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Las palabras estan en situación : un estudio de la poesía colombiana de 1940 a 1960 /

Romero, Armando, January 1985 (has links)
Texte remanié de: Tesis doct.--Filosofía--Pittsburgh University.
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Tradición y modernidad en Colombia : corrientes poéticas en los años veinte /

Pöppel, Hubert. January 2000 (has links)
Diss.--Bamberg--Universität Bamberg, 1993. / Bibliogr. p. 309-332. Index.
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Le personnage du tueur à gage dans la littérature colombienne d'aujourd'hui /

Rojas Martel, Isabel. January 2004 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr.: f. 105-109. Publié aussi en version électronique.
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La Violence à travers la production littéraire de l'écrivain colombien Arturo Echeverri Mejia

Escobar Mesa, Augusto, January 1988 (has links)
Th.--Etud. ibéro-am.--Bordeaux 3, 1987.
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Analyse critique d'un processus de cartographie participative en Amazonie Colombienne

Díaz Perdomo, Hernán Javier 17 April 2018 (has links)
Historiquement, l'utilisation de la terre dans la région de l'Amazonie est caractérisée par une surexploitation des ressources naturelles par des personnes et organisations exogènes. Les communautés amérindiennes de l'Amazonie colombienne ont tenté de limiter ces activités et leurs impacts, efforts et revendications qu'elles continuent de faire encore aujourd'hui. Les réclamations de ces peuples sont basées sur la reconnaissance de leurs droits, accordés par la Constitution colombienne, afin de protéger et de gérer ce territoire. C'est dans ce contexte que la communauté Tikuna de San-Martin-de-Amacayacu a démarré un projet de cartographie communautaire en 2006, projet auquel nous avons été conviés. Le présent article décrit la réalisation d'un exercice de cartographie participative au cours duquel nous avons pu travailler avec la communauté, en nous basant tout d'abord sur leurs connaissances préalables du territoire et recourant à leurs méthodes traditionnelles de représentation spatiale. À l'aide d'observations de terrain, nous avons mené une analyse critique. Cette démarche nous a permis d'acquérir, de formaliser et d'intégrer les savoirs locaux traditionnels au coeur de solutions géospatiales modernes. Mais, nous avons également considéré les entités de l'État impliquées dans le processus de conservation et d'utilisation de la biodiversité du territoire ancestral de San Martin, de même que les initiatives locales de gestion des ressources et de conservation du milieu, engagées par un organisme non gouvernemental (ONG) communautaire. Ce mémoire nous permet de dresser une synthèse de ces travaux et de présenter l'utilité des technologies géomatiques dans un contexte participatif, dans lequel se mélangent la connaissance locale et la technologie en tant que générateur de propositions de recherche au sein de la communauté, et de moyens de communication avec le monde extérieur.
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Cartographie du féminin dans l'œuvre de Marvel Moreno / Cartography of the feminine in Marvel Moreno's work

Ortega Gonzalez-Rubio, Mercedes 28 September 2011 (has links)
L’écriture de l’auteure colombienne Marvel Moreno (Barranquilla, 1939-Paris 1995) a pour cadre une vision du monde féministe humaniste ; cependant, elle est composée d’un réseau de discours hétérogènes en conflit. Notre travail, depuis une perspective pluridisciplinaire intégrant principalement la théorie et la critique littéraires, la sociologie de la littérature et la théorie féministe, explore les représentations du féminin qui circulent dans l’œuvre à travers trois axes : les discours la parcourant, le système de personnages féminins et le positionnement des voix énonciatrices dans le champ littéraire. Nous affirmons que, sans sortir complètement d’une logique hétérocentrée masculiniste, l’œuvre morénienne s’éloigne de la féminité normative. Comme dans le cas d’une majorité d’auteures, son écriture ne trouve pas encore un lieu dans le canon officiel et patriarcal de la littérature colombienne, latino-américaine et « universel », ceci prouve qu’elle porte un discours subversif proposant d’autres possibilités dans le devenir femme. / The writing of the Colombian author Marvel Moreno (Barranquilla, 1939-Paris 1995) is framed in a feminist humanist world vision. Nonetheless, it is made of a network of heterogeneous conflictive speeches. In this current work and from a multidisciplinary perspective which integrates mainly literary theory and criticism, sociology of literature and feminist theory, our work explores the representations of the feminine which circulates in Moreno’s work thought three axes: the discourses that run through it, the feminine character’s system and the positioning of the enunciating voices in the literary field. We affirm that without entirely departing a hetero-centered masculinist logic, Moreno’s work moves away from the normative femininity. The ruptures it carries out make her writing, just as the majority of all women authors, unable to find a place in the official and patriarchal canon of literature.
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La selva de concreto : procesos de urbanización y planificación urbana en Florencia (Caquetá, Colombia)

Duque Fonseca, Claudia Alexandra 19 August 2024 (has links)
Cette thèse porte sur les processus d’urbanisation et de planification urbaine qui ont lieu dans le nord-ouest de l’Amazonie colombienne depuis le XIXe siècle. La métaphore de la « jungle de béton » propose une image ambivalente qui synthétise un processus de transformation spatiale, celui de l’urbanisation de la jungle, à partir de deux signes opposés, montrant que les imaginaires mêmes de la « jungle » et de l’« urbain » contribuent à occulter ce processus. Dans la région étudiée, les recherches sur l’urbanisation et la planification urbaine sont encore rares et n'ont pas été menées de manière systématique, dans la discipline anthropologique. De plus, les études urbaines se sont intéressées presque exclusivement à la dynamique qui prévaut dans les grandes villes et les mégalopoles, alors que la majorité de la population humaine vit dans des villes petites ou moyennes, comme Florencia, où j'ai mené mon travail de terrain. Dans les sciences sociales, ces villes sont devenues « invisibles ». Partant de la notion de ville invisible, cette thèse développe une proposition démétropolisante et dé-coloniale qui s'éloigne de l’habituel occidentalo-centrisme des études urbaines. Cela implique de cesser de considérer l’urbanisation comme un processus inévitable et lié au « développement » démographique et économique. En outre, une distinction analytique est proposée entre deux modes de planification urbaine : la planification « d’en haut » et la planification « d’en bas ». La planification « d’en haut » est une pratique rationnelle et politique découlant du projet urbain hégémonique issu de l’État nation. La planification « d’en bas », qui n’est actuellement pas reconnue, positionne les habitants comme sujets individuels et collectifs, agents transformateurs et créateurs d’espace urbain. La thèse montre comment, dans la planification urbaine « d’en haut » et « d’en bas », la volonté de modernisation, le désir de préservation des écosystèmes, la nécessité de stimuler l’économie locale et les particularités socio-économiques des habitants de la ville s’entrecroisent. Cependant, les différentes façons dont ces éléments sont conçus et valorisés aboutissent à des visions et des actions qui, dans certains cas, coïncident et dans d’autres s’opposent et qui, finalement, produisent socialement l’espace urbain. v La planification urbaine est également considérée, dans la thèse, comme un « site de recherche stratégique » car elle touche toute la ville. Dans cette perspective, une approche multi-échelle est utilisée pour montrer les interrelations entre dynamiques « globales » et « locales ». Deux quartiers aux histoires et temporalités distinctes, Yapurá Sur et Paloquemao, ont été sélectionnés pour approfondir les manières dont la planification « d’en bas » peut émerger et s’exprimer. Par ailleurs, la cartographie sociale s’avère constituer un outil pertinent pour saisir les visions que les habitants de Florencia ont du présent, du passé et du futur de leur ville. Les résultats du travail ethnographique et de cartographie sociale réalisés dans le cadre de mes recherches montrent que la ville est une coproduction qui combine différentes formes de gouvernement et de rapports sociaux. Sur la base des cartes représentant la ville dans le futur, il est possible de conclure que les habitants de Florencia invitent à (re)penser le modèle urbain hégémonique et démontrent qu’une planification participative est non seulement possible mais nécessaire. / This thesis addresses the processes of urbanization and urban planning that have occurred in the northwestern Colombian Amazon since the nineteenth century. The metaphor of the « concrete jungle » proposes an ambivalent image that synthesizes a process of spatial transformation, that of the urbanization of the jungle, starting from two contrasting signs, showing that imaginaries that oppose spatialities called the « jungle » and the « city » facilitate the concealment of this same process. In the region studied, research on urbanization and urban planning is still scarce and has not been systematic within the anthropological discipline. Moreover, urban studies have been interested almost exclusively in the dynamics that prevail in large cities and megalopolises, while the majority of the human population lives in small or medium-sized cities, such as Florencia, where I did my fieldwork. In the social sciences, these cities have become « invisible ». Starting from the notion of the invisible city, in this thesis, a de-metropolizing and decolonizing proposal is developed that distances itself from the usual western-centrism of urban studies. This implies stopping to consider urbanization as an inevitable process, linked to demographic and economic « development ». In addition, an analytical distinction is proposed between two modes of urban planning: « top-down » planning and « bottomup » planning. Planning « from above » is a rational and politically powerful practice related to the hegemonic urban project of the nation-state. Planning « from below », which is not currently recognised, positions inhabitants as individual and collective active subjects, transforming agents and creators of urban space. The thesis demonstrates how, in urban planning « from above » and « from below », the desire for modernization, the search for ecosystem preservation, the need to stimulate the local economy and the socioeconomic particularities of the city's inhabitants are intertwined. However, the different ways in which these elements are conceived and valued result in visions and actions that in some cases coincide and in others are opposed and that ultimately socially produce the urban space. vii Urban planning is also considered, in the thesis, as a « strategic research site » because it becomes an element that touches the whole city. Consequently, a multi-scale approach is used to show how global and local dynamics interact. Two districts of the city, Yapurá Sur and Paloquemao, were selected to explore in greater detail how planning « from below » is produced and expressed. Also, social cartography proved to be a relevant tool for capturing the visions of the present, past and future of the city from Florencia’s inhabitants. The results of the ethnographic and social cartography work carried out during my research show that the city is a co-production that combines different forms of government and social relations. Based on the maps representing the future of the city, it is possible to conclude that the inhabitants of Florencia invite us to (re)think about the hegemonic urban model and demonstrate that participatory planning is not only possible but necessary. / Esta tesis aborda los procesos de urbanización y planificación urbana que se han dado en la Amazonia noroccidental colombiana a partir del siglo XIX. La metáfora de la selva de concreto, propone una imagen ambivalente que sintetiza un proceso de transformación espacial, el de la urbanización de la selva, a partir de dos signos con significantes opuestos, poniendo en evidencia que los imaginarios que contraponen espacialidades denominadas « selva » y « urbana » facilitan el ocultamiento de este mismo proceso. En la región estudiada, las investigaciones sobre urbanización y planificación urbana son todavía escasas y no han sido sistemáticas dentro de la disciplina antropológica. Además, los estudios urbanos se han interesado casi exclusivamente en las dinámicas que imperan en las grandes ciudades y megalópolis, mientras la mayoría de la población humana habita en ciudades pequeñas o medianas, como es el caso de Florencia, donde realicé mi trabajo de campo. En las ciencias sociales, estas ciudades se han vuelto « invisibles ». A partir de la noción de ciudad invisible, en esta tesis, se desarrolla una propuesta desmetropolizadora y descolonizante que se distancia del occidentalocentrismo usual de los estudios urbanos. Esto implica desnaturalizar la urbanización vista como un proceso inevitable, ligada al « desarrollo » demográfico y económico. Además, se propone una distinción analítica entre dos modalidades de planificación urbana: la planificación « desde arriba » y la planificación « desde abajo ». La planificación « desde arriba » es una práctica racional y de poder político que tiene nexos con el proyecto urbano hegemónico vinculado al Estado-nación. La planificación « desde abajo », la cual no tiene reconocimiento en la actualidad, posiciona a los habitantes como sujetos individuales y colectivos activos, agentes transformadores y creadores del espacio urbano. En la tesis, se demuestra cómo, en la planificación urbana « desde arriba » y « desde abajo », se entrecruzan el deseo de modernización, la búsqueda por la preservación ecosistémica, la necesidad de incentivar la economía local y las particularidades socio-económicas de los habitantes de la ciudad. Sin embargo, las distintas maneras en que se conciben y se valoran estos elementos dan como resultado visiones y acciones que en algunos casos coinciden y en otros se contraponen y que finalmente producen socialmente el espacio urbano. iii La planificación urbana es también considerada, en la tesis, como « sitio estratégico de investigación » al constituirse en un elemento que toca al conjunto de la ciudad. Se utiliza un enfoque multiescalar para mostrar las interrelaciones globales y locales. La cartografía social es una herramienta pertinente para captar las visiones sobre el presente, pasado y futuro que tienen los habitantes de Florencia. Dos barrios de la ciudad, Yapurá Sur y Paloquemao, se seleccionaron para conocer con mayor detalle cómo se produce y expresa la planificación « desde abajo ». Los resultados del trabajo etnográfico y de cartografía social realizados en el marco de mi investigación permiten mostrar que la ciudad es una co-producción que ensambla diferente formas de gobierno y relaciones sociales. Con base en los mapas sobre el futuro de la ciudad, es posible concluir que los habitantes de Florencia invitan a (re)pensar el modelo urbano hegemónico y demuestran que una planificación participativa no sólo es posible sino necesaria.
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Généalogie et famille insulaire : les unions mixtes et leurs descendants sur l’île de San Andrés, caraïbe colombienne / Genealogy and island families : mixed relationships and their descendants on San Andrés island, Colombian Caribbean

González Delgadillo, Gabriel Gilberto 10 June 2015 (has links)
Depuis quelques années, l’île colombienne de San Andrés fait beaucoup parler d’elle, particulièrement par rapport aux problèmes démographiques et la position défensive que certains de ses habitants ont adoptée face aux politiques gouvernementales. Leur position de refus contre les politiques du gouvernement central se traduit par des revendications ethniques et culturelles et par un désir d’autonomie qui s’appuie sur la nouvelle Constitution politique de 1991. Cependant, obnubilés par ce conflit politique, les travaux de recherche menés à San Andrés oublient souvent un élément important : les rapports sociaux entre les habitants insulaires. Ce travail prétend apporter un nouveau regard sur l’ethnohistoire, la mémoire et le présent des relations sociales et généalogiques de la société de San Andrés. En partant du point de vue des généalogies et de l’anthropologie de la parenté, son objectif est de comprendre les formes d’organisation sociale, culturelle et religieuse afin d’élucider le rôle et l’importance des unions mixtes et leurs descendants dans la société de San Andrés d’aujourd’hui. / In recent years, much attention has been paid to the Colombian island of San Andrés, focusing primarily on demographic problems and the defensive posture displayed by some of the island’s residents regarding central government policies. This posturing manifests itself through ethnic and cultural identity claims and a desire for political autonomy, which are legitimated by the 1991 Constitution. However, blindsided by the idea of a political conflict, the research done on San Andrés often omits a key aspect of life on the island: the social relationships that link its inhabitants to one another. This research aims to shed a new light on the ethnohistory and memory as well as the social and genealogical relationships that shape San Andrés’s present day society. From a genealogical point of view based in kinship studies and a thorough understanding of this society’s social, cultural and religious organization, this study’s objective is to identify the role and importance of mixed relationships and their descendants on San Andrés’s society today.
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Dynamiques du déplacement dans l’œuvre de Jorge Franco et de Juan Gabriel Vásquez / Dynamics of displacement in the works of Jorge Franco and Juan Gabriel Vásquez

Tous Gonzalez, Carlos 11 December 2017 (has links)
Dans le panorama de la littérature colombienne contemporaine, Jorge Franco (Medellín, 1962) et Juan Gabriel Vásquez (Bogota, 1973) sont deux écrivains dont l’œuvre, aussi riche que variée, leur a valu une reconnaissance indéniable dans le champ de l’écriture littéraire en castillan. Les univers fictionnels de leurs romans étant cadencés par le mouvement et le croisement d’itinéraires, cette thèse explore les principales caractéristiques de différentes dynamiques du déplacement dans leur prose, notamment dans les romans Paraíso Travel (2001) et Melodrama (2006), de Jorge Franco et Los informantes (2004) et El ruido de las cosas al caer (2011), de Juan Gabriel Vásquez.Ce déplacement, choisi ou contraint, planifié ou spontané, se présente dans l’œuvre de chaque écrivain sous la forme du voyage, de la déambulation, de l’évasion, de la fuite ou de l’exil. Ainsi, ce travail mobilise les concepts de centre et périphérie, de nation, d’immigration, de langue première et seconde, le croisement de cultures et l’ouverture d’horizons étant au cœur de la réflexion.Dans quelle mesure le drame de l’histoire colombienne représente-t-il un déclencheur d’évasion majeur dans les romans de Jorge Franco et de Juan Gabriel Vásquez ? Comment le voyage dans le passé constitue-t-il un outil de travail collectif au service d’une tentative d’identification générationnelle ? Pourquoi et comment la translation de l’individu d’un espace à l’autre peut-elle être à l’origine de sa transformation ? Enfin, dans quelle mesure s’agit-il d’itinéraires textuels clés dans la création artistique ? Cette thèse observe de près la démultiplication de l’espace et du temps : une superposition de chemins qui dynamise le parcours de l’écriture.Le travail s’ouvre sur une étude de la mort en tant que déclencheur discursif et fictionnel, en ce qu’elle lance à la fois le départ de la quête littéraire et la création de l’espace par l’acte même de la déambulation. L’errance et la fuite, métaphores de ce grand voyage vers la mort qu’est la vie, sont indissociables de la dynamique de l’écriture. De même, l’analyse porte sur la relation entre la fictionnalisation de la mort et le spectre de l’effacement de l’instance auctoriale. Ainsi les notions d’origine, de point de départ, de destination et de point d’arrivée se conjuguent-elles avec les notions de transit, de passage, de prolongement et de continuité.La seconde partie étudie comment le déplacement combine l’exploration et la création de l’espace urbain dans une dynamique qui cherche à éclairer les espaces obscurs de villes comme Bogota, New York et Paris au cours du XXe siècle. Il s’agit d’analyser l’approche littéraire de l’histoire récente, procédé où la mémoire, la peur et le déplacement seront les pistes mêmes de la compréhension des secrets de ces villes.Enfin, ce travail s’intéresse à l’entreprise des voyages extra-urbain et transfrontalier, motifs qui supposent le questionnement des notions d’idéalisation et d’exotisme, conditionnées par le déplacement physique à travers le territoire, la nation et leurs limites. Ce chapitre porte également un regard sur le voyage temporel, la convocation subjective et « désordonnée » du passé et les différents degrés de temporalité, deux aspects liés à la construction filmique et à la dynamique chronotopique du récit. Ce voyage temporel s’avère en effet nécessaire à l’identification générationnel d’un je et à la compréhension de soi. Ainsi, l’écriture à distance et l’écriture de la distance permettent une ouverture vers de nouveaux horizons qui facilitent la compréhension des épisodes traumatiques de l’histoire.En somme, à travers les dynamiques du déplacement, cette thèse s’interroge sur la place que Jorge Franco et Juan Gabriel Vásquez accordent au sujet déambulateur dans un monde en mouvement. / In the panorama of contemporary Colombian literature, Jorge Franco (Medellin, 1962) and Juan Gabriel Vásquez (1973) are two writers whose works, as rich as varied, have granted them an undeniable acknowledgement within the field of literature written in Castilian. Since movement and the cross between different itineraries set the cadence of the fictional universes of their novels, this thesis explores the principal characteristics of diverse types of dynamics of displacement in their works, particularly in Jorge Franco’s novels Paraíso Travel (2001) and Melodrama (2006), and in Juan Gabriel Vásquez’s Los informantes (2004) and El ruido de las cosas al caer (2011).This displacement, whether chosen or under duress, whether planned or spontaneous, appears in the works of each writer in the form of travel, wander, evasion, escape or exile. This work mobilises thereby the concepts of centre and periphery, nation, immigration, first and second language, placing the crossroad of culture and the opening of horizons at the heart of reflection.To what extent the drama of Colombian history represents a major trigger for evasion in the novels of Jorge Franco and Juan Gabriel Vásquez? How travelling to the past constitutes a tool of collective work in order to find a generational identification? Why and how the transposition from one space to another can be the origin of the transformation of the individual? Finally, to what extent these textual itineraries are the key to artistic creation? This thesis closely observes the dispersal of space and time: a superposition of paths that galvanises the writing’s route.The work opens with a study of death as a discursive and fictional trigger, since it launches the start of literary quest as well as the creation of space by the act of walking. Wandering and escaping, both understood as metaphors of that great journey towards death that defines life, are inseparable from the dynamic of writing. Likewise, the analysis takes a look at the relation between the fictionalisation of death and the spectrum of the erasure of the auctorial stage. Therefore, different notions such as origin, starting point, destination and point of arrival are combined with other notions such as transit, passing, prolongation and continuity.Displacement also combines the exploration and the creation of urban space, within a dynamic that endeavours to enlighten both the dark spaces of cities like Bogota, New York, Paris or Medellin, and the most obscure zones of their history, during 20th and 21st centuries. By analysing the literary approach of recent history, this part studies how memory, fear and displacement are the clues to understand history. Furthermore, this chapter takes an interest in temporal travelling; a subjective and “disordered” convocation of the past and different degrees of temporality: two aspects that are connected to a filmic construction and a chronotopic dynamic of the tale. This temporal journey proves to be necessary for both the generational identification and the comprehension of the self.Finally, this work analyses the undertaking of a cross-border journey, a motif that implies questioning notions such as idealisation and exoticism, which are conditioned by the physical displacement throughout territory, nation and their limits. Therefore, both writing from the distance and writing the distance lead to the study of the figure of the writer as a traveller. Trespassing boundaries resonates with the universality of wandering and facing history at the dawn of 21st century: an opening to new horizons that facilitates the comprehension of traumatic episodes of history.By studying the dynamics of displacement in the works of Jorge Franco and Juan Gabriel Vásquez, this thesis actually wonders about the place that both writers accord to the wanderer subject within a moving world.
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"De totumas y Estantillos". Procesos migratorios, dinámicas de pertenencia y de diferenciación entre la Gente de Centro (Amazonia colombiana) / De totumas y estantillos. Migration, belonging and differentiation dynamics of People of the Center / "De totumas y Estantillos". Processus migratoires, dynamiques d’appartenance et de différenciation entre les Gens du Centre (Amazonie colombienne)

Sanchez Silva, Luisa Fernanda 20 December 2012 (has links)
Au cours des années 80, le gouvernement colombien a rendu le Predio Putumayo à ses habitants ancestraux, les Gens du Centre, donnant ainsi naissance à la réserve indienne la plus grande de la Colombie. Cet acte décisif marque la fin d‘une longue dispute entre les indiens, les entreprises extractives et les institutions de l‘Etat. Il a été alors interprété comme une véritable révolution dans les représentations traditionnelles de la citoyenneté. Toutefois, si l‘on observe avec attention ce processus de reconnaissance politique et territoriale, on s‘apercevra qu‘une autre réalité émerge simultanément: la migration d‘une centaine de femmes indiennes vers les villes du pays ; un chemin sans retour depuis leurs petites villages vers la métropole inconnue. Cette expérience pionnière constitue la base d‘un solide réseau migratoire qui s‘étend aujourd‘hui à la plus part de villes colombiennes. Pourquoi sont-elles parties de leur territoire alors qu‘elles profitaient –au moins formellement- d‘une autonomie politique et culturelle ? Leur décision migratoire a-t-elle signifié le rejet de la "différence généralisée" proclamée par le discours multiculturel ? Le projet migratoire de celles et ceux qui sont partis dans ce premier moment est-il différent de celui des hommes et des femmes qui partent aujourd‘hui ? Ce travail de recherche tente de répondre à ces questions en reconstruisant d‘abord les processus de mobilité des Gens du Centre à Leticia et Bogotá au long des 30 dernières années. Il analyse ensuite les différentes stratégies d‘insertion urbaine des migrants indiens dans le contexte du multiculturalisme comme mode de gestion privilégié entre cette population et les sociétés d‘origine et de réception. / During the years 80, Colombian government returns the Predio Putumayo to its early inhabitants, The People of the Center, giving form to the biggest indigenous reservation of the country. This crucial act was not only the end of a long dispute between the indigenous people, the extractive enterprises and the state. It was also interpreted as a revolution in the traditional citizenship representations. However, if we look carefully to this process of territorial and politic recognition we will notice a simultaneous reality: the migration of hundreds of women to the cities of the country. This was a non-return trip from the little towns of the rain-forest‘s rivers to the unknown national cities. The experience of these pioneers‘ women built the bases of a solid migration network that today spreads out to the main cities of Colombia. Why did they leave their territory now that she counted –at least formally- with a political and cultural autonomy? Was their migratory decision a renunciation to the ―generalized difference‖ proclaimed by the multicultural discourse? The migrations project of those who left their region in that first time is it similar from the one of those who leaves today? This dissertation tries to answer to these questions through a reconstruction of the migration processes of The People of the Center to Leticia and Bogotá during the last 30 years. Then, it analyses the different strategies of migrant‘s urban insertion in the context of multiculturalism as the privileged administration mode between the indigenous people and the societies of departure and destination.

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