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Lithium effects on ethanol intake in impulsive mice

Halcomb, Meredith Ellen 10 December 2013 (has links)
Indiana University-Purdue University Indianapolis (IUPUI) / The present study sought to identify the effects of chronic lithium administration on ethanol intakes in high alcohol-preferring (HAP) mice. Lithium is a well-established treatment for bipolar disorder and has demonstrated efficacy in reducing impulsivity, an endophenotype of the disease. Impulsivity is also a prominent trait of alcoholism. HAP mice display a preference for consuming substantial amounts of ethanol and exhibit abnormally high levels of impulsivity. Previous work has determined that chronic lithium exposure in HAP mice reduces their levels of impulsivity. The present study analyzed fluctuations in established intake patterns after lithium exposure and how pre-exposure to lithium would affect ethanol intake acquisition. The results showed an increase in ethanol intake and no change in preference for ethanol over water in lithium treated mice. There was an increase in overall total fluid consumption in these mice, likely resulting from polydipsic effects. There also appeared to be a potentiated lithium toxicity effect found in those mice pre-exposed to lithium. The conclusion was that lithium therapy does not decrease ethanol consumption in HAP mice.
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Évaluation de l’état nutritionnel et des apports alimentaires lors d’une chirurgie cardiaque dans le cadre de l’approche E.R.A.S.

Beaulieu, Bianca 12 1900 (has links)
La prise en charge nutritionnelle des patients lors d’une chirurgie cardiaque a fait l’objet d’un nombre limité d’études. Ainsi, les lignes directrices de l’approche ERACS (Enhanced Recovery After Cardiac Surgery) n’incluent pas de recommandations nutritionnelles qui sont appuyées par des données probantes. L’objectif du mémoire est de présenter l’évolution nutritionnelle périopératoire des patients dans un cadre de soins inspiré par l’approche ERAS et les recommandations nutritionnelles d’ESPEN (European Society for Clinical Nutrition and Metabolism). Cet objectif a été poursuivi lors d’une étude observationnelle prospective qui a inclus une collecte de données médicales, notamment l’adhésion à certaines recommandations ERACS, et nutritionnelles, soit une évaluation nutritionnelle préopératoire, l’observation des apports alimentaires postopératoires et l’adhésion aux suppléments nutritionnels oraux. L’évolution clinique de 43 patients de l’Institut de cardiologie de Montréal a été étudiée. Le taux de dénutrition préopératoire, déterminé selon l’Évaluation Globale Subjective, était de 11,6%. L’adhésion à deux recommandations ERACS prédéterminées, soit l’éducation et l’optimisation nutritionnelle préopératoire, était insuffisante pour l’ensemble de l’échantillon. Les apports alimentaires moyens du 1er au 4e jour postopératoire étaient insuffisants comparativement aux recommandations nutritionnelles d’ESPEN. Cependant, 41% des patients avaient des apports en calories et en protéines ≥70% de leurs besoins estimés. La consommation de suppléments nutritionnels oraux a permis d’optimiser les apports nutritionnels. Cette étude est, à notre connaissance, la première à décrire une prise en charge nutritionnelle préopératoire et postopératoire dans le cadre de l’approche ERACS. Les facteurs de risques pouvant expliquer les apports nutritionnels insuffisants, tels que le sexe et les antécédents médicaux, sont explorés. Des suggestions pour optimiser la prise en charge nutritionnelle des patients sont proposées, notamment l’amélioration du dépistage nutritionnel préopératoire et l’enrichissement du menu, ainsi que des pistes de recherche qui pourront être développées dans de futurs travaux. / Nutritional care of cardiac surgery patients has been scarcely studied. Currently, the ERACS (Enhanced Recovery After Cardiac Surgery) guidelines do not include high quality evidence-based nutritional recommendations. The aim of this dissertation is to present patients’ nutritional evolution in a care setting inspired by an ERACS approach and ESPEN (European Society for Clinical Nutrition and Metabolism) nutritional recommendations. This aim was pursued through an observational prospective study that included a collection of medical data, namely adherence to a number of ERACS recommendations, and nutritional information comprising preoperative nutritional status evaluation, observation of postoperative oral intakes and adherence to oral nutritional supplements. The clinical evolution of 43 Montreal Heart Institute patients was investigated. Malnutrition rates prior to surgery, as evaluated by the Subjective Global Assessment, was 11.6%. Adherence to preoperative nutritional education and optimisation, two predetermined ERACS recommendations, was insufficient for the overall sample. Mean oral intakes from postoperative day 1 to 4 were insufficient, compared to ESPEN nutritional recommendations. However, 41% of patients had calorie and protein intakes ≥ 70% of their estimated requirements. Consumption of oral nutritional supplements lead to higher nutritional intakes. To our knowledge, this study is the first to present patients’ preoperative and postoperative nutritional care within an ERACS pathway. Risk factors associated with insufficient nutritional intakes, such as sex and medical history, are discussed. Suggestions to optimize patients’ nutritional care are presented, namely improvement in preoperative nutritional screening and the addition of enriched foods to the menu, as are research topics that should be further investigated.
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Mise au point et validation d'outils pour l'évaluation des consommations alimentaires au Liban : Estimation de la place des plats traditionnels dans l'alimentation et le statut nutritionnel des Libanais. / Development and validation of tools for the estimation of dietary intakes in Lebanon : Assessment of the place of the traditional dishes in the diet and the nutritional status of the Lebanese.

Tueni, Maya 02 April 2012 (has links)
La transition alimentaire touche tous les pays émergents avec un développement des pathologies dégénératives liées à l'alimentation. Notre recherche visait à étudier la typologie alimentaire libanaise actuelle sous l'angle de la question suivante: le Liban a-t-il préservé son alimentation traditionnelle ou a-t-il évolué vers une alimentation occidentale ? Une pré-enquête menée au Liban en 2003, a permis d'identifier que la place des plats traditionnels dans l'alimentation libanaise reste importante de nos jours. Cependant, les outils d'enquêtes nécessaires à caractériser de manière fiable et précise les consommations alimentaires n'étaient pas disponibles. Ceci nous a conduits à développer des outils pour évaluer la part de l'alimentation traditionnelle dans la diète libanaise et à évaluer sa contribution à la couverture des besoins nutritionnels. Nous avons construit et validé un cahier de photographies de portions alimentaires, un questionnaire de fréquence alimentaire et une table de composition nutritionnelle correspondant à ces plats. Nous avons ensuite réalisé une enquête sur une sous-population représentative et conclut les points suivants :1- La population libanaise moderne a préservé une place importante à l'alimentation traditionnelle : 57% de la population libanaise consomme plus de 9 plats traditionnels par semaine, soit près de 2 plats par jour.2- Cette alimentation est caractérisée, comme dans la plupart des régions méditerranéennes, par une contribution prépondérante des fruits et légumes (42%), des céréales (34% : pain 14% ; feuilletés 5%) et des légumes secs (7%) dans la ration alimentaire.3- Le régime alimentaire libanais traditionnel est entrain d'être abandonné surtout par les hommes actifs, les étudiants et les personnes célibataires, qui passent la plupart de leur temps hors domicile et sont donc plus susceptibles de consommer une alimentation plus industrielle, indépendamment de l'âge, du niveau d'éducation et de la région de résidence.4- La population libanaise, au travers de la consommation des seuls plats traditionnels dont l'apport calorique dépasse les 75%, a des apports moyens en calories de 2047 kcal/j, des apports énergétiques moyens en glucides de 46%, en protéines de 11% et en lipides de 43% dont 10% d'AGS, 20% d'AGMI et 10% d'AGPI. Elle couvre presque tous ses besoins en vitamines et minéraux.5- La ration alimentaire libanaise présente aujourd'hui une forte tendance à évoluer vers des régimes riches en lipides au détriment des glucides. Ces derniers gardent cependant une place relativement importante dans la ration mais ont changé de nature: autrefois consommés sous forme de céréales complètes, ils le sont aujourd'hui sous forme de céréales raffinées et transformées. En conclusion, le Liban semble être le lieu d'une coexistence entre la tradition et la modernité. Une revalorisation du régime traditionnel encore très présent dans les habitudes alimentaires devrait permettre de ralentir la transition nutritionnelle et améliorer l'état de santé de la population. / All emerging countries are now subjected to a dietary transition accompanied by a development of degenerative pathologies related to human diet. Our research is aimed at investigating the current Lebanese food typology under the following theme: have Lebanon been able to preserve its local traditional diet or have it been affected by the exposure to western diet? A pre-survey administered in Lebanon in 2003, showed that the existence of the traditional dishes in the Lebanese diet remain important till date. However, the absence of reliable and precise tools to conduct surveys aiming to describe food consumptions gave us an incentive to develop such tools. The main purpose of the exercise is to determine the contribution of the traditional Lebanese food to the relative overall intake and to evaluate its contribution in covering the various nutritional needs. For this reason, we developed and validated a photographic atlas of food portions, a food frequency questionnaire and a table of food composition corresponding to the traditional Lebanese dishes. This effort was followed by a survey on a representative sub-population that suggested 5 main findings:1-The modern Lebanese population preserved an important place for the traditional food: 57 % of the Lebanese population consumes more than 9 traditional dishes per week, which means 2 dishes per day.2-This diet is characterized, as in most of the Mediterranean regions, by a dominating contribution of fruits and vegetables (42 %), cereals (34 %: bread 14 %; pastries 5 %) and legumes (7 %) in the daily food ration.3-The traditional Lebanese diet is especially absent from active men, students and the single persons, who spend most of their time out of home and may thus consume industrial food, independently of their age, educational level and the location of their residence.4-The Lebanese population, through the consumption of the only traditional dishes of which the energy intake exceeds the 75 %, has mean energy intake of 2047 kcal/day. The breakdown shows a statistical mean of carbohydrates ranging up to 46 %; 11% of proteins; 43% of lipids; 10 % of SFA, 20 % of MUFA and 10 % of PUFA. The Lebanese population covers almost all their needs in vitamins and minerals.5- The Lebanese daily food ration presents a strong trend today to evolve towards diets rich in lipids on the detriment of carbohydrates. Carbohydrates keep however a place that is relatively important in the ration but with a changed pattern: consumed in the form of wholegrain cereal in the past, they are now replaced by refined and transformed cereal. In conclusion, Lebanon seems to be the place of coexistence between the tradition and the modernity. A valorisation of the still very present traditional diet in the food habits should allow to slow down the nutritional transition and to improve the health of the population.
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Mode de vie, habitudes alimentaires et cancer du sein: Étude cas-témoins chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations des gènes BRCA

Bissonauth, Vishnee 10 1900 (has links)
Le cancer du sein (CS) est la deuxième cause de décès liés au cancer parmi les femmes dans la plupart des pays industrialisés. Les personnes qui ont le CS peuvent ne pas hériter des mutations causant le cancer de leurs parents. Ainsi, certaines cellules subissent des mutations qui mènent au cancer. Dans le cas de cancer héréditaire, les cellules tumorales contiennent généralement des mutations qui ne sont pas trouvées ailleurs dans l'organisme, mais peuvent maintenir des mutations qui vont répartir dans toutes les cellules. La genèse du CS est le résultat des mutations de gènes qui assurent la régulation de la prolifération cellulaire et la réparation de l’ADN. Deux gènes semblent particulièrement concernés par les mutations. Les gènes ‘Breast Cancer 1’ (BRCA1) et ‘Breast Cancer 2’ (BRCA2), sont impliqués dans la prédisposition génétique de CS. On estime que 5-10% des cas de cancer du sein sont attribuables à une prédisposition génétique. La plupart de ces cancers sont liés à une anomalie du gène BRCA1 ou BRCA2. Plusieurs études ont été menées chez les femmes atteintes de CS sporadique et quelques études se sont concentrées sur celles qui sont porteuses de mutations de BRCA. Alors, notre recherche a été entreprise afin de vérifier l’hypothèse d’une association entre le CS, le mode vie et les habitudes alimentaires chez les Canadiennes-françaises non porteuses des 6 mutations de BRCA les plus fréquentes parmi cette population. Nous avons mené une étude cas-témoins dans cette population. Quelque 280 femmes atteintes du cancer du sein et non-porteuses de mutations de BRCA, ont été recrutées en tant que cas. Les témoins étaient recrutés parmi les membres de la famille des cas (n=15) ou à partir d'autres familles atteintes de CS (n=265). Les participantes étaient de tous âges, recrutées à partir d’une étude de cohorte qui est actuellement en cours, menée par une équipe de chercheurs au Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) Hôtel-Dieu à Montréal. Les apports alimentaires ont été recueillis par un questionnaire de fréquence semi-quantitatif validé et administré par une nutritionniste, qui portait sur la période avant les deux ans précédant le premier diagnostic de CS pour les cas et la période avant les deux ans précédant l’entrevue téléphonique pour les témoins. Un questionnaire de base était administré par l’infirmière de recherche aux participantes afin de colliger des renseignements sociodémographiques et sur les facteurs de risque du CS. Une association positive et significative a été détectée entre l’âge (plus de 50 ans) auquel les sujets avaient atteint leur Indice de Masse Corporel (IMC) le plus élevé et le CS rapport de cotes (OR) =2,83; intervalle de confiance à 95% (IC95%) (2,34-2,91). De plus, une association positive a été détectée entre un gain de poids de >34 lbs comparativement à un gain de poids de ≤15 lbs, dès l’âge de 20 ans OR=1,68; IC95% (1,10-2,58). Un gain de poids de >24 lbs comparativement à un gain de poids de ≤9 lbs, dès l’âge de 30 ans a aussi montré une augmentation de risque de CS OR=1,96; IC95% (1,46-3,06). Une association positive a aussi été détecté entre, un gain de poids de >12 lbs comparativement à un gain de poids de ≤1 lb, dès l’âge de 40 ans OR=1,91; IC95% (1,53-2,66). Concernant le tabagisme, nous avons observé une association positive et significative reliée à la consommation de plus de 9 paquets-années OR = 1,59; IC95% (1,57-2,87). Il fut suggéré que l’activité physique modéré confère une protection contre le CS: une pratique de > 24,8 (‘metabolic equivalent’) MET-hrs par semaine par rapport à ≤10,7 MET-hrs par semaine, diminue le risque du CS de 52% OR = 0,48 ; IC95% (0,31-0,74). L’activité physique totale (entre 16,2 et 33,2 MET-hrs par semaine), a aussi montré une réduction de risque de CS de 43% OR = 0,57 ; IC95% (0,37-0,87). Toutefois, il n'y avait aucune association entre une activité physique vigoureuse et le risque de CS. L’analyse portant sur les macro- et micro-nutriments et les groupes alimentaires a montré qu’un apport en énergie totale de plus de 2057 Kcal par jour augmentait le risque de CS de 2,5 fois OR = 2,54; IC95% (1,67-3,84). En ce qui concerne la consommation de café, les participantes qui buvaient plus de 8 tasses de café par jour avaient un risque de CS augmenté de 40% OR = 1,40; IC95% (1,09-2,24). Les sujets ayant une consommation dépassant 9 g d’alcool (éthanol) par jour avaient également un risque élevé de 55% OR = 1,55; IC95% (1,02-2,37). De plus, une association positive et significative a été détectée entre le CS et la consommation de plus de deux bouteilles de bière par semaine OR = 1,34; IC95% (1,28-2,11), 10 onces de vin par semaine OR = 1,16; IC95% (1,08-2,58) ou 6 onces de spiritueux par semaine OR = 1,09; IC95% (1,02-2,08), respectivement. En résumé, les résultats de cette recherche supportent l’hypothèse selon laquelle le mode de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle important dans l’étiologie de CS chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations de BRCA. Les résultats nous permettent de constater que le gain de poids et le tabagisme sont liés à des risques élevés de CS, tandis que l'activité physique modérée aide à réduire ce risque. De plus, nos résultats suggèrent qu’un apport énergétique total relativement élevé et une consommation élevée de café et d'alcool peuvent accroître le risque de ce cancer. Ce travail a permis de mettre l’accent sur une nouvelle direction de recherche, jusqu'à présent non investiguée. Les résultats de ce travail de recherche pourraient contribuer à recueillir de nouvelles informations et des conseils pouvant influencer et aider la population à modifier son mode de vie et ses habitudes alimentaires afin de diminuer le risque de cancer du sein. / Breast cancer (BC) is the second leading cause of cancer-related deaths among women in most industrialised countries. Individuals who have breast cancer may not inherit cancer-causing mutations from their parents. Instead, certain cells undergo mutations that lead to cancer. In the case of hereditary cancer, tumor cells usually contain mutations not found elsewhere in the body, but also harbor a critical mutation shared by all cells. Autosomal dominant alterations in 2 genes, ‘Breast cancer 1’ (BRCA1) and ‘Breast cancer 2’ (BRCA2), are likely to account for familial cases of early-onset BC. It is estimated that 5-10% of breast cancers are due to a genetic predisposition. Most of these cancers are linked to an abnormality in the gene BRCA1 or BRCA2. Several studies have been conducted in women with sporadic BC but few studies have focused on those who carry BRCA mutations. Our research was undertaken to test the hypothesis of an association between the BC, lifestyle and eating habits among French-Canadian women who were non carriers of 6 frequently-occurring BRCA mutations. We conducted a case-control study in a French-Canadian population. Some 280 women with breast cancer and who were non-gene carriers of mutated BRCA gene were recruited as cases. Control subjects were women from families with breast cancer (n=265), except for 15 (5.4%) who came from the same families as cases. Participants of all ages were recruited from an on-going cohort studied by researchers at Centre Hospitalier Universitaire de Montreal (CHUM) Hôtel-Dieu in Montreal. A validated semi-quantitative food frequency questionnaire was administered by a nutritionist on telephone to ascertain dietary intake covering the period prior to 2 years before the initial diagnosis of BC among cases and the period prior to 2 years before the telephone interview for the controls. A core questionnaire was administered by the research team’s nurse to gather information on socio-demographic and lifestyle risk factors. BC risk was increased among subjects who reached their maximum body mass index (BMI) at an older age (more than 50 years) (OR=2.83; 95% CI: 2.34-2.91). In addition, a direct and significant association was noted between weight gain of >34 lbs compared to weight gain of ≤15 lbs, since age 20 (OR=1.68; 95% CI: 1.10-2.58). Moreover, a weight gain of >24 lbs compared to ≤9 lbs, showed an increased risk of BC since age 30 (OR=1.96; 95% CI: 1.46-3.06) and an increased BC risk was also observed with a weight gain of >12 lbs compared to ≤1 lb, since age 40 (OR=1.91; 95% CI: 1.53-2.66). Women who smoked more than 9 pack-years of cigarettes had a higher risk (59%) of BC (OR=1.59; 95% CI: 1.57-2.87). Subjects who engaged in >24.8 metabolic equivalent (MET)-hours per week compared to ≤10.7 MET-hours per week, of moderate physical activity had a 52% decreased risk of BC (OR=0.48; 95% CI: 0.31-0.74). Moreover, total physical activity between 16.2 and 33.2 MET-hours per week showed a 43% lower risk of BC (OR=0.57 95% CI: 0.37-0.87). However, there was no association between vigorous physical activity and BC risk. Energy intakes greater than 2,057 Kcal per day were significantly and positively related to BC risk (OR=2.54; 95%CI: 1.67-3.84). Women who consumed more than 8 cups of coffee per day had a 40% increased risk of BC: OR=1.40 (95%CI: 1.09-2.24). Subjects who consumed more than 9 g of alcohol (ethanol) per day had a heightened risk (55%) of BC: OR=1.55 (95%CI: 1.02-2.37). In addition, a positive and significant association was noted between the consumption of beer, wine and spirits and BC risk. The ORs were 1.34 (95%CI: 1.28-2.11) for >2 bottles of beer per week, OR=1.16 (95%CI: 1.08-2.58) for >10 oz of wine per week and OR=1.09 (95%CI: 1.02-2.08) for >6 oz of spirits per week, respectively. In summary, we found that weight history did affect breast cancer risk. Moreover, smoking appeared to raise the risk, whereas moderate physical activity had a protective effect. Our findings also indicate that relatively high total energy intake and high coffee and alcohol consumption may increase the risk of breast cancer. This work has highlighted an as-yet-untested research focus addressing relationships between lifestyle and dietary habits and BC among non-carriers of BRCA mutations. The report provides advice and guidance on what can be done to influence and change the lifestyle choices as well as dietary habits to help people to reduce their risk of breast cancer.
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Mode de vie, habitudes alimentaires et cancer du sein: Étude cas-témoins chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations des gènes BRCA

Bissonauth, Vishnee 10 1900 (has links)
Le cancer du sein (CS) est la deuxième cause de décès liés au cancer parmi les femmes dans la plupart des pays industrialisés. Les personnes qui ont le CS peuvent ne pas hériter des mutations causant le cancer de leurs parents. Ainsi, certaines cellules subissent des mutations qui mènent au cancer. Dans le cas de cancer héréditaire, les cellules tumorales contiennent généralement des mutations qui ne sont pas trouvées ailleurs dans l'organisme, mais peuvent maintenir des mutations qui vont répartir dans toutes les cellules. La genèse du CS est le résultat des mutations de gènes qui assurent la régulation de la prolifération cellulaire et la réparation de l’ADN. Deux gènes semblent particulièrement concernés par les mutations. Les gènes ‘Breast Cancer 1’ (BRCA1) et ‘Breast Cancer 2’ (BRCA2), sont impliqués dans la prédisposition génétique de CS. On estime que 5-10% des cas de cancer du sein sont attribuables à une prédisposition génétique. La plupart de ces cancers sont liés à une anomalie du gène BRCA1 ou BRCA2. Plusieurs études ont été menées chez les femmes atteintes de CS sporadique et quelques études se sont concentrées sur celles qui sont porteuses de mutations de BRCA. Alors, notre recherche a été entreprise afin de vérifier l’hypothèse d’une association entre le CS, le mode vie et les habitudes alimentaires chez les Canadiennes-françaises non porteuses des 6 mutations de BRCA les plus fréquentes parmi cette population. Nous avons mené une étude cas-témoins dans cette population. Quelque 280 femmes atteintes du cancer du sein et non-porteuses de mutations de BRCA, ont été recrutées en tant que cas. Les témoins étaient recrutés parmi les membres de la famille des cas (n=15) ou à partir d'autres familles atteintes de CS (n=265). Les participantes étaient de tous âges, recrutées à partir d’une étude de cohorte qui est actuellement en cours, menée par une équipe de chercheurs au Centre Hospitalier Universitaire de Montréal (CHUM) Hôtel-Dieu à Montréal. Les apports alimentaires ont été recueillis par un questionnaire de fréquence semi-quantitatif validé et administré par une nutritionniste, qui portait sur la période avant les deux ans précédant le premier diagnostic de CS pour les cas et la période avant les deux ans précédant l’entrevue téléphonique pour les témoins. Un questionnaire de base était administré par l’infirmière de recherche aux participantes afin de colliger des renseignements sociodémographiques et sur les facteurs de risque du CS. Une association positive et significative a été détectée entre l’âge (plus de 50 ans) auquel les sujets avaient atteint leur Indice de Masse Corporel (IMC) le plus élevé et le CS rapport de cotes (OR) =2,83; intervalle de confiance à 95% (IC95%) (2,34-2,91). De plus, une association positive a été détectée entre un gain de poids de >34 lbs comparativement à un gain de poids de ≤15 lbs, dès l’âge de 20 ans OR=1,68; IC95% (1,10-2,58). Un gain de poids de >24 lbs comparativement à un gain de poids de ≤9 lbs, dès l’âge de 30 ans a aussi montré une augmentation de risque de CS OR=1,96; IC95% (1,46-3,06). Une association positive a aussi été détecté entre, un gain de poids de >12 lbs comparativement à un gain de poids de ≤1 lb, dès l’âge de 40 ans OR=1,91; IC95% (1,53-2,66). Concernant le tabagisme, nous avons observé une association positive et significative reliée à la consommation de plus de 9 paquets-années OR = 1,59; IC95% (1,57-2,87). Il fut suggéré que l’activité physique modéré confère une protection contre le CS: une pratique de > 24,8 (‘metabolic equivalent’) MET-hrs par semaine par rapport à ≤10,7 MET-hrs par semaine, diminue le risque du CS de 52% OR = 0,48 ; IC95% (0,31-0,74). L’activité physique totale (entre 16,2 et 33,2 MET-hrs par semaine), a aussi montré une réduction de risque de CS de 43% OR = 0,57 ; IC95% (0,37-0,87). Toutefois, il n'y avait aucune association entre une activité physique vigoureuse et le risque de CS. L’analyse portant sur les macro- et micro-nutriments et les groupes alimentaires a montré qu’un apport en énergie totale de plus de 2057 Kcal par jour augmentait le risque de CS de 2,5 fois OR = 2,54; IC95% (1,67-3,84). En ce qui concerne la consommation de café, les participantes qui buvaient plus de 8 tasses de café par jour avaient un risque de CS augmenté de 40% OR = 1,40; IC95% (1,09-2,24). Les sujets ayant une consommation dépassant 9 g d’alcool (éthanol) par jour avaient également un risque élevé de 55% OR = 1,55; IC95% (1,02-2,37). De plus, une association positive et significative a été détectée entre le CS et la consommation de plus de deux bouteilles de bière par semaine OR = 1,34; IC95% (1,28-2,11), 10 onces de vin par semaine OR = 1,16; IC95% (1,08-2,58) ou 6 onces de spiritueux par semaine OR = 1,09; IC95% (1,02-2,08), respectivement. En résumé, les résultats de cette recherche supportent l’hypothèse selon laquelle le mode de vie et les habitudes alimentaires jouent un rôle important dans l’étiologie de CS chez les Canadiennes-françaises non porteuses de mutations de BRCA. Les résultats nous permettent de constater que le gain de poids et le tabagisme sont liés à des risques élevés de CS, tandis que l'activité physique modérée aide à réduire ce risque. De plus, nos résultats suggèrent qu’un apport énergétique total relativement élevé et une consommation élevée de café et d'alcool peuvent accroître le risque de ce cancer. Ce travail a permis de mettre l’accent sur une nouvelle direction de recherche, jusqu'à présent non investiguée. Les résultats de ce travail de recherche pourraient contribuer à recueillir de nouvelles informations et des conseils pouvant influencer et aider la population à modifier son mode de vie et ses habitudes alimentaires afin de diminuer le risque de cancer du sein. / Breast cancer (BC) is the second leading cause of cancer-related deaths among women in most industrialised countries. Individuals who have breast cancer may not inherit cancer-causing mutations from their parents. Instead, certain cells undergo mutations that lead to cancer. In the case of hereditary cancer, tumor cells usually contain mutations not found elsewhere in the body, but also harbor a critical mutation shared by all cells. Autosomal dominant alterations in 2 genes, ‘Breast cancer 1’ (BRCA1) and ‘Breast cancer 2’ (BRCA2), are likely to account for familial cases of early-onset BC. It is estimated that 5-10% of breast cancers are due to a genetic predisposition. Most of these cancers are linked to an abnormality in the gene BRCA1 or BRCA2. Several studies have been conducted in women with sporadic BC but few studies have focused on those who carry BRCA mutations. Our research was undertaken to test the hypothesis of an association between the BC, lifestyle and eating habits among French-Canadian women who were non carriers of 6 frequently-occurring BRCA mutations. We conducted a case-control study in a French-Canadian population. Some 280 women with breast cancer and who were non-gene carriers of mutated BRCA gene were recruited as cases. Control subjects were women from families with breast cancer (n=265), except for 15 (5.4%) who came from the same families as cases. Participants of all ages were recruited from an on-going cohort studied by researchers at Centre Hospitalier Universitaire de Montreal (CHUM) Hôtel-Dieu in Montreal. A validated semi-quantitative food frequency questionnaire was administered by a nutritionist on telephone to ascertain dietary intake covering the period prior to 2 years before the initial diagnosis of BC among cases and the period prior to 2 years before the telephone interview for the controls. A core questionnaire was administered by the research team’s nurse to gather information on socio-demographic and lifestyle risk factors. BC risk was increased among subjects who reached their maximum body mass index (BMI) at an older age (more than 50 years) (OR=2.83; 95% CI: 2.34-2.91). In addition, a direct and significant association was noted between weight gain of >34 lbs compared to weight gain of ≤15 lbs, since age 20 (OR=1.68; 95% CI: 1.10-2.58). Moreover, a weight gain of >24 lbs compared to ≤9 lbs, showed an increased risk of BC since age 30 (OR=1.96; 95% CI: 1.46-3.06) and an increased BC risk was also observed with a weight gain of >12 lbs compared to ≤1 lb, since age 40 (OR=1.91; 95% CI: 1.53-2.66). Women who smoked more than 9 pack-years of cigarettes had a higher risk (59%) of BC (OR=1.59; 95% CI: 1.57-2.87). Subjects who engaged in >24.8 metabolic equivalent (MET)-hours per week compared to ≤10.7 MET-hours per week, of moderate physical activity had a 52% decreased risk of BC (OR=0.48; 95% CI: 0.31-0.74). Moreover, total physical activity between 16.2 and 33.2 MET-hours per week showed a 43% lower risk of BC (OR=0.57 95% CI: 0.37-0.87). However, there was no association between vigorous physical activity and BC risk. Energy intakes greater than 2,057 Kcal per day were significantly and positively related to BC risk (OR=2.54; 95%CI: 1.67-3.84). Women who consumed more than 8 cups of coffee per day had a 40% increased risk of BC: OR=1.40 (95%CI: 1.09-2.24). Subjects who consumed more than 9 g of alcohol (ethanol) per day had a heightened risk (55%) of BC: OR=1.55 (95%CI: 1.02-2.37). In addition, a positive and significant association was noted between the consumption of beer, wine and spirits and BC risk. The ORs were 1.34 (95%CI: 1.28-2.11) for >2 bottles of beer per week, OR=1.16 (95%CI: 1.08-2.58) for >10 oz of wine per week and OR=1.09 (95%CI: 1.02-2.08) for >6 oz of spirits per week, respectively. In summary, we found that weight history did affect breast cancer risk. Moreover, smoking appeared to raise the risk, whereas moderate physical activity had a protective effect. Our findings also indicate that relatively high total energy intake and high coffee and alcohol consumption may increase the risk of breast cancer. This work has highlighted an as-yet-untested research focus addressing relationships between lifestyle and dietary habits and BC among non-carriers of BRCA mutations. The report provides advice and guidance on what can be done to influence and change the lifestyle choices as well as dietary habits to help people to reduce their risk of breast cancer.
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Statistiques multivariées pour l'analyse du risque alimentaire / Multivariate statistics for dietary risk analysis

Chautru, Emilie 06 September 2013 (has links)
Véritable carrefour de problématiques économiques, biologiques, sociologiques, culturelles et sanitaires, l’alimentation suscite de nombreuses polémiques. Dans un contexte où les échanges mondiaux facilitent le transport de denrées alimentaires produites dans des conditions environnementales diverses, où la consommation de masse encourage les stratégies visant à réduire les coûts et maximiser le volume de production (OGM, pesticides, etc.) il devient nécessaire de quantifier les risques sanitaires que de tels procédés engendrent. Notre intérêt se place ici sur l’étude de l’exposition chronique, de l’ordre de l’année, à un ensemble de contaminants dont la nocivité à long terme est d’ores et déjà établie. Les dangers et bénéfices de l’alimentation ne se restreignant pas à l’ingestion ou non de substances toxiques, nous ajoutons à nos objectifs l’étude de certains apports nutritionnels. Nos travaux se centrent ainsi autour de trois axes principaux. Dans un premier temps, nous nous intéressons à l'analyse statistique des très fortes expositions chroniques à une ou plusieurs substances chimiques, en nous basant principalement sur des résultats issus de la théorie des valeurs extrêmes. Nous adaptons ensuite des méthodes d'apprentissage statistique de type ensembles de volume minimum pour l'identification de paniers de consommation réalisant un compromis entre risque toxicologique et bénéfice nutritionnel. Enfin, nous étudions les propriétés asymptotiques d'un certain nombre d'estimateurs permettant d'évaluer les caractéristiques de l'exposition, qui prennent en compte le plan de sondage utilisé pour collecter les données. / At a crossroads of economical, sociological, cultural and sanitary issues, dietary analysis is of major importance for public health institutes. When international trade facilitates the transportation of foodstuffs produced in very different environmental conditions, when conspicuous consumption encourages profitable strategies (GMO, pesticides, etc.), it is necessary to quantify the sanitary risks engendered by such economic behaviors. We are interested in the evaluation of chronic types of exposure (at a yearly scale) to food contaminants, the long-term toxicity of which is already well documented. Because dietary risk and benefit is not limited to the abuse or the avoidance of toxic substances, nutritional intakes are also considered. Our work is thus organized along three main lines of research. We first consider the statistical analysis of very high long-term types of exposure to one or more chemical elements present in the food, adopting approaches in keeping with extreme value theory. Then, we adapt classical techniques borrowed from the statistical learning field concerning minimum volume set estimation in order to identify dietary habits that realize a compromise between toxicological risk and nutritional benefit. Finally, we study the asymptotic properties of a number of statistics that can assess the characteristics of the distribution of individual exposure, which take into account the possible survey scheme from which the data originate.
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Indigenous plants in the Limpopo province : potential for their commercial beverage production

Rampedi, Isaac Tebogo 12 1900 (has links)
South Africa has over 19 500 different indigenous plant species. Most of these are of ethnobotanical significance and are still used by local rural communities as medicine, food and for making beverages. The relatively little research that has been conducted on indigenous plant species has focused mainly on their medicinal potential. However, in view of the rapidly growing size of the global and local beverage industry and their constant search for new products, beverage-making indigenous plant species may have commercial development potential. To date, no detailed studies have been conducted on these plants, especially in the species-rich Limpopo province. The aim of this study was, therefore to evaluate the potential of indigenous plants for commercial beverage production. In order to achieve this, a survey was conducted in the Limpopo province to identify beverage-making plants and to document beverage preparation methods. Selected beverages were analysed and evaluated for their nutrient and sensory characteristics and a market product acceptability survey was conducted to identify those beverages with the greatest potential for development. Sixty three different beverage-plant species were identified in three study areas within the Limpopo province. These were used for the preparation of teas, fruit juices and alcoholic beverages. Plants that received further research attention were selected on the basis of their status as indigenous plants, frequency of use, nature of harvesting methods and availability. Some of the selected beverages were found to be rich in nutrients, especially with respect to vitamin C and mineral content. Furthermore, sensory analyses and market surveys indicated that four species, namely, Doyvalis caffra, Garcinia livingstonei, Grewia flavescens and Englerophytum magalismontanum have potential for further development for the beverage industry while Athrixia phylicoides has commercialisation potential as a herbal tea. However, further research is required to improve and refine preparation methods and to ensure compliance with quality standards. The availability of sufficient plant material for the industry must also be ensured. This research has indicated that South African indigenous plants have untapped market potential for the beverage industry which, if developed sustainably, could contribute to economic growth of the rural parts of South Africa. / Environmental Sciences / D. Ed. (Environmental Management)
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Manger : ma réalité, mon idéal, mes défis, mes propositions de solutions : un portrait des jeunes adultes du projet Hochelaga'Table

Pomier-Layrargues, Caroline 04 1900 (has links)
CONTEXTE : Dans les 10 dernières années, l’insécurité alimentaire a augmenté au Québec mettant ses habitants à risque d’apports inadéquats et de problèmes de santé. Une initiative menée à Hochelaga-Maisonneuve visait à sensibiliser de jeunes adultes du secteur à l’impact que peuvent avoir leurs décisions de consommation sur l’offre alimentaire locale. OBJECTIFS : Décrire l’alimentation des participants au projet Hochelaga’Table, leurs perceptions du « bien manger », des obstacles et des solutions à l’insécurité alimentaire. MÉTHODOLOGIE : À l’été et à l’automne 2014, l’organisation Alternatives, œuvrant notamment pour la réduction des inégalités sociales au Québec, a planifié des ateliers de participation citoyenne impliquant 46 jeunes adultes de 18 à 30 ans fréquentant des organismes d’aide à Hochelaga-Maisonneuve. Par une combinaison d’outils d’animation créatifs, des données qualitatives ont été recueillies abordant la qualité de l’alimentation, les perceptions, barrières et solutions pour bonifier le système alimentaire du quartier. L’analyse des résultats allie les méthodes déductive et inductive. RÉSULTATS : L’analyse des données qualitatives colligées révèle une parenté avec le profil de l’insécurité alimentaire. Les aliments les plus fréquents dans l’alimentation des participants sont transformés ou ultra-transformés, tels que définis par NOVA. Leur perception du « bien manger » insiste sur la qualité des aliments, le plaisir et la commensalité. Les participants citent des obstacles économiques et individuels (manque de motivation, de temps, de compétences alimentaires). La solidarité, la variété des origines ethniques des aliments et le respect de la dignité émergent de leurs propositions de solutions. CONCLUSION : Le riche savoir expérientiel des jeunes adultes d’Hochelaga-Maisonneuve a permis d’identifier des solutions à l’insécurité alimentaire qui répondent à leurs besoins spécifiques. / CONTEXT: Over the past 10 years, food insecurity has increased in Quebec, jeopardizing both the nutritional intakes and health potential of its citizens. An initiative launched in Hochelaga-Maisonneuve aimed at raising young adult’s awareness of the impact of their food choices on the local supply by harnessing the participant’s creativity and commitment. OBJECTIVES: To explore young adult’s eating patterns and habits, their perception of “eating well”, their challenges, and their visions of solutions to food insecurity in the neighbourhood. METHODOLOGY: During summer and fall of 2014, 46 adults aged 18 to 30 years old took part in a series of three creative and empowering workshops designed to reflect on the solutions they value to enhance the food security in Hochelaga-Maisonneuve, Montreal. Using a combination of innovative technics such as dot democracy and citizen participation oriented focus groups, the non-for-profit organisation Alternatives, dedicated to reducing social inequalities in the Province of Quebec, collected qualitative data on their food consumption, perception of “eating well”, barriers to overcome, and proposed solutions. Data analysis followed both deductive and inductive methods. RESULTS: The qualitative data collected highlights the resemblance between the participant’s food patterns and those observed in food insecure populations. Processed and ultra-processed foods, as defined by NOVA, appeared the most frequently in their diet. Quality of food, pleasure and commensality are central to the participant’s definition of “eating well”. Financial and individual challenges (lack of motivation, time, knowledge) are identified as barriers to “eating well”. The solutions they envision to alleviate food insecurity locally highlight notions of solidarity, variety of foods from different origins, and dignity. CONCLUSION: Tapping into the rich experiential knowledge of young adults in Hochelaga- Maisonneuve, solutions to food insecurity, tailored to their specific needs, emerged.
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Impact de l’évolution du statut nutritionnel durant l’attente d’une transplantation pulmonaire sur la mortalité postopératoire

Jomphe, Valérie 04 1900 (has links)
Cette étude vise à évaluer l’impact de l’état nutritionnel et de son évolution durant l’attente d’une transplantation pulmonaire sur la mortalité et la morbidité postopératoire. Nous avons examiné les 209 dossiers de patients greffés pulmonaires au Programme de Transplantation Pulmonaire du CHUM entre 2000 et 2007 et regardé la mortalité et les complications post-transplantation en fonction de l’IMC, des apports protéino-énergétiques, de certains paramètres biochimiques et selon l’évolution pondérale durant la période d’attente. Les résultats montrent que la mortalité augmente en fonction de l’augmentation des strates d’IMC avec un risque relatif de décès au cours du séjour hospitalier de 3,31 (IC95% 1,19-9,26) pour un IMC 25-29,9 et de 8,83 (IC95% 2,98-26,18) pour un IMC ≥ 30 avec une issue postopératoire plus sombre en terme de complications chirurgicales (p=0,003), de durée de séjour aux soins intensifs (p=0,031) et de durée de séjour à l’hôpital (p<0,001) chez les patients avec IMC ≥ 30 comparativement aux patients de poids normal. Les patients ayant présenté une évolution inadéquate de l’IMC durant la période d’attente ont connu une durée de séjour hospitalier prolongée (p=0,015). Ceux dont les apports nutritionnels étaient sous-optimaux en pré-greffe ont aussi connu une durée de séjour hospitalier prolongée (p=0,002) et davantage de complications infectieuses (p=0,038), digestives (p=0,003) et chirurgicales (p=0,029) mais sans impact détectable sur la mortalité. Nos résultats suggèrent que l’obésité et l’embonpoint ainsi qu’une évolution inadéquate de l’IMC durant la période d’attente de même que des apports protéino-énergétiques sous-optimaux affectent négativement l’issue d’une transplantation pulmonaire. / This study aims to assess the impact of nutritional status and its evolution while awaiting a lung transplant on the post-operative mortality and morbidity. We reviewed 209 consecutive cases of lung transplantation at the Centre Hospitalier de l’Universite de Montreal between 2000 and 2007 and looked at the mortality and rate of complications post-operatively according to BMI, intake of protein and energy, biochemical parameters and weight changes during the waiting period. The risk of death increased with increasing BMI strata with a relative risk of death during the hospital stay of 3,31 (IC95% 1,19-9,26) for BMI 25-29.9 and 8,83 (IC95% 2,98-26,18) for BMI ≥ 30 with a worse postoperative outcome in terms of surgical complications (p=0,003), length of stay in intensive care unit (p=0,031) and length of hospital stay (p<0,001) for patients with BMI ≥ 30 compared with patients of normal weight. Patients in whom the BMI evolved inadequately during the waiting period experienced a prolonged hospital stay (p=0,015). Patients whose intake was suboptimal in the pre-transplant period have also a prolonged hospital stay (p=0,002) and more infectious (p=0,038), digestives (p=0,003) and surgicals (p=0,029) complications but no detectable impact on the mortality. Our results suggest that obesity and overweight as well as inadequate changes of BMI during the waiting period and suboptimal protein-energy intakes negatively affect the outcome of lung transplantation.
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Impact de l’évolution du statut nutritionnel durant l’attente d’une transplantation pulmonaire sur la mortalité postopératoire

Jomphe, Valérie 04 1900 (has links)
Cette étude vise à évaluer l’impact de l’état nutritionnel et de son évolution durant l’attente d’une transplantation pulmonaire sur la mortalité et la morbidité postopératoire. Nous avons examiné les 209 dossiers de patients greffés pulmonaires au Programme de Transplantation Pulmonaire du CHUM entre 2000 et 2007 et regardé la mortalité et les complications post-transplantation en fonction de l’IMC, des apports protéino-énergétiques, de certains paramètres biochimiques et selon l’évolution pondérale durant la période d’attente. Les résultats montrent que la mortalité augmente en fonction de l’augmentation des strates d’IMC avec un risque relatif de décès au cours du séjour hospitalier de 3,31 (IC95% 1,19-9,26) pour un IMC 25-29,9 et de 8,83 (IC95% 2,98-26,18) pour un IMC ≥ 30 avec une issue postopératoire plus sombre en terme de complications chirurgicales (p=0,003), de durée de séjour aux soins intensifs (p=0,031) et de durée de séjour à l’hôpital (p<0,001) chez les patients avec IMC ≥ 30 comparativement aux patients de poids normal. Les patients ayant présenté une évolution inadéquate de l’IMC durant la période d’attente ont connu une durée de séjour hospitalier prolongée (p=0,015). Ceux dont les apports nutritionnels étaient sous-optimaux en pré-greffe ont aussi connu une durée de séjour hospitalier prolongée (p=0,002) et davantage de complications infectieuses (p=0,038), digestives (p=0,003) et chirurgicales (p=0,029) mais sans impact détectable sur la mortalité. Nos résultats suggèrent que l’obésité et l’embonpoint ainsi qu’une évolution inadéquate de l’IMC durant la période d’attente de même que des apports protéino-énergétiques sous-optimaux affectent négativement l’issue d’une transplantation pulmonaire. / This study aims to assess the impact of nutritional status and its evolution while awaiting a lung transplant on the post-operative mortality and morbidity. We reviewed 209 consecutive cases of lung transplantation at the Centre Hospitalier de l’Universite de Montreal between 2000 and 2007 and looked at the mortality and rate of complications post-operatively according to BMI, intake of protein and energy, biochemical parameters and weight changes during the waiting period. The risk of death increased with increasing BMI strata with a relative risk of death during the hospital stay of 3,31 (IC95% 1,19-9,26) for BMI 25-29.9 and 8,83 (IC95% 2,98-26,18) for BMI ≥ 30 with a worse postoperative outcome in terms of surgical complications (p=0,003), length of stay in intensive care unit (p=0,031) and length of hospital stay (p<0,001) for patients with BMI ≥ 30 compared with patients of normal weight. Patients in whom the BMI evolved inadequately during the waiting period experienced a prolonged hospital stay (p=0,015). Patients whose intake was suboptimal in the pre-transplant period have also a prolonged hospital stay (p=0,002) and more infectious (p=0,038), digestives (p=0,003) and surgicals (p=0,029) complications but no detectable impact on the mortality. Our results suggest that obesity and overweight as well as inadequate changes of BMI during the waiting period and suboptimal protein-energy intakes negatively affect the outcome of lung transplantation.

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