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To BIT or not to BIT? : The effects of changes in effective control and temporal scope on investment tribunal jurisdiction under Ukraine - Russia BITKuchmiienko, Olga January 1900 (has links)
The thesis answers the question "How does the change in effective control affect investment protection mechanisms in the Ukraine - Russia BIT against the temporal scope of when investment was made?". The essence of the Tribunal's jurisdiction, territorial and temporal scope of the Ukraine - Russia BIT were analyzed according to the rules of Vienna Convention on the Law of Treaties. Relevant case law, doctrine and available information on the awards in "Crimean cases" were also parts of the analysis. A conclusion was made that changes in effective control activate BIT protection for Ukrainian investors in Crimea against actions of Russian Federation. As a result, investment arbitral tribunals have jurisdiction in cases where investment has not been initially made in the territory of the host state. The date of Russian Federation consent to arbitrate with Ukrainian investors in Crimea is the date of actual change in effective control.
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Le consentement à la convention d'arbitrage commercial international : évolution et développement récents en droit québécois et en droit internationalKost de Sèvres, Nicolette 12 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option droit des affaires" / L'arbitrage évolue parallèlement et en accord au développement du commerce et des
relations internationales s'accompagnant d'un accroissement des différends
commerciaux de plus en plus complexes et spécialisés. En choisissant l'arbitrage, les
parties excluent, de manière consensuelle, la compétence juridictionnelle des tribunaux
étatiques. Ce droit à l'accès aux tribunaux étatiques se retrouve notamment à la Charte
québécoise des droits et libertés de la personne. La validité d'une convention
d'arbitrage dépend donc avant tout de la preuve de son existence et la preuve du
consentement des parties s'y rattachant. La nécessité de l'écrit est donc un moyen de
s'assurer du consentement des parties. La Convention de New York de 1958 énumère
plusieurs de ces principes de forme. Son article 11(2), qui prévoit que la convention
d'arbitrage doit être par écrit, n'est plus adapté aux réalités juridiques et commerciales
d'aujourd'hui ni au développement du commerce électronique. Que peut être considéré
comme un écrit afin de répondre aux exigences de l'article 1I(2)? Abordée par la
CNUDCI, cette problématique quant au formalisme requis dans l'expression de la
volonté des parties à se soumettre à l'arbitrage est d'une importance capitale dans la
mesure des différentes interprétations qui existent à ce sujet tant au niveau du droit
québécois et canadien qu'au niveau du droit international. Une réforme des dispositions
législatives quant au formalisme écrit du consentement à l'arbitrage doit être mise en
place et ce, soit par une réforme des dispositions législatives existantes ou par une mise
à jour officielle de l'interprétation donnée aux dispositions actuelles en vigueur. / Arbitration has evolved in parallel and in accordance with the development of
commerce and of international relations coming along with the rise of commercial
disputes which are becoming increasingly complex and specialised. By choosing
arbitration, the parties consensually exclude the jurisdiction ofState courts. This right to
access State courts is protected namely in the Charter ofHuman Rights and Freedoms.
The validity of an arbitration clause therefore depends above all on the proof of its
existence and of the consent of the parties to that effect. The necessity of the written
form becomes a mean that insures of the consent of the parties. The 1958 New York
Convention enumerates several of those formal requirements. !ts section 11(2), which
states that the arbitration clause has to be in written form, is not adapted to today's legal
and commercial reality nor to the development of electronic commerce. What exactly is
considered as ''written'' in order to respect the requirements of section 1I(2)? As
addressed by UNCITRAL, the issue concerning the formalism required for the
expression of the parties' intent to be subjected to arbitration is of a vital importance.
Numerous interpretations exist in Canadian law as well as in International law. A
reform of the existing legal provisions relating to the consent of arbitration needs to be
implemented, either through a reform of the existing provisions or through an official
process to update the interpretation given to the requirements that are a1ready in place.
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Le consentement à la convention d'arbitrage commercial international : évolution et développement récents en droit québécois et en droit internationalKost de Sèvres, Nicolette 12 1900 (has links)
L'arbitrage évolue parallèlement et en accord au développement du commerce et des
relations internationales s'accompagnant d'un accroissement des différends
commerciaux de plus en plus complexes et spécialisés. En choisissant l'arbitrage, les
parties excluent, de manière consensuelle, la compétence juridictionnelle des tribunaux
étatiques. Ce droit à l'accès aux tribunaux étatiques se retrouve notamment à la Charte
québécoise des droits et libertés de la personne. La validité d'une convention
d'arbitrage dépend donc avant tout de la preuve de son existence et la preuve du
consentement des parties s'y rattachant. La nécessité de l'écrit est donc un moyen de
s'assurer du consentement des parties. La Convention de New York de 1958 énumère
plusieurs de ces principes de forme. Son article 11(2), qui prévoit que la convention
d'arbitrage doit être par écrit, n'est plus adapté aux réalités juridiques et commerciales
d'aujourd'hui ni au développement du commerce électronique. Que peut être considéré
comme un écrit afin de répondre aux exigences de l'article 1I(2)? Abordée par la
CNUDCI, cette problématique quant au formalisme requis dans l'expression de la
volonté des parties à se soumettre à l'arbitrage est d'une importance capitale dans la
mesure des différentes interprétations qui existent à ce sujet tant au niveau du droit
québécois et canadien qu'au niveau du droit international. Une réforme des dispositions
législatives quant au formalisme écrit du consentement à l'arbitrage doit être mise en
place et ce, soit par une réforme des dispositions législatives existantes ou par une mise
à jour officielle de l'interprétation donnée aux dispositions actuelles en vigueur. / Arbitration has evolved in parallel and in accordance with the development of
commerce and of international relations coming along with the rise of commercial
disputes which are becoming increasingly complex and specialised. By choosing
arbitration, the parties consensually exclude the jurisdiction ofState courts. This right to
access State courts is protected namely in the Charter ofHuman Rights and Freedoms.
The validity of an arbitration clause therefore depends above all on the proof of its
existence and of the consent of the parties to that effect. The necessity of the written
form becomes a mean that insures of the consent of the parties. The 1958 New York
Convention enumerates several of those formal requirements. !ts section 11(2), which
states that the arbitration clause has to be in written form, is not adapted to today's legal
and commercial reality nor to the development of electronic commerce. What exactly is
considered as ''written'' in order to respect the requirements of section 1I(2)? As
addressed by UNCITRAL, the issue concerning the formalism required for the
expression of the parties' intent to be subjected to arbitration is of a vital importance.
Numerous interpretations exist in Canadian law as well as in International law. A
reform of the existing legal provisions relating to the consent of arbitration needs to be
implemented, either through a reform of the existing provisions or through an official
process to update the interpretation given to the requirements that are a1ready in place. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de LL.M. en droit option droit des affaires"
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Les exceptions préliminaires dans l'arbitrage sur le fondement des traités de promotion et de protection des investissements / Preliminary objections in investment treaty arbitrationChaeva, Natalia 05 December 2014 (has links)
Dans l’arbitrage relatif aux investissements, on entend par exceptions préliminaires les incidents de procédure par lesquels les Etats contestent la compétence du tribunal arbitral ou la recevabilité de la requête de l’investisseur. Avec le développement du contentieux arbitral, le recours à cette technique contentieuse se fait de plus en plus fréquent, mais la présentation des exceptions préliminaires par les Etats et leur traitement par les tribunaux arbitraux sont souvent sources de confusion. Notre étude propose de préciser les concepts clés du contentieux international de compétence et de recevabilité et de revenir sur leur distinction dans un domaine spécialisé du contentieux international – le contentieux arbitral fondé sur les traités de protection et de promotion des investissements. La réaffirmation de la distinction entre les questions de compétence et de recevabilité permettra d’en proposer une classification en fonction de l’objet de l’exception préliminaire et de mieux saisir la portée de la notion d’exception préliminaire qui constitue un moyen de leur mise en oeuvre dans l’arbitrage transnational. Cette classification commandera le régime qu’il convient de réserver à chaque type de défense, afin d’ordonner la présentation des exceptions préliminaires par les Etats et leur examen par les arbitres, examen qui détermine leur faculté d’exercer la fonction juridictionnelle. / In investment treaty arbitration, preliminary objections can be defined as procedural issues raised by the States in order to contest arbitral tribunal jurisdiction or admissibility of an investor claim. With the rise of investment treaty arbitration, recourse to this litigation technique is getting more and more frequent. However, the submission of preliminary objections by the States, as well as their examination by the arbitral tribunals are frequently confusing. Our research focuses on the core concepts of jurisdiction and admissibility in international litigation in order to reconsider their distinction in a specialised field of international litigation - investment treaty arbitration. On the basis of this distinction, we propose a classification of preliminary issues according to their object. This classification will order the legal regime to be applied to each type of preliminary defence, thus putting some order in the submission of preliminary objections by the States and their examination by the arbitrators, examination which relates to their capacity to exercise their jurisdictional function.
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