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La coopération Venezuela-Haïti : Une alternative à la coopération Nord-Sud?

Bernier, Lydia January 2015 (has links)
Cette thèse ambitionne de mieux comprendre l’approche de coopération Sud-Sud développée par le Venezuela, plus spécifiquement par le régime d’Hugo Chávez, et de la situer par rapport aux pratiques Nord-Sud dans le cadre de la reconstruction de l’État haïtien. Fondée sur un cadre théorique constructiviste critique, notre analyse met l’accent sur les facteurs non systémiques (histoire, politique, idéologie nationale, cadre discursif, etc.) dans la formation de l’identité et des intérêts derrière les politiques de coopération vénézuéliennes et leur mise en œuvre. En s’appuyant sur une étude de cas impliquant le Canada, l’OÉA et le Venezuela, il ressort que malgré l’établissement d’un modèle alternatif de développement qui pourrait s’avérer un apport complémentaire considérable à la coopération Nord-Sud, la place qu’y occupe l’idéologie bolivarienne anti-hégémonique l’inscrit plutôt dans une dynamique de concurrence qui limite la coordination de l’aide sur le terrain. Par ailleurs, cette recherche démontre que l’originalité du modèle de coopération vénézuélien réside dans la force de son pouvoir discursif, et par conséquent dans sa capacité à influencer la perception qu’ont les acteurs de ses pratiques d’aide.
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La coopération triangulaire : potentiel ou illusion d'efficacité?

Moisan, Geneviève January 2014 (has links)
La coopération triangulaire (CTr) est une modalité novatrice de coopération internationale pour le développement. En intégrant la participation de donateurs du Nord et du Sud dans un même arrangement, incluant les puissances émergentes, la CTr vient altérer les dynamiques des axes traditionnels Nord-Sud et Sud-Sud, dites verticales et horizontales, pour représenter et intégrer une plus grande variété d’intérêts. En s’appuyant sur une étude de cas d’une CTr réalisée au Mozambique par des acteurs non-gouvernementaux canadiens et brésiliens, cette étude se penche sur l’impact de la modalité de coopération triangulaire sur l’efficacité d’un projet. Il démontre que ce type de coopération apporte plus d’avantages que d’inconvénients face à l’efficacité du projet. Cependant, un grand éventail de facteurs tels que la flexibilité des partenaires, le degré d’appropriation de chacun et une division claire des rôles influencent l’efficacité du projet, rendant son atteinte complexe.
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La coopération Sud-Sud du Mexique, au sein de la nouvelle configuration de la coopération internationale pour le développement post-2015 / South-South Cooperation of Mexico, within the new configuration of international development cooperation post-2015

Cortes Zéa, Carlos 23 June 2016 (has links)
L’éventail de concepts disponibles aujourd’hui, n’est plus pertinent pour comprendre les nouveaux enjeux auxquels sont confrontés les acteurs qui agissent au sein de la coopération internationale pour le développement. La fin du contexte bipolaire d’où elle est le résultat, l’affirmation politique des « pays émergents » et l’activisme croissant des acteurs non-étatiques (ONG, secteur privé, fondations, universitaires, etc…) bousculent les dynamiques depuis les années 90. Puis, l’importance des flux privés face à la stagnation relative des montants d’APD redéfini le rôle des donateurs traditionnels. Dans ce sens, il est nécessaire de reconsidérer le cadre d’analyse afin de comprendre ce phénomène international. Malgré les nombreux défis en termes d’inégalités et de pauvreté auxquels ils doivent encore faire face, ces « Coopérants du Sud » sont en train d’étendre leurs programmes de coopération. Par conséquent, la Coopération Sud-Sud n’a cessé d’augmenter depuis les années 2000. C’est ainsi qu’en 2013, ces flux ont représenté un total de $23,5 milliards de dollars, tandis que l’Aide Publique au Développement des pays de l’OCDE s’est élevée à $135,1 milliards de dollars pendant la même année. Ce constat peut parfois être perçu par les donateurs traditionnels comme une menace. A l’intérieur de ceux qu’on appelle les « Coopérants du Sud », l’ampleur des politiques de coopération est souvent méconnue voire ignorée. C’est le cas du Mexique, où l’entrée en vigueur d’une loi en 2011 a mis en place un nouveau système de coopération internationale pour le développement. Formulée pour asseoir sur des bases juridiques les projets qu’il mène en Amérique Centrale (considérée par les acteurs politiques mexicains comme leur « zone d’influence naturelle »), cette loi prévoit d’étendre ce type d’actions au-delà. Face à ces ambitions renouvelées, il y a un besoin pour mieux comprendre ce qui est fait par le Mexique dans ce domaine. A ce titre, on estime qu’en 2013 la coopération du Mexique s’élève à environ $551 millions de dollars.De ce point de vue, la mise à jour du clivage entre la coopération traditionnelle et la Coopération Sud-Sud soulève plusieurs problématiques. Si les pratiques des donateurs traditionnels sont discutées et font l’objet d’une concertation au sein du Comité d’Aide au Développement de l’OCDE, celles relatives aux Coopérants du Sud restent hors de sa portée. De ce fait, l’architecture classique de l’aide internationale pour le développement est en train d’être bouleversée. Proposer de nouveaux cadres d’analyse devient alors nécessaire. De ce point de vue, le nouvel environnement issu de l’adoption de l’Agenda de Développement Post-2015 nécessite d’adopter de nouveaux cadres théoriques. Dans cette thèse, la notion de « configuration », formulée par Norbert Elias, nous permet d’appréhender le phénomène autrement. Dans ce sens, analyser la nouvelle configuration de la coopération internationale pour le développement, c’est tenter de comprendre une nouvelle répartition des forces entre tous les acteurs présents. La « configuration » actuelle est de nature dynamique, et elle est modelée par les stratégies des acteurs qui la constituent afin d’augmenter leur marge de manœuvre. Il s’agit d’une configuration qui est définie par la position des acteurs dans l’espace commun qu’est la scène internationale. / Theoretical frameworks no longer explain our understanding of the new challenges faced by international development cooperation stakeholders. The end of the Cold War, the political affirmation of “emerging countries”, and the growing activism of non-state actors (NGOs, private sector, foundations, academia, etc.) are shattering the traditional paradigm. Furthermore, the increasing importance of private flows alongside the relative stagnation of ODA is redefining traditional donor’s role. In this sense, it is necessary to revitalize the analysis to comprehend this international phenomenon.Over the last twenty years, the economic success of emerging economies contrasts with the persisting inequalities and marginalization problems that they shelter. Despite the various challenges that they still face, these “Southern Providers” are increasing their cooperation programs. South-South Cooperation has risen steadily since the year 2000. In 2013 these flows represented a total of $23.5 USD billion, while Official Development Assistance of OECD countries attained $135.1 USD billion during the same year.Inside the so-called "Southern Providers”, the scope is often overlooked or ignored. In Mexico for instance, the approval of a law in 2011 implemented a new international development cooperation system. The wide range of projects in Central America (considered by Mexican stakeholders as their “natural influence zone”) are formulated to sit within a legal framework, while the law is planned to be extended beyond these type of projects. Given these renewed ambitions, there is a need to better understand what is being done by Mexico in this area. As such, it is estimated that Mexican cooperation flows accounted for $551 USD millions in 2013.In this respect, the current discrepancies between traditional and South-South Cooperation raises several issues. If traditional donors’ practices are discussed within the Development Assistance Committee of the OECD, those of Southern Providers remain out of reach. Therefore, the classic international aid architecture is being eroded.Proposing new analytical frameworks has become necessary. In this regard, the international environment following the adoption of the Post-2015 Development Agenda cannot be capitalised upon with outdated concepts. As a central part of this thesis, the concept of “configuration” formulated by Norbert Elias allows us to understand the phenomenon further. In this sense, the analysis of the new configuration of international development cooperation aims to understand a new distribution of power between relevant stakeholders. While the “architecture” needs to be conceived and planned, a “configuration” has a dynamic nature, and is shaped by the players’ strategies to increase their power. The result is a configuration defined by the positioning of actors within the common space, and the international scene.This research is structured in three parts. First, it explains the new configuration of international cooperation for development. Second, it analyses Mexico’s "systemic responsibilities" as an emerging country towards Central American countries. Finally, it addresses Mexican South-South Cooperation, in the context of the implementation of its new international development cooperation system. / La gama de conceptos disponibles ya no es suficiente para comprender los nuevos retos que enfrentan los actores que operan dentro de la cooperación internacional para el desarrollo. El fin de la Guerra Fría, la afirmación política de los “países emergentes” y el creciente activismo de los actores no-estatales (ONG, sector privado, fundaciones, universidades, etc…) han modificado la dinámica que regía las relaciones internacionales durante los años 90. Aunado a esto, la importancia de los flujos privados ante el estancamiento de la Ayuda Oficial al Desarrollo (AOD) está redefiniendo el rol de los donantes tradicionales. En este sentido, es necesario proponer nuevos marcos conceptuales que nos permitan analizar este fenómeno internacional.A pesar de los múltiples desafíos en términos de desigualdad y pobreza a los que se enfrentan, los “Cooperantes del Sur” están ampliando sus programas de cooperación. En consecuencia, la Cooperación Sur-Sur ha aumentado en forma constante desde el año 2000. En el 2013, estos flujos representaron un total de $23,5 mil millones de dólares, mientras que la AOD ascendió a $135 mil millones durante el mismo año. Esta tendencia puede a veces ser percibida por los donantes tradicionales como una amenaza.Al interior de los llamados « Cooperantes del Sur », el alcance de las políticas de cooperación a menudo se pasa por alto o es ignorado. Es el caso de México, en donde la entrada en vigor de una ley en el 2011 estableció un nuevo sistema de cooperación internacional para el desarrollo. Formulada para aumentar la eficacia de los proyectos llevados a cabo en Centroamérica (subregión considerada la “zona natural de influencia” de México), la ley favorece la implementación de proyectos de cooperación en otras partes del mundo. Frente estas ambiciones renovadas, es necesario estudiar las acciones del país en el campo. Como tal, se estima que la cooperación mexicana se elevó a aproximadamente $551 millones de dólares en el 2013.Desde este punto de vista, la actualización de la escisión entre la cooperación tradicional y la Cooperación Sur-Sur plantea varios problemas. Si las prácticas de los donantes tradicionales son discutidas y son objeto de concertación dentro del Comité de Asistencia para el Desarrollo de la OCDE, aquellas relativas a la Cooperación Sur-Sur permanecen fuera de su alcance. Por lo tanto, nos encontramos ante la erosión progresiva de la arquitectura clásica de la ayuda internacional para el desarrollo.Proponer nuevos puntos de referencia se vuelve necesario. A partir de aquí, la coyuntura que resultó de la adopción de la Agenda de Desarrollo post-2015 requiere la adopción de marcos teóricos alternativos. Para esta tesis, la noción de “configuración”, formulada por Norbert Elias, nos permite entender el fenómeno desde otro enfoque. El análisis de la “nueva configuración de la cooperación internacional para el desarrollo post-2015”, es un intento por comprender la nueva distribución del poder entre los actores que la conforman. La “configuración post-2015” es de naturaleza dinámica, moldeada por las estrategias de los actores que la constituyen, cuyo objetivo es aumentar su margen de maniobra. Se trata en definitiva de una “configuración particular”, definida por el posicionamiento de los actores internacionales.
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Coopération Chine-Afrique : l'initiative Belt and Road en Sierra Leone et en Tanzanie

Bonacina, Amabilly 08 1900 (has links)
L’initiative Belt and Road (BRI) a été lancée en 2013 par le président chinois Xi Jinping. En 2021, 46 pays africains avaient déjà signé des accords avec la Chine pour réaliser des travaux dans le cadre de l’Initiative. À contre-courant, la Tanzanie et la Sierra Leone ont suspendu deux projets signés dans le cadre de la BRI. Dans ce contexte, ce travail cherche à savoir pourquoi les pays africains, après avoir signé des accords de coopération avec la Chine, dans le cadre de la BRI, décident d’interrompre le projet. Pour répondre à cette question, nous ferons deux études de cas : l’interruption du projet de l’aéroport de Mamamah en Sierra Leone et celle du port de Bagamoyo en Tanzanie. L’argument développé dans cette recherche explore l’importance de l’agentivité africaine dans un contexte de coopération Sud-Sud, pour réduire les asymétries dans les négociations. Les cas analysés ont démontré qu’il existe un espace d’expression et d’opportunité pour les acteurs africains. De plus, la dynamique de la politique interne joue un rôle fondamental dans l’attitude des agents vis-à-vis des accords de coopération, ce qui contribue in fine à leur interruption ou à leur maintien. / The Belt and Road Initiative (BRI) was launched in 2013 by Chinese President Xi Jinping. By 2021, 46 African countries had already signed a Memorandum of Understanding with China under the initiative. Against this broad trend, Tanzania and Sierra Leone have suspended two projects signed under the BRI. In this context, this research seeks to explain why some African countries, after signing cooperation agreements with China, within the framework of the BRI, decide to stop the project. To answer this question, we will conduct two case studies: the interruption of the Mamamah airport project in Sierra Leone and that of the Bagamoyo port in Tanzania. The argument developed in this research explores the importance of African agency in a context of South-South cooperation, to reduce asymmetries in negotiations. The cases analyzed have shown that there is a space for expression and opportunity for African actors. In addition, the dynamics of domestic politics play a fundamental role in the attitude of agents vis-à-vis cooperation agreements, which ultimately contributes to their interruption or maintenance.
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La politique extérieure de l'Inde en Afrique / The Indian foreign policy in Africa

Monnet, Rodolphe 12 June 2018 (has links)
Depuis 2001 et la recomposition des équilibres de puissance, l'Inde s'affirme comme l'un des acteurs qui compte dans un espace international de plus en plus multipolaire. Les mouvements de fond actuels provoquent une redistribution de cette puissance imposant de nouvelles alliances et de nouveaux jeux de pouvoirs. L'Inde n'est pas étrangère à cette tendance et encore plus depuis l'arrivée au pouvoir, en 2014, de l'actuel Premier ministre, Narendra Modi. Ce dernier conduit une politique extérieure ambitieuse pour que son pays accède à un statut de puissance mondiale. C'est dans ce cadre que se pose notre problématique qui est de savoir dans quelle mesure la place de l'Afrique dans la politique étrangère indienne permet-elle justement à l'Inde de parvenir à se hisser à ce statut de puissance. Pour y répondre, cette thèse investigue trois directions. D'abord, la place de l'océan Indien dans la relation indo-africaine doit rendre compte du rôle de l'Afrique dans la volonté indienne de faire de cet océan un espace pacifique et sécurisé sur lequel l'Inde puisse être un acteur incontournable face à des acteurs politiques puissants et hétérogènes. Ensuite, cette thèse s'attache à déterminer le rôle que l'Afrique joue dans la volonté de l'Inde d'être une puissance ayant une capacité d'influence politique sur la scène internationale au travers des instances internationales, de ses relations bilatérales avec les États africains et de la diaspora indienne installée dans ces pays. Enfin, cette recherche de statut passe par le champ économique et la nécessaire évaluation de l'empreinte économique que l'Inde souhaite imprimer en Afrique pour mieux asseoir ses capacités d'influence. Cette étude doit permettre de donner un éclairage sur la politique extérieure indienne à l'heure où les États-Unis réévaluent leur implication dans l'océan Indien, où la Chine met en place la « One Belt, One Road » et où l'Inde et le Japon viennent de s'unir pour proposer un nouveau partenariat à l'Afrique. / Since 2001 and the reshuffling of the balance of power, India has become one of the influential actors in an increasingly multipolar international context. The current groundswells are reshuffling powers between Nations in shaping new alliances and new power games. India is, more than ever, involved in this trend since the current Prime Minister, Narendra Modi, came to power in 2014. He conducts an ambitious foreign policy as a means to make his country a global and respected power. The context of the issue detailed in this document is: to what extent does Africa's place in India's foreign policy enables India to reach this status of power? This thesis investigates the following three themes: Firstly, the Indian Ocean's place in the Indo-African relationship should reflect Africa's role in India's will to make the Indian Ocean region a peaceful and secured space in which India is a decisive player in front of powerful and heterogeneous political actors. Secondly, this thesis focuses on assessing Africa's role in India's initiatives to be an influential player on politics on the international agenda through international bodies, its bilateral relations with African states and the Indian diaspora settled down in these countries. Thirdly, India's search for that particular status goes through the economic area and the assessment of India's economic footprint in Africa to better establish its influence on that Continent. This study tries to shed the light on India's foreign policy while the United States are reassessing their involvement in the Indian Ocean, and while China is setting up its "One Belt, One Road" and India and Japan have just come together to propose a new partnership to Africa.

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