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L'effet des coups de tête et des commotions cérébrales sur le fonctionnement cognitif des joueurs de soccer

Couture, Sandra January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Impacts à la tête au hockey sur glace : effets du jeu sécuritaire, de l’agressivité et de l’historique de commotions cérébrales chez les adolescents québécois

Chevrier, Martin 04 1900 (has links)
No description available.
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L'impact de la commotion cérébrale d'origine sportive sur la capacité d'imagerie mentale visuelle d'athlètes

Charbonneau, Yves 06 1900 (has links)
Les études sont mitigées sur les séquelles cognitives des commotions cérébrales, certaines suggèrent qu’elles se résorbent rapidement tandis que d’autres indiquent qu’elles persistent dans le temps. Par contre, aucunes données n’existent pour indiquer si une tâche cognitive comme l’imagerie mentale visuelle fait ressortir des séquelles à la suite d’une commotion cérébrale. Ainsi, la présente étude a pour objet d’évaluer l’effet des commotions cérébrales d’origine sportive sur la capacité d’imagerie mentale visuelle d’objets et d’imagerie spatiale des athlètes. Afin de répondre à cet objectif, nous comparons les capacités d’imagerie mentale chez des joueurs de football masculins de calibre universitaire sans historique répertorié de commotions cérébrales (n=15) et chez un second groupe d’athlète ayant été victime d’au moins une commotion cérébrale (n=15). Notre hypothèse est que les athlètes non-commotionnés ont une meilleure imagerie mentale que les athlètes commotionnés. Les résultats infirment notre hypothèse. Les athlètes commotionnés performent aussi bien que les athlètes non-commotionnés aux trois tests suivants : Paper Folding Test (PFT), Visual Object Identification Task (VOIT) et Vividness of Visual Imagery Questionnaire (VVIQ). De plus, ni le nombre de commotions cérébrales ni le temps écoulé depuis la dernière commotion cérébrale n’influent sur la performance des athlètes commotionnés. / The research is mitigated on the cognitive after-effects of a concussion. Some studies suggest the effects disappear rapidly whereas others observe a continuation in their manifestation. However, no research has been done to indicate whether a cognitive task like mental imagery brings out these effects following a concussion. This study will evaluate the effects of sport-related concussions on object and spatial visual mental imagery of athletes. To achieve this goal, we compare the mental imagery capacity between two groups of male football athletes of University level. The first group (n=15) with no history of concussions and the second group (n=15) with one or more concussions. We hypothesize that the non-concussed athletes visualize better than the concussed athletes. Our results invalidate our hypothesis. Both groups have similar results on the three following measures: Paper Folding Test (PFT), Visual Object Identification Task (VOIT) and Vividness of Visual Imagery Questionnaire (VVIQ). Furthermore, the quantity of concussions and the time past since the last concussion seems to have no impact on the visual mental imagery performance of concussed athletes.
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Les effets d’un effort cognitif prolongé chez des athlètes ayant subi une commotion cérébrale

Caron, Gabriel 05 1900 (has links)
La fatigue est l’un des symptômes les plus fréquents et persistants chez les victimes de commotion cérébrale. Au cours des dernières années, des signes d’altérations cognitives post-commotionnelles à la suite d’un effort aérobie, soit une forme de fatigue dont la cause est physique plus que cognitive, ont été trouvés à court et à long terme chez des athlètes étudiants. Or, puisque ces athlètes évoluent dans un contexte où ils doivent non seulement performer dans leur discipline sportive, mais aussi à l’école ou au travail, il convient de se demander si un effort mental soutenu n’aurait pas le même effet chez cette population. L’objectif de cette étude était donc de déterminer si des athlètes étudiants ayant subi une commotion cérébrale (groupe HC) se sentent plus fatigués ou ont davantage tendance à se fatiguer mentalement que ceux n’ayant jamais subi de commotion cérébrale (groupe ST). Les sujets devaient répondre à une série de questionnaires auto-rapportés. Ils devaient aussi compléter une tâche informatisée recrutant les fonctions exécutives avant et après avoir répondu à une épreuve de raisonnement, d’une durée d’une heure, visant à simuler un examen scolaire. Leur réaction physiologique à la tâche était mesurée via un appareil d’électroencéphalographie et un cardiofréquencemètre. Si dans l’ensemble les résultats n’appuient pas l’hypothèse initiale, les deux groupes ont montré des différences notables dans leur façon de répondre à la tâche. Nous avons notamment constaté l’absence d’un effet de pratique à la condition la plus facile ainsi qu’une variabilité de la performance généralement plus élevée chez les sujets avec un historique de commotion cérébrale. De plus, contrairement au groupe témoin, ceux qui rapportaient des symptômes plus importants de fatigue cognitive quotidienne, de somnolence et de dépression montraient également une moins bonne précision à la tâche après un effort cognitif soutenu. Ces résultats suggèrent que les commotions cérébrales pourraient avoir pour effet d’accroître la sensibilité de certains individus à l’effort cognitif. De futures études devraient se pencher sur cette relation afin de la confirmer et d’en comprendre les causes. / Fatigue is one of the most common and persistent symptoms in concussion victims. In recent years, signs of post-concussive cognitive impairment following aerobic exertion, a form of fatigue whose cause is more physical than cognitive, have been found in both shortand long-term in student athletes. However, since these athletes evolve in a context where they must not only perform in their sport, but also at school or at work, it is worth asking whether sustained mental effort would have the same effect in this population. The objective of this study was therefore to determine whether student athletes who have suffered a concussion (HC group) feel more tired or are more likely to become mentally fatigued than those who have never suffered a concussion (ST group). Subjects were asked to complete a series of self-report questionnaires. They were also required to complete a computerized task recruiting executive functions before and after completing a one-hour reasoning test meant to simulate a school examination. Their physiological response to the task was measured using electroencephalography and a heart rate monitor. While the results do not support the original hypothesis, the groups showed significant differences in the way they responded to the task. Particularly, we found the absence of a practice effect at the easiest condition as well as a generally higher performance variability in subjects with a history of concussion. In addition, unlike the control group, those who reported greater symptoms of daily cognitive fatigue, drowsiness and depression also showed poorer task accuracy after sustained cognitive effort. These results suggest that concussions may have the effect of increasing the sensitivity of some individuals to cognitive effort. Future studies should investigate this relationship in order to confirm it and understand its causes.
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Les effets de la règle de la mise en échec sur les fonctions exécutives et l’état psychoaffectif de jeunes hockeyeurs au cours d’une saison

Lortie, Jean-Christophe 08 1900 (has links)
Les athlètes issus des sports de contact sont initiés à différents impacts à un jeune âge. Alors que les commotions cérébrales semblent représenter un fléau pouvant affecter les fonctions cognitives à long terme, le rôle des impacts sous-commotions dans la possible neurodégénérescence du cerveau est négligé. Ces impacts sous-commotions sont répertoriés à une vélocité moindre et ne déclencheraient pas la cascade métabolique associée aux signes et symptômes d’une commotion cérébrale. Les impacts sous-commotions sont caractéristiques des sports comme le hockey, le football américain ou le soccer et ils se produisent à une plus grande fréquence que les commotions cérébrales. Ainsi, le cerveau absorbe ces impacts à profusion au cours d’une saison, voire d’une carrière. Au hockey, l’initiation à ces impacts se produit à l’adolescence avec la mise en échec. Les fonctions exécutives, responsables des tâches de planification, d’inhibition et de mémoire de travail, finissent de se développer vers la fin de l’adolescence. De plus, ces fonctions semblent être altérées à long terme à la suite d’une commotion cérébrale. À cet égard, l’objectif du projet était d’explorer les effets des impacts sous-commotions sur les fonctions exécutives ainsi que sur l’état psychoaffectif chez des hockeyeurs adolescents pratiquant différents types de mise en échec. Trente-huit participants âgés de 12 et 17 ans ont été recrutés. Ces participants ont été séparés selon le type de mise en échec pratiqué durant la saison, soit le contact physique (CP), la mise en échec progressive (MEP) ou la mise en échec complète (MEC). Leurs fonctions exécutives ont été évaluées à l’aide d’un paradigme forme-couleur de la tâche d’alternance. L’état psychoaffectif a été évalué à partir de questionnaires autoadministrés. Puis, le protocole s’est déroulé au début et à la fin de la saison de hockey. Une ANCOVA 3 × 2 × 2 n’a révélé aucune interaction, ni d’effet, entre le type de mise en échec pratiqué (CP; MEP; MEC), le fait d’avoir un historique de commotions cérébrales (HCC; sans HCC) et le temps durant la saison (Pré; Post) sur les résultats à la tâche d’alternance et les scores aux questionnaires psychoaffectifs. Ces résultats suggèrent que le type de mise en échec pratiqué, au cours d’une saison, ne serait pas suffisant pour affecter les fonctions exécutives et l’aspect psychoaffectif des adolescents. / Athletes from contact sports are introduced to repetitive subconcussive impacts at a young age. Although concussions represent a major concern in public health as they can alter cognitive functions, little is known about subconcussive impacts and the role they might have in the hypothetical neurodegenerescence of the brain. Subconcussive impacts are registered at a smaller velocity than concussive impacts and therefore are not associated with concussion-related sign or symptoms. However, these impacts occur at a higher frequency as they are part of contact sports like hockey, American football and soccer. The brain receives multiple subconcussive impacts during a season or an entire career. Adolescent hockey players are introduced to body checking at the age of 13-14 years old and brain functions like executive functions are not completely developed until the end of adolescence. Also, executive functions are responsible for task planning, inhibition and working memory. Moreover, these functions seem to be afflicted in the long term after one or multiple concussions. The purpose of this project was to explore the effects of subconcussive impacts on executive functions and the psycho-affective state of adolescent hockey players competing with different types of body checking rules. Thirty-eight participants were recruited from the age of 12 to 17 years. They were grouped according to the type of body checking rules they played with during the season, which were physical contact (PC), restrictive body checking (RBC) and full body checking (FBC). Executive functions were assessed using a colour-shape paradigm of the switch task. Psycho-affective state was assessed with self-reported questionnaires. Participants completed this protocol at the beginning and the end of their hockey season. A 3 × 2 × 2 ANCOVA did not reveal any interaction, nor main effect of the type of body checking (PC; RBC; FBC), history of concussion (HOC; no HOC) and time of the season (Pre; Post) on the results of the switch task and the self-reported questionnaires. Therefore, this suggests that the rule of body checking is not sufficient to cause any alteration of executive functions or any change in the psycho-affective state of adolescent hockey players.
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Caractérisation de la physiologie du système moteur primaire en phase aiguë en lien avec les forces biomécaniques à la suite d'un match de football

Vinet, Sophie-Andrée 08 1900 (has links)
L’exposition aux impacts commotionnels et sous-commotionnels est une préoccupation majeure dans les sports de contact en raison de leurs effets néfastes sur la santé cérébrale. Des changements physiopathologiques et neurocognitifs ont été constatés après une seule saison de football chez des athlètes exposés à des coups sous-commotionnels. Vu l'absence d'outils sur les lignes de côtés permettant d'identifier les coups sous-commotionnels potentiellement dangereux, il est crucial de mettre au point des mesures objectives pour évaluer les perturbations neuropsychologiques aiguës associées aux chocs à la tête dans les sports de contact. Cette étude a pour but de documenter l'association entre l'exposition aux impacts à la tête pendant un match de football universitaire et les changements à court terme de l’excitabilité du cortex moteur primaire (M1) à l'aide de la stimulation magnétique transcrânienne (SMT). À cette fin, vingt-neuf athlètes masculins de niveau universitaire ont porté des protège-dents instrumentés (iMG) pendant un match de football afin de mesurer l'exposition aux impacts à la tête. Les mesures SMT ont été effectuées 24 heures avant et 1 à 2 heures après le match. De plus, vingt athlètes de football assigné au groupe contrôle ont participé à une séance d'entraînement physique sans contact et ont effectué les mêmes mesures de SMT. Les résultats suggèrent que, par rapport au groupe contrôle, le groupe d'athlètes ayant joué un match de football présentait une désinhibition intracorticale significative (p=0,028) sur l'inhibition intracorticale à intervalle court (SICI 3-ms) après le match. Par ailleurs, les joueurs de football exposés à un plus grand nombre de coups de 40g+ et à des forces cumulées plus importantes dues à des chocs de 40g+ présentaient une désinhibition intracorticale plus importante après le match. Compte tenu les effets délétères d'une diminution de l'inhibition sur le contrôle moteur et l'équilibre, suivre de manière systématique l'exposition aux impacts à la tête des athlètes tout au long de la saison pourrait s'avérer avantageux pour la gestion clinique des risques de blessure. Ces changements observés renforcent la conviction qu’il est nécessaire d’investiguer davantage les effets à long terme de l’exposition aux impacts sous-commotionnels. / Repetitive head impacts and sport-related concussions are significant concerns in contact sports due to their adverse effects on brain health. Pathophysiological and neurocognitive changes have been found after a single season of football in athletes exposed to subconcussive hits. Considering the lack of sideline tools to identify potentially dangerous subconcussive hits, coming up with objective measures to evaluate acute neurologic impairments associated with head impacts in contact sports is crucial from a clinical standpoint. The current project aimed to investigate the association between head impact exposure (HIE) during a varsity football game and short-term changes in cortical excitability of the primary motor cortex (M1) using transcranial magnetic stimulation (TMS). To this end, we conducted a study, in which twenty-nine university-level male athletes wore instrumented mouthguards (iMGs) during a football game to measure HIE. TMS measurements were conducted 24 hours before and 1-2 hours after the game. Additionally, twenty control football athletes submitted to a non-contact physical training session and underwent identical TMS assessments. Results suggest that relative to controls, the group of athletes who had played a full contact football game exhibited a significant intracortical disinhibition (p=.028) on short-interval intracortical inhibition (SICI 3-ms) within hours following the game. Moreover, football players exposed to more 40g+ hits and greater cumulative forces from 40g+ head impacts exhibited greater post-game SICI disinhibition. Given the deleterious effects of decreased inhibition on motor control and balance, systematically tracking head impact forces throughout the course of contact sport season could reveal essential for sideline clinical management of head injury risk. These observed changes add to the concern that more research into the lasting consequences of HIE is needed.
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Les conséquences des commotions cérébrales sur la variabilité de la fréquence cardiaque durant le développement

Lépine, Julien 08 1900 (has links)
Ce projet de recherche avait pour but d’évaluer les conséquences à long terme des commotions cérébrales d’origine sportive (CCOS) subies durant le développement sur la fonction cardio-autonomique. Nous avons comparé la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de joueurs de hockey adolescents avec un historique d’une ou deux CCOS (commotion ; n = 39) à la VFC de joueurs de hockey adolescents n’en ayant jamais subi (contrôle ; n = 52). Les athlètes du groupe commotion ont été testés 26 mois (20) après leur dernière CCOS. L’électrocardiogramme des participants était mesuré durant, pendant et après un exercice sur ergocycle. La séance d’exercice consistait en un échauffement incrémenté de 6 minutes suivi de 20 minutes entre 60 et 70 % de la fréquence cardiaque maximale et finalement 2 minutes de retour au calme actif. Par la suite, un repos de 10 minutes était complété. Le logarithme naturel de l’écart-type des intervalles NN (lnETNN) et le logarithme naturel des basses fréquences (lnBF) étaient tous les deux plus élevés pour le groupe commotion que pour le groupe contrôle dans les trois conditions (repos, exercice et post-exercice) ( < 0,05). Cette différence était similaire pour toutes les conditions. Ces résultats suggèrent qu’une CCOS affecte la fonction cardio-autonomique différemment durant le développement qu’à l’âge adulte, renforçant la nécessité d’interventions post-commotion spécifiques durant développement. / This research project sought to evaluate long-term consequences of sport-related concussions (SRC) sustained during development on cardio-autonomic function. To do so, we compared the heart rate variability (HRV) of adolescents hockey players with a history of one or two sport-related concussion (HOC; n = 39) to the HRV of adolescents hockey players who never incurred a SRC (WHOC; n = 52). Athletes from the HOC group were 26 months (20) away from their last injury. Participants’ electrocardiogram was measured at rest, during and after an exercise session on ergocycle. The exercise session consisted of a 6 minutes incremental warm-up followed by 20 minutes between 60 and 70 % of maximal heart rate and finally a 2 minutes active cooldown. Then, a post-exercise rest of 10 minutes was completed. HRV linear and non-linear measures were calculated before, during and after the exercise session. Natural log of standard deviation of NN intervals (lnSDNN) and natural log of low frequencies (lnLF) were both higher for HOC group in the three conditions (rest, exercise, post-exercise) ( < 0.05). This difference was similar across all conditions. These results suggest that SRC might affect cardio-autonomic function differently during development than during adulthood thus reinforcing the need for specific post-concussion interventions for the developing population.
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Comportements de l'enfant d'âge préscolaire suite à un traumatisme crânio-cérébral léger

Gagner, Charlotte 08 1900 (has links)
Le traumatisme crânio-cérébral (TCC) pédiatrique représente l'une des causes principales de handicap chez les enfants à travers le monde. Parmi la gamme de conséquences documentées suite au TCC pédiatrique, les problèmes de comportement seraient très répandus et toucheraient particulièrement les enfants blessés à un jeune âge. En effet, le cerveau en plein développement pourrait s'avérer hautement vulnérable aux effets d'une atteinte cérébrale. Cependant, en ce qui concerne les formes plus légères de TCC (TCC léger; TCCL ou " commotion cérébrale "), les évidences restent mitigées. Alors que certaines études montrent peu, voire aucune manifestation comportementale du TCCL chez le jeune enfant, d'autres études révèlent des difficultés plus significatives et persistantes. L'objectif principal de la présente thèse était de caractériser les conséquences comportementales du TCCL chez l'enfant d'âge préscolaire (≤ 5 ans). La thèse est composée de trois articles empiriques. L'objectif du premier article était d'investiguer la présence de comportements internalisés et externalisés chez l'enfant six mois post-TCCL. Un deuxième objectif était d'identifier les caractéristiques préexistantes de l'enfant et de sa famille, ainsi que les variables liées à la blessure, susceptibles de prédire la présence de difficultés comportementales post-TCCL. L'échantillon comprenait 229 enfants âgés entre 18 et 60 mois, répartis en trois groupes : enfants ayant subi un TCCL (n = 86), enfants avec une blessure orthopédique (n = 62) et enfants contrôles en bonne santé (n = 81). Les résultats révèlent que les enfants d'âge préscolaire ayant subi un TCCL présentent davantage de comportements internalisés et externalisés que leurs pairs six mois après l'accident. En outre, la présence de difficultés comportementales pré-morbides, de même qu'un niveau plus élevé de détresse maternelle, prédisent davantage de difficultés comportementales six mois post-TCCL. Le deuxième article visait à caractériser les changements longitudinaux de ces comportements internalisés et externalisés observés à six mois post-TCCL. Les résultats indiquent que les difficultés comportementales observées à six mois post-TCCL persistent jusqu'à 30 mois après la blessure. Bien qu'à l'échelle du groupe, les résultats demeurent dans les limites des normes attendues pour l'âge, il existe un sous-groupe d'enfants ayant subi un TCCL qui présente des difficultés qui sont cliniquement significatives et qui persistent au long cours. Le troisième article visait à explorer l'association entre la présence d'un polymorphisme commun du gène BDNF (Val66Met), impliqué dans les mécanismes de plasticité cérébrale, et la présence de comportements internalisés et externalisés post-TCCL, au sein de cette même cohorte d'enfants d'âge préscolaire. Les résultats indiquent un effet protecteur du polymorphisme Val66Met sur les comportements internalisés observés six mois après l'accident, spécifique au groupe d'enfants ayant subi un TCCL. Les résultats issus de cette thèse permettent de mieux comprendre les conséquences comportementales du TCCL préscolaire, la trajectoire longitudinale des manifestations comportementales et la contribution de certains facteurs propres à l'enfant et à son environnement familial. Ultimement, cette thèse pourrait contribuer à préciser les orientations ministérielles concernant la prise en charge clinique du TCCL chez le jeune enfant et à mieux outiller les cliniciens œuvrant auprès de cette population vulnérable. / Pediatric traumatic brain injury (TBI) is a leading cause of long-term disability in children and adolescents worldwide. Amongst the wide array of consequences known to occur after pediatric TBI, behavioral impairments are among the most widespread and may particularly affect children who sustain injury early in the course of development (i.e., before the age of 6 years). Indeed, recent evidence suggest that the developing brain could be highly vulnerable to injury due to neurobiological and developmental particularities. When it comes to pediatric mild TBI (mTBI or "concussion"), which represents the vast majority of TBI cases in children, there is mixed evidence regarding the extent and chronicity of behavioral consequences. While some studies show little or no evidence of behavioral changes after mTBI sustained in the early years of life, others document persistent behavioral consequences. There is a paucity of studies focusing on early TBI, which likely contributes to the heterogeneity of findings. The overarching aim of this thesis was to characterize behavioral consequences of mTBI sustained in early childhood (i.e., between 18 and 60 months old). The thesis is composed of three empirical articles. The aim of the first article was to document the presence of internalizing and externalizing behavior problems six months after preschool mTBI. A second objective was to identify pre-existing child and family characteristics, as well as injury-related variables that could predict behavioral outcome. The sample consisted of 229 children recruited to one of three participant groups: mild TBI (mTBI; n = 86), orthopedic injury (OI; n = 62) and typically developing children (TDC; n = 81). The results indicate that children who sustain preschool mTBI exhibit more internalizing and externalizing problems than their peers six months post-injury. Results also show that pre-injury behavioral problems, as well as higher levels of maternal distress, predict poorer post-TBI behavioral functioning. The second article intended to characterize longitudinal changes in behavioral outcome over 30 months post-injury in the same cohort of preschoolers. Results indicate that the higher rates of internalizing and externalizing symptoms observed in the mTBI group at six months post-injury persist up to 30 months post-injury. Although at the group level, results remain within the expected age norms, there is evidence of a subgroup of children with mTBI who present clinically significant behavioral symptoms, even in the long-term. The third article aimed to explore the association between the presence of a common and naturally occurring polymorphism of the BDNF gene (Val66Met), known to be involved in neuroplasticity mechanisms, and behavioral problems after preschool mTBI. Results indicate a protective effect of the Val66Met polymorphism on internalizing symptoms observed at six months post-injury, specific to the mTBI group. Taken together, these findings further our understanding of the behavioral consequences of mTBI in early childhood, the trajectory of recovery and factors that are associated with behavioral difficulties after early TBI. Ultimately, this thesis could contribute to the development of ministerial guidelines for the clinical management of mTBI in young children and support the efforts of clinicians working with this vulnerable population.
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Effets à long terme des traumatismes cranio-cérébraux légers : facteurs influençant l'évolution

Larson-Dupuis, Camille 10 1900 (has links)
La présente thèse porte sur les effets à long terme des traumatismes craniocérébraux légers (TCCL), incluant les commotions cérébrales, ainsi que sur certains facteurs influençant l’évolution post-blessure chez deux populations considérées vulnérables, soit les athlètes féminines ainsi que les adultes vieillissants. Dans une première étude, les capacités olfactives d’athlètes féminines commotionnées, mais asymptomatiques, ont été évaluées en moyenne deux ans après la dernière commotion. L’intérêt de cette étude réside principalement dans l’investigation du rôle potentiel du polymorphisme BDNF Val66Met (BDNFMet), associé à une sécrétion réduite de la protéine BDNF impliquée dans la neuroplasticité, pour expliquer les variations du fonctionnement olfactif post-commotion. Dans une deuxième étude, les effets cognitifs d’avoir subi un seul TCCL ont été caractérisés chez des individus âgés de 50 à 70 ans ayant subi leur blessure environ cinq ans plus tôt. Cette caractérisation est particulièrement pertinente alors que la majorité des études s’intéressant aux effets à long terme de cette blessure ont étudié des individus ayant subi de multiples TCCL. De plus, cette étude visait à évaluer si un programme d’entraînement physique aérobie de douze semaines permettrait d’améliorer les fonctions cognitives altérées chez les TCCL comparativement aux contrôles. Les résultats de la présente thèse permettent d’abord de mieux caractériser certains effets à long terme du TCCL. Plus précisément, la première étude suggère un patron de fonctionnement olfactif distinct selon le génotype BDNF chez les athlètes féminines commotionnées. Ainsi, les porteuses du BDNFMet ont significativement mieux performé que les BDNFval aux différentes tâches olfactives. Puisque cette relation génétique n’était pas présente chez les participantes contrôles, ces résultats suggèrent que le fonctionnement olfactif, suite à une commotion cérébrale, est, du moins en partie, médié par le polymorphisme BDNFMet. La deuxième étude suggère, pour sa part, des effets cognitifs à long terme d’avoir subi un seul TCCL chez des individus sédentaires, mais en santé, âgés de 50 à 70 ans. Ainsi, les participants TCCL ont moins bien performé que les participants contrôles, appariés pour l’âge et le sexe, aux tâches neuropsychologiques mesurant des aspects de la vitesse de traitement de l’information, du fonctionnement exécutif (planification, fluence verbale) et de la mémoire visuelle. Cette étude n’a toutefois pas relevé de différence sur le plan de l’attention, de l’inhibition, de la mémoire verbale et des habiletés visuoconstructives. Ces résultats cognitifs sont un ajout intéressant à la littérature, car ils surviennent chez des individus qui ne présentaient aucun des facteurs de risque (maladie chronique, problème de santé mentale) typiquement associés aux effets à long terme des TCCL. En ce qui a trait au deuxième volet de l’étude, l’exercice physique aérobie a permis d’améliorer les capacités cardiorespiratoires (VO2max) des patients TCCL davantage que les étirements (condition contrôle). Toutefois, dans ce petit échantillon de seize participants, l’exercice aérobie n’a pas permis d’améliorer les fonctions cognitives altérées des patients TCCL. Différentes explications possibles sont abordées afin de guider les futures études. / The following thesis investigates the long-term effects of mild traumatic brain injury (mTBI), including concussions, and factors influencing post-injury evolution in two vulnerable populations: female athletes and aging individuals. In a first study, olfactory capacities of asymptomatic concussed female athletes were evaluated an average of two years after their last concussion. The appeal of this study lies mainly in its investigation of the potential role of the BDNF Val66Met (BDNFMet) polymorphism, which is associated with reduced secretion of the BDNF neuroplasticity protein, on post-concussion olfactory variations. In a second study, cognitive effects of sustaining a single mTBI were assessed in individuals between 50 and 70 years old who sustained their injury on average five years earlier. This characterization is particularly relevant given that most studies focusing on long-term effects of this injury have studied individuals having sustained multiple mTBI. Furthermore, this study also aimed to evaluate if a twelve-week aerobic exercise program would allow improvements of altered cognitive functions in mTBI patients. Results from the following thesis first allow to better describe some long-term effects of mTBI. More precisely, the first study suggests different patterns of olfactory functioning according to BDNF genotype in female concussed athletes. Thus, BDNFmet carriers performed significantly better than BDNFval carriers at the different olfactory tasks. Given that this genetic relationship was not present in control participants, these results suggest that olfactory functioning following a concussion is, at least in part, mediated by the BDNFmet polymorphism. As for the second study, it suggests long-term cognitive effects of having sustained a single mTBI in sedentary, but healthy, individuals between the ages of 50 and 70. Indeed, mTBI participants showed lower performance when compared to age and sex-matched control participants on neuropsychological tasks measuring aspects of processing speed, executive functioning (planning, verbal fluency) and visual memory. This study did not find any difference regarding attention, inhibition, verbal memory and visuoconstructive abilities. These cognitive results are an interesting contribution to the literature as they occur in individuals presenting no risk factor (chronic disease, mental health disorders) typically associated with long-term effects of mTBI. Regarding the second phase of this study, aerobic exercise improved cardiorespiratory fitness (VO2max) more than stretching (control condition) in mTBI patients. However, in this small sample of sixteen participants, aerobic exercise did not allow to improve altered cognitive functions in mTBI participants. Different possible explanations are addressed to guide future studies.
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Développement et évaluation de l’efficacité d’une intervention visant la diminution des symptômes post-commotionnels

Audrit, Hélène 06 1900 (has links)
Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) s'accompagne d'une constellation de symptômes de nature variée, appelés symptômes post-commotionnels (SPC). La majorité des patients se rétablissent complètement et rapidement, à savoir dans le mois qui suit l'accident. Cependant, 10 à 20 % d'entre eux présentent un rétablissement prolongé avec des SPC persistants (SPCP), lesquels entravent la qualité de vie, l'intégration à la communauté et le retour aux activités. Pour la minorité de patients présentant des SPCP, il est donc nécessaire d'intervenir au-delà de la psychoéducation préventive aiguë recommandée par les guides de pratique. Or, il existe très peu d'interventions visant spécifiquement à outiller ces patients afin de diminuer les SPC et ainsi, accélérer le rétablissement. En effet, à l’heure actuelle, les interventions psychologiques et psychoéducatives développées spécifiquement pour la phase post-aiguë, qui prend place entre les phases aiguë (0-1 mois après le TCCL) et chronique (> 6 mois post-accident), sont particulièrement rares. Les quelques études existantes plaident en faveur d'une approche brève de quelques séances de psychoéducation et/ou de soutien. Cependant, il s'agit de données préliminaires et de nombreuses inconnues subsistent encore quant au format idéal (ex. : en personne vs par téléphone, individuel vs en groupe, nombre de séances, contenu précis). En outre, la pauvre qualité méthodologique des études complique significativement les interprétations possibles à ce sujet (ex. : absence de groupe contrôle, groupes non randomisés). L'objectif principal de cette thèse était donc de développer une nouvelle intervention de psychoéducation et de soutien destinée aux personnes en phase post-aiguë du rétablissement post-TCCL, et d’explorer sa faisabilité ainsi que son efficacité. L'objectif du premier article de la thèse (Chapitre 2) était de remédier à la pauvreté de la littérature en ce qui a trait, d'une part, à la description des protocoles d'intervention de psychoéducation et, d'autre part, relativement à leurs assises théoriques. Il avait donc pour objectif de présenter la démarche théorique et méthodologique associée au développement de l'intervention SAAM, un programme de quatre séances d'intervention individuelles d’une heure, données en personne, et visant chacune un type de SPC fréquent en phase post-aiguë : Sommeil/fatigue, Attention, Anxiété/humeur, Mémoire/organisation. Le programme offre de l'information au patient, le rassure sur son rétablissement et l'accompagne vers un retour graduel aux activités, en l'outillant à cet effet. Cette approche est ancrée dans un modèle théorique intégratif de persistance des symptômes (Hou et al., 2012), dont les composantes sont expliquées dans l'article. Celui-ci permet non seulement de mieux saisir les fondements théoriques associés à la création du nouvel outil d'intervention, mais en dévoile également son contenu. Il met donc en lumière une démarche qui s'inscrit parfaitement dans un effort de clarification et de transparence, essentiel au progrès de la recherche interventionnelle. Plus largement, ce travail permettra de faciliter la réplication scientifique et de soutenir le transfert de connaissances vers les milieux cliniques. Le deuxième article de la thèse (Chapitre 3) avait pour objectif d'estimer la faisabilité et d’explorer l'effet de l'intervention SAAM auprès de patients symptomatiques en phase post-aiguë de leur rétablissement. Une étude pilote d’essai contrôlé randomisé à deux groupes parallèles (expérimental, n = 13 et liste d'attente, n = 12) a permis de démontrer la faisabilité et la tolérance à l’intervention SAAM. Les données préliminaires suggèrent un effet de l’intervention sur la diminution des SPC en général. En ce qui a trait plus directement aux SPC visés par l'intervention SAAM, une amélioration des plaintes reliées aux symptômes dépressifs, à la fatigue et à la perception de la qualité du sommeil a été mise en évidence à la suite de l'intervention. Cependant, l’étude n'a pas montré d’effet bénéfique du programme SAAM en termes de plaintes somatiques ni de performance cognitive (attention, mémoire). De plus, aucun effet n'a été observé sur le plan de l'intégration à la communauté. Des analyses supplémentaires (Chapitre 4) suggèrent que l'intervention SAAM pourrait restaurer le besoin de compétence, un besoin psychologique fondamental intimement relié au bien-être des individus. Enfin, des analyses supplémentaires portant sur un questionnaire de satisfaction face à l'intervention confirment un haut taux de satisfaction des participants face à l'intervention, ce qui est de bon augure pour l'implémentation en milieux cliniques. Par son aspect novateur, son format standardisé bref et facilement accessible, ainsi que ses effets objectivés sur plusieurs SPCP particulièrement invalidants à la suite du TCCL, le programme d'intervention SAAM est prometteur. La portée clinique de cette thèse est donc particulièrement importante et est discutée, avec ses limites et les avenues de recherche futures, dans le dernier chapitre. Ces résultats soulignent l'importance de poursuivre la recherche dans le champ des interventions post-TCCL, afin d’outiller les cliniciens et d’offrir les meilleurs soins possibles aux patients ayant subi un TCCL. / Mild traumatic brain injury (mTBI) is accompanied by a constellation of manifestations known as post-concussive symptoms (PCS). The majority of patients recover completely and promptly, i.e. within one month of injury. However, 10-20 % experience prolonged recovery with persistent PCS (PPCS), which impact quality of life, community integration and resumption of activities. For the minority of patients who present PPCS, it is necessary to provide them with resources beyond the acute preventive psychoeducation recommended by practice guidelines. However, there are very few interventions available to reduce PCS and thus enhance recovery. To date, psychological and psychoeducational interventions developed specifically for the post-acute phase, which takes place between the acute (0-1 month after mTBI) and the chronic phase (> 6 months post-injury), are particularly rare. The scarce existing evidence suggests that the optimal intervention should be brief, including a few sessions of psychoeducation and/or counseling. Nevertheless, these are preliminary data and many open questions remain regarding the optimal format (e.g., in person vs. on the phone, individual vs. group, number of sessions, specific content). Moreover, the poor methodological quality of previous intervention studies significantly complicate interpretations (e.g., absence of control groups, non-randomized groups). The main objective of this thesis was therefore to develop and explore the feasibility and treatment effect of a novel psychoeducational and counseling intervention program for the post-acute phase after mTBI. The objective of the first article of the thesis (Chapter 2) was to overcome the paucity of work describing psychoeducational intervention protocols and their theoretical underpinnings. The article therefore aimed to present the theoretical and methodological approach associated with the development of the SAAM intervention. SAAM is a program including four 1-hour individual intervention sessions given in person, each targeting a type of common PCS in the post-acute phase: Sleep/fatigue, Attention, Anxiety/mood, Memory/organization. It informs the patient, provides reassurance about recovery, and supports the gradual resumption of activities by giving the patient the tools to do so. This approach is anchored in an integrative theoretical model of symptom persistence (Hou et al., 2012), the components of which are explained in the article. The latter provides a better understanding of the theoretical rationale behind the development of the SAAM intervention, and includes a detailed description of the protocol. The article is meant to align with efforts to clarify the theoretical underpinnings of the intervention program and enhance transparency in scientific reporting, an essential step in the advancement of interventional research. More broadly, this work will facilitate scientific replication and knowledge transfer in clinical settings. The second article (Chapter 3) aimed to estimate feasibility and explore the treatment effect of the SAAM intervention in symptomatic patients during the post-acute phase. A pilot randomized controlled trial with two parallel groups (experimental, n = 13 and wait list, n = 12) demonstrated the feasibility and tolerability of the intervention. Preliminary data suggest an effect of the intervention in reducing overall PCS. More specifically, regarding the PCS targeted by the SAAM intervention, an improvement in complaints related to depressive symptoms, fatigue, and sleep quality perception was observed post-intervention. However, the intervention failed to show a positive effect in addressing anxiety or somatic complaints, nor was it significantly impactful in improving cognitive performance (attention, memory). No effect was observed in terms of community integration either. Nonetheless, additional analyses (Chapter 4) suggest that SAAM intervention might restore the need for competence, a basic psychological need closely related to the individual's well-being. Finally, additional analyses pertaining to an intervention satisfaction questionnaire confirm that participants report a high level of satisfaction with the intervention, which bodes well for clinical implementation. The SAAM intervention holds promise because of its innovative aspect, its brief and easily accessible standardized format, and its demonstrated effects on several disabling PCS. The clinical significance of this thesis is notable and is discussed, along with study limitations and future avenues of research, in the final chapter. This work emphasizes the importance of pursuing research efforts in the field of post-mTBI interventions, in order to provide clinicians with the tools they need to offer the best possible care to patients who have sustained mTBI.

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