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Reconnaissance des faux-amis en relation à la taille du vocabulaire et en réponse à un feedback : une étude en salle de classe secondaire

Bergeron, Natacha January 2006 (has links) (PDF)
La présente étude a été effectuée à l'aide de 104 apprenants d'une école secondaire privée de la rive-nord de Montréal ayant tous le français comme L1 et l'anglais comme L2 et qui ont eu leur sensibilisation mise à l'épreuve à savoir s'ils sauraient faire la distinction entre un congénère (un transfert positif de leur L1) et un faux-amis (FA, un transfert négatif de leur L2). Le but de l'étude était de savoir si une telle sensibilisation pourrait être enseignée ou si une connaissance plus approfondie du vocabulaire aiderait un apprenant à être plus réceptif à la question des faux-amis et congénères. Afin d'avoir une base de comparaison entre les apprenants, un examen de la taille du vocabulaire, le Vocabulary Levels Test (VLT) a été utilisé ainsi qu'un examen de reconnaissance de FA. Le VLT permet d'évaluer la quantité de vocabulaire passif selon divers niveaux de fréquence. De plus, une production écrite de chaque participant a permis de tracer un autre profil lexical. Ces résultats ont démontré une grande différentiation entre le vocabulaire passif, mais non à l'actif: tous les participants ont un vocabulaire actif comparable, et ce, peu importe leur degré de vocabulaire passif. De plus, ils utilisent un pourcentage de congénères comparable à un échantillon d'un texte littéraire anglophone. La trouvaille principale de l'étude est que les apprenants qui ont atteint une connaissance de 5000 familles de mots sont significativement plus réceptifs que ceux ayant un vocabulaire plus petit en ce qui a trait à la différenciation entre les congénères et FA. Pour ce qui est de la sensibilisation à la question des FA par l'enseignant, les résultats de l'étude démontrent clairement que les apprenants n'ont pas bénéficié d'une approche telle que celle utilisée lors de l'étude; ils n'en ont été que mélangés, et ce, peu importe leur degré de connaissance. Le mieux serait donc d'enrichir leur vocabulaire passif.
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Idiomatische falsche Freunde im deutsch-schwedischen Wortschatz

Belin, Anna January 2008 (has links)
No description available.
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Analyse de facteurs prédisant la reconnaissance et la rapidité de reconnaissance des congénères interlinguaux par des élèves anglophones de première secondaire lisant en français

Hébert, Nancy January 2007 (has links) (PDF)
Le lexique est à la base de tout langage. Son apprentissage dans une langue seconde prend du temps et peut parfois être ardu. Cependant, une certaine parenté entre la langue première et la langue seconde d'un apprenant peut en accélérer l'apprentissage. Bien que la présence de congénères interlinguaux (mots de même origine étymologique) dans des textes puisse aider l'élève à comprendre plus facilement, il n'en demeure pas moins que leur reconnaissance n'est pas nécessairement simple et peut poser certains problèmes d'interprétation, liés à l'existence des faux amis. En effet, les variations orthographiques ou sémantiques entre les deux langues peuvent l'induire en erreur et, à la longue, le faire hésiter par méfiance dès qu'il rencontre un mot apparenté. Nous savons, grâce à de nombreuses études sur le sujet, que les congénères interlinguaux ne sont généralement pas reconnus spontanément, sans enseignement préalable. Certains sont reconnaissables, d'autres pas. Est-il possible de prédire systématiquement lesquels seront reconnus et lesquels ne le seront pas? Notre recherche descriptive vise donc, de façon globale, à mesurer la capacité de 21 élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde de base, à reconnaître des congénères avant même qu'on ne leur enseigne l'origine étymologique des mots ou la présence de mots apparentés. Pour ce faire, nous reproduisons partiellement et élargissons une étude menée par Moss (1992) auprès d'étudiants hispanophones apprenant l'anglais. Ainsi, trois objectifs sont poursuivis. Le premier consiste à déterminer, parmi des variables lexicales à plusieurs niveaux (longueur du mot, nombre de différences orthographiques, classe du mot, type de changement orthographique), celles qui peuvent prédire la récognition ou la non-récognition des congénères chez des élèves anglophones de première secondaire apprenant le français, langue seconde. Le second objectif est de vérifier si la présence d'un contexte peut également prédire cette récognition. Le dernier vise à observer si ces mêmes variables peuvent prédire la rapidité de reconnaissance des congénères. Sur le plan méthodologique, nous avons créé et utilisé principalement deux types de tests: un test de traduction (sur papier) et un de temps de réaction (sur support informatique). La partie A du premier test contenait une liste de congénères (hors contexte) et la partie B, des congénères soulignés dans des phrases (en contexte). Chaque élève devait tenter de traduire sans aide chacun des congénères. Le deuxième test, quant à lui, présentait à l'écran d'un ordinateur une suite de congénères (hors contexte): chaque élève devait indiquer le plus rapidement possible si elle reconnaissait le mot ou non (le temps de réaction était calculé en millisecondes). Tous les congénères utilisés ont ensuite été codés dans un tableur électronique en fonction des différentes variables étudiées, de façon à permettre le calcul de coefficients de corrélation entre la reconnaissance, la rapidité de reconnaissance et les aspects. Les résultats du test de traduction ont révélé que la combinaison de sept des niveaux de variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe nominale, voyelles ajoutées, voyelle remplacée par une consonne, consonne remplacée par une voyelle, total des différences sur les plans des voyelles et des consonnes) avec l'absence de contexte ont prédit une non-récognition des congénères. En contexte, trois niveaux de variables ont prédit une non-récognition (classe adjectivale, voyelle remplacée par une consonne et consonne remplacée par une voyelle) alors que deux ont prédit l'inverse (voyelle effacée et consonne remplacée par une autre consonne). Ainsi, seulement deux niveaux de variables, soit le remplacement d'une consonne par une voyelle et d'une voyelle par une consonne, ont donné une prédiction similaire dans les deux parties du test. Pour ce qui est des résultats du test de réaction, sept niveaux des variables (nombre de lettres différentes, différence proportionnelle, classe adverbiale, dernière lettre différente, voyelle remplacée par une autre voyelle, consonne effacée et total des différences sur le plan des voyelles et des consonnes) ont prédit un ralentissement de la reconnaissance des congénères. Nous confirmons que la reconnaissance des congénères ne va pas de soi et recommandons aux enseignants de planifier et de structurer l'enseignement des congénères en tenant compte des facteurs pouvant en prédire la reconnaissance ou la non-reconnaissance lors de l'apprentissage (le nombre de lettres différentes, la différence proportionnelle et les différences sur le plan des consonnes) par exemple en misant davantage sur le contexte interne du congénère, en enseignant diverses stratégies de lecture et en ayant recours à une variété de support dont l'informatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Congénères interlinguaux, Faux amis, Vocabulaire réceptif, Français langue seconde, Temps de réaction, Mémoire, Transfert.
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Traduction de termes textiles français en suédois : - traduction d’un extrait du livre Textiles techniques et fonctionnels, matériaux du XXIe siècle

Ivarsson, Petra January 2015 (has links)
In this essay, the domains of translation studies and technical textiles are brought together. A section of the French book Textiles techniques et fonctionnels, matériaux du XXIe siècle is translated into Swedish. The different translation procedures are presented, as well as particular difficulties which might occur during the translation process. The study also treats the field of terminology and various relations between terms. All textile terms are extracted from the translated text and a bilingual glossary is created. The essays secondary purpose is to simulate a publication of the book in Sweden and to examine if any adjustments are made to the translated text specifically because of this. During the translation, a large number of borrowed words were found. Both the French and the Swedish text contain several Anglicisms. The Swedish text contains a number of fashion related words which originates from France and the French text contains similar words which are borrowed from Italy. Both France and Italy are important countries within the fashion industry. Several words of German origin were also found in the Swedish text. The names of the synthetic fibers are often derived from the chemical composition of the material and the names are highly standardized in different languages. Translation procedures such as adaptation, transposition, modulation, equivalence and explication are used to adjust the Swedish text, for the purpose of obtaining an idiomatic language. Some reoccurring elements were detected, such as the prefix anti- in French and the suffix  -kläder in Swedish. A few « false friends » and ellipses where also found. When studying the terms, a number of hyponyms and a few antonyms were found, as well as a group of words with temporal relations. Both the Swedish and the French text contains some quasi-synonyms and a few terminology variations. Several cases of eponyms were found, most of them are trademarks of different materials which has developed into generic names (i.e. nylon, lycra, gore-tex). The translated text is a scientific text of denotational character and the translation did not pose any major difficulty. Though it is of great importance that the translator is aware of the different ranges of meaning implied in both the source and the target languages. Three adjustments were made due to the fictitious publication in Sweden ; one generalization of geographical character, one explication of a French textile brand and one cultural adjustment. The most recent Swedish-French textile dictionary we found is the Swedish standard TNC 76, which was latest updated in 1981. By consequence, it does not contain recent textile words such as for example microfiber. A palpable difficulty when translating textile texts is to determine whether a material is a trademark or a generic name. If the material has started a development towards becoming an eponym, it can be difficult to determine if the brand name is referred to, or the material in a more general meaning. Several questions arouse regarding this issue. How do the companies who own trademarks act to protect their brands and is this transformation even possible to prevent? What are the consequences of a genericized trademark? This would be a very interesting subject to investigate further.
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Idiomatische falsche Freunde im deutsch-schwedischen Wortschatz

Belin, Anna January 2008 (has links)
No description available.
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Comment traduire « förvirrad » en français ? : Une étude des traductions du mot suédois « förvirring » et ses dérivés / How to translate "förvirrad" into French? : A study of the translations of the Swedish word "förvirring" and its derivations

Hellis, William January 2023 (has links)
Inom översättning och vid inlärning av ett nytt språk kan man stöta på ord som är svåra att uttrycka påmålspråket. Ett sådant ord är ”förvirring” i förhållande till franskan. I denna uppsats undersöks konceptet”förvirring” samt de besläktade orden ”förvirrad”, ”förvirrat”, ”förvirra”, samt ”förvirrande”, och hurdessa uttrycks på franska. Detta görs genom att jämföra översättningar i en parallellkorpus med hjälp avordboksdefinitioner och genom att diskutera kontexterna där de hittats. Resultatet visar att det finnsmånga varierande sätt att uttrycka de olika svenska orden på franska, och det verkar krävas att man i storutsträckning beaktar kontexten, då de svenska orden ofta är mer polysema än de franska. Undantaget ärsubstantivet ”förvirring” som utan större problem kan översättas till ”confusion” i de flesta sammanhang.Konceptet ”förvirring” verkar dock ha en annan roll och andra kopplingar i det svenska språket än vad dethar i det franska språket.

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