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Alimentation carnée et gestion des populations animales sur le territoire de la cité de Nîmes (Hérault et Gard, IIème s. av. - IIème s. ap. J.-C.) / Meat consumption and breeding in the city of Nîmes (Hérault and Gard, 2nd century BC‑2nd century AD)

Renaud, Audrey 12 November 2012 (has links)
La cité de Nîmes, territoire localisé en bordure de la mer Méditerranée (Gard et partie est de l’Hérault), est créée au cours du Ier s. av. J.‑C., avec à sa tête un chef‑lieu (Nemausus) auquel sont rattachés de nombreux établissements répartis au sein de ce vaste territoire. La société nîmoise, tout en conservant son héritage protohistorique, est profondément influencée par le modèle socio‑économique romain dans ce nouveau cadre administratif centralisé. Dans ce contexte de transition, il était intéressant d’aborder la thématique de l’alimentation carnée des habitants de cette cité entre le IIème s. av. J.‑C. et le IIème s. ap. J.‑C. L’étude réalisée à partir des restes fauniques des mammifères provenant du chef‑lieu, d’agglomérations secondaires et d’établissements ruraux, permet d’éclairer l’exploitation des animaux dits « de bouche » dans cette cité. L’analyse propose d’aborder les questions des zones d’élevage et de la présence du bétail à l’intérieur des villes, la gestion des cheptels qui révèle des différences d’exploitation entre les troupeaux et une diversité des productions : lait, laine, force de travail et bien évidemment la viande. Les données archéozoologiques ont également permis d’observer des différences entre sites et des variations chronologiques dans le choix des espèces consommées, ainsi que dans les techniques de découpe des carcasses, les qualités de viande et la gestion des déchets d’origine animale. Les résultats font apparaître une organisation territoriale de l’économie animale nîmoise avec des lieux de production et de consommation, des activités que l’on retrouve souvent entremêlées au sein des établissements. / The city of Nîmes is located near the Mediterranean Sea (Gard and eastern Hérault provinces). Created during the first century BC, the city consists of several establishments scattered in a vast territory and connected to a chief town (Nemausus). In this centralized administrative organisation, a new society appears which, although retaining its protohistoric heritage, is deeply influenced by the Roman socio‑economic model. In this transitionnal context, the question of the meat diet of the inhabitants of this city between the 2nd century BC and the 2nd century AD is of great interest. This study is based on the faunal remains of mammals founded at several archaeological sites: chief town, secondary agglomerations and some rural settlements. This work will focus on the animals which are eaten. The data analysis raises the question of livestock production areas or at least the presence of animals inside the urban sites. Livestock management reveals differences between herds and a diversity of productions: milk, wool, traction and of course meat. The zooarchaeological data also revealed differences between sites and chronologies concerning the choice of species consumed, butchering systems, meat quality and management of animal waste. All these results suggest a territorial organization of animal economy based on production and consumption areas, although these activities are often mixed inside the establishments.
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Animaux domestiques et faunes sauvages en territoire Arverne (Vème avant JC - 1er siècle après JC) / Domestic animals and wild fauna in the Arverni territory (5th century BC - Ist century AD)

Foucras, Sylvain 06 January 2010 (has links)
L’étude présentée se fonde sur l’examen de plus de 160 000 ossements animaux provenant de 23 occupations du second âge du Fer de la région Auvergne. Ces ensembles, qui représentent différents contextes archéologiques (fermes, habitat aristocratique, agglomérations, oppida, zones cultuelles et funéraires), permettent ainsi d’aborder les problématiques propres à l’élevage des animaux et à l’utilisation qu’il en est faite dans la sphère domestique, artisanale et sacrée, par l’analyse des mobiliers archéologiques. Cette étude a pour objectif de rendre compte de l’implication de l’animal dans le fonctionnement de la société gauloise.Ce travail s’est attaché à replacer les données dans leur contexte chronologique, celui de la Gaule laténienne et augustéenne (entre le Ve s. av. J.-C. et le Ier s. de notre ère), et géographique, le territoire des Arvernes ; tout particulièrement le bassin de Clermont-Ferrand et la Grande Limagne d’Auvergne. / This thesis is based upon the study of 160 000 animal bones issued from 23 late iron-age sites excavated in the Auvergne region of central France. The assemblages represent different types of archaeological contexts (farms, aristocratic settlements, agglomerations, oppida, religious/ritual zones and funeral areas) which enable us to study their role in the domestic, craft and sacrificial spheres. The aim of this thesis is to show the implications of animal use within the Gallic society.This thorough study also replaces the data into the chronological context of Gaul between the LaTèneien and Augustian periods, and the geographical territory of the Clermont-Ferrand Basin in the Limagne plain of the Auvergne.
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Homme et animal dans les fermes du Poitou à la transition de l'âge de fer à la période romaine / Man and Animal in the farms of the Poitou during the Iron Age to Roman transition

Germinet, David 17 December 2009 (has links)
Cette recherche, fondée sur l’analyse de près de 33000 os animaux, vise à caractériser la fonction des fermes dans le Bas-Poitou antique. On y élève du bœuf, du mouton et de la chèvre, plus rarement du porc, principalement pour la viande et le lait. Une partie des productions est destinée aux habitants des fermes, une autre pourrait alimenter les agglomérations urbaines. Malgré une évolution des pratiques entre périodes gauloise et romaine (taille des animaux, consommation carnée), on observe plutôt une continuité dans le choix des espèces, des productions et des techniques de découpe. Ces fermes abritent des populations aux statuts sociaux variés. La chasse, particulièrement révélatrice de ces statuts, renvoie alors à des motivations différentes (recherche de matière première, protection des productions, activité de prestige). Enfin, ces riches fermes sont le théâtre de banquets dépassant de loin le simple cadre domestique. / The aim of this research, based on the study of nearly 33000 animal bones, is to determine the function of rural settlements between the pre-Roman Iron Age and the beginning of the Roman period. The ancient farmers of the Bas-Poitou bred cattle, sheep and goat, and a few pigs. Meat and milk were the main products derived from these animals. Some of these products were used on the sites, whilst others could have been traded with populations living in urban centres. Some practices change during this period (increasing stature of certain species, meat diet), but there were no more differences between the sites (same species, same produce and same methods of butchery). The populations living in these settlements possessed different social status. Hunting was one activity which was particularly revealing of status (crafts, protection of certain types of production or aristocratic activities). Finally, some rich farms held banquets, exceeding the usual domestic context.
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Animaux domestiques et faunes sauvages en territoire Arverne (Vème avant JC - 1er siècle après JC)

Foucras, Sylvain 06 January 2010 (has links) (PDF)
L'étude présentée se fonde sur l'examen de plus de 160 000 ossements animaux provenant de 23 occupations du second âge du Fer de la région Auvergne. Ces ensembles, qui représentent différents contextes archéologiques (fermes, habitat aristocratique, agglomérations, oppida, zones cultuelles et funéraires), permettent ainsi d'aborder les problématiques propres à l'élevage des animaux et à l'utilisation qu'il en est faite dans la sphère domestique, artisanale et sacrée, par l'analyse des mobiliers archéologiques. Cette étude a pour objectif de rendre compte de l'implication de l'animal dans le fonctionnement de la société gauloise.Ce travail s'est attaché à replacer les données dans leur contexte chronologique, celui de la Gaule laténienne et augustéenne (entre le Ve s. av. J.-C. et le Ier s. de notre ère), et géographique, le territoire des Arvernes ; tout particulièrement le bassin de Clermont-Ferrand et la Grande Limagne d'Auvergne.
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Alimentation carnée et Gestion des populations animales sur le territoire de la cité de Nîmes (Hérault et Gard, IIème s. av.-IIème s. ap. J.-C.)

Renaud, Audrey 12 November 2012 (has links) (PDF)
La cité de Nîmes, territoire localisé en bordure de mer Méditerranée (Gard et partie est de l'Hérault), est créée au cours du Ier s. av. J.-C., avec à sa tête un chef-lieu (Nemausus) auquel sont rattachés de nombreux établissements répartis au sein de ce vaste territoire. La société nîmoise, tout en conservant son héritage protohistorique, est profondément influencée par le modèle socio-économique romain dans ce nouveau cadre administratif centralisé. Dans ce contexte de transition, il était intéressant d'aborder la thématique de l'alimentation carnée des habitants de cette cité entre le IIème s. av. J.-C. et le IIème s. ap. J.-C. L'étude réalisée à partir des restes fauniques des mammifères provenant du chef-lieu, d'agglomérations secondaires et d'établissements ruraux, permet d'éclairer l'exploitation des animaux dits " de bouche " dans cette cité. L'analyse propose d'aborder les questions des zones d'élevage et de la présence du bétail à l'intérieur des villes, la gestion des cheptels qui révèle des différences d'exploitation entre les troupeaux et une diversité des productions : lait, laine, force de travail et bien évidemment la viande. Les données archéozoologiques ont également permis d'observer des différences entre sites et des variations chronologiques dans le choix des espèces consommées, ainsi que dans les techniques de découpe des carcasses, les qualités de viande et la gestion des déchets d'origine animale. Les résultats font apparaître une organisation territoriale de l'économie animale nîmoise avec des lieux de production et de consommation, des activités que l'on retrouve souvent entremêlées au sein des établissements.
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La société urbaine à Tours et l’animal (14e-17e s.) : approche archéozoologique / Urban society and animals in Tours (14e-17e C.) : zooarcheological approach

Cotté, Olivier 04 December 2008 (has links)
Ce travail de recherche a été réalisé à partir de l’étude de plus de 64 000 restes osseux provenant de 39 ensembles chrono-stratigraphiques issus de 7 sites répartis entre la ville et ses faubourgs. A l’aide de ce mobilier inédit, cette étude s’est attachée à appréhender, au travers des restes osseux, la ville dans ses dimensions économiques, culturelles et sociales entre les 14e et 17e siècles. Ainsi, au travers des études des proportions d’espèces, des âges et des sexes des animaux consommés, il a été possible de dresser les grandes tendances de l’approvisionnement de la ville durant ces quatre siècles tout en s’attachant à montrer la multiplicité des modes d’acquisition des animaux domestiques comme sauvages. Pour s’approvisionner en bétail, Tours met à contribution non seulement les élevages locaux consacrés à la production de viande mais aussi ceux qui produisent lait et laine. Ce travail a aussi mis en lumière aux portes de la ville le traitement industriel des carcasses de bœufs (traitement boucher et collecte de graisse). Cette étude a permis de caractériser le régime en viande des citadins et de différents contextes sociaux de la ville et notamment de mettre en évidence la grande différence dans le régime en viande qui existe à Tours entre les élites religieuses, qui se nourrissent de pièces de viande de qualité, et le reste de la population, plus particulièrement les commerçants et artisans urbains, dont l’alimentation est marquée par une forte consommation d’abats. / This research was conducted on the basis of over 64,000 bone remains from 39 chronostratigraphic units gathered from 7 sites located throughout the city of Tours and its immediate surroundings. The objective of this study was to use this unprecedented collection to size the economic, cultural and social dimensions of the city from the 14th to the 17th century through faunal remains. Thanks to the analysis of the proportions of species of animals eaten by age and gender, it is possible to define the main trends of meat supply in Tours over the period of time considered as well as to describe the many different ways of acquiring domestic and wild animals. In order to cater to its cattle need, Tours used local livestock bred for meat as well as milk and wool production. This research also sheds light on the industrial processing of beef carcasses (meat processing and fat collection). It is also possible to define the meat diet of city dwellers and of various social contexts of the city, highlighting for instance the difference in the meat diet of the religious elite, who ate prime cuts, and the rest of the population, more specifically city shopkeepers and craftsmen, whose diet mainly comprised of offal.

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