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Le paysage du poème : Alfred Garneau, Albert Lozeau, Jean-Aubert Loranger

Lambert, Vincent 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / Les trois chapitres de ce mémoire sont consacrés à l'étude du thème du paysage dans la poésie d'Alfred Garneau (1836-1904), d'Albert Lozeau (1874-1924) et de Jean-Aubert Loranger (1896-1942), trois oeuvres qui rompent avec la poésie patriotique et avec sa conception de l'espace comme support idéologique pour privilégier un rapport plus individuel à l'environnement. L'œuvre d'Alfred Garneau se caractérise par un refus du chant et par l'adoption d'une posture d'écoute qui donne lieu à des descriptions offrant une mise en tableau du visible. Celle d'Albert Lozeau se définit par un approfondissement de la subjectivité qui trouve son équivalent dans l'aspect mouvant et précaire du paysage. Enfin, les poèmes de Jean-Aubert Loranger présentent ce que leur auteur appelle un « sensualisme », selon lequel l'aspect du monde est essentiellement un fait de sensation.
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De l'autre côté des mots : poétique des paroles muettes et politique contrariée dans la littérature québécoise : (Gauvreau, Miron, Aquin)

Jalbert, Martin 16 April 2018 (has links)
La présente thèse traite des manières singulières dont certaines oeuvres littéraires québécoises, marquées à des degrés divers par l'horizon de l'émancipation, disposent de la possibilité que les êtres humains puissent eux-mêmes s'affranchir des conditions de leur assujettissement et de leur domination. Elle emprunte pour cela à la philosophie de Jacques Rancière sa manière de penser les rapports entre littérature et politique et de lire les productions de l'art d'écrire comme des individualités inscrites dans le régime esthétique de la littérature, ce système de possibles défini par la contradiction entre le principe d'un langage nécessaire et celui de la contingence des mots. La cohabitation contradictoire de ces principes comprend des enjeux politiques dans la mesure où s'y rejoue la vieille guerre, remontant à Platon, contre cela même dont procèdent ces oeuvres et qui rend possibles à la fois la littérature, la politique et l'émancipation : le régime de la lettre ou de la contingence du langage, grâce auquel les mots, disponibles pour tout usage et pour tout locuteur, peuvent saisir les choses sous de nouveaux rapports. Les poétiques de Claude Gauvreau, de Gaston Miron et d'Hubert Aquin sont lues ici comme autant de dispositifs esthétiques construits sur la possibilité d'échapper, au moyen de la production de mots qui seraient plus que des mots, à la contingence de la lettre dont elles exploitent pourtant les pouvoirs. Ces dispositifs présentent des reconfigurations polémiques du sensible où seraient réconciliés les pôles opposés de l'homme, où les mots se prolongeraient en dehors d'eux-mêmes dans une existence repoétisée et dans une communauté du sentir partagé, mais où s'aboliraient le coeur même de la politique et la possibilité de l'émancipation. Leur politique est une politique contrariée.
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Figurations d'un récit ambigu : éthique de la responsabilité chez Annie Ernaux, Élise Turcotte et Ken Bugul

Gendron, Karine 29 April 2020 (has links)
357581\u Ma thèse part du constat de la mise en scène abondante et répétée de différents types de récits (radiophoniques, journalistiques, littéraires, oraux, visuels) dans les univers narratifs de trois auteures contemporaines d’expression française : Annie Ernaux (France), Élise Turcotte (Québec) et Ken Bugul (Sénégal). Les figures du récit répertoriées dans leurs oeuvres rendent visibles les failles, les incertitudes et l’incomplétude de l’acte communicationnel qui en découle. Ma thèse s’est articulée autour de cette première question : pourquoi ces auteures mettent-elles en scène un récit défaillant puisqu’ambigu par le moyen même du récit ambigu que constitue l’oeuvre? Mon hypothèse a été d’y voir une forme d’éthique narrative : plutôt que de simplement relancer le constat postmoderne de la fin de l’autorité des récits (Lyotard), ces auteures se demanderaient quel récit écrire dans ce contexte et comment le faire. En montrant toute forme de récit comme étant fondamentalement ambigu, Ernaux, Turcotte et Bugul exposeraient en même temps aux lecteurs leurs propres productions narratives sous cette lumière, endossant ce caractère incontournable de leur récit et explorant par l’écriture ses limites, ses forces, ses enjeux et les moyens de sa prise en charge. Elles mesureraient ainsi la nature et l’ampleur de leur responsabilité quant aux effets potentiels de leurs récits sur autrui, forme d’éthique narrative que prône la philosophe américaine Judith Butler. Or, comment passer de l’analyse des figures du récit dans les oeuvres à la qualification de l’éthique narrative des auteures ? L’éthique littéraire se conçoit le plus souvent en regard des thématiques déployées dans les oeuvres, sans égard au travail poétique et énonciatif de l’écrivain, qui pourtant infléchit le sens donné à cette thématique. À ce propos, Altes et Daunais rappellent que le dessein de l’oeuvre ne repose que rarement sur une volonté d’intervention directe dans la société. Plusieurs chercheurs sur l’engagement littéraire contemporain (Gefen, Blanckeman, Bouju, Semujanga) avancent que les intentions d’un auteur relèvent d’un second degré perceptible dans le travail formel de l’oeuvre. Ma thèse situe donc l’éthique littéraire dans l’horizon d’une éthique narrative telle que conçue par Ricoeur, s’inscrivant dans la narration même de l’oeuvre, et portant les marques d’une réflexion de l’auteur quant à la forme idéale guidant sa conduite du récit en fonction de ses effets potentiels et imprévisibles sur autrui. Pour extraire des oeuvres cette éthique narrative, j’ai effectué une étude figurale de type longitudinale en analysant l’ensemble du corpus en prose des écrivaines choisies, afin de discerner les figures du récit récurrentes, les effets de système dans l’oeuvre complète et leur rapport avec la démarche auctoriale d’ensemble. Parmi les trois catégories principales de figures du récit (« récit-exposé », « récit-imposé », « récit-suggéré ») identifiées, celle du « récit-suggéré », récit le plus ambigu, est systématiquement idéalisée. Elle se démarque par son interprétation coopérative, sa constante réappropriation par autrui et son inachèvement souhaité. Elle provient généralement d’un personnage énonciateur intranquille qui souhaite rendre infiniment modifiable sa production narrative en regard de ses effets futurs imprévisibles. Se dégage alors un imaginaire du récit favorisant son ambiguïté et engendrant une problématisation de la responsabilité toujours partielle de son énonciateur. L’esthétique et les procédés textuels des oeuvres des trois auteures (intra-intertextualité, symbolisme, contradictions contrôlées des versions autobiographiques, réitération des thèmes par des genres et des styles variés) confirment que l’idéalisation figurée du récit ambigu renvoie aussi à leur pratique narrative, qui pourtant reste plus intelligible que ce que l’idéal chercherait à atteindre.
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Hétérogénéité artistique : une question moderniste et/ou "post-moderniste"?

Gagnon, Claude 09 February 2019 (has links)
Montréal Trigonix inc. 2018
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Art conceptuel et protocoles photographiques

Pavlov, Pavel 20 April 2018 (has links)
La présente thèse repose sur une double proposition : que le concept de représentation a subi une mutation profonde aux alentours des années 1960s, au moment de l’avènement de ce qui est appelé aujourd’hui l’art conceptuel; et que c’est l’usage de la photographie – considérée jusqu’alors comme l’appareil vide de l’art – par les artistes conceptuels, qui lui a donné une identité mais aussi une histoire qui lui a permis de s’inscrire dans la discipline artistique. À partir de cette proposition, j’étudie une série d’œuvres photographiques produites dans le contexte de l’art conceptuel, et dont le point commun est de reposer sur un mode systémique de production. Dans mon analyse, les œuvres de Douglas Huebler, Jan Dibbets et Bernd et Hilla Becher sont analysées pour les innovations qu’elles introduisent au niveau du sujet de représentation, en même temps qu’elles sont mises en parallèle avec trois moments inauguraux de l’histoire de l’art : la première expérience de Brunelleschi en tant que démonstration d’un moment de rupture dans l’histoire de l’art au niveau de la production d’images considérées vraisemblables; le modèle d’istoria introduit par Alberti comme forme narrative faisant l’hypothèse que toute chose visible peut être représentée et toute histoire montrée uniquement par des moyens visuels; et l’approche anti-relationnelle élaborée par Frank Stella, comme démonstration de la plasticité de la peinture et comme opposition au concept de composition picturale telle qu’héritée d’Alberti. Mon analyse démontre qu’une démarche systémique permet d’établir une continuité avec les paradigmes précédents de l’histoire de l’art, et rend possible la construction de nouveaux instruments visuels plus aptes à circonscrire les processus complexes qui organisent la société contemporaine en tant qu’héritière de l’organisation industrielle ayant marqué le passage de la Renaissance à l’époque contemporaine. En dernier lieu, je présente une série de projets, issus de mes recherches sur les sujets et œuvres présentés, dont le point commun est l’élaboration d’une écriture vidéographique reposant sur la plasticité rendue possible par le recours à la procédure comme mode de représentation de l’histoire.
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Pouvoir et impouvoir du verbe : le dit, l'inter-dit, le silence : approche des oeuvres de Maurice Blanchot et Georges Bataille / The power and powerlessness of the verb : saying and silence in the works of Maurice Blanchot and Georges Bataille

Radouk, Fatima 05 February 2010 (has links)
Qu'en est-il de la communication de l'impossible dans son rapport au pouvoir du langage ? En révélant la face a-dialectique du langage littéraire, Maurice Blanchot et Georges Bataille, liés par une amitié essentielle, ont redéployé l’espace désoeuvré de l’Impossible comme espace scripturaire. La présente étude s’est articulée en trois parties, regroupant chacune quatre chapitres. La première s’est intéressée à la nomination comme stricte révélation de la négativité, d’une part, et de l’altérité, d’autre part. Elle a analysé les stratégies de contestation du discours dialectique adoptées en vue de redessiner un nouvel espace communautaire grevé d’absence. Cette dernière, induisant par ailleurs le mouvement infini de la répétition, ouvre l’exigence scripturaire à l’in-fini du re-dire. La seconde a mis au centre de ses préoccupations, à l’exemple des auteurs eux-mêmes, la mort. Liée au déploiement scripturaire, la mort creuse littéralement le Dire dans lequel domine l’oscillation entre pouvoir et impouvoir. La dimension thanatique des œuvres des deux auteurs convoque les notions de limite, de transgression, de dehors, de chance et de neutre qui envisagent toutes l’ouverture de l’expérience scripturaire sur son impossible horizon. La dernière partie, quant à elle, a mis en évidence la manière dont l’écriture, en son mouvement disjoint et imaginaire, s’abstrait du domaine du possible en s’ouvrant finalement sur le silence dont elle se fait complice pour ouvrir le Dire au partage de l’Impossible. / This thesis discusses the saying of the Impossible in its relationship to the power of language in the works of Maurice Blanchot and Georges Bataille. By unveiling the a-dialectical aspect of the literary language, Maurice Blanchot and Georges Bataille, who were bound by an essential friendship, deployed anew the idle space of the Impossible as a writerly space. This study is composed of three parts, each divided into four chapters. The first part discusses nomination as a strict unveiling of negativity on the one hand, and of alterity on the other hand, before analysing the strategies of contesting the dialectical discourse which were adopted by both writers with a view of delineating a new community space marked by absence. By inducing an endless movement of repetition, absence is shown to open the writerly exigence to the infiniteness of re-saying. The second part focuses on death as explored by both writers themselves. As linked to the writerly deployment, death literally enacts a saying dominated by the oscillation between Power and Unpower. The thanatical dimension of the works of both authors relies on the notions of limits, transgression, exteriority, chance and neutre, all of which lead to the opening of the writerly experience on its impossible horizon. The third part highlights how writing, in its disjointed and imaginary movement, abstracts itself from the realm of the possible by opening itself to the silence and becoming thus its accomplice to open the saying to the sharing of the Impossible.
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"L'effarement du réel" : étude des lieux de tension entre réalité et fiction dans les récits de Marie-Sissi Labrèche et d'Annie Ernaux

Lepage, Pascale 18 April 2018 (has links)
Ce mémoire propose une étude des lieux de tension entre réalité et fiction dans les récits de Marie-Sissi Labrèche et d'Annie Ernaux. Les dispositifs paradoxaux, qui rendent ambiguë l'appartenance générique de ces œuvres, y sont interrogés sous différents angles. Le premier chapitre est l'occasion d'étudier la manière dont les textes exploitent les éléments paratextuels, notamment par la comparaison des différentes éditions des oeuvres. Les propos tenus par les auteures lors d'entrevues y sont également considérés. Dans le deuxième chapitre, les références culturelles et les éléments intertextuels sont envisagés comme des effets de réalité ou comme des lieux d'ambiguïté. Le troisième chapitre montre que les procédés autoréférentiels mettent en évidence le caractère fictionnel de l'oeuvre chez Labrèche, tandis qu'ils participent à l'effet de réalité chez Ernaux. Le dernier chapitre étudie le traitement de la temporalité dans les récits. En somme, l'hybridité générique qui caractérise le récit contemporain est mise en évidence.
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Tradition classique et architecture actuelle : la position de Robert Venturi et de Ricardo Bofill

Mercier, Germain 21 February 2019 (has links)
La présence d'éléments de la tradition classique chez Robert Venturi et Ricardo Bofill origine dans la volonté de doter l'architecture actuelle d'un langage qui lui redonne un pouvoir d'évocation et une richesse sémantique jugés déficients dans la production moderniste. Le langage classique est l'objet chez les deux architectes d'un projet de remise à jour par une transformation physique et sémantique dont le modèle opérationnel est basé sur la sémiotique d'origine linguistico-saussurienne. L'entreprise de Venturi et Bofill est marquée d'insuffisances qui peuvent originer dans la spécificité du langage architectural ou dans les faiblesses du modèle opérationnel d'une sémiotique architecturale encore imparfaite. Ces problèmes n'entachent cependant pas la valeur du but poursuivi, qui s'inscrit dans une longue tradition humaniste concevant l'architecture comme un art au service de l'homme. / Montréal Trigonix inc. 2018
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"Le Bauhaus imaginiste contre un Bauhaus imaginaire" : la polémique autour de la question du fonctionnalisme entre Asger Jorn et Max Bill

Pezolet, Nicola 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / Par l'étude de la polémique qui l'oppose en 1954 à Max Bill (1908-1994), architecte suisse et premier recteur de la Hochschule fur Gestaltung à Ulm, l'auteur tente de retracer les origines historiques, les prémisses idéologiques et les cadres conceptuels du discours d'Asger Jorn (1914-1973) sur l'art et l'architecture modernes, en général, et sur la question du fonctionnalisme, en particulier. Développant son analyse en replaçant ce débat à la fois dans le parcours individuel des artistes, dans le contexte spécifique de l'après-guerre et en continuité avec l'histoire de l'avant-garde et du modernisme européen, l'auteur essaie d'interpréter de manière critique la position «contre-fonctionnaliste » d'Asger Jorn à la lumière de ses articles parus dans des périodiques Scandinaves et des essais compilés dans Pour la forme : ébauche d'une méthodologie des arts, anthologie publiée en 1957 au terme d'une intense période d'expérimentation artistique et de réflexion théorique sous l'égide du Mouvement International pour un Bauhaus Imaginiste
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L’impact du nombre : vers une neutralisation de l’érotisme dans les œuvres de Vanessa Beecroft et de Spencer Tunick

Aubé, Patricia 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire intitulé L’impact du nombre. Vers une neutralisation de l’érotisme dans les œuvres de Vanessa Beecroft et de Spencer Tunick explore les liens entre érotisme et nudité dans les œuvres de Vanessa Beecroft et de Spencer Tunick. Les œuvres de ces deux artistes contemporains présentent une multitude de corps dénudés, qui semblent pourtant se détacher de la dimension érotique. Afin de montrer les différentes façons par lesquelles les œuvres tendent vers une neutralisation de l’érotisme, nous interrogerons le rapport entre les corps présentés et la tradition du nu artistique, tout en nous intéressant aux problématiques plus actuelles en art comme la position du spectateur et l’influence de la biopolitique. Nous proposons ainsi que la neutralité qui traverse les œuvres de Beecroft et de Tunick n’est pas seulement un problème de nudité, mais qu’elle est liée aux différents enjeux soulevés par la représentation du corps dans un contexte spécifique.

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