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Post-hoc prescience: retrospective reasoning and judgment among witnesses of interpersonal aggression / Post-hoc préscience: raisonnement et jugement rétrospectifs chez les témoins d'agressions interpersonnelles

Marchal, Cynthie 07 December 2011 (has links)
When judging interpersonal aggression, witnesses are usually expected to rationally consider, based on the evidence they have, what another reasonable person could (or should) have thought, known and done. However their analysis may be affected by judgment biases and personal motivations. These evaluative and retrospective biases, as well as the ascription of blame, are the main interests of this research. More specifically, we investigated the consequences of witnesses being prone to the hindsight bias, which is a common bias that gives individuals the feeling that they would have been able to predict past events, what in fact, is not the case. This process may have important effects on the victim, who “should have known” that an aggression would happen to him/her. In this dissertation, we examine the moderators of this bias and the role of the communication context in which it develops. We hypothesized that the communication context might affect the perspective that is taken on the event of interpersonal aggression and the perceived distance towards it. Also, we expected that the hindsight bias and victim blame would be decreased when reducing the psychological distance towards the event (i.e. perceived temporal distance and perceived proximity with the victim’s fate). In a same vein, we expected that the aggressor would be more derogated in this condition. The first four studies were designed to investigate the role of communication goals about the aggression. Asking participants to describe how (vs. why) the aggression happened was expected to diminish the perceived distance. The following study (study 5) examined whether reporting the event in the passive voice (vs. active voice) would have a similar effect. The four last studies investigated how the time of presenting the event (before vs. after its antecedents) would influence the perception of distance towards the events and the judgments. We expected that knowing the outcome initially might reduce the perceived distance with the events. Results of the first five studies confirmed the main hypotheses: the communication context that focused on the “how” of the event or that presented it in the passive voice reduced the perceived distance and diminished the predictability of the aggression and victim derogation. It also increases the derogation of the aggressor. In addition, the latter studies revealed that learning about the outcome right away leads to reduced derogation of the perpetrator and increased derogation of the victim, even when reducing the perceived distance with the event. Overall, this research suggests that the communication context in which the hindsight bias emerges, as well as the perceived distance with the negative event, are important factors when examining the retrospective reasoning and judgments of witnesses.<p><p><p><p><p>Lorsque les témoins jugent une agression interpersonnelle, il est généralement attendu d’eux qu’ils considèrent rationnellement ce qu’une personne raisonnable aurait pu penser, savoir et faire dans pareille situation, et ce en se fondant uniquement sur les preuves qui leur sont fournies. Il n’en reste pas moins que leur analyse sera toutefois tronquée par des biais de jugement et des motivations personnelles. C’est pourquoi la détermination du blâme et l’influence des déformations rétrospectives et évaluatives sont au cœur de cette recherche. Ainsi, nous investiguons plus particulièrement le biais de rétrospection, à savoir l’erreur commune qui laisse à l’individu penser qu’il est en mesure de prévoir n’importe quel événement, alors qu’en réalité, il n’en est rien. Une telle erreur peut cependant avoir de graves conséquences pour la victime dès lors que les témoins sont amenés à croire qu’elle aurait « dû » prévoir ce qui allait survenir. Dans cette thèse, nous envisageons également les modérateurs de ce biais, dont le rôle du contexte communicationnel. Nous avons, dès lors, fait l’hypothèse que le contexte communicationnel pourrait affecter l’angle sous lequel les témoins considèrent l’événement et la distance perçue par rapport à celui-ci. Ce faisant, nous pensions que le biais de rétrospection et le blâme de la victime seraient réduits lorsque le contexte diminuait la distance perçue vis-à-vis de l’événement (en l’occurrence, la distance temporelle et la proximité perçue avec le sort de la victime). De même, il était attendu que l’agresseur soit davantage blâmé dans pareille condition. Les quatre premières études s’intéressaient donc au rôle des buts poursuivis lors de la communication à propos de l’agression, afin d’envisager en quoi décrire comment (vs. pourquoi) l’agression s’était produite aidait à réduire la distance perçue. Une cinquième étude nous a ensuite permis de considérer si la voix passive (versus active) avait aussi un effet similaire. Quant aux quatre dernières études, elles avaient pour objectif d’investiguer dans quelle mesure l’ordre de présentation des informations (connaître la fin avant, vs. après les antécédents) pouvait avoir également une incidence sur la prise de distance par rapport à l’événement et aux jugements. Plus précisément, nous faisions l’hypothèse que connaître l’événement en premier lieu (avant ses antécédents) facilitait la réduction de la distance perçue. Les résultats obtenus dans les cinq premières recherches semblaient confirmer nos hypothèses :Un contexte communicationnel qui réduisait la distance psychologique perçue par rapport à l’événement pouvait non seulement diminuer le biais de rétrospection et le blâme de la victime, mais augmenter aussi le blâme de l’agresseur. Toutefois, les dernières recherches ont semblé démontrer, a contrario, que connaître l’agression en premier lieu pouvait réduire le blâme de l’agresseur et augmenter celui de la victime, alors même que la distance perçue avec les événements était réduite. In fine, ce travail suggère donc que le contexte communicationnel, dans lequel le biais émerge, et la prise de distance face à l’événement négatif sont autant de pistes qu’il faudrait creuser à l’avenir pour mieux comprendre le raisonnement et les jugements rétrospectifs des témoins. / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le participe dans les grammaires des langues romanes (XVe-XVIIIe siècles). Histoire comparée d'une classe grammaticale / The participle in the Romance Languages' grammars (15th-18th centuries). A compared history of a grammar category / El participio en las gramáticas de las lenguas románicas (siglos XV-XVIII). Historia comparada de una clase gramatical

Diaz Villalba, Alejandro 13 September 2017 (has links)
L’étude présente l’histoire de la classe du participe à travers un corpus de grammaires del’espagnol, du français, de l’italien et du portugais parues entre le XVe et le XVIIIe siècle.La démarche comparative s’appuie sur le principe méthodologique de la mise en série d’une centaine d’ouvrages regroupés et confrontés selon des paramètres variables : la chronologie, le thème ou la tradition grammaticale de la langue-objet.La première partie aborde la question de la catégorisation en linguistique et s’interroge sur la nature des formes non finies du verbe, tout particulièrement du participe et de son emploi dans les formes verbales analytiques. La deuxième partie traite de l’histoire du participe sous un angle général. Ainsi, après avoir donné un aperçu des aspects problématiques qui intéressent les grammairiens grecs et latins, l’analyse se centre sur le traitement de la classe dans les grammaires des langues romanes. La troisième partie s’attache à étudier les approches et les concepts dont se servent les grammairiens de la Renaissance pour traiter les temps composés ainsi que la façon dont ils décrivent et (re)catégorisent les formes participiales de ces temps verbaux. / The study investigates the history of the word-class of participle through a close study of a corpus of French, Spanish, Portuguese and Italian grammars which were published between the 15th and 18th centuries. The comparative approach is based on the methodological principle of “series of texts”, by grouping and collating a hundred works according to several variable parameters: the chronology, the theme or the grammatical tradition of the language in question.The first part of the study deals with the linguistic categorization and questions the nature of the non-finite verbal forms, especially the participle and its use in an analytical verbal form. The second part deals with the history of the participle from a more general point of view. Thus, after an overview of the problematic aspects of Greek and Latin grammarians, the analysis focuses on the treatment of the word-class in the grammars of the Romance languages. The third part focuses on the approaches and concepts used by the Renaissance grammarians to deal with compound tenses and on how they described and (re)-categorized the participle forms of these verbal tenses. / El estudio presenta la historia de la clase del participio a través de un corpus de gramáticas de español, francés, italiano y portugués publicadas entre los siglos XV y XVIII. El enfoque comparativo se basa en el principio metodológico de la constitución de series textuales, que nos permite agrupar y cotejar un centenar de textos en función de parámetros variables: la cronología, el tema o la tradición gramatical de la lengua objeto.La primera parte aborda el asunto de la categorización en lingüística e indaga la naturaleza de las formas no finitas del verbo, especialmente la del participio y su utilización en las formas analíticas del verbo. La segunda parte propone una aproximacióna la historia del participio desde una perspectiva más general. Así pues, tras una cala en los aspectos problemáticos relacionados con el participio tratados por los gramáticos griegos y latinos, el análisis se centra en el tratamiento de la clase en las gramáticas de las lenguas romances. La tercera parte investiga sobre los enfoques y los conceptos que emplean los gramáticos del Renacimiento para tratar los tiempos compuestos, y sobre el modo en que describen y (re)categorizan las formas participiales de esos tiempos verbales.

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