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Den stora ölkartellen : branschorganisering och kartellbildning i bryggeriindustrin 1885-1914 /Lundqvist, Torbjörn. January 1995 (has links)
Doktorsavhandling--Department of Economic history--Uppsala, 1995. / Résumé en anglais. Bibliogr. p. 299-309.
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Brasseries et distilleries à Québec (1620-1900) : profil d'archéologie industrielleFiset, Richard 25 April 2018 (has links)
Cette étude aborde l'industrie des brasseries et des distilleries au Québec antérieurement au XXe siècle dans une perspective d'archéologie industrielle; c'est-à-dire qu'elle a cherché à reconstituer un contexte et une évolution physique du phénomène. Si l'exploitation des données archéologiques et historiques ont donné lieux à une observation plus locale, centrée sur la région de Québec, il en va autrement des pratiques et des techniques industrielles qui sont abordées sous un angle canadien et international. La première partie de l'étude traite de la question historique des origines de l'industrie des boissons au Québec, jusqu'au début du XXe siècle. Depuis le début de la colonie, des tentatives commerciales et même industrielles ont laissé des traces, mais sans commune mesure avec le succès des établissements industriels de la deuxième moitié du XVIIIe siècle. C'est alors que des entrepreneurs anglais prennent les affaires en mains et lancent les premiers grands établissements. Plusieurs entrepreneurs tenteront l'aventure; certains vont réussir, d'autres pas. On verra alors de grands établissements qui héritent des perfectionnements de la révolution industrielle anglaise, mais aussi de plus petits construits par des commerçants qui espèrent se tailler une place. À mesure que le temps passe, seuls les plus grands vont pouvoir passer l'épreuve du temps, à mesure que la concurrence sera plus vive. Le marché de la bière, entre-autre, fera l'objet d'alliances qui aboutiront finalement à la formation de la National Breweries Ltd qui regroupera sous une même bannière la plupart des brasseries québécoises. Cette rationalisation entraînera la fermeture de plusieurs établissements au début du XXe siècle. Dans la seconde partie, on aborde la question de l'implantation et de la pratiques des activités industrielles reliées aux brasseries et aux distilleries, des industries où l'influence anglaise domine. L'environnement physique est l'un des facteurs qui conditionnent l'implantation d'une industrie. La construction et l'architecture industrielles sont surtout un effort de rationalisation de l'espace, empruntant d'abord un style simple et fonctionnel. Aux XVIIIe et XIXe siècles, l'organisation structurale de l'établissement cherchera à répondre de plus en plus aux fonctions de l'industrie où sont reliés les processus de la malterie, de la brasserie et de la distillerie. Ces relations sont d'ordre technique et technologique, des pratiques qui ne se développeront distinctement qu'à la toute fin du XIXe siècle. L'influence américaine prendra alors le dessus sur les techniques de traditions anglaises. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Pour boire il faut vendre : les publicités de bière au Québec dans les années 1920 et 1950Myre McCallum, Marc 08 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux campagnes publicitaires de bière diffusées dans divers journaux et magazines dans les années 1920 et 1950 au Québec, deux périodes d’après-guerre marquées par la prospérité économique et le développement de la consommation de masse. Cette étude comparative vise à faire ressortir l’évolution dans les représentations de la bière et les stratégies utilisées par les publicitaires pour la mettre en valeur afin de la rendre plus légitime dans la société.
En plus de dégager les différents discours utilisés par les publicitaires pour mieux vendre ce produit, nous montrons que les thèmes et stratégies retenus sont directement influencés par les valeurs, les idées, les normes et le contexte législatif de la société québécoise pour chaque période étudiée. Nous soutenons d’ailleurs l’hypothèse selon laquelle le genre, mais plus particulièrement le discours dominant sur la masculinité, a fortement influencé la construction des campagnes publicitaires lors des deux périodes étudiées; la culture de l’alcool, mais plus particulièrement celle de la bière, est un bastion masculin qui tend à résister à l’intégration des femmes et de la féminité. / This thesis is interested in beer advertising campaigns published in various newspapers and magazines in the 1920s and 1950s in the province of Quebec, two post-war periods marked by economic prosperity and the development of mass consumption. This comparative study aims at emphasizing the evolution in beer representations and the strategies used by advertising agents in order to make beer more legitimate in the eyes of society.
In addition to examining the various discourses used by advertising agents to sell their product, we show that the topics and strategies retained are directly influenced by the values, ideas, and social norms and by the legislative context of the Québec society for each decade. We also support the assumption that gender, but particularly the dominant discourse of masculinity, strongly influenced the construction of the different beer advertising campaigns during the 1920s and 1950s; the culture of alcohol, but especially that of beer, is a male bastion which tends to resist the integration of women and femininity.
Keywords
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Pour boire il faut vendre : les publicités de bière au Québec dans les années 1920 et 1950Myre McCallum, Marc 08 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux campagnes publicitaires de bière diffusées dans divers journaux et magazines dans les années 1920 et 1950 au Québec, deux périodes d’après-guerre marquées par la prospérité économique et le développement de la consommation de masse. Cette étude comparative vise à faire ressortir l’évolution dans les représentations de la bière et les stratégies utilisées par les publicitaires pour la mettre en valeur afin de la rendre plus légitime dans la société.
En plus de dégager les différents discours utilisés par les publicitaires pour mieux vendre ce produit, nous montrons que les thèmes et stratégies retenus sont directement influencés par les valeurs, les idées, les normes et le contexte législatif de la société québécoise pour chaque période étudiée. Nous soutenons d’ailleurs l’hypothèse selon laquelle le genre, mais plus particulièrement le discours dominant sur la masculinité, a fortement influencé la construction des campagnes publicitaires lors des deux périodes étudiées; la culture de l’alcool, mais plus particulièrement celle de la bière, est un bastion masculin qui tend à résister à l’intégration des femmes et de la féminité. / This thesis is interested in beer advertising campaigns published in various newspapers and magazines in the 1920s and 1950s in the province of Quebec, two post-war periods marked by economic prosperity and the development of mass consumption. This comparative study aims at emphasizing the evolution in beer representations and the strategies used by advertising agents in order to make beer more legitimate in the eyes of society.
In addition to examining the various discourses used by advertising agents to sell their product, we show that the topics and strategies retained are directly influenced by the values, ideas, and social norms and by the legislative context of the Québec society for each decade. We also support the assumption that gender, but particularly the dominant discourse of masculinity, strongly influenced the construction of the different beer advertising campaigns during the 1920s and 1950s; the culture of alcohol, but especially that of beer, is a male bastion which tends to resist the integration of women and femininity.
Keywords
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Exploiting the images of Vieux-Québec : a case study of restaurant and bar ownersGazillo, Stephen 25 April 2018 (has links)
L'objet de cette thèse est l'étude des attitudes et des comportements des propriétaires des restaurants et bars du Vieux-Québec. Notre hypothèse de travail est la suivante: le Vieux-Québec est à la fois objet de marketing et symbole culturel; il est le lieu d'un conflit permanent entre les processus d'identification culturelle et les processus d'exploitation de l'image patrimoniale. Les propriétaires des restaurants et bars sont aux prises avec ce conflit dans lequel ils jouent un rôle déterminant. La première partie de cette thèse est consacrée à l'exploration du terrain. Nous y décrivons plus particulièrement l'évolution des restaurants et bars depuis le début du siècle, ce qui nous amené à déceler les changements survenus dans la propriété, la croissance et la toponymie. Ceci nous permet d'identifier une typologie des bars et restaurants. Cette première partie conclut sur la description des clientèles et des actions des propriétaires. La deuxième partie de cette thèse, elle, est consacrée à l'analyse de la perception qu'ont les propriétaires du Vieux-Québec. Le résultat de ces enquêtes démontre que la plupart des informateurs estiment que leurs établissements sont représentatifs du patrimoine. Par contre, ils identifient la vocation dominante du Vieux-Québec comme étant celle du tourisme. On voit ainsi apparaitre la réalité d'une surexploitation du développement touristique, laquelle tend à détruire le patrimoine culturel. Cette constatation nous amené à dégager deux visions du Vieux-Québec. D'une part, son avenir serait considérablement compromis a moins d'un retour massif aux valeurs traditionnelles. D'autre part, le Vieux-Québec s'acheminerait vers la sauvegarde complète de son cadre physique aux dépens de ses éléments humains: dans ces conditions, il devient un quartier destine à servir une population de visiteurs ou les résidents ne constituent plus qu'une toile de fond. En conclusion, nous proposons des solutions et soumettons le principe d'action suivant: attacher beaucoup plus d'importance qu'on ne l'a fait par le passé à l'impact du tourisme sur le Vieux-Québec comme environnement culturel. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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L'industrie de la bière à Québec au XIXième siècle : la famille McCallum, 1813-1875Roy, André 11 April 2018 (has links)
Cette étude traite de l'industrie québécoise de la bière au XIXième siècle à travers une importante famille de marchands-brasseurs de l'époque, la famille McCallum. En plus de situer la place qu'occupent ces marchands-brasseurs à l'intérieur de l'industrie canadienne et bas-canadienne de la bière, elle les situe à l'intérieur même de leurs entreprises en décrivant la manière dont ils se sont pris pour accaparer la majeure partie de la production et du marché de la bière à Québec. De plus, cette étude fait la lumière sur la façon dont était fabriqué ce produit, sur ceux qui le fabriquait, sur la fluctuation des prix ainsi que les facilités et les difficultés à produire cette denrée dans une économie dépendant encore en majeure partie de la métropole. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Un "îlot brassicole" : brasseurs et brasseries à Lyon et dans le Rhône (fin XVIIIe siècle - 1914) / A « Brewing Islet » : brewers and Breweries in Lyon and the Rhône (End of the Eighteenth Century – 1914)Thinon, Romain 17 May 2016 (has links)
Le XIXe siècle est en France celui de la bière : production et consommation annuelles passent en l’espace de cent ans de moins de trois à plus de quinze millions d’hectolitres. Profitant de sa position de carrefour commercial et de la qualité de ses eaux, Lyon occupe une place à part dans ce marché de masse en construction. Remettant en question l’hermétisme de supposées frontières alimentaires, la ville se démarque en effet dès les dernières années de l’Ancien Régime par un notable recours à la boisson houblonnée et la fabrication d’un produit aux qualités organoleptiques bien particulières qu’elle exporte en direction d’un large quart Sud-est du pays. Savamment entretenue, cette position originale fait de la cité rhodanienne l’un des principaux centres de production de bière français de la première moitié du siècle. La donne change à compter du Second Empire. Aux évolutions des modes et pratiques alimentaires à l’égard des alcools s’ajoutent décloisonnement des marchés et avancées technologiques affectant de manière irrémédiable l’activité. Le secteur brassicole régional, très largement lyonnais, passe ainsi en quelques décennies d’une structure artisanale voyant coexister une myriade de petits établissements employant quelques individus et produisant chacun annuellement quelques centaines d’hectolitres à une dimension industrielle où un nombre réduit de grandes usines concentrent main-d’œuvre, capitaux et parts de marché. L’encadrement réglementaire lui-même, qu’il s’agisse de législation professionnelle ou de régulation de l’insalubrité, et les politiques fiscales, à l’échelle de la ville comme du pays, participent à cette transition. Alors que la redéfinition des logiques urbaines et commerciales impacte directement les pratiques des brasseurs en les forçant à revoir leurs procédés de fabrication et leurs stratégies de formation, d’approvisionnement et de vente, c’est la progressive structuration d’une filière de la bière qui apparaît en filigrane. Il faut néanmoins se garder de voir ces entrepreneurs comme de simples victimes de mouvements qui leur échappent : plus que spectateurs d’une révolution protéiforme, ils s’en font les acteurs. L’étude prosopographique de 337 parcours considérés dans leurs dimensions individuelles et collectives atteste de la pluralité des destins : quand le modèle de la petite entreprise permet aux artisans les plus audacieux, qu’ils viennent d’un ailleurs professionnel ou géographique (sont notamment mises à jour les origines germaniques et alsaciennes de nombre d’entre eux), de valoriser leur travail et de satisfaire leurs ambitions, celui de l’industrie fait d’une poignée seulement de véritables brasseurs d’affaires. Ce seront les seuls à survivre, la plupart de leurs collègues et concurrents payant à terme les effets conjoints de la conjoncture économique, de la rationalisation du marché et des tragédies familiales. À l’orée du premier conflit mondial, seules six brasseries sont encore opérationnelles : ayant démontré sa précoce capacité d’adaptation en modifiant sa structure afin de donner aux établissements subsistants les moyens d’assimiler la modernisation productiviste, le monde brassicole rhodanien fait figure d’exception parmi les activités pré-industrielles, a fortiori parmi celles relevant du secteur agroalimentaire. / In France, the nineteenth century is the age of beer: in a hundred years, annual production and consumption grow from less than three to more than fifteen million hectolitres. Thanks to its advantageous commercial position and the quality of its waters, Lyon occupies a unique place in this developing mass-market. Calling presumed alimentary boundaries into question, the city distinguishes itself as soon as the end of the Ancien Régime through a wide use of the hoppy beverage and the making of a product with specific organoleptic qualities being exported to the southeast quarter of the country. Skilfully maintained, this original situation turns Lyon into one of the main French beer production centres of the first half of the century. Things change with the advent of the Second Empire. New drinking trends and habits, birth of a European then worldwide consumption market and substantial scientific and technical improvements combine themselves to change the activity into a definite way. Thus, the Rhône brewing sector, leaded by Lyon’s breweries and initially made of numerous and small short-lived handcraft production units selling locally only, becomes in a few decades an industry operating towards foreign markets and formed by a handful of big factories gathering workforce, capitals and market share. Regulatory framework itself (professional legislation or insalubrity control) and fiscal politics on national and municipal scales contribute also to the transition. Since they have to adapt their manufacturing and formation processes, as well as supplying and selling strategies, the redefinition of urban and commercial logics has a direct impact on brewers’ practices: in a wider sense, it is the organization of the beer sector which progressively reveals itself. However, it would be untrue to see these businessmen as powerless victims of an uncontrolled process. More than spectators, they are actors of a protean revolution. The prosopographical study of 337 careers considered in their individual and collective dimensions prove the plurality of fortunes: while the model of the small business allows audacious craftsmen whatever their professional and geographical origins (many of them come from Alsace and Germany) to succeed by highlighting their work and satisfying their ambitions, the industrial model is more selective. In the medium term, only a few businessmen will survive, their smaller colleagues and competitors suffering the joint effects of economic conjuncture, market rationalization and family tragedies. At the edge of World War One, six breweries are still in operation: having proven its early adaptation ability by modifying its structure in order to assimilate the productivist modernization, the Rhône brewing sector can be considered as an exception among the pre-industrial activities, a fortiori among those from the food-processing sector.
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