la réduction d'expressions algébriques et numériques contenant des puissances

Lacroix, Jean-Frédéric January 2006 (has links) (PDF)
Plusieurs recherches ont analysé les difficultés des élèves en algèbre, ainsi que les discontinuités entre les domaines de l'arithmétique et de l'algèbre. Souvent, les élèves n'ont pas une bonne compréhension des relations entre ces domaines. Cette recherche s'intéresse à ce phénomène à travers la notion de réduction d'expressions numériques et algébriques contenant des puissances. Ce mémoire tente de répondre à la question de recherche suivante: est-ce que les élèves réussissent mieux à réduire des expressions algébriques contenant des puissances que des expressions numériques contenant des puissances? Un questionnaire composé d'expressions semblables à réduire a été soumis à des élèves de 3e à 5e secondaire. Ces expressions présentaient des produits de puissances, des quotients de puissances, ainsi que des expressions mixtes. Chaque expression numérique contenant des puissances a été associée à une expression algébrique semblable contenant des puissances. Aussi, certains triplets de questions ont été déterminés. On a comparé les pourcentages de réussite aux questions associées pour l'ensemble des répondants. L'interprétation des résultats a montré que la réussite des élèves à réduire des expressions algébriques ou numériques contenant des puissances dépend de plusieurs facteurs. Mais, en spécifiant qu'il y a certaines exceptions, les résultats indiquent une tendance: les élèves réussissent mieux à réduire des expressions présentant des bases algébriques, plutôt que des bases numériques mais souvent, ils réussissent mieux à réduire des expressions présentant des exposants numériques plutôt que des exposants algébriques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Arithmétique et algèbre, Puissances, Expressions algébriques, Expressions numériques, Expressions avec exposants.
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L'impact de l'approche des orthographes approchées en situations coopératives sur le comportement stratégique et les conceptions des scripteurs du premier cycle du primaire

Marion, Isabelle 12 1900 (has links) (PDF)
La présente recherche répond à la problématique actuelle vécue par les élèves en français, concernant les difficultés observées en écriture, particulièrement en ce qui concerne l'orthographe. En effet, cette étude s'intéresse, notamment, au développement orthographique des scripteurs du premier cycle du primaire à travers l'apport d'approches actives et novatrices pour l'apprentissage de l'écriture. L'apprentissage de l'écriture est un facteur important pour la réussite scolaire des élèves ainsi que leur insertion dans la vie en société. Toutefois, le développement de l'habileté à écrire présente certaines difficultés pour les scripteurs débutants. Les approches traditionnelles utilisées dans certaines classes présentent des limites importantes quant au développement de la langue écrite chez les élèves. Le recours à de nouvelles approches, telles que les orthographes approchées, la pédagogie de l'erreur et l'apprentissage coopératif, s'avère donc une alternative profitable pour le développement de l'écrit chez les scripteurs novices en favorisant les essais, la réflexion sur la langue, les discussions entre pairs et le partage de stratégies. L'objectif de la présente recherche est donc de décrire l'impact de tâches d'écriture coopératives, inspirées de l'approche des orthographes approchées, sur le comportement stratégique et les conceptions d'élèves du premier cycle du primaire en écriture. Le comportement stratégique observé concerne principalement les stratégies orthographiques alors que les conceptions des élèves font référence à l'erreur et à la coopération. Afin de répondre aux objectifs de recherche, des tâches d'écriture coopératives ont été créées par la chercheuse et expérimentées par une enseignante de première année auprès de 19 élèves. Des entrevues individuelles dirigées ont été conduites auprès des élèves avant et après l'expérimentation en classe afin de recueillir les impressions des élèves sur diverses facettes liées à l'écriture, à l'erreur et à la coopération. L'analyse des résultats a permis de comparer les réponses fournies par les élèves entre les deux moments de l'entrevue. L'analyse a mis de l'avant l'impact positif des tâches d'écriture perçu chez les élèves sur les plans affectif, social, cognitif et métacognitif. Des changements de conceptions positifs se perçoivent face à l'écriture, à l'erreur et à la coopération. De plus, un effet positif sur les stratégies orthographiques est visible par une augmentation des références chez les élèves à l'utilisation de stratégies phonologiques et lexicales en écriture. Cette étude met donc en lumière l'avenue intéressante qu'offre la combinaison de la pratique des orthographes approchées et de l'apprentissage coopératif pour l'apprentissage de l'écriture et le développement orthographique des élèves de première année du primaire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture, scripteur novice, orthographes approchées, apprentissage coopératif, erreur.
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Effets d'un enseignement grammatical coordonné et simultané en anglais L1 et en français L2 sur les perceptions et les connaissances d'élèves de deuxième secondaire

Quevillon Lacasse, Claude 04 1900 (has links) (PDF)
La dernière réforme scolaire au Québec prône la collaboration entre enseignants d'un même cycle au secondaire, mais rares sont les écoles secondaires anglophones québécoises où les enseignants d'anglais langue maternelle (L1) et de français langue seconde (L2) travaillent de concert. Par ailleurs, l'enseignement grammatical diffère largement en anglais L1, où il est pratiquement absent, et en français L2, où il sert de base à la structure des cours. Plusieurs recherches ont pourtant prouvé les effets positifs du transfert translinguistique, notamment pour l'apprentissage de la grammaire dans la L2. Au-delà des différences dans l'enseignement grammatical, il existe également des divergences importantes sur le plan des perceptions des élèves et des enseignants face à la grammaire et à son enseignement, en anglais L1 versus en L2. Des exemples de collaboration entre enseignants donnent un aperçu des changements positifs, sur le plan des perceptions et des connaissances grammaticales, que peut engendrer la coordination de l'enseignement grammatical en L1 et en L2. Dans le cadre du présent mémoire, nous avons conçu des questionnaires sondant les perceptions d'élèves du secondaire face à l'enseignement grammatical dans leurs cours d'anglais L1 et de français L2, des séquences didactiques coordonnées en anglais L1 et en français L2, et des tests mesurant les connaissances de l'élément grammatical sélectionné. L'aspect grammatical choisi est l'emploi du passé composé et de l'imparfait en français L2, et l'emploi du Simple Past et du Past Progressive en anglais L1. Nous avons mesuré les perceptions et les connaissances d'élèves de deuxième secondaire avant et après les séquences didactiques, qui se sont déroulées de façon plus ou moins simultanée, dans un groupe expérimental (n = 37) et un groupe témoin (n = 34), celui-ci ayant seulement suivi la séquence didactique en français L2. Nous avons également observé en personne le déroulement des séquences didactiques et avons conduit de courtes entrevues à la suite de l'expérimentation, auprès d'élèves bénévoles et des deux enseignants des groupes-classes expérimentaux. Nos résultats démontrent que les perceptions des élèves étaient généralement plus positives à la suite du traitement grammatical coordonné et simultané en anglais L1 et en français L2 chez les élèves du groupe expérimental que chez les élèves du groupe témoin. De plus, les élèves du groupe expérimental ont mieux réussi à la section des tests mesurant leurs connaissances grammaticales déclaratives, qui étaient d'ailleurs corrélées à des perceptions positives face à l'enseignement grammatical, tant en anglais L1 qu'en français L2. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : enseignement grammatical, anglais L1, français L2, collaboration entre enseignants
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Le destinataire dans des textes d'élèves de 5e secondaire : une comparaison avant et après un enseignement explicite

Girouard, Christian 12 1900 (has links) (PDF)
Avant d'en arriver à l'écriture d'un texte argumentatif pertinent et cohérent, un long processus d'apprentissage doit s'enclencher. Plusieurs notions doivent composer cet apprentissage : thèse, arguments, citations, structure de texte, stratégies argumentatives, procédés explicatifs, etc. Il y a une notion parmi ces différents apprentissages qui a un lien avec chacun de ceux-ci : la notion de destinataire. En effet, prendre en considération son ou ses destinataires est essentiel dans la réalisation de tous ces apprentissages. Convaincre ses destinataires est même le but principal d'un texte argumentatif. Pourtant, comme nous le démontrerons dans notre mémoire de maîtrise, cette notion est peu enseignée dans les écoles. Nous avons voulu étudier ce problème. Nous avons donc créé une séquence d'enseignement basée sur les principes de l'enseignement explicite et appuyée par les travaux de Rosenshine (1986) qui se sont intéressés à cette méthode d'enseignement. L'enseignement explicite permet d'enseigner une notion de façon morcelée, ce qui aide les scripteurs à en comprendre l'importance. Après avoir écrit un premier texte argumentatif, un groupe de sujets (groupe 1) a reçu l'enseignement explicite de la notion de destinataire. Après cet enseignement, les mêmes sujets ont écrit un second texte. Nous avons construit, à partir des différents contenus théoriques, une grille d'observation des différentes traces du destinataire, qui nous a servi pour analyser les différentes traces présentes dans les deux textes et afin d'en déterminer la fréquence et la qualité. Nous avons utilisé cette même grille afin d'analyser également les traces que les sujets du groupe 2, qui n'ont pas reçu l'enseignement explicite de la notion, ont laissées dans leurs textes, afin d'en déterminer la fréquence et la qualité. Nous avons également utilisé la méthode de l'appariement des sujets afin de constater la quantité et le type de traces laissées par des paires de deux sujets de même calibre. L'analyse des résultats obtenus démontre, en général, que les sujets de groupe 1, ayant reçu l'enseignement explicite, ont augmenté la fréquence et la qualité des traces liées à leurs destinataires. De plus, ces résultats ont démontré, en général, que les sujets du groupe 2, n'ayant pas reçu l'enseignement explicite, ont laissé autant ou moins de traces dans le second texte produit que dans le premier. De façon globale, puisque les sujets ayant reçu l'enseignement explicite ont amélioré le nombre de traces en lien avec la notion de destinataire et leur qualité, nous croyons qu'ils ont davantage compris cette notion que ceux qui n'ont pas reçu cet enseignement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture, destinataire, enseignement explicite, appariement de sujets

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