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Juan Bautista Alberdi : un discours entre culture juridictionnelle et culture étatique / Juan Bautista Alberdi : a speech between jurisdictional and state cultures

Sadler, Mélanie 21 October 2015 (has links)
Étatique.Cette thèse se propose d’étudier la pensée d’Alberdi et de démontrer qu’elle est, fondamentalement, une pensée de la complexité des catégories fondée sur la conscience du caractère hybride de l’ordre sociopolitique qui lui est contemporain. Alberdi est héritier de deux cultures, une culture traditionnelle d’Ancien Régime et une culture révolutionnaire dont le langage s’est également imposé avec l’Indépendance. La grande question qui se pose à lui est celle de l’ordre à redonner au corps social qui a perdu la légitimité de l’ordre transcendant d’Ancien Régime. L’historiographie traditionnelle a souvent récupéré la figure et les discours du publiciste pour en faire l’éminent précurseur ou représentant de diverses tendances, parfois contradictoires, et notamment, pour l’ériger en figure de proue de la « modernité », du libéralisme contemporain ou encore de l’« État argentin » contemporain. Alberdi est au contraire, encore pleinement imprégné de la culture juridique traditionnelle et il cherche à adapter les langages dont il dispose à la réalité qui est la sienne, dans un aller-retour constant entre réalité et discours, puisque l’une modèle les autres et vice versa. Des catégories comme celles d’« individu », « Liberté », « administration » se sont imposées avec la Révolution, mais le publiciste les resémantise en fonction de son contexte, encore traversé de dynamiques très traditionnelles. L’individu, ainsi, recoupera globalement la catégorie excluante du « vecino ». L’« administration » apparaîtra souvent sous sa plume dans son sens ancien d’« administration de justice » et non pas dans son sens moderne. Par ailleurs, la « modernité » du Tucuman est toute relative puisqu’il laisse un rôle fondamental aux sources de droit traditionnelles et ne s’inscrit dans un volontarisme juridique qu’occasionnellement, et avec précaution. Jouant sur plusieurs échelles, il parle le langage de la modernité politique au niveau national et celui du droit traditionnel au niveau local lequel demeure le socle de stabilité du corps social. Ma thèse est que ce socle traditionnel d’une part, et les catégorie de « commerce » (prise dans sa polysémie) et d’économie politique d’autre part, seront les deux instruments fondamentaux permettant à l’auteur de repenser le lien, de créer une société à partir du corps social traditionnel. Loin de considérer l’ordre au seul niveau national, sa démarche s’inscrit en outre dans une perspective internationale : ce n’est que par l’échange pacifié entre nations que l’on pourra clore le cycle des révolutions atlantiques et retrouver un ordre ; celui-ci sera immanent certes, mais il devra nécessairement transcender le cadre de la nation. / This thesis points to study Alberdi’s thought and to demonstrate that it’s fundamentally a thought of the complexity of the categories founded on the hybrid character of the order which is contemporary to him. Alberdi inherited the legacy of two cultures, the traditional culture of Ancien Régime and a revolutionary culture whose language also imposed itself with the independance. The major question for Alberdi is which order to give back to the social body since it lost the legitimacy of the Ancien Régime’s transcendent order. The traditional historiography often pick up Alberdi’s figure and speeches to convert him in the eminent precursor or representative of distinct tendencies, sometimes contradictories, and especially to promote him as the « modernity »’s, the contemporary liberalism’s and the contemporary Argentinian State’s figurehead. Quite the contrary, Alberdi is still rather immerged in the traditional legal culture, and he tries to adapt the availables languages to his reality, in permanent backs and forths between reality and speeches since the first models the seconds and viceversa. Some categories like « individual », « Liberty », « administration » imposed themselves with the Revolution but the publicist gives them another significations (je ne sais pas comment traduire “resémantiser”?) according to his context considerably penetrated with traditional dynamics. The « individual », so, intersects the excluding category of the « vecino » overall. In the same way, Alberdi preferentially uses the term of « administration » in its old meaning of « justice’s administration », not in its modern acceptation. Besides, the publicist’s « modernity » is to be reconsiderated seeing as he leaves a fundamental role to the traditional legal sources and doesn’t fall into legal voluntarism but occasionally and cautiously. He actually plays on different scales : he speaks the political modernity’s language on the national scale and the traditional legal’s one on the local level (local level which remains the stability base of the social body). My thesis is that this traditional base on one hand and the categories of « trade » (understood in his polysemic acceptations) and « political economics » on the other hand will be the two fundamental instruments which enable the autor to rethink the link, to create a society based on the traditional social body. Far from considerating the order on the very national level, his approach also fits into an international perspective : the pacified exchanges between the nations would be the only way to end the atlantic revolutions’s cycle and to recover an order : this order will admittedly be immanent, but it necessarily will transcend the national frame.
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Le principe de subsidiarité, entre terminologie et discours : pistes pour une nouvelle histoire de la formule / The principle of subsidiarity, between terminology and discourse : tracks for a new history of the formula

Joyeux, Arthur 23 May 2016 (has links)
La thèse est le résultat d’une recherche menée en sciences du langage : lexicologie, sémantique lexicale et analyse du discours. Elle s’appuie sur les sources primaires du droit de l’Union, les sources doctrinales de la Doctrine Sociale de l’Eglise et des corpus de textes doctrinaux (juridiques allemands), ainsi que sur une relecture de sources philosophiques : aristotélisme, thomisme, kantisme et romantisme allemand. Il est généralement avancé par la doctrine juridique européenne (en France, MILLON-DELSOL, 1991, CONSTANTINESCO, 1991), que le principe de subsidiarité, règle de droit positif européen (traité de Maastricht - 1993) défini à l’article 3B (5TUE), aurait initialement été théorisé par la Doctrine sociale de l’Eglise au 20e siècle (Pie XI, Quadragesimo Anno, 1931). La règle « directive » (CORNU, Vocabulaire juridique, 2015) aurait toutefois été délestée de sa charge philosophique et théologique problématique pour s’apparenter à une règle de procédure. Sur le plan linguistique, la forme française subsidiarité serait un emprunt francisé du néologisme allemand Subsidiarität.Nombreux auteurs soulignent le caractère ambigu, polysémique ou gigogne d’une notion « plus politique que juridique » (DU GRANRUT, 1997, BARROCHE, 2012). Cet « élément juridique communautaire » (Rapport parlementaire DE LA MALENE, 1996-1997), introduit par J. Delors et A. Spinelli dans les années 1980, aurait eu pour vocation de désamorcer les conflits relatifs à la caractérisation constitutionnelle de l’Union Européenne. Il permettrait également d’organiser de manière souple la réalisation des objectifs politiques communautaires définis par les Traités européens dans le domaine des « compétences partagées » (TUE). La thèse s’attache à montrer les incohérences des hypothèses linguistiques relatives au rattachement de cette notion et de sa forme linguistique (subsidiarité, substantivation de subsidiaire (secours, renfort d’un élément inférieur à une chose supérieure, initialement en contexte militaire latin)), ainsi qu’à son rattachement à des sources philosophiques et théologiques en particuliers thomistes et personnalistes.Une recherche sur l’étymon latin et de l’occurrence allemande (Subsidiarität), tend à montrer que la forme subsidiarité désigne initialement le droit romain (subsidiäres Recht), occurrence régulière de la doctrine juridique allemande, tout au long du 19e siècle. La thèse présente donc les résultats d’un repérage et de la collecte d’un corpus d’occurrences de subsidäre(r) Recht/Staat, Subsidiarität, Subsidiarität der Staat, Subsidiär-Prinzip, Subsidiaritätsprinzip, Grundsatz der Subsidiarität, Prinzip der Subsidiarität, dans les œuvres de la science allemande du droit, en particulier chez les membres de l’Ecole historique du droit (F. K. VON SAVIGNY) et chez les premiers formalistes (Paul LABAND, Georg JELLINEK) et penseurs allemands de l’Etat de droit (Robert VON MOHL, Julius VON STAHL). Le travail discute cette occurrence comme une formule discursive, c'est-à-dire un mot d’ordre politique allemand, qui se diffuse dans la science juridique et dans les œuvres de l’école historique d’économie, tout au long du 19e siècle. Initialement, il est un mot d’ordre historiciste, avancé par Savigny dans la Querelle de la codification qui traverse les Etats allemands de l’Ancien Empire Romain Germanique, à partir du Congrès de Vienne (1814). L’occurrence (adjectivale et adverbiale) se diffuse par la suite et devient un motif de l’Etat de droit social (en particulier à partir de R. VON MOHL, 1829), se substantive, devient un principe juridique (relations les ordres juridiques régionaux et fédéraux), puis pénètre la terminologie économique (Etat subsidiaire, devoir subsidiaire de l’Etat dans l’assistance aux pauvres). Son motif conditionne le vote des premières lois dites « sociales » sous Otto von Bismarck. / The PhD is the result of a research carried out in the sciences of language: lexicology, lexical semantics and discourse analysis. It is based on the primary sources of European Union law, the doctrinal sources of the Church's Social Doctrine and the corpus of German legal doctrinal texts, as well as a rereading of philosophical sources: Aristotelianism, Thomism, Kantism and romanticism.It is generally argued by European legal doctrine (in France, MILLON-DELSOL, 1991, CONSTANTINESCO, 1991) that the principle of subsidiarity, a rule of positive European law (Maastricht Treaty - 1993) defined in Article 3B), would initially have been theorized by the Social Doctrine of the Church in the 20th century (Pius XI, Quadragesimo Anno, 1931). The "directive" rule (CORNU, Legal Vocabulary, 2015), however, would have been relieved of its problematic philosophical and theological position in order to resemble a procedural rule. On the linguistic level, the French form subsidiarity would be a francized loan of the German neologism Subsidiarität.The PhD focuses on the inconsistencies of the linguistic hypotheses related to the connection of this notion and its linguistic form (subsidiarity, substantivation of the adjective subsidiary (relief, reinforcement of an element lower than a superior thing, initially in a Latin military context), as well as its attachment to philosophical and theological sources, in particular Thomists and personalists.A search for the Latin etymon and the German occurrence (Subsidiarität) tends to show that the subsidiarity form originally designates the Roman law (subsidiäres Recht), a regular occurrence of German legal doctrine throughout the 19th century. The PhD therefore presents the results of a retrieval and collection of a corpus of occurrences of subsidäre (Recht/Staat, Subsidiarität, Subsidiarität der Staat, Subsidiär-Prinzip, Subsidiaritätsprinzip, Grundsatz der Subsidiarität, Prinzip der Subsidiarität) in the works of the German legal science, especially among the members of the Historical School of Law (FK VON SAVIGNY) and the first formalists (Paul LABAND, Georg JELLINEK) and German thinkers of the Rule of Law VON MOHL, Julius VON STAHL).The work discusses this occurrence as a discursive formula, that is to say a German political slogan, which is diffused in the legal science and in the works of the historical school of economics, throughout the 19th century. Initially, it is a historicist slogan, advanced by Savigny in the Quarrel of the codification which crosses the German states of the Old Germanic Roman Empire, starting from the Congress of Vienna (1814). The occurrence (adjectival and adverbial) is subsequently disseminated and becomes a motive of the social law state (especially from R. VON MOHL, 1829), becomes substantive, becomes a legal principle (relations legal orders Regional and federal), then penetrates the economic terminology (Subsidiary State, subsidiary duty of the State in assisting the poor). His motive conditioned the vote of the first laws called "social" under Otto von Bismarck.The PhD attempts to demonstrate that the pontifical occurrence of 1931 is a late borrowing from these different theoretical and doctrinal sources and not a Catholic neologism.
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Polémique sur le droit de grâce, 1789-1791 : fondements éthiques et politiques

Labbé, Éric 12 April 2018 (has links)
Dans la France d'Ancien-Régime, le droit de grâce conférait au monarque le pouvoir de renverser les condamnations judiciaires prononcées par la justice criminelle. Se penchant sur les circonstances du délit, le roi évaluait autant les preuves intentionnelles que les preuves matérielles, si bien qu'un condamné pût parfois bénéficier d'une rémission complète de sa peine. Or, la justice française ayant l'obligation, depuis l'institution du jury en 1791, de proportionner les peines à la malignité des intentions, certains Constituants crurent inutile, voire même dangereux de maintenir cette coutume séculaire au sein du régime constitutionnel. Pour les esprits démocrates de l'Assemblée nationale, les monarques sont naturellement portés à incliner leurs prérogatives dans le sens de l'intérêt privé, alors que les membres du jury, choisis à même le peuple, sont plus à même d'accorder leurs intérêts personnels avec l'intérêt général. Ces principes démocratiques, hérités d'une philosophie moderne déchirée par des représentations parfois diamétralement opposées de l'éthique et du politique, ne firent cependant pas l'unanimité, plusieurs Constituants prônant encore, en 1791, une souveraineté suffisamment transcendante pour que l'autorité morale du monarque eût préséance, en matière de droit criminel, sur celle de la « nation » et de ses représentants.
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La crainte de l'égalité : essai sur un fondement symbolique de l'État au Canada 1791-1867

Larue, Richard 11 April 2018 (has links)
L'objet de cette recherche est le problème de l'égalité rapporté À la formation de l'Etat au Canada, dans la période allant de 1791 à la confédération. L'hypothèse générale en est que la question de l'égalité est ce par quoi on a problématisé l'autonomie de l'Etat au Canada. Il s'agit, à travers la reconstruction de la polémique liée à la qualité de sujet britannique au Bas-Canada et au problème de la représentation politique dans le Canada-Uni, de montrer comment la légitimité de l'Etat canadien se fonde sur le rejet de l'individualisme. Rejet qui se vérifiera, au moment de la formation de l'État canadien, dans la mise en place des formes institutionnelles des sphères publique et privée. Ainsi, le système du droit privé et le dispositif constitutionnel de la représentation politique exprimeront ils la mise en oeuvre du modèle canadien de l'égalité tel qu'il émerge de la période précédente. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La pourpre et le rouge : l'anticléricalisme canadien-français au XIXe siècle

Durou, Guillaume 18 April 2018 (has links)
L'anticléricalisme au Canada a été un élément constitutif d'une idéologie politique plus large. Pourtant, il a échoué à le demeurer, laissant toute la place à un libéralisme modéré qui, intimidé par une Eglise et un conservatisme triomphant, eut peine à se tailler une place sur la scène politique. Pourquoi ? Notre recherche tentera de répondre à cette question. Elle ne mettra cependant en lumière qu'une partie de celle-ci, celle que les historiens ont le mieux documentée et qui, centrée sur l'Union, s'étend des deux côtés pour couvrir à peu près tout le XIXe siècle. L'énigme qui guidera notre recherche ne sera pas tant la question de l'origine de l'anticléricalisme que celle de son déclin.
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À la recherche d'un idéal politique : analyse des discours des orateurs attiques du IVe siècle a.C.

Trépanier, Marie-Hélène 25 April 2018 (has links)
Ce mémoire propose d’analyser les discours des orateurs attiques du IVe siècle a.C. dans le but de déterminer s’il existait pour cette période un idéal au sein de la politique active et, le cas échéant, à quel type de constitution appartenait cet idéal. Pour ce faire, l’analyse porte d’abord sur les critiques liées au régime démocratique alors en place à Athènes. Elle établit que bien que les orateurs aient prôné de manière générale le système démocratique, une grande partie de ces louanges découlaient de la structure du système qui favorisait les flatteries grâce à l’utilisation de la rhétorique. La monarchie et l’oligarchie, autres régimes potentiels pour une cité, sont par la suite abordées. Il s’avère qu’aucun de ces deux systèmes politiques ne put représenter une option viable pour la cité d’Athènes, puisque les Athéniens avaient developpé de manière générale une vision bien trop néfaste de leurs contemporains usant de tels modèles politiques et que la cité s’était munie de mesures légales et culturelles pour maintenir constamment la peur de la tyrannie dans l’esprit de ses citoyens. Pourtant, les orateurs reconnurent certains points positifs à la monarchie et mirent bien souvent l’accent sur les raisons pour lesquelles Athènes méritait d’être un meneur parmi les cités grecques. C’est pourquoi, en dernier lieu, un parallèle est effectué dans ce travail entre les caractéristiques que l’on reconnaissait à Athènes et les attributs décernés par les philosophes au monarque idéal, le tout pour montrer un déplacement des idéaux politiques de la politique interne à externe et de la démocratie vers la bonne monarchie.
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L'administration gouvernementale dans la pensée politique de Gérard Bergeron

Villeneuve, Robert 12 April 2018 (has links)
Les principales théories de sociologie politique consacrées à l'étude de l'État n'ont jamais véritablement accordé d'importance à l'administration gouvernementale. Elles ont pratiquement toujours fusionné l'appareil politique et l'administration gouvernementale au sein du pouvoir exécutif, relayant ainsi cette administration au rang de simple instrument du pouvoir politique. Toutefois, en isolant l'administration gouvernementale du pouvoir politique et en l'élevant au rang de fonction autonome au cœur de la gouverne politique, la théorie fonctionnelle de l'État de Gérard Bergeron, publiée en 1965, venait consacrer l'importance de l'administration gouvernementale dans le système politico-administratif de l'État moderne. Ce mémoire de maîtrise vise à saisir la signification de l'administration gouvernementale dans la pensée politique de Gérard Bergeron.
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Le statut de l'action politique dans les Essais de Montaigne

Uhde, Dominique 02 March 2021 (has links)
Ce mémoire fait la synthèse entre deux aspects de la pensée politique de Montaigne. Certains passages des Essais laissent entendre qu’il encourage les humains à respecter les coutumes et les lois sans tenter de les réformer au moyen d’actions politiques. Il soutient ce conservatisme par un scepticisme en ce qui a trait à la possibilité de connaître les structures des sociétés et les ressorts des mouvements humains. Il est cependant aussi apparent dans ses écrits qu’il a une grande sensibilité face à l’injustice et qu’il reconnaît une certaine forme de morale indépendante des coutumes. Est-il possible de réconcilier ses deux aspects de la pensée du philosophe ? En interprétant ses critiques de la nature humaine non comme une invitation à l’immobilisme mais comme une invitation à l’autocritique et à la modération, il semble qu’une image complète de sa pensée puisse effectivement prendre forme. Cette nouvelle image n’empêche pas l’action mais appelle à certaines actions particulières, notamment à une forme précise d’éducation.
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Lenguaje y Revolución en el discurso revolucionario de Delito por bailar el chachachá de Guillermo Cabrera Infante

Cormier, Nicolas 19 April 2018 (has links)
Ce mémoire examine la concordance présente entre le langage et le discours révolutionnaire cubain dans Coupable d’avoir dansé le cha-cha-cha (1995) de Guillermo Cabrera Infante (1929-2005). L’examen du récit a été entrepris depuis une perspective qui approfondit ce que certaines études appellent « la parole ennemie » : cette parole qui questionne ce qui apparaît comme « réel » afin de montrer ce qui est caché. L’objectif principal de cette recherche consiste à établir une corrélation entre le dynamisme qui caractérise le langage du roman et celui qui correspond à la rhétorique révolutionnaire à partir de trois segments qui ont pour titres, « Une journée vers la déception », « Rupture et continuité du langage » et « Mémoire et antimémoire ». Ce schéma, qui comprend un trajet triple — utopique, linguistique et historique —, permet d’arriver à édifier une relation intime entre le langage de l’œuvre et celui du parcours révolutionnaire cubain. / Esta investigación examina la concordancia entre lenguaje y el discurso revolucionario cubano en Delito por bailar el chachachá (1995) de Guillermo Cabrera Infante (1929-2005). El análisis del texto se inició desde una perspectiva que profundiza lo que ciertos estudiosos llaman la “palabra enemiga”: esa palabra que busca cuestionar lo que pasa por “realidad” para desocultar lo ocultado. El objeto principal de este trabajo consiste en establecer una correlación entre el dinamismo que caracteriza el lenguaje de la novela y el que corresponde a la retórica revolucionaria a partir de tres segmentos que se titulan, “Una jornada hacia la decepción”, “Ruptura y continuidad en el lenguaje” y “Memoria y desmemoria”. Este esquema, que emprende un triple recorrido — utópico, lingüístico e histórico —, permite llegar a edificar una relación íntima entre el lenguaje de la obra y la jornada revolucionaria cubana.
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Le rôle de l'intelligentsia dans la modernisation de l'État au Québec : nuancements de la vision salutaire de la révolution tranquille

Morin, Philippe 16 April 2018 (has links)
La Révolution tranquille est un mythe solidement ancré dans la mémoire collective québécoise, bien que le caractère mythique des années 1960 soit de plus en plus remis en question dans le discours savant. L'analyse d'une centaine de curriculum vitae de grands commis de l'État du gouvernement Lesage a permis de valider ce repositionnement idéologique. En effet, il ressort de notre analyse que les membres de l'élite traditionnelle - les avocats, les médecins et surtout les hommes d'affaires -, omniprésents sous la férule de Duplessis, occupent toujours une place prépondérante au sein des appareils d'État québécois de la Révolution tranquille. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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