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Développement d'un nouveau modèle coopératif axé sur la coordination efficace d'un secteur agricole

Vézina, Frédérique 19 April 2018 (has links)
Le manque de coordination est une importante lacune du secteur agricole, notamment en ce qui concerne la concertation horizontale des producteurs. En effet, outre les multiples imperfections de marché, la transmission des signaux du marché est brouillée par l’important délai qui existe entre la décision de produire, l’action et le résultat, ce qui fait en sorte qu’une institution est indispensable à l’organisation de la production agricole. C’est dans cette optique que le mouvement coopératif s’est développé afin de coordonner un secteur agricole alors démuni face au pouvoir de marché des acheteurs. Par contre, plusieurs problèmes internes au niveau de la gouvernance, de la capitalisation ainsi que de la préservation de l’identité coopérative ont limité le rôle de coordination de la coopération en agriculture. Ainsi, en considérant ces problématiques internes et en analysant une coopérative agroalimentaire qui connaît du succès actuellement, un nouveau modèle coopératif est développé afin de coordonner efficacement un secteur agricole canadien. Mots-clés : Coopérative, agriculture, agroalimentaire, coordination, gouvernance, capitalisation, identité coopérative, hybride, Fonterra. / The lack of coordination is an important issue in the agricultural sector, particularly in terms of horizontal coordination among producers. Indeed, in addition to the various market problems, the transmission of market signals is blurred by the important delay between the decision to produce, the action and the result. This fact implies that an institution is essential for the organization of agriculture. It is in this context that the cooperative movement has been developed to coordinate the agricultural sector against the market power of buyers. However, several internal problems in governance, capitalization and the preservation of cooperative identity have limited the role of cooperation in the coordination of agricultural sector. Therefore, considering these internal issues, and through analyzing a successful agri-food cooperative, a new cooperation model is developed to coordinate more efficiently a Canadian agricultural sector. Keywords: Cooperative, agriculture, agri-food, coordination, governance, capitalization, cooperative identity, hybrid, Fonterra.
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Arrangements coopératifs, investissement environnemental et performance des coopératives agricoles

Diakité, Daniel 25 March 2024 (has links)
Thèse en cotutelle : « Université Laval, Québec, Canada, Philosophiæ doctor (Ph. D.) et Institut national supérieur des sciences agronomiques, agroalimentaires, horticoles et du paysage, Rennes, France » / Cette thèse s'intéresse d'une part à la gouvernance des Coopératives d'Utilisation de Matériel Agricole (CUMA), d'autre part à son effet sur les investissements en actifs environnementaux et l'implication de ces investissements sur la performance des CUMA. Dans le premier essai, nous analysons la nature des mécanismes de gouvernance dans le contexte des CUMA au Québec. Nous étudions comment ces mécanismes se combinent pour minimiser différents problèmes de gouvernance. À partir d'une étude de cas multiples, nos résultats montrent que les problèmes de gouvernance en CUMA concernent à la fois les problèmes de coordination et de motivation. Pour corriger ces défaillances organisationnelles, nous constatons que les CUMA combinent les mécanismes de gouvernance formels et informels (capital social) en mettant toutefois l'accent sur les mécanismes informels tels que la confiance mutuelle. Les membres de la CUMA auront recours aux mécanismes informels, en utilisant les mécanismes formels en complément lorsque cela est nécessaire. Ce premier essai nous a ainsi permis de mettre en évidence la pertinence d'étudier les relations interpersonnelles au sein de la coopérative dans un contexte où les mécanismes formels sont défaillants ou inappropriés pour minimiser les problèmes de gouvernance. Dans le deuxième essai, nous analysons théoriquement et empiriquement l'effet du capital social sur la propension et la proportion de l'investissement en actifs environnementaux dans le contexte de la France en utilisant la taille des CUMA comme « proxy » du capital social. En France, la taille des CUMA (en nombre de membres) reste variable avec des CUMA de plus de 150 membres et des plus petites de moins de 50 membres. L'importance de la taille découle de son effet négatif sur le capital social et positif sur les performances économiques (Feng et al., 2016). Le plus souvent, les coopératives de grande taille bénéficient des économies d'échelle et d'une utilisation efficiente des actifs. Cependant, à un certain seuil, les problèmes d'interaction au sein des grands groupes peuvent l'emporter sur les gains des économies d'échelle. Si tel est le cas, il existerait une taille optimale au-delà de laquelle la coopérative attendrait une zone de déséconomie d'échelle. À partir du modèle d'investissement de Fulton et Giannakas (2012), nous générons des hypothèses que nous testons empiriquement sur 2680 CUMA en 2015. Nos résultats montrent que, bien que positif, l'effet de la taille sur la propension à investir dans des équipements environnementaux est non linéaire (en U inversé). Cependant, conditionnellement à l'investissement en actifs environnementaux, l'augmentation marginale de la taille de la coopérative affecte négativement la proportion de l'investissement en actifs environnementaux. De même, nous constatons que l'augmentation du revenu moyen des adhérents accroît la probabilité d'un investissement en actifs environnementaux. Cependant, une fois l'investissement réalisé, l'augmentation du revenu n'implique pas nécessairement une augmentation de l'investissement. Les effets différenciés des variables sur les probabilités et la proportion de l'investissement en actifs environnementaux suggèrent également le rejet du modèle Tobit par rapport à un modèle de sélection fractionnel (Schwiebert & Wagner, 2015). Ce résultat suggère que la propension d'un investissement en actifs environnementaux et sa proportion sont déterminés par des facteurs différents. Dans le troisième essai, nous analysons l'effet des investissements environnementaux sur la performance des CUMA. Nous modélisons la performance de la coopérative via un modèle stochastique dynamique dans lequel l'investissement est traité comme une variable endogène de la frontière de production. L'intérêt du modèle dynamique réside dans le fait que les CUMA réalisent des investissements communs en input quasi fixe. De même, en traitant l'investissement comme une variable endogène, notre modèle permet de capter l'effet des variables de contrôle affectant l'investissement tout en conservant le caractère dynamique de la production. Nous utilisons une approche en deux étapes qui nous permet, dans la première, d'estimer l'effet des investissements environnementaux sur l'efficience de la CUMA. Dans la deuxième étape, nous utilisons une méthode non paramétrique pour générer un indice de productivité de Malmquist décomposé en un indice de changement technique et technologique. Nous estimons par la suite l'effet des investissements environnementaux sur ces indicateurs de performance. À partir des données de panel sur la période 2010-2016, nos résultats empiriques montrent qu'une augmentation marginale des investissements environnementaux entraîne une augmentation moyenne de la productivité de 0.214. On observe que les performances passées ont un impact négatif sur les performances actuelles de la CUMA. Cependant, ne considérant que l'effet des nouveaux investissements en actifs environnementaux, l'augmentation moyenne de la productivité est de 0.217. Cela suggère qu'il est avantageux pour la CUMA d'investir dans des équipements environnementaux de premier choix. / This thesis focuses on the governance of Cooperatives for the Use of Agricultural Equipment (CUMAs) and on the effect of governance on environmental investments and the implication of these investments on CUMA performance. In the first essay, we analyse the nature of governance mechanisms in the context of CUMAs in Quebec. We study how these mechanisms combine to minimize different governance problems. Based on a multiple case study, our results show that governance problems in CUMAs concern both coordination and motivation problems. To address these organisational failures, we find that CUMAs combine formal and informal (social capital) governance mechanisms, but with an emphasis on informal mechanisms such as trust. CUMA members will resort to informal mechanisms, using formal mechanisms as a complement when necessary. This first essay has thus allowed us to highlight the relevance of studying interpersonal relations within the cooperative in a context where formal mechanisms are failing or inappropriate to minimise governance problems. In the second essay, we theoretically and empirically analyse the effect of social capital on the propensity and proportion of environmental investment in the French context using CUMA size as a proxy for social capital. In France, the size of CUMAs (in terms of number of members) remains variable, with CUMAs of more than 150 members and smaller ones of less than 50 members. The importance of size stems from its negative effect on social capital and positive effect on economic performance (Feng et al., 2016). Most often, larger cooperatives benefit from economies of scale and efficient use of assets. However, at some point, interaction problems within large groups may outweigh the gains from economies of scale. If this is the case, there would be an optimal size beyond which the cooperative would expect an area of diseconomy of scale. Using the investment model of Fulton and Giannakas (2012), we generate hypotheses that we test empirically on 2680 CUMAs in 2015. Our results show that, although positive, the effect of size on the propensity to invest in environmental equipment is non-linear (inverted U-shaped). However, conditional on environmental investment, the marginal increase in the size of the cooperative negatively affects the proportion of environmental investment. Similarly, we find that increasing average income increases the probability of environmental investment. However, once the investment is made, the increase in income does not necessarily imply an increase in environmental investment. The differential effects of the variables on the probabilities and proportion of environmental investment also suggest the rejection of the Tobit model over a fractional selection model (Schwiebert & Wagner, 2015). This result suggests that the propensity for environmental investment and the proportion of investment are determined by different factors. In the third test, we analyse the effect of environmental investments on CUMA performance. We model the performance of the cooperative via a dynamic stochastic model in which investment is treated as an endogenous variable of the production frontier. The interest of the dynamic model lies in the fact that CUMAs make common investments in quasi-fixed input. Similarly, by treating investment as an endogenous variable, our model captures the effect of control variables affecting investment while maintaining the dynamic nature of production. We use a two-stage approach that allows us, in the first stage, to estimate the effect of environmental investments on the efficiency of the CUMA. In the second step, we use a non-parametric method to generate a Malmquist productivity index decomposed into an index of technical and technological change. We then estimate the effect of environmental investments on these performance indicators. Using panel data over the period 2010-2016, our empirical results show that a marginal increase in environmental investments leads to an average increase in productivity of 0.214. We observe that past performance has a negative impact on the current performance of the CUMA. However, considering only the effect of new environmental investments, the average increase in productivity is 0.217. This suggests that it is advantageous for the CUMA to invest in early environmental equipment.
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Coopératives de consommateurs, pratiques émancipatoires et nouveaux mouvements sociaux : le cas de 2 clubs coopératifs de consommation

Mercier, Clément January 1988 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Reconnaissance identitaire et mouvement coopératif dans l’expérience des Inuit du Nunavik

Merrien, Anne-Marie 12 1900 (has links)
Les coopératives évoluent dans une multitude de régions et de cultures. Plus qu’un élément secondaire, l’aspect culturel et identitaire du développement coopératif est au cœur de ses enjeux de développement et de sa définition-même. En effet, historiquement, l’implantation et le développement des coopératives ont été associés à des réalités identitaires importantes, comme l’illustrent les expériences coopératives acadiennes, basques, québécoises et inuites. Cette thèse étudie l’expérience des 14 coopératives du Nunavik et de leur fédération. Coopératives de consommateurs multiservices, dont les membres sont presque tous Inuit, elles sont l’initiative d’acteurs variés (État, religieux, gérant de magasins). Les premières coopératives ont été mises sur pied à partir de la fin des années 1950 et ont rapidement été gérées par les Inuit eux-mêmes. Venues briser le monopole qu’avait la Compagnie de la Baie-d’Hudson, l’établissement des coopératives au Nunavik correspond également à un changement fondamental dans l’économie et la politique du territoire et des communautés qui y vivent. Grâce à une soixantaine d’entretiens semi-dirigés et plusieurs séjours sur place, cette étude de cas suggestif permet de comprendre la contribution des coopératives membres de la Fédération des coopératives du Nouveau-Québec (FCNQ) à la reconnaissance identitaire des personnes et des collectivités touchées par leurs activités. En mobilisant la théorie de la reconnaissance et de la liberté sociale d’Axel Honneth (2000, 2014) et l’approche du triple mouvement coopératif (Draperi, 2007), l’analyse de l’expérience des coopératives du Nunavik révèle des attentes et des effets de reconnaissance associés à la reconnaissance affective, juridique et de la contribution à la société. Ces effets agissent sur différents types de capitaux, par le biais de moyens mis en place par les coopératives. Certaines conditions internes spécifiques aux coopératives influencent également la reconnaissance identitaire des Inuit. Cette thèse contribue à une meilleure compréhension des coopératives en matière de reconnaissance identitaire et culturelle. Elle rend compte de l’imbrication des besoins et aspirations des membres et offre des précisions de définitions quant à ces deux termes centraux aux théories coopératives. De l’expérience des coopératives du Nunavik, on peut dégager le constat que la prise en compte profonde et concomitante des trois mouvements coopératifs (mouvement de pensée, mouvement social et mouvement d’entreprise) produit une reconnaissance identitaire des personnes et des collectivités. Les coopératives constituent un moyen et un lieu de reconnaissance affective (par la réponse aux besoins de base et la mise en place d’un lieu de rencontre), de reconnaissance juridique (par le biais des principes démocratiques, de responsabilisation et des valeurs d’égalité et d’équité) et de reconnaissance des particularités et compétences (par la participation de chacun à la réalisation d’une mission commune et leurs activités d’éducation et de formation). Ultimement, elles permettent aux individus et aux collectivités d’exercer leur liberté sociale et d’assurer le respect de leur dignité. / Cooperatives operate in a multitude of regions and cultures. More than a secondary element, the cultural and identity aspect of cooperative development is at the heart of its development issues and its very definition. Indeed, historically, the establishment and development of cooperatives have been associated with important identity realities, as illustrated by the Acadian, Basque, Quebecois and Inuit cooperative experiences. This thesis studies the experience of the 14 Nunavik cooperatives and their federation. Multiservice consumer cooperatives, whose members are almost all Inuit, they are the initiative of various actors (state, religious, store managers). The first cooperatives were established in the late 1950s and were quickly managed by the Inuit themselves. Coming to break the monopoly of the Hudson's Bay Company, the establishment of cooperatives in Nunavik also corresponds to a fundamental change in the economy and politics of the territory and the communities that live there. Through some sixty semi-structured interviews and several on-site visits, this suggestive case study allows us to understand the contribution of the member cooperatives of the Fédération des coopératives du Nouveau-Québec (FCNQ) to the recognition of the persons’ and communities’ identities affected by their activities. By mobilizing Axel Honneth's theory of recognition and social freedom (2000. 2014) and the triple cooperative movement approach (Draperi, 2007), the analysis of the experience of Nunavik cooperatives reveals recognition expectations and effects associated with emotional recognition, legal recognition and the recognition of the contribution to society. These effects act on different types of capital, through means set up by cooperatives. Certain internal conditions specific to cooperatives also influence identity recognition of Inuit. This thesis contributes to a better understanding of cooperatives in terms of identity and cultural recognition. It accounts for the interweaving of the needs and aspirations of members and provides clarification of the definitions of these two central terms of cooperative theories. From the experience of the Nunavik cooperatives, we can see that the profound and concomitant consideration of the three cooperative movements (thought movement, social movement and business movement) produces recognition of the identity of individuals and communities. Cooperatives are a mean and a place of emotional recognition (by responding to basic needs and setting up a meeting place), of legal recognition (by means of democratic principles, mutual responsability and values of equality and equity) and of recognition of particularities and skills (through everyone’s participation in the achievement of a common mission and their education and training activities). Ultimately, they enable individuals and communities to exercise their social freedom and ensure respect of their dignity.
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Les coopératives forestières : comment concilier la démocratie économique et la démocratie industrielle : étude de cas de Charlevoix-Est et du Bas-Saguenay

Audibert, Vincent 19 April 2018 (has links)
"Le système de CAAF en place est dominé par les papetières. Les coopératives forestières occupent majoritairement la place de sous-traitant pour ces organisations. Leur situation de dépendance envers les détenteurs de CAAF entraîne les coopératives dans une situation économique précaire. De plus, les conditions de travail qu’elles offrent sont insatisfaisantes aux yeux des travailleurs qui ont entrepris des démarches de syndicalisation. Dans leur situation de négligés du système en place, les coopératives ont lutté contre la syndicalisation de leur membre afin de maintenir un statu quo. Alors qu’un nouveau régime forestier verra le jour en 2013, il semble opportun de se questionner sur la place que devraient occuper ces organisations démocratiques fortement attachées à leur territoire. Ce mémoire adonc pour objectif d'évaluer comment les coopératives forestières peuvent concilier la démocratie économique et la démocratie industrielle. Les niveaux de démocratie économique et démocratie industrielle dans les coopératives forestières ont été évalués principalement à l'aide d'un échantillon, que sont les coopératives de la région de Charlevoix-Est et du Bas-Saguenay. Grace à l’analyse de jurisprudences, de données statistiques, et d'éléments produits par la Fédération québécoise des coopératives forestières qui agit à titre de porte-parole de ses membres, il est également possible de tenir compte de l’échelle nationale. Afin d'évaluer les types de démocraties dans les coopératives forestières, il a été utilisé des définitions des types de démocraties ainsi qu'un modèle d'analyse de l'entreprise. Ainsi, l'entreprise et la coopérative sont composées d’un modèle d’affaires et d'une organisation du travail et de la production associés à la démocratie économique et une relation d’emploi associée à la démocratie industrielle. Enfin, la façon dont sont organisés les rapports sociaux influence les entreprises et les coopératives. Les observations des coopératives forestières ont été faites dans l'objectif d'évaluer la démocratie des coopératives dans leur contexte d'activité. Ainsi, l'historique, la relation avec la forêt et la papetière, la formule coopérative, la qualité du travail et de l'emploi ainsi que le rôle dans la communauté ont été observés par l'entremise d'un canevas d'entrevue semi-structurée permettant d'obtenir des informations sur ces thèmes par l'entremise d'acteurs occupant un rôle important depuis plusieurs années au sein des coopératives observées. Les informations recueillies ont pu être bonifiées par la rencontre d'autres intervenants importants de l'industrie forestière de la région observée. Les résultats recueillis présentent différentes dynamiques. Sur le plan de la démocratie économique, les coopératives cherchent à valoriser leur forêt dans une optique d'utilisation durable. Elle est une richesse et une source d'activité nécessaires aux communautés forestières. Elles se sont associées afin de former une nouvelle coopérative opérant une scierie, mais dont l'objectif sera de faire des récoltes favorisant l'aménagement dans une approche intégrée. Il reste que la marge de manœuvre des coopératives de Charlevoix est limitée puisque la majorité des essences les plus valorisées commercialement sont réservées à l'entreprise Abitibi Bowater qui gère l'aménagement et la récolte sur l'ensemble du territoire. La planification par cette entreprise aurait délaissé l'utilisation des coopératives afin de privilégier l'utilisation d'entrepreneurs privés. La relation d'impartition entre Abitibi Bowater et ses entrepreneurs favorise un contrôle serré des travailleurs. Sur le plan de la démocratie industrielle, les coopératives forestières présentent certains postes dans la sylviculture dont le taux de roulement et les difficultés de recrutement dans une région où le taux de chômage est élevé indiquent des conditions de travail difficiles et une rémunération insuffisante. Les coopératives ont un contrôle limité sur les conditions qu'elles peuvent offrir aux travailleurs de la sylviculture. Les taux déterminés par le MRNF influencent fortement la rémunération des travailleurs. Il reste que les coopératives affirment qu'elles sont une association de travailleurs garantissant la démocratie industrielle de ses membres. Elles ont historiquement accompli une part importante des activités dans la sylviculture, mais n'ont pas réussi à doter ses travailleurs de la sylviculture de conditions de travail adéquates et en conséquence les travailleurs ont réagi en se syndiquant. Plutôt que de considérer cette situation comme le constat d'une réalité qui perdure nécessitant de nouveaux moyens d'action. Les coopératives ont adopté une attitude défendant le statu quo. Peut-être que cette nouvelle forme de représentation aurait pu apporter des bénéfices mutuels pour chacune de ces organisations. L'organisation de l'activité forestière est très fortement politique et à l'aube de la mise en place d'un nouveau régime forestier, il est nécessaire que les acteurs sociaux s'associent afin de revendiquer une politique tenant compte des intérêts des communautés forestières. Concilier une démocratie économique et une démocratie industrielle dans une activité durable semble être un bon moyen pour pérenniser l'existence de ces communautés. Dans cette optique, il est nécessaire que les citoyens possiblement organisés en coopératives puissent avoir un certain contrôle dans l'utilisation intégrée des ressources de leur territoire. De plus, les conditions de travail et d'emploi doivent être attrayantes afin de retenir et renouveler une main-d’œuvre désirant habiter ces communautés."
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Les coopératives agricoles québécoises dans l'économie de marché (1948-1991)

Merhi, Hussein January 1995 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Economía solidaria, acción colectiva y espacio público en el sur de Brasil

Sarria Icaza, Ana Mercedes 06 May 2008 (has links)
Es posible identificar una importante dinámica de crecimiento y diversificación de experiencias de economía solidaria en los últimos diez años, unido a una creciente actuación de organizaciones gubernamentales y no gubernamentales para la promoción y apoyo de las mismas y a una amplia construcción teórica sobre el asunto Esta tesis analiza los procesos de articulación, organización y movilización de la red de actores y organizaciones de la economía solidaria constituidas en el Estado de Rio Grande do Sul, Brasil, buscando entender en qué medida éstas son generadoras de espacios públicos autónomos, capaces de recrear nuevos espacios de relaciones sociales y económicas y de producir transformaciones más amplias, en diferentes esferas (cultural, social, económica, política) y niveles (local, regional, nacional). Se entiende que, en Brasil, las organizaciones y actores de la economía solidaria desarrollan, por un lado, una acción de crítica pautada en un discurso movilizador orientado a la transformación social y, de otro, una acción de legitimación e institucionalización orientada a la participación en los procesos decisorios y de representación política. El análisis retoma las lógicas de acción que se desprenden de esas relacionas y de los discursos construidos por los actores sociales. El trabajo permite identificar un conjunto de contradicciones y desafíos colocados para la economía solidaria hoy, en tanto que espacio de acción colectiva integrada en los procesos de construcción y ampliación de la democracia, en que no es más posible disociar lo social, lo político y lo económico. / Une importante dynamique de croissance et diversification d’expériences d’économie solidaire se développe dans les dix dernières années, en rapport avec l’action d’organisations gouvernementales et non gouvernementales qui les soutiennent et avec une large construction théorique sur le sujet. Cette thèse fait l’analyse des processus d’articulation, organisation et mobilisation du réseau d’acteurs et organisations de l’économie solidaire constituées dans l’État du Rio Grande do Sul, Brésil, tout en cherchant de comprendre dans quelle mesure ceux-ci permettent de développer des espaces publiques autonomes, capables de renouveler des espaces des relations sociales et économiques et de produire transformations plus larges , dans des différents sphères (culturel, social, économique, politique) et niveaux (local, régional, national). Au Brésil, les organisations et acteurs de l’économie solidaire développent, au même temps, une action de critique basée dans un discours mobilisateur orienté vers la transformation sociale et, d’autre, une action de légitimation et institutionnalisation orientée vers la participation aux processus de décision et de représentation politique. L’analyse reprend les logiques d’action et les discours construits par les acteurs sociaux. Le travail permet d’identifier un ensemble de contradictions et défis pour l’économie solidaire aujourd’hui, en tant que espace d’action collective intégrée aux processus de construction et ampliation de la démocratie, dans lequel il n’est plus possible de dissocier le social, le politique et l’économique.
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Une coopérative agricole franco-ontarienne : persistance et changement

Parés Möller, Maria Cecilia January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Quelle égalité dans les SCOP ? : analyse quantitative et qualitative de la distribution des salaires et de la flexibilité de l'emploi / Which equality in SCOPs? : quantitative and qualitative analysis of wage distribution and employement flexibility

Magne, Nathalie 07 December 2016 (has links)
Cette thèse porte sur le travail dans les Société Coopératives et Participatives (SCOP). A travers l’étude de ce modèle, est proposée une analyse approfondie des inégalités au travail dans les entreprises par le biais de la structure salariale et de la répartition des coûts d’ajustement de l’activité. La thèse est divisée en quatre chapitres. Le premier chapitre compare la distribution des salaires dans les SCOP et dans les entreprises classiques (EC), en estimant des équations de salaires à partir de la base de données DADS. Le deuxième chapitre vient compléter le premier en proposant une analyse détaillée du discours des agents (à l’aide de 53 entretiens réalisés dans 38 SCOP de la région Rhône-Alpes) permettant d’identifier les principes de justice à l’œuvre dans la détermination des structures salariales mises en évidence dans le premier chapitre. Le troisième chapitre propose une analyse économétrique de l’adaptation différenciée des SCOP et des EC aux chocs de demande, par les ajustements de l’emploi, des salaires et des heures travaillées. Le quatrième chapitre explore la possibilité d’une diversité importante parmi les SCOP, notamment dans l’accès au sociétariat, qui pourrait avoir un impact sur les ajustements de l’emploi. La contribution de cette thèse au débat économique peut être résumée en trois points. Premièrement il s’agit de la première grande analyse quantitative comparative des SCOP et EC concernant l’emploi et ses caractéristiques. Deuxièmement l’enquête qualitative sur laquelle nous nous appuyons, réalisée en collaboration avec des collègues de l’Université de Grenoble est également unique puisque c’est la première enquête qualitative de cette ampleur. Son exploitation permet donc une analyse du discours des membres des SCOP qui n’avait pas été réalisé auparavant. Enfin, notre positionnement se veut également original, mobilisant des approches habituellement mises en opposition en les faisant réellement discuter autour d’un objet dont la compréhension s’en trouve enrichie. / This thesis focuses on French Cooperative and Participative firms (SCOP). Through the observation of this model, it offers an extensive analysis of inequality at work within firms, concentrating on wage inequality and sharing of adjustment costs.The thesis is divided into four chapters. The first chapter compares wage distribution in SCOPs and conventional firms (CFs) by estimating wage equations based on the DADS dataset. The second chapter offers a detailed analysis of 53 workers’ interviews, conducted in 38 SCOPs in the Rhône-Alpes region. The principles of justice at work in the determination of the wage structures described in chapter one are identified. The third chapter is an econometric comparison of adjustments to demand shocks in SCOPs and CFs, involving employment flexibility as well as hour and wage flexibility. The fourth chapter explores the diversity among SCOPs, especially in access to membership and its consequences on employment adjustments.The contribution of this thesis to the debate in economics can be summarised with three points. Firstly it is the first large comparative quantitative analysis of SCOPs and CFs regarding employment and its characteristics. Secondly, the qualitative survey we use, produced with colleagues from Grenoble University, is also unique in terms of size and content. Its exploitation makes the analysis of workers’ rhetoric on equality possible. Finally, our method is original: we adopt approaches that are usually opposed and use them in unison to enrich the understanding of our subject.
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Réseaux de capteurs pour l'assistance aux personnes : conception et développement de mécanismes de fiabilisation

MAINAUD, Bastien 22 July 2010 (has links) (PDF)
Les réseaux de capteurs ont créé un domaine de recherche très intéressant avec un champs d'applications très large. L'assistance aux personnes est notamment une des nombreux champs potentiels. Les contraintes de ce type de réseaux sont nombreuses et nécessitent des mécanismes spécifiques. Les problématiques de consommation d'énergie et de sécurité sont particulièrement importantes et ont fait l'objet de travaux spécifiques. La thématique de l'assistance aux personnes impose notamment des contraintes de robustesse et de fiabilité des communications. Le but de ces travaux de recherche est de définir diverses solutions permettant de répondre à ces problématiques. Ces travaux se décomposent en trois parties. Dans un premier temps, une plate-forme de communications basée sur les réseaux personnels PAN a été définie. Cette plate-forme a été développée et intégrée dans une station de métro Parisienne. Une modélisation de cette plate-forme ainsi qu'une analyse des observations et des résultats issus de cette intégration nous ont permis d'identifier les faiblesses de l'architecture et des technologies mises en œuvre. Dans un deuxième temps, nous avons développé diverses solutions permettant de fiabiliser cette plate-forme. En particulier, nous avons conçu un algorithme d'ordonnancement permettant de réduire la consommation d'énergie dans les réseaux capteurs par l'utilisation d'une analyse sémantique des données. Nous avons ensuite proposé une architecture de sécurité, Tiny 3-TLS, qui permet de sécurisé les communications entre un capteur et une entité située sur un réseau disjoint. Enfin, nous nous sommes intéressés aux communications entre cette plate-forme et les terminaux mobiles. L'aspect fiabilité a en particulier fait l'objet de travaux spécifiques. C'est pourquoi dans un troisième temps, nous avons proposé une solution de routage définissant une nouvelle métrique. Nous avons ensuite proposé un protocole coopératif permettant un apport de fiabilité dans les communications

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