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Le commerce martiniquais entre insularité et mondialisation / The martinican trade between insular situation and glogalization

Jean-Alexis, Philippe 03 April 2008 (has links)
La Martinique est un département français situé dans l'archipel des Caraïbes. Comme toutes ses voisines elle recense les contraintes de l'insularité, comme l'espace, l'exposition aux risques naturels, l'éloignement. Elle bénéficie du statut de région ultra-périphérique de l'Europe. Le cadre européen se conjugue avec la concurrence caraïbéenne et la proximité commerciale américaine. Sur le plan du commerce la Martinique est rentrée dans la mondialisation par trois chemins ; le processus d'européanisation, le tourisme, son appartenance géographique au continent américain et l'espace caraïbéen. / Martinique is a french departement who is situated in the caribbean archipelago. As her neighbour she have the constraint of insular like small space, exposure of naturals risks, distant. She has european statue of ultra periferik region. This legal fram conjugue itself with caraibeen competition and american nearness. Concerned martinican trade he is coming in globalization by three ways ; the european process, tourism, and geographical position in american continent and caraibbean space.
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Les petits espaces insulaires et leurs organisations régionales

Taglioni, François 19 November 2003 (has links) (PDF)
Ce mémoire d'habilitation à diriger des recherches se compose de trois volumes. Le premier est la synthèse, avec ses lignes de forces et ses faiblesses, avec ses contradictions et ses accords, de nos activités scientifiques, pédagogiques et administratives sur la période 1989-2003. Le second est un travail original de recherche dont nous produisons ici un résumé. Le troisième est un recueil de nos publications (24 articles, un ouvrage et 12 comptes rendus de lecture). Le volume de recherche intitulé "Recherches sur les petits espaces insulaires et sur leurs organisations régionales" se compose de deux parties. La première s'articule autour d'une double interrogation : qu'est-ce une île ? qu'en est-il de ses spécificités scientifiques ? Ces questions de nombreux chercheurs se les sont posées et d'autres après eux les aborderont sans doute encore. Trois entrées principales nous ont permis de cerner ces questions. Un premier chapitre s'attelle à retravailler les concepts de base que sont l'isolement, la taille, l'insularité, l'insularisme et l'îléité pour déboucher sur une définition possible de l'île ou tout au moins des petits espaces insulaires. Les deux autres chapitres s'articulent autour des grands thèmes de la fragmentation, de la périphéricité, de la dépendance et de la vulnérabilité. À défaut d'êtres parfaitement spécifiques aux îles, ces thèmes permettent néanmoins de les qualifier en adoptant une démarche systémique. La deuxième partie est davantage méthodologique et inductive que la première. Elle contribue à une réflexion sur la régionalisation en général (chapitre I) et sur la régionalisation en milieu insulaire en particulier (chapitre II). Le constat de départ, pour mener à bien une analyse des organisations régionales, est celui d'une carence d'outils conceptuels et des lacunes empiriques. La préoccupation est double, d'une part tirer une quintessence de nos descriptions analytiques de terrain de l'étude de la coopération régionale insulaire dans le monde et, d'autre part, élaborer un schéma explicatif (chapitre III) ayant une portée générale à partir des influences particulières rencontrées. L'approche est aussi bien diachronique que synchronique. Le schéma du système de coopération régionale que nous avons conçu est applicable à d'autres espaces que ceux qui sont insulaires. Il présente l'avantage de s'adapter aux diverses formes de régionalisation qui s'organisent entre États d'un même ensemble continental ou autour des océans et des mers. Il est aujourd'hui évident que les processus de coopération régionale sont une composante majeure du développement et de l'intégration des États-nations au système international. Les États les plus vulnérables, qu'ils soient ou non insulaires, comme les superpuissances, sont tous engagés dans des entreprises similaires d'approfondissement et d'intégration économique ou politique. Néanmoins, il semble difficile de dicter des lois et d'établir des normes qui régiraient les relations régionales et a fortiori internationales. La conclusion de ce travail d'habilitation à diriger des recherches est une proposition constructive ouvrant sur des perspectives concrètes d'application de nos recherches passées et à venir. Elle se fonde sur le constat de la dispersion et la fragmentation au plan national des données et des ressources humaines concernant les petits États et territoires. Il s'agirait donc de créer un Centre d'études et de recherche sur les petits États dans le monde (CÉRPÉM) pour fédérer les chercheurs, les ressources documentaires et financières.
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La Représentation de soi à travers la textualisation de l'espace insulaire réunionnais : étude de l'oeuvre de Jean Lods

Gendre, Annick 08 June 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat présente une monographie qui porte sur l'œuvre romanesque de Jean Lods. Sans être autobiographique, ni autofictionnelle, rigoureusement, elle relève des littératures personnelles (dominante de la première personne, irruption de la bio de l'auteur, identification captatrice). L'île de la Réunion des années 1940-1950, dans laquelle l'auteur a passé son enfance, fait l'objet d'une représentation singulière, liée à l'exil de l'écrivain. Sa mise en scène, dans le prisme que réalisent l'Europe, l'océan Indien et l'espace nordique, donne lieu à une géographie imaginaire originale et à une écriture-espace dont nous relevons les héritages et les dépassements inédits caractéristiques de la post-modernité. La scénographie de cet espace donne à lire un « enspacement multiple », expression grâce à laquelle nous désignons le parcours que signifie la quête subjective de la place, et qui, profondément marquée par les lisières que sélectionnent les narrateurs-personnages, est ici solidaire d'un lieu d'autant plus aliénant qu'il est inaccessible. Que doit cette spatialité au traumatisme dû aux contradictions propres à la colonialité des « grands blancs » qui ont ouvert leur foyer à cette enfance ? Comment, tout en s'efforçant de le surmonter, porte-t-elle les stigmates de la fin de l'impérialisme français et manifeste-t-elle les déchirements post-coloniaux / postcoloniaux ? Nos analyses littéraires du texte croisent plusieurs démarches (comparatisme, interdisciplinarité qui allie l'histoire, la psychanalyse, l'ethnopsychanalyse et la philosophie) afin d'exposer des éléments et des perspectives qui permettent une approche pertinente et nuancée de ces questions.
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La cérémonie du Bounty Day : l’histoire des révoltés du Bounty comme récit fondateur sur les îles de Pitcairn et Norfolk et ses représentations en Occident

Giuge, Paola 08 1900 (has links)
Cette étude s’attache à analyser deux performances symboliques ayant cours sur les îles de Pitcairn et de Norfolk dans le Pacifique Sud. Les habitants de ces deux îles séparées par 6000km de distance partagent tout d’abord un événement historique ayant eu lieu en 1789, la révolte du Bounty, rendue célèbre par des réalisations cinématographiques hollywoodiennes et de nombreux ouvrages ; et également un rattachement à cette histoire et à leur filiation avec ces mutins qui prennent forme dans une performance annuellement répétée qu’ils nomment : le Bounty Day. Ici, nous verrons comment l’identité émerge de la manipulation de faits historiques, pour saisir non seulement l’importance du processus de construction identitaire, mais comment cette macro-identité influence certains aspects du micro-vécu. « L’histoire », dans l’analyse qui sera proposée, est un domaine rhétorique et un ensemble de valeurs qui lient les individus non seulement à un monde oublié mais à un monde invisible, à l’Autre lointain, inconnu et donc potentiellement menaçant. / This study focuses on the analysis of two symbolic performances occurring on the islands of Pitcairn and Norfolk in the South Pacific. The people who live on those two islands, separated by 6000 km, share a particular bond: through a historic event which took place in 1789, the Bounty mutiny, which was made famous by several well-known Hollywood film productions and by numerous books. They are joined by this story and by their heritage, as they share common ancestors, the mutineers. both also commemorate every year the mutiny and subsequent events by, a special ceremony : Bounty Day. This study shows how a specific identity emerges from the manipulation of the historical facts, which not only bears witness to the importance of the identity building process itself, but also how this macro-identity influences some aspects of everyday life on the individual level. Their “story”, in the following study, concerns a rhetorical purview and the enactment of a set of values that tie individuals not only to a forgotten world, but also to an invisible one, to the distant Other, unknown and potentially harmful.
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La franc-maçonnerie à l'Ile Maurice de 1778 à 1915 : entre influences françaises et britanniques, la construction d'une identité mauricienne / Freemasonry in Mauritius from 1778 to 1915 : Building a Mauritian identity at the crossroads of French and British cultures

Venkaya-Reichert, Sandra Danielle Brinda 26 June 2017 (has links)
Cette thèse étudiera la franc-maçonnerie de traditions européennes qui se transforma au cœur des périodes colonisatrices française et britannique de 1778 à 1915. Les loges du Grand Orient de France qui s’implantèrent, sous la colonisation française de l’Isle de France, à la fin du XVIIIe siècle furent des pionnières de la maçonnerie dans un pays qui vécut, simultanément, une nouvelle période de colonisation britannique, à partir de 1810, et des changements drastiques aux niveaux démographique, socio-économique, ethnique et politique. Le fait maçonnique ne put que changer intrinsèquement dans le contexte insulaire multiculturel alors que la colonie, n’ayant pas de peuples autochtones, devint le terreau d’une multitude de traditions européennes, africaines et asiatiques. La maçonnerie locale acquit, grâce aux échanges entre les loges françaises et les nouvelles obédiences qui s’implantèrent (la Grande Loge Unie d’Angleterre, la Grande Loge d’Ecosse, la Grande Loge d’Irlande et le Suprême Conseil de France), une identité insulaire et mauricienne. Cette thèse montrera comment l’institution maçonnique mit en exergue la possibilité de construire une cohésion et un espace de partage à certains moments-clés de l’histoire du pays. Cependant, les loges françaises et britanniques eurent à faire face aux grands défis socio-politiques, économiques et religieux du XIXe siècle et du début du XXe siècle. En effet, les maçons furent aussi en proie aux divisions et conflits liés au multiculturalisme et à la pluriethnicité de la société coloniale. Cette thèse démontrera, en l’occurrence, comment la franc-maçonnerie de plusieurs obédiences développa des fonctionnements et des traditions influencés par le contexte et put maintenir un œcuménisme malgré les difficultés. Pourtant, la fin du XXe siècle entraîna les loges dans des divergences religieuses, idéologiques et institutionnelles et certains éléments, qui firent du laboratoire maçonnique mauricien un exemple des valeurs universelles et de la fraternité internationale, devinrent les sources mêmes de divisions. / This thesis will study freemasonry coming from European cultures which was transformed in the midst of French and British colonising periods from 1778 to 1915. The Grand Orient de France lodges, which settled under the French colonising regime of Isle de France at the end of the 18th century, introduced freemasonry in a country which underwent, simultaneously, a new British colonising era, as from 1810, and deep changes on the demographic, socio-economic, ethnic and political levels. Freemasonry could not but profoundly change in this insular multicultural context as the colony, which did not have any indigenous population, became the melting pot of various European, African and Asian traditions. Local freemasonry acquired, owing to the relations of the French lodges with the different lodges which were created (of the United Grand Lodge of England, the Grand Lodge of Scotland, the Grand Lodge of Ireland and the Suprême Conseil de France), an insular and Mauritian identity. This thesis will show how the Craft enabled cohesion and provided a place for sharing at some milestones in the history of the country. However, the French and British lodges had to face the grand socio-political, economic and religious challenges of the 19th century. In fact, the freemasons had also to experience the divisions and conflicts induced by the multicultural and multi-ethnic colonial society. Therefore, this thesis will to show how freemasonry from different grand lodges developed practices and traditions influenced by the context and were able to uphold ecumenism in spite of the obstacles. However, the lodges got caught into religious, ideological and institutional conflicts at the end of the 19th century and some components, which made of the Mauritian masonic laboratory an example of universal values and international fraternalism, eroded.
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Etude foristique, écologique et phytosociologique des forêts de l'île Mbiye à Kisangani, RDCongo

Nshimba, Hypolite 23 January 2008 (has links)
Floristic, Ecological and Phytosociological, Study of the Forests of the Mbiye Island at Kisangani, DR Congo The Mbiye Island is situated on the Congo River, in the Eastern part of Kisangani. It is located upstream of the Wagenia Falls, between latitude 0º31’ North and longitude 25º11’ East, with 376 m of altitude. It adjoins the town of Kisangani, and it is 14 km long and 4 km wide. All around Kisangani, the Mbiye Island is the only ecosystem which has a dense forest that is relatively well preserved. This Island has an area of 1,400 ha, and it comprises three types of forest: dry land forest, periodically flooded forest and swampy forest. The main purpose of this study has been to make a qualitative and quantitative analysis of the physiognomy and structure of these three types of forest. I relied on two methods in data collecting: the Phytosociological plotting method with a sampling equal to 100 individuals for the higher strata and 100 m² grass strata, associated with dbh measure for trees whose diameter is ≥ 10 cm. In total, out of the 80 plottings, 67 multi strata and structurals each of which has been decomposed in 4 sub-plottings fit together. Based on the presence-absence criterion, the other 13 multi strata and structurals have been made into Chablis, and all the data have been globally analyzed. An inventory of 33991 individuals has been made in this study. After their identification, it has been found out that there 470 species belonging to 297 types and 90 families. Rubiaceae, Caesalpiniaceae and euphorbiaceae families have been found out to be the most important in Genus and species. In the raw spectra of biological types, the phanerophyts (83.0%) are the most predominant, and within which the mesophanerophyts (trees 10 to 30 m tall in their old age) are the most predominant (39.0%). The Phytogeographical spectra have more omni-guineo-congolese (35%) elements; and amongst the diaspore types, the sarcochores (69%) are the most predominant. 58 endemic species (12.3%) of the central forest sector have been found out at the Mbiye Island. After the classification and ordination of the 80 plottings by Twinspan and DCA, three Phytosociological groupings have been found out in the dry land forest: (1) grouping of Funtumia elastica and Albizia ealaensis, (2) grouping of Nesogordonia leplaei and Antiaris toxicaria, (3) prouping of Olyra latifolia and Campylospermum elongatum; two others for floodable forests (1) grouping of Rinorea oblongifolia and Byrsocarpus coccineus, (2) grouping of Pachystela seretii, Dracaena kindtiana and Culcasia yangambiensis, and three others for swampy forests: (1) grouping of Strombosia grandifolia, Calamus deerratus, Culcasia angolensis and Elaeis guineensis, (2) grouping of Cleistopholis patens and Pterygota bequaertii, (3) grouping of Diospyros bipendensis, Strychnos icaja and Palisota barteri and then two groupings for the Chablis plottings (1) grouping of Palisota schweinfurthii, Eremospatha haullevilleana, Thomandersia hensii and Pycnocoma insularis and (2) grouping of Nephrolepis biserrata and Scaphopetalum thonneri. The coelocaryon botryoides has shown a uniform spatial distribution in the in the forest periodically flooded, whereas Gilbertiodendron dewevrei has shown an aggregated distribution. Comparison of richness in different taxa within the sampling has given high values as far as the numbers of species is concerned and genus of the same family in the phytosociological sampling. Out of all the species listed, 189 have been considered to be common species with regard to the three forest types, other 144 belonged to two types. 90 species have been listed only on solid land, 27 on periodically flooded forest 20 on swampy forest. Euphorbiaceae, Rubiaceae and Caesalpiniaceae families were the best represented in species and genus. With regard to richness in each forest type, the forest of solid soil was the only one to have high values both in species<p>and genus, and the swampy forest was less represented. With reference to richness according to strata, the herbaceous and under-shrub stratum (H) was the richest whereas the stratum of dominant trees (E+A1) was the poorest. Mbiye island forest is the nearest one of Kisangani for which it plays the most important role with regards to supplies in different forest products and non-ligneous forest products. In total, 12.3% endemic species of Central forest sector have been listed there, but due to frequent use by man this time, all these endemic species may disappear from this island. It is therefore urgent that particular attention be paid on it. Actions of conservation and lasting exploitation must be started in order to block their extinction. Key words: DRCongo, Flora, Ecology, Phytosociology, insularity, flooding, spatial distribution, biodiversity, synusie, Mbiye Island, Kisangani./Etude floristique, écologique et phytosociologique des forêts de l'île Mbiye, Kisangani, RDCongo. L'île Mbiye est une île du fleuve Congo située dans la partie Est de la ville de Kisangani, en amont des chutes Wagenia, entre 0° 31' de latitude Nord et 25° 11' de longitude Est, avec une altitude de 376 m. Elle jouxte la ville de Kisangani et sa longueur maximale est de 14 km sur 4 km de largeur. Elle est le seul écosystème à proximité de la ville, possédant encore une forêt dense relativement bien conservée et formant un îlot de 1400 ha comprenant trois types forestiers :la forêt de terre ferme, la forêt périodiquement inondée et la forêt marécageuse. L’objectif principal de cette étude a été de faire une analyse quantitative et qualitative de la physionomie et la structure de ces trois types forestiers. Deux méthodes ont permis la récolte de données ;la méthode de relevés phytosociologiques à effort d’échantillonnage égal à 100 individus pour les strates supérieures et 100 m² pour la strate herbacée, associée à celle de mesure de D130, pour les arbres à diamètre ≥ 10 cm. Au total, 80 relevés dont 67 multistrates et structurels, décomposés chacun en 4 sous-relevés emboîtés, ont été mis en place. 13 autres ont été faits dans les chablis avec l’appréciation basée sur le critère de présence-absence et toutes les données ont été analysées globalement. A l’issue de cette étude, 33991 individus ont été recensés. Après leur identification, au total 470 espèces appartenant à 297 genres et 90 familles ont été obtenues. Les familles des Rubiaceae, des Caesalpiniaceae et des Euphorbiaceae sont les plus importantes, tant en genres qu’en espèces. Dans les spectres bruts de types biologiques, les phanérophytes (83,0 %) sont les plus abondants et au sein desquels les mésophanérophytes (arbres de 10 à 30 m au stade adulte) sont les plus dominants (39,0 %). Les spectres phytogéographiques ont montré une prédominance d’éléments omni-guinéo-congolais (35 %) alors que parmi les types de diaspores, les sarcochores (69 %) sont les plus dominants. 58 espèces endémiques du Secteur forestier central (soit 12,3 %) ont été recensées à l’île Mbiye. Après classification et ordination de ces 80 relevés par Twinspan et DCA, trois groupements phytosociologiques ont été obtenus dans la forêt de terre ferme: (1) groupement à Funtumia elastica et Albizia ealaensis, (2) groupement à Nesogordonia leplaei et Antiaris toxicaria, (3) groupement à Olyra latifolia et Campylospermum elongatum ;deux autres pour les forêts inondables (1) groupement à Rinorea oblongifolia et Byrsocarpus coccineus, (2) groupement à Pachystela seretii, Dracaena kindtiana et Culcasia yangambiensis ;trois autres encore pour les forêts marécageuses :(1) groupement à Strombosia grandifolia, Calamus deerratus, Culcasia angolensis et Elaeis guineensis, (2) groupement à Cleistopholis patens et Pterygota bequaertii, (3) groupement à Diospyros bipendensis, Strychnos icaja et Palisota barteri, et enfin, deux groupements pour les relevés de chablis (1) groupement à Palisota schweinfurthii, Eremospatha haullevilleana, Thomandersia hensii et Pycnocoma insularum et (2) groupement à Nephrolepis biserrata et Scaphopetalum thonneri. L’espèce Coelocaryon botryoides a montré une répartition spatiale uniforme dans la forêt périodiquement inondée alors que Gilbertiodendron dewevrei y a montré une répartition agrégée. La comparaison de la richesse en différents taxa au sein de relevés et de placettes a donné de valeurs supérieures en nombre d’espèces, de genres et même de familles, dans les relevés phytociologiques. Sur le total des espèces recensées, 189 ont été considérées comme espèces communes aux trois types forestiers, 144 autres appartenaient aux deux types. 90 espèces<p>n’ont été recensées qu’en forêt de terre ferme, 27 en forêt périodiquement inondée et 20 dans la forêt marécageuse. Les familles des Euphorbiaceae, des Rubiaceae et celle des Caesalpiniaceae ont été les mieux représentées en espèces et en genres. En ce qui concerne la richesse dans chaque type forestier, la forêt de terre ferme était la seule à avoir des valeurs supérieures tant en espèces qu’en genres et la forêt marécageuse était la moins représentée. Quant à la richesse spécifique selon les strates, la strate herbacée et sous-arbustive (H) était la plus riche alors que la strate des arbres dominants (E+A1) était la plus pauvre. La forêt de l’île Mbiye est la seule forêt proche de la ville de Kisangani pour laquelle elle joue un rôle de premier plan en ce qui concerne le ravitaillement en différents produits forestiers et forestiers non ligneux. Au total, 12,3% d’espèces endémiques du Secteur forestier Central y ont été recensées, mais vue l’action anthropique qu’elle connaît ce dernier temps, toutes ces espèces endémiques risquent de disparaître de cette île. Il est alors urgent qu’une attention particulière, soit tournée vers elle. Des actions de conservation et d’exploitation durable doivent être amorcées en vue contrecarrer l’extinction des celles-ci. Mots clés :RDCongo, flore, écologie, phytosociologie, insularité, inondation, répartition spatiale, biodiversité, synusie, île Mbiye, Kisangani. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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