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Glaube, Sprache, Erfahrung : zur Begründungsfähigkeit der religiösen Űberzeugung /Meyer zu Schlochtern, Josef, January 1900 (has links)
Diss.--Fachbereich katholische Theologie--Regensburg, 1977-1978. / Bibliogr. p. 419-428.
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La conception paulinienne de la foi en Romains 4 / The Pauline conception of faith in chapter 4 of the Epistle to the RomansRoura Monserrat, Jean-Louis 06 September 2012 (has links)
L’Ancien Testament ne contient pas de terme équivalent à celui de foi. Sa conception de la foi est la réaction de l’homme devant Dieu. L’exégèse actuelle se demande si l’origine de foi chez Paul revêt une signification hébraïque ou grecque, ou si foi n’est pas un vocable chrétien. Cette thèse étudie ce chapitre central pour la conception de la foi. Paul écrit Romains pour résoudre la désunion entre croyants Juifs et croyants non juifs à Rome. Le premier chapitre valorise la compréhension de la foi paulinienne dans le débat actuel. Le deuxième chapitre examine la conception de la foi dans Rm 1-3 où la justice de Dieu ne peut être obtenue par la Loi mais seulement par la foi dans l’Evangile. La conséquence radicale du monothéisme juif, Dieu est un, est que Dieu est le Dieu de tous ; ce qui permet de résoudre le conflit entre Juifs et non juifs croyants en réinterprétant l’identité chrétienne. Le troisième chapitre est l’étude exégétique de ce chapitre exclusivement théologique. Qu’a trouvé Abraham selon la chair ? Il a trouvé la justice avant d’être circoncis, justice associée à une promesse de descendance. En conclusion : la conception paulinienne de la foi et celle de l’Ancien Testament sont équivalentes : seul le Dieu unique justifie mais la conception paulinienne fait référence au Christ ; Paul revisite le récit sur Abraham à la lumière de sa foi au seul Dieu, et non plus par sa justification par les oeuvres. Paul, à la lumière de l’événement Christ, considère Abraham comme l’ancêtre de tous les croyants. Il donne une identité à la communauté naissante et l’appelle à l’union (Rm 15, 5) dans la foi ; le Dieu unique est maintenant identifié par son action en Jésus Christ. / There is no equivalent word that covers the meaning of faith in the Old Testament. It is the reaction of man to the action of God. Current exegesis has analyzed the background of faith in Paul to see if it has a Hebraic or Greek meaning or is a new word of Christianity. The dissertation studies this decisive chapter. Paul wrote Romans to end the conflict between two rival communities in Rome: Jewish believers and non-Jewish believers. The first chapter studies the Pauline interpretation of faith in the current debate. The second chapter deals with the faith concept in Rom 1-3. Paul states that God’s justice cannot be obtained by the Law but only by faith in God’s salvific power in Christ. According to Jewish monotheism, the radical consequence is that God is the God of Jews and non-Jews. To say that God is one enables Paul to solve the conflict between Jews and non-Jews by a new interpretation of Christian identity. The third chapter is the exegetical study of the most theological chapter. What has Abraham found according to the flesh? He has found justice before circumcision, a justice linked to the promise of an offspring. To conclude: the Pauline conception of faith and the Old Testament conception are similar: God alone justifies but for Paul, faith refers to Christ. Paul revisits the story of Abraham in the light of his faith in the one God and no longer through his justification by the works of Mosaic Law. Thus Abraham is considered as the ancestor of all believers, Jewish and non-Jewish. The new community is granted an identity and is called to agree with one another (Rom 15, 5) in faith. The one God is now identified by his action in Jesus Christ.
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La sphère numérique : un nouveau terrain pour l'annonce de l'ÉvangileSantander, Lydie 30 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 16 janvier 2024) / La sphère numérique est devenue un outil quotidien pour des milliards de personnes à travers le monde. Si les églises ont longtemps été sceptiques face à son utilisation, elles sont désormais conscientes pour la plupart, qu'elle constitue un nouveau terrain d'évangélisation. L'évangélisation sur ce terrain digital soulève de nombreux enjeux que nous allons explorer tout au long de ce mémoire afin de comprendre les mécanismes interreliés qui entrent en compte. Au travers de la pratique étudiée de la gestion de la communauté en ligne de l'Église Nouvelle Vie, nous allons pouvoir étudier de plus près les habitudes de consommation des internautes, les pratiques ecclésiales actuelles ainsi que les problèmes auxquels est confrontée l'Église chrétienne, désireuse de témoigner du message de l'Évangile sur la sphère numérique. Également, nous tenterons de comprendre de quelle manière la Bible nous parle à ce sujet au travers de l'étude des textes bibliques et du contexte. Notre désir pour cette recherche est de pouvoir, au travers de l'expérience de l'Église Nouvelle Vie, donner des clés utiles pour les églises désireuses d'investir ce nouveau terrain d'annonce de l'Évangile. Nous souhaitons apporter de nouvelles pistes de réflexion théologique afin de pouvoir rejoindre en tant que croyants, de la meilleure façon possible, notre monde contemporain. / The digital sphere has become a daily tool for billions of people around the world. If the churches have long been skeptical about its use, they are aware that it constitutes a new field of evangelization. Evangelism on this digital sphere raises many issues that we will explore throughout this dissertation in order to understand the interrelated mechanisms involved. Through the studied practice of the management of the online community of the Nouvelle Vie church, we will be able to study more closely the consumption habits of the Internet users, the current ecclesial practices as well as the problems with which the church is confronted, desiring to witness the message of the Gospel on social media. We will also try to understand how the Bible speaks to us on this subject through the study of biblical texts and context. Our desire, through this research, is to be able, through the experience of the Nouvelle Vie church, to give useful keys for the churches wishing to invest this new ground of proclamation of the Gospel. We hope to bring new tracks of theological reflection in order to be able to reach as believers, in the best possible way, our contemporary world.
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La Vierge Marie, témoin type de la foi selon Jean-Paul IITouchette, Élyse 21 January 2022 (has links)
Une part importante du magistère de Jean-Paul Il porte sur l'expérience de foi de la Vierge Marie. Le concept de l'Avant, qui exprime sa vision économique du mystère de Dieu, permet au pape de mettre en valeur la dimension typologique de la foi de Marie. Son fiat, vécu dans une pérégrination intime de l'âme, de !'Annonciation à la Pentecôte, est la réponse type de l'être humain qui s'ouvre au don de Dieu. La participation de l'Église à la foi de Marie, depuis la Pentecôte, fonde la dimension mariale de l'Église. Avec Marie, et selon son exemple, l'Église, épouse vierge, offre sa foi à Dieu dans un don total d'elle-même qui actualise la réponse de foi des baptisés. Ouvrant à Dieu l'espace virginal de sa foi, l'Église devient mère, accueillant de !'Esprit Saint sa mission sacramentelle.
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Structure de l'acte de foi chez Hans Urs von Balthasar et Karl RahnerRiverin, Louis 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire présente les structures de l'acte de foi développées par Hans Urs von Balthasar et Karl Rahner en les replaçant sur la trame de leurs logiques théologiques respectives. Après une introduction justifiant la pertinence de la question et des théologiens traités, le premier chapitre situe historiquement l'acte de foi selon des perspectives sémantique, biblique, théologique et magistérielle. Le deuxième chapitre, consacré à Balthasar, présente l'acte de foi comme l'eros christique et humain qui répond à l'eros de la Révélation. Chez Rahner, qui fait l'objet du troisième chapitre, la foi est plutôt une reductio in mysterium, un abandon de l'homme au mouvement illimité de sa transcendance. La conclusion présente de manière comparative le positionnement respectif de Balthasar et Rahner par rapport à la théologie de l'acte de foi, et propose une voie pour penser l'irréductibilité du différend entre ces deux auteurs.
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L'identité face aux concepts de mauvaise foi et d'authenticité et ses répercussions moralesVerret, Charles January 2012 (has links)
Le point de départ de notre recherche était d'étudier la notion d'identité ouverte sur le terrain d'une philosophie anti-fondationnalisme, celle de Sartre, pour voir les conséquences d'une telle prise de position, surtout en lien avec la morale. Ce point de départ nous a amené [i.e. amenés] à nous interroger sur des questions telles que, comment agir si nous n'avons aucune base objective pour nous guider entre le bien et le mal? Qu'est-ce qui me fais [i.e. fait] choisir d'agir de telle façon? Comment atteindre l'authenticité s'il n'y a pas de base objective donné [i.e. donnée] d'avance pour guider notre conduite? Ne tombons-nous pas dans un relativisme où tout se vaut? Comment donner une valeur à quoi que ce soit si le point de départ est la subjectivité de la conscience? Dans la première partie de notre recherche nous avons posé les bases de la philosophie sartrienne afin de pouvoir dans la deuxième partie questionner l'aspect morale [i.e. moral] et voir la cohérence de celle-ci avec l'ontologie. Nous avons commencé par expliquer, qu'est-ce que le néant et montré que comme l'humain n'est pas un plein d'être, c'est-à-dire qu'il a la capacité de se renouveler, de changer de position, de rectifier une attitude, de se créer en sommes [i.e. somme]. Ceci nous amène à penser qu'il y a choix et donc liberté. La liberté sartrienne est cependant toujours située, c'est une liberté qui s'incarne dans le choix que je vais faire parmi les possibles qui s'offrent à moi dans telle situation. À partir de cette conception de la liberté, Sartre va développer le concept de mauvaise foi. Une personne de mauvaise foi serait par exemple une personne qui choisi [i.e. choisit] d'ignorer sa liberté pour se laisser guider par les préceptes de la bible ou par ce que lui aurait révélé son horoscope et ainsi ne pas avoir à choisir, ce qui lui permet de se décharger de la responsabilité de son action. Pourtant, ne pourrions-nous pas imaginer quelqu'un qui choisi [i.e. choisit] librement de suivre les préceptes de la bible? En ce cas, il n'ignorerait pas sa liberté, mais l'affirmerais [i.e. affirmerait]. Cependant pour Sartre, quelqu'un qui choisirais [i.e. choisirait] librement de se laisser guider par des principes immuables, choisirais [i.e. choisirait] en même temps l'inauthenticité, puisqu'il fuirait volontairement l'étoffe dont il est pétri. Sartre lui, reste convaincu qu'on doit toujours remettre en question nos choix à chaque instant, puisque comme nous le verrons un peu plus loin, ceux-ci sont producteurs de valeurs. Toutefois, si l'être est liberté et transcendance dans des situations contingentes, que devient l'égo? Quelle forme prend-t-il? L'égo pour Sartre n'est pas un objet fixe, c'est un objet transcendantal. L'ego n'est jamais inachevé et totale [i.e. total] sauf au moment de la mort. Dans le monde, l'égo se redéfinie [i.e. redéfinit] à chaque action en fonction des choix et des possibilités qui s'offrent à lui. C'est en choisissant que l'égo se crée. Il n'est pas donné d'avance comme un objet qui influencerait nos choix par une structure préprogrammé [i.e. préprogrammée]. Cependant, il reste difficile d'être toujours critique et ne jamais tomber dans un fanatisme ou dans le réflexe pour agir, mais Sartre a le mérite de nous demander l'impossible pour tirer le meilleur de nous. Il nous dessine un idéal critique vers lequel il croit que nous devons tendre.
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Le festin de Babette : une métaphore de l'eucharistie : lecture théologiqueLabelle, Michelle January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les révélations d'Arrakis : une étude sur l'inscription de la transcendance dans Dune de Frank HerbertGill, Charles-Étienne January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Logique du probable et épistémologie théologique dans les Essais de théodicée de LeibnizLatour-Derrien, Annick January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Kant et la Schwärmerei : entre attirance et rejet : histoire d'une fascination inacceptable / Kant and the Schwärmerei : between attraction and rejection : story of an unacceptable fascinationAllouche-Pourcel, Béatrice 05 December 2008 (has links)
Omniprésente mais jamais réellement thématisée, la notion de Schwärmerei apparaît comme un Leitfaden, un fil directeur dans l’oeuvre kantienne. Confusion, insupportable prétention mais aussi « raison négative » (antiparadigme) la Schwärmerei représente pour le philosophe le danger mortel d’une alternative possible à sa propre rationalité et il va se mettre en devoir de la dénoncer. Malgré cela Kant est fasciné, il est irrésistiblement attiré par le personnage du visionnaire (incarné par Swedenborg) et cette attirance est niée et refoulée : un combat interne à la rationalité kantienne apparaît alors et, partant de la Kritik der schwärmerischen Vernunft, Kant va faire naître le criticisme par la nécessité d’imposer à l’exaltation trop tentante des restrictions et des limites. Il oppose ainsi sa « métaphysique de la modestie » à l’orgueil des « favoris du ciel », limitation nécessaire si l’on ne veut pas voir la dialectique inévitable de la raison dériver vers la Schwärmerei. Puis ce combat contre l’illuminisme va devenir public, à l’occasion de la querelle du panthéisme et apparaître comme un affrontement entre Kant et Jacobi. Cette confrontation de deux « idiosyncrasies philosophiques » permet, in fine, d’examiner deux conceptions très différentes de la foi, du savoir et de la raison faisant ainsi du dialogue entre la Schwärmerei et la raison un thème fondamental qui appartient concomitamment au système de la raisn kantienne mais aussi (avec le Pantheismusstreit et les débuts de l’idéalisme allemand) à l’histoire de la raison elle-même / Omnipresent but never really conceptualized, the idea of Schwärmerei appears like a Leitfaden, a guiding principle, in Kant’s works. Confusion, unbearable conceit but also “negative reason”(antiparadigm), the Schwärmerei is, in Kant’s eyes, the serious danger of a possible alternative to his peculiar rationality and he sets about denouncing it. Nevertheless, Kant is fascinated and irresistibly attracted by the Schwärmer’s figure (represented by Swedenborg) and this attraction is denied and repressed : an internal struggle in Kant’s rationality then becomes apparent and, starting from the Kritik of schwärmerischen Vernunft, Kant gives birth to criticism, by need to limit the elation, too tempting. He then divides his “metaphysics of modesty” and the pride of the “heaven’s favourites”, necessary restriction to avoid the drift of the inevitable dialectic of the reason toward the Schwärmerei. Then, this struggle against illuminism becomes public on the occasion of the “Pantheismusstreit” and appears to be a confrontation between Kant and Jacobi. This clash of two “philosophical idiosyncrasies” gives, after all, rise to examine two very different conceptions of faith, knowledge and reason. It then transforms the dialogue between Schwärmerei and reason into a fundamental topic that belongs to the system of kantian reason and to the story of reason too, with Pantheismusstreit and the beginning of the“German idealism”
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