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Effet de 35 jours d'expédition en altitude et au froid en autonomie complète sur l'apport alimentaire et la composition corporelle

Gauthier, Joëlle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Évaluation du lien entre l'état de santé dentaire et l'état nutritionnel chez les personnes âgées / Assessing relationship between dental health status and nutritional status in older adults

Cusson, Valérie January 2014 (has links)
Résumé : Introduction: Chez les aînés, la perte de dents et les difficultés masticatoires peuvent entraîner une réduction de la qualité de la diète et une perte de poids. Objectifs: Dans une population âgée vivant à domicile, nous voulons déterminer la cohérence interne et la validité de critère d’un questionnaire sur la perception de l’efficacité masticatoire. Nous désirons aussi vérifier la relation entre l’efficacité masticatoire et l’alimentation, notamment l’apport protéinique, l’apport en vitamine C et folate ainsi que la consommation de fruits et légumes. Méthodologie: Une analyse secondaire des données recueillies à l’entrée de l’Étude longitudinale québécoise sur la nutrition comme déterminant d’un vieillissement réussi (NuAge) a été réalisée. NuAge est une étude observationnelle (2003-2008) de 1793 hommes et femmes âgés de 68-82 ans, généralement en bonne santé lors du recrutement. L'échantillon total (n=1789) a été utilisé pour déterminer la cohérence interne puis un sous-échantillon (n=94), dont les participants ont passé un test clinique de l'efficacité masticatoire, a été utilisé pour mesurer la validité de critère du questionnaire. Le questionnaire contient 7 questions tirées du Oral Health Impact Profile (échelle de Likert, score total= 28 points). Le test clinique (Swallowing Threshold Test Index, score 0 à 100%) a été utilisé pour mesurer l'efficacité masticatoire. Pour ces deux instruments, un score élevé indique une bonne efficacité masticatoire (perçue ou mesurée). Les apports habituels de protéines, de vitamine C, de folate et de fruits/légumes ont été calculés à partir de 3 rappels alimentaires de 24 heures non-consécutifs. Résultats: Les scores moyens obtenus au questionnaire sont élevés [H:25.3;IC(24.7-25.9); F:24.3;IC(23.7-25.0)], indiquant une bonne efficacité masticatoire perçue. Les participants du sous-échantillon (50H, 63F) ont des scores moyens au test masticatoire de 60.8% [H:IC(57.3-64.2)] et de 61.2% [F:IC(57.7-64.7)]. La cohérence interne du questionnaire est considérée «satisfaisante» (Alpha de Cronbach= 0.803). Aucune relation significative n’a été observée entre l'efficacité masticatoire perçue et mesurée (r= -0.14; p= 0.22). Une prévalence élevée (78,9%) d'apports alimentaires insuffisants en fruits et en légumes (<7 portions/jour), se traduit par des niveaux élevés (53,9%) d'apports insuffisants en folate chez les femmes (<320μg/j). Après ajustement pour l'âge, le sexe, la scolarité et le revenu, le score d'efficacité masticatoire n'est pas significativement associé aux apports alimentaires. Conclusion: Malgré la bonne cohérence interne du questionnaire et la validité reconnue du test, il semble que les résultats de l'efficacité masticatoire perçue ne réflètent pas la «vraie» efficacité masticatoire mesurée avec le test. De plus, on n'observe aucune relation significative entre l'efficacité masticatoire et les apports alimentaires. Des tests masticatoires adaptés aux aînés et intégrant les impacts sur la déglutition et sur la digestion seraient à développer. // Abstract : Introduction: Among seniors, loss of teeth and chewing difficulties can cause diet's quality reduction and weight loss. Objectives: Among generally healthy seniors, we want to determine internal consistency and criterion validity of a questionnaire assessing the perception of masticatory efficiency. We also want to assess the relationship between masticatory efficiency and food intake (protein, Vitamine C, folic acid and fruits/vegetables). Methodology: This is a secondary cross-sectional analysis of the baseline data from the NuAge Study (Québec Longitudinal Study on Nutrition and Successful Aging). NuAge is a 5-year (2003-2008) observational study of 1793 men and women aged 68-82 years in good general health at recruitment. The total sample (n=1789) was used to determine internal consistency of the questionnaire. A subsample (n=94) of the cohort who underwent a clinical test measuring directly masticatory efficiency was used to determine criterion validity of the questionnaire. The questionnaire was a subset of the Oral Health Impact Profile (Likert-scale, total score= 28 points). Assessment of masticatory efficiency was carried out using a clinical test measuring the ability to chew a raw carrot, (Swallowing Threshold Test Index, score from 0 to 100%). For both measures (perceived or measured) a higher score indicates a better masticatory efficiency. Usual protein, Vitamin C, folic acid and fruits/vegetables intakes are calculated from 3 nonconsecutive 24h dietary recalls. Results: Internal consistency of the questionnaire was deemed «satisfactory» (Cronbach’s Alpha= 0.803). Mean scores of the questionnaire were generally high [M:25.3;IC(24.7-25.9); W:24.3;IC(23.7-25.0)], indicating a good perceived masticatory efficiency. In contrast, mean scores of the masticatory performance test were rather low [M:60.8%;IC(57.3-64.2); W:61.2%;IC(57.7-64.7)]. No significant relationship between perceived and measured masticatory efficiency has been observed (r= -0.14; p= 0.22). A high prevalence (78.9%) of inadequate dietary intake of fruits and vegetables (<7 servings/day), resulting in high levels (53,9%) of inadequate folate intake for women (<320μg/d). After adjusting for age, sex, education and income, the masticatory efficiency score was not significantly associated with food intake Discussion/Conclusion: Despite a good internal consistency of the questionnaire, and the recognized validity of the test, it seems that people's perception of their masticatory efficiency does not reflect "real" efficiency as measured by the test. Furthermore, no relationship was observed between masticatory efficiency and food intake. New masticatory tests, more related to impact on swallowing and digestion, should be developed.
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Association entre l’environnement social en milieu de garde et les comportements liés à l’apport alimentaire et l'activité physique des enfants de trois à cinq ans / Association between the social environment in childcare centres and 3 to 5-year old children’s dietary intake and physical activity

Ward, Stephanie Ann January 2016 (has links)
Résumé : Problématique : Puisque les enfants de moins de cinq ans passent environ 29 heures par semaine dans les milieux de garde et qu’ils apprennent en observant et en imitant les autres, les éducateurs et les pairs peuvent être des modèles importants dans l’apprentissage de saines habitudes de vie. Les objectifs étaient d’analyser les associations entre 1) les pratiques des éducateurs et l’apport alimentaire, 2) l’activité physique (AP) des enfants de trois à cinq ans dans les milieux de garde, 3) le degré d’influence des pairs sur l’apport alimentaire, et 4) l’AP des enfants de trois à cinq ans. Méthodes : Les associations entre les pratiques des éducateurs et les comportements liés à l’apport alimentaire et l’AP des enfants ont été étudiées à l’aide d’une étude transversale, menée auprès de 723 enfants de trois à cinq ans de 51 milieux de garde en Saskatchewan et au Nouveau-Brunswick à l’automne 2013 et 2014. Le degré d’influence des pairs sur l’apport alimentaire et l’AP des enfants a été étudié à l’aide d’une étude longitudinale, menée auprès de 238 enfants de trois à cinq ans au début et à la fin des années scolaires 2013-2014 et 2014-2015. L’AP des enfants a été mesurée à l’aide d’accéléromètres, et l’apport alimentaire a été mesuré à l’aide d’une analyse de consommation par pesée et photographiée. Une grille d’observation de l’environnement a permis de mesurer les pratiques des éducateurs en milieu de garde. Des régressions linéaires multiniveaux ont répondu aux quatre objectifs de l’étude. Résultats : Le modelage est positivement associé à l’apport en sucre (p=0,026) et l’éducation alimentaire est négativement associée à l’apport en calories (p=0,026) et en fibres (p=0,044). Ne pas utiliser de récompenses alimentaires est négativement associée à l’apport en gras (p=0,049). Aucune pratique n’est associée à l’AP des enfants. Plus l’écart entre l’apport alimentaire et l’AP des enfants et ceux de leurs pairs est grand au début de l’année, plus les enfants voient leur apport alimentaire et leur AP changer, se rapprochant de la moyenne de leurs pairs neuf mois plus tard (p<0,05). Conclusion : Les éducateurs et les pairs jouent un rôle important dans l’adoption d’habitudes alimentaires saines et d’AP chez les enfants de trois à cinq ans dans les milieux de garde. L’environnement social est donc important à considérer dans les interventions de promotion d’habitudes de vie saine dans les milieux de garde. / Abstract : Background: Since children under the age of 5 spend approximately 29 hours per week in childcare centres and that they learn by observing and imitating others, childcare educators and peers can be important role models in promoting a healthy lifestyle. The objectives were to analyse the associations between 1) educators’ practices and the dietary intake, 2) physical activity (PA) of 3 to 5 year-old children in childcare centres, 3) peers’ behaviours, and children’s dietary intake, and 4) PA of three- to five-year-old children. Methods: Associations between childcare educator practices, and children’s dietary intake and PA were analysed by a cross-sectional study conducted among 723 three- to five-yearold children from 51 childcare centres in Saskatchewan and New Brunswick in the fall of 2013 and 2014. The associations between peers’ behaviours, and children’s dietary intake and PA were studied using a longitudinal design, conducted among 238 three- to five-yearold children at the beginning and at the end of the 2013-2014 and 2014-2015 school years. Children’s PA was assessed using accelerometers, and dietary intake was measured using weighed plate waste method and digital photography. An environmental observation checklist was used to measure educators’ practices within the childcare centre. Multilevel linear regressions were used to answer all four of the study’s objectives. Results: Modeling is positively associated with children’s intake in sugar (p=0.026) and nutrition education is negatively associated with children’s intake in calories (p=0.026) and in fibre (p=0.044). Not using food rewards is negatively associated with children’s intake in fat (p=0.049). None of the practices are associated with children’s PA. The greater the difference between children’s intake or PA and those of their peers at the beginning of the year, the more likely they are to change their intakes and PA to become more similar to their peers 10 months later (p<0.05). Conclusions: Educators and peers can play an important role in the adoption of healthy eating behaviours and PA of three- to five-year-old children in childcare centres. The social environment is therefore important to consider in interventions which aim to promote healthy lifestyles in childcare centres.
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Déterminants physiologiques et comportementaux du poids corporel chez la femme

Duval, Karine 23 April 2013 (has links)
D’importantes fluctuations du poids corporel peuvent être observées à différentes périodes de la vie d’une femme la rendant ainsi plus vulnérable à une augmentation du risque de développer de l’obésité et des problèmes de santé. Bien que les approches actuelles préconisées dans le traitement de l’obésité produisent des résultats à court terme, le maintien d’une perte de poids à long terme s’avère une tâche difficile pour une majorité de gens. Il apparaît donc important, du point de vue de la santé des populations, de mieux comprendre les facteurs physiologiques et comportementaux associés à la problématique du poids chez la femme. C'est dans cette optique que s'inscrivent les travaux de la présente thèse. Deux études ont été utilisées afin de répondre aux questions de recherche de cette thèse : 1) une étude transversale réalisée auprès de femmes préménopausées ayant eu du succès avec le maintien d’une perte de poids; 2) une étude longitudinale d’une durée de 5 ans réalisée chez des femmes en période de transition ménopausique. Dans un premier temps, nous avons cherché à mieux comprendre les déterminants physiologiques et comportementaux susceptibles de favoriser le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme préménopausée en comparant des femmes ayant eu du succès avec le maintien de leur perte de poids à des femmes n’ayant jamais eu de problème de poids. Les résultats de cette étude transversale ont montré que le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme semble être associé à un apport protéinique plus élevé, un contrôle volontaire alimentaire cognitif plus important ainsi qu’à une plus grande dépense énergétique associée à l’activité physique. Dans un deuxième temps, nous avons observé que la relation entre la fréquence des repas et la composition corporelle chez les femmes préménopausées peut être influencée par l’activité physique et la condition cardio-respiratoire. Dans un troisième temps, nous nous sommes intéressés aux changements pouvant survenir au niveau des déterminants physiologiques et comportementaux associés à l’équilibre énergétique pendant la transition ménopausique. Les résultats de cette étude longitudinale suggèrent que la transition ménopausique est accompagnée d’une diminution de la dépense énergétique, principalement caractérisée par une diminution de la pratique d’activité physique, et de l’adoption d’un mode de vie plus sédentaire. Une diminution de l’apport alimentaire ainsi qu’une augmentation de l’appétit ont également été observées. Dans l’ensemble, nous avons démontré qu’une pratique d’activité physique régulière d’intensité modérée à élevée ainsi qu’un apport protéinique plus élevé contribueraient au maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme et qu’un gain de poids pendant la transition ménopausique pourrait être atténué par une augmentation de la pratique d’activité physique, l’adoption d’un mode de vie actif et une diminution de l’apport alimentaire.
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Déterminants physiologiques et comportementaux du poids corporel chez la femme

Duval, Karine January 2013 (has links)
D’importantes fluctuations du poids corporel peuvent être observées à différentes périodes de la vie d’une femme la rendant ainsi plus vulnérable à une augmentation du risque de développer de l’obésité et des problèmes de santé. Bien que les approches actuelles préconisées dans le traitement de l’obésité produisent des résultats à court terme, le maintien d’une perte de poids à long terme s’avère une tâche difficile pour une majorité de gens. Il apparaît donc important, du point de vue de la santé des populations, de mieux comprendre les facteurs physiologiques et comportementaux associés à la problématique du poids chez la femme. C'est dans cette optique que s'inscrivent les travaux de la présente thèse. Deux études ont été utilisées afin de répondre aux questions de recherche de cette thèse : 1) une étude transversale réalisée auprès de femmes préménopausées ayant eu du succès avec le maintien d’une perte de poids; 2) une étude longitudinale d’une durée de 5 ans réalisée chez des femmes en période de transition ménopausique. Dans un premier temps, nous avons cherché à mieux comprendre les déterminants physiologiques et comportementaux susceptibles de favoriser le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme préménopausée en comparant des femmes ayant eu du succès avec le maintien de leur perte de poids à des femmes n’ayant jamais eu de problème de poids. Les résultats de cette étude transversale ont montré que le maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme semble être associé à un apport protéinique plus élevé, un contrôle volontaire alimentaire cognitif plus important ainsi qu’à une plus grande dépense énergétique associée à l’activité physique. Dans un deuxième temps, nous avons observé que la relation entre la fréquence des repas et la composition corporelle chez les femmes préménopausées peut être influencée par l’activité physique et la condition cardio-respiratoire. Dans un troisième temps, nous nous sommes intéressés aux changements pouvant survenir au niveau des déterminants physiologiques et comportementaux associés à l’équilibre énergétique pendant la transition ménopausique. Les résultats de cette étude longitudinale suggèrent que la transition ménopausique est accompagnée d’une diminution de la dépense énergétique, principalement caractérisée par une diminution de la pratique d’activité physique, et de l’adoption d’un mode de vie plus sédentaire. Une diminution de l’apport alimentaire ainsi qu’une augmentation de l’appétit ont également été observées. Dans l’ensemble, nous avons démontré qu’une pratique d’activité physique régulière d’intensité modérée à élevée ainsi qu’un apport protéinique plus élevé contribueraient au maintien d’une perte de poids à long terme chez la femme et qu’un gain de poids pendant la transition ménopausique pourrait être atténué par une augmentation de la pratique d’activité physique, l’adoption d’un mode de vie actif et une diminution de l’apport alimentaire.
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L’apport alimentaire en iode, sélénium dans les ongles, et risque du cancer différencié de la thyroïde : analyses d’études cas-témoins du consortium Epi-Thyr / Dietary Iodine Intake, Fingernail Selenium, and Risk of Differentiated Thyroid Cancer : Analyses of Case-Control Studies from Epi-Thyr Consortium

Ren, Yan 14 June 2017 (has links)
Contexte: L’iode est un micronutriment provenant des aliments. Il est établi que, dans les régions d'endémie goitreuse caractérisées par un apport d'iode insuffisant, l’incidence des goitres et des cancers différenciés de la thyroïde (CDT) de type folliculaire est plus élevée qu'ailleurs. En revanche, l’influence de l’apport alimentaire en iode sur le risque de CDT de type papillaire, forme représentant actuellement plus de 80% des CDTs dans la plupart des pays, ne fait pas l’objet d’un consensus. Il semble cependant que cette incidence soit plus élevée dans les îles du pacifique qu’ailleurs. Par ailleurs, les propriétés de protection redox du sélénium pourraient protéger la glande thyroïdienne et aider à maintenir la production d'hormones thyroïdiennes, mais la relation entre l’apport en sélénium et le CDT n’avait été que très peu étudiée.Objectifs: L’objectif général de ce travail de thèse était d'explorer la relation entre l'apport alimentaire en iode et le risque de CDT. Plus spécifiquement, il s’agissait 1) d’étudier la relation entre l’apport alimentaire en iode et le risque de CDT dans les cinq études cas-témoins du consortium Epi-Thyr, conduites en Nouvelle Calédonie, en Polynésie Française, en France métropolitaine (deux études) et à Cuba; 2) d’étudier l’interaction entre cet apport et quatre polymorphismes nucléotidiques (SNP) identifiés dans la plupart des études d’association pangénomiques (GWAS) comme associés au risque de CDT, ainsi qu’avec les facteurs de risque environnementaux connus ; et 3) d’évaluer l’intérêt du sélénium présent dans les ongles comme un bio-marqueur potentiel du risque de CDT.Matériel et Méthodes: La régression logistique conditionnelle a été utilisée pour analyser la relation entre l'apport alimentaire en iode et le risque de CDT d’abord dans l’étude Cuba incluant 203 cas et 212 témoins, puis dans l’ensemble des cinq études incluant au total 2162 cas et 2571 témoins. Les questionnaires alimentaires de ces cinq études étaient dérivés de ceux de l’étude de cohorte E3N. Les mesures de l’iode et du sélénium dans les aliments traditionnels polynésiens et cubains avaient été réalisées spécialement pour cette étude. Quatre SNPs avaient été génotypés, dont deux sur le gène FOXE1, un sur le gène ATM et un autre près du gène NKX2-1. Les mesures de l’iode, du sélénium et des autres oligoéléments métalliques avaient été réalisées dans les ongles des sujets de l’étude Polynésie Française.Résultats: Il n’a pas été observée, une association significative entre l’apport alimentaire en iode et le risque de CDT dans l’étude réalisée à Cuba. Dans l'ensemble des cinq études, la majorité des cas et des témoins ont été considérée comme présentant une carence légère en iode selon la classification du Réseau Mondial d'Iode (IGN). Bien que le risque de CDT ne soit pas lié à l'apport alimentaire en iode, ce risque était significativement réduit avec l’augmentation de la consommation de poisson, ceci de manière plus importante dans l'étude réalisée à Cuba que dans les autres. En outre, une augmentation de l’apport alimentaire en iode a été significativement associée à une diminution du risque de CDT uniquement dans l’étude réalisée en Polynésie Française et chez les Polynésiens. Une augmentation significative du risque de CDT associée au nombre de l'allèle mineur (A) du SNP rs965513 près de FOXE1 parmi les sujets qui ont consommé moins d'iode que la médiane dans l'étude réalisée à Cuba. Pour les femmes qui ont eu un nombre de grossesses élevé et qui étaient déficitaires en iode, l'augmentation de l'apport alimentaire en iode réduisait leur risque de CDT. Par ailleurs, il n’a pas été possible de mettre en évidence un intérêt du sélénium dans les ongles comme bio-marqueur prédictif du risque de CDT. / Context: Iodine is a trace element derived from food. In endemic goiter areas characterized by dietary iodine deficiency, it is established that the incidence of goiter and differentiated thyroid cancers (DTC) of follicular type is higher than elsewhere. On the other hand, the influence of dietary iodine intake in the risk of papillary thyroid cancer which currently representing more than 80% of DTCs in most countries, has not achieved a consensus. It appears, however, that this incidence is higher in the Pacific islands than elsewhere. In addition, the redox protection properties of selenium could protect the thyroid gland and help to maintain the production of thyroid hormones, but few studies evaluated the relationship between selenium intake and DTC.Objectives: The general objective of this thesis was to explore the relationship between dietary iodine intake and DTC risk. More specifically, it was 1) to study the relationship between dietary iodine intake and the risk of DTC in five case-control studies of Epi-Thyr consortium, carried out in New Caledonia, French Polynesia, Metropolitan France (two studies) and Cuba; 2) to investigate the interaction between this intake and four single-nucleotide polymorphisms (SNP) identified in most genome-wide association studies (GWAS) as associated with DTC risk, as well as the interaction with the well-established environmental risk factors; and 3) to evaluate the benefit of selenium present in fingernails as a potential bio-marker of DTC risk.Materials and Methods: Conditional logistic regression was used to analyze the relationship between dietary iodine intake and DTC risk first in the Cuba study including 203 cases and 212 controls, and then in the pooled analysis of the five studies including a total of 2162 cases and 2571 controls. The dietary questionnaires of these five studies were derived from those in the E3N cohort study. Measurements of iodine and selenium in traditional Polynesian and Cuban foods were specifically carried out for this pooled analysis. Four SNPs were genotyped, including two of FOXE1 gene, one of ATM gene and another near NKX2-1 gene. Measurements of iodine, selenium and other metal trace elements were made in the fingernails of the participants of the French Polynesia study.Results: There was no significant association between dietary iodine intake and DTC risk in the Cuba study. In the pooled analysis of the five studies, the majority of the cases and the controls was considered as being in mild dietary iodine deficiency according to the IGN classification. Although DTC risk was not found to be linked to dietary iodine intake, this risk significantly decreased with high fish consumption, this reduction in DTC risk per quartile of fish consumption was more important in the Cuba study than in the other studies. Additionally, higher dietary iodine intake significantly associated with lower DTC risk only in the French Polynesia study and in Polynesians. A strong increase in DTC risk associated with the number of the minor allele (A) of the SNP rs965513 near FOXE1, among participants who consumed less iodine than the median value in the Cuba study. For the women who had a high number of full term pregnancies and who were iodine deficient, increasing dietary iodine intake may reduce their risk of suffering from DTC. Moreover, it was not possible to demonstrate an interest in fingernail selenium as a biomarker that predicts DTC risk.

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