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Le licenciement pour motif personnel en France et au Sénégal : [étude de droit comparé]

N'doye, N'deye 20 April 2012 (has links) (PDF)
Le licenciement pour motif personnel, à la différence du licenciement pour motif économique, est intimement lié à la personne du salarié. Il constitue une notion essentielle en droit du travail, qu'on retrouve dans la plupart des États au monde, mais souvent, sous une terminologie différente. Face à ce constat, on serait tenté de se demander si laréglementation du licenciement pour motif personnel est réellement variable d'un pays à un autre. La réponse à cette question suppose une analyse comparée des législations de certains États. À ce titre, seuls la France et le Sénégal, deux États qui sont par ailleurs fortement liés par l'histoire, ont retenu notre attention. L'étude du droit du licenciement pour motif personnel en France et au Sénégal laisse entrevoir à la fois des similitudes et des divergences. Cette situation se justifierait d'ailleurs à plus d'un titre. En effet, parce que la France a constitué la puissance colonisatrice du Sénégal de 1854 jusqu'en 1960, le droit français a largement influencé le droit sénégalais et ce, depuis belle lurette. Mais, on ne peut s'empêcher de constater que cet impact a tendance à s'amenuiser de plus en plus. En effet, il apparait qu'à un moment donné, le législateur sénégalais a pris conscience du fait que l'idéal serait, non pas de mettre en place un droit du travail qui serait en grande partie calqué sur le droit de son ancienne puissance colonisatrice, mais plutôt d'élaborer un droit qui prendrait en compte les spécificités locales et les réalités nationales. Cette volonté du législateur est d'ailleurs visible aussi bien à travers l'ancien Code du travail sénégalais de 1961 qu'au niveau du nouveau Code de 1997. Le législateur de l'OHADA, de son coté, a su quelque peu freiner cette tendance. Une analyse minutieuse des dispositions de l'avant-projet d'acte uniforme portant sur le droit du travail laisse supposer un réel rapprochement avec le droit français actuel. Notre étude constitue donc l'occasion d'analyser cette évolution originale. De façon plus précise, elle permet, non seulement de recenser et d'expliquer les divergences notées au sein des droits français et sénégalais, mais aussi de mettre en exergue les innovations apportées par l'avant-projet d'acte uniforme de l'OHADA portant sur le droit du travail.
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Le mythe de l'enfance dans l'œuvre de Richard Millet

Ltaif, Rachel 09 September 2013 (has links) (PDF)
L'enfant pris comme un archétype est une constante humaine qu'on représente de différentes façons à travers le temps et les cultures. Richard Millet, en se référant à l'enfant caché en lui, à ce " mythe de l'intériorité ", tente de reconstruire son être intérieur à travers des mythographies rassemblées et coordonnées, afin d'éclaircir cette vérité ténébreuse des premières années de vie et de celles qui suivent la perte de l'enfance. L'objet de notre travail est de clarifier les voies de cette quête de l'enfance en recourant, tout d'abord, à la symbolique des lieux et du temps, la Corrèze et le Liban étant les lieux privilégiés de l'enfance de l'auteur et de ses personnages, vacillant tous entre le passé ou le premier âge et le présent de l'adulte. Ensuite, le mythe de l'enfance est interprété à travers l'imaginaire et les figures mythiques récurrentes : l'image de l'enfant dans la Bible et la tradition chrétienne, celle de la famille et celle du gouffre infernal et ténébreux dans lequel choit l'adulte après sa perte de l'enfance. Puis, les images de la mort représentées sous toutes les formes de la perte, hantent l'enfant milletien, non seulement le personnage fictif mais aussi l'écrivain. Il est alors question du jeu entre l'autobiographie et la fiction dans l'écriture. La naissance d'un mythe milletien est supposée apparaître à travers la création de certains personnages emblématiques comme Pascal Bugeaud, reflet fictif de l'auteur, et à travers l'intertextualité interne entre les œuvres. Par conséquent, l'enfance de Richard Millet serait impliquée dans la littérature contemporaine sous forme romanesque, montrant le conflit perpétuel entre l'enfance, l'homme et le monde extérieur.
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Le Liban de Richard Millet : entre mémoire et imagination

Dika, Hala 27 September 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur la représentation du Liban dans l'œuvre de Richard Millet, à travers deux processus différents et complémentaires : la mémoire et l'imagination. Partant du constat que l'œuvre de cet écrivain s'avère étroitement liée à son expérience personnelle, nous travaillons sur une matière littéraire combinant le réel et le fictionnel, l'écriture de soi et le roman. Pour accompagner fidèlement cette expérience du sujet, il est d'abord question de l'espace libanais, dans une perspective qui dépasse la simple description pour atteindre les interactions entre l'individu et son environnement. De même est évoqué le rapport entre l'écriture et l'espace, dans la mesure où ce dernier participe au développement de la trame narrative. Le sujet et l'espace, ainsi que la majorité des éléments qui composent l'œuvre de Millet, sont soumis à un ordre commun, celui du Temps. Le retour obsédant du passé, et tout particulièrement de l'enfance libanaise, engendre un mouvement de ressassement général. Tous ces éléments participent à un projet harmonieux, celui d'une quête identitaire qui part d'une expérience personnelle pour atteindre une dimension universelle.
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Le mythe du Graal à la lumière de Babel : la parole dans la Queste del Saint Graal et l'Estoire del Saint Graal

Amiri, Imen 15 January 2011 (has links) (PDF)
Le mythe du Graal, mythe littéraire, créé par Chrétien de Troyes, rencontre des ramifications avec le mythe de Babel, mythe cosmogonique de la pluralité des langues. Peut-on considérer le mythe du Graal comme un mythe de la parole, perdue, recherchée, retrouvée ? L'aventure de l'évangélisation dans l'Estoire del Saint Graal, inspirée des croisades et des missions franciscaines, et la quête du Graal dans la Queste convergent dans leur dynamique vers une unité que symbolise le Graal mais qui empêche la parole. Elles tendent vers le rassemblement et la réunification des matériaux d'un chaos primordial créé sous l'égide de Babel. À un certain chaos, à une certaine fragmentation de la parole se substitue une parole unificatrice relative au Un originel qui ordonne le monde en lui donnant un sens.Cette unification de la parole : une seule parole, celle de Dieu, pour une seule bouche, celle du peuple chrétien, suit le schéma inverse de Babel. En effet l'Estoire ne retrace pas l'éparpillement d'un peuple maudit mais représente l'archétype d'un exode bien encadré d'un peuple choisi et dont la finalité n'est pas de défier Dieu mais de le servir ; c'est pourquoi Dieu lui octroie le privilège et la force des mots. Dans la Queste, le commencement des aventures des chevaliers de la table ronde le jour de la Pentecôte inscrit d'ores et déjà les événements dans la réconciliation post-babélique offerte aux apôtres pour répandre la bonne parole. La Pentecôte qui inaugure le début de la quête du Graal dans la Queste, inaugure de même l'introduction de la nouvelle parole des envoyés de Dieu, qui dès le début du récit en signe l'orientation mystique annihilant ainsi tout héritage courtois.
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L'œuvre de Marguerite Duras ou L'expression d'un tragique moderne

Drissi, Hamida 09 December 2008 (has links) (PDF)
Le tragique semble être au coeur de la littérature contemporaine. En effet, la mort de la tragédie classique ne signifie pas la disparition du tragique. Au contraire, celui-ci survit et prend de nouvelles formes. C'est précisément cette " nouvelle forme " que nous analysons dans notre thèse intitulée " L'oeuvre de Marguerite Duras ou l'expression d'un tragique moderne ". L'oeuvre durassienne participe de ce que Jean-Marie Domenach nomme " le retour du tragique ". Notre étude porte sur la vision tragique de Duras. Elle examine aussi l'évolution du tragique durassien en le comparant souvent au tragique antique. Nous essayons, également, les rapports complexes qui existent, chez Duras, entre le tragique et le comique. Nous tentons, en outre, de voir comment Duras réussit à dépasser ce tragique moderne en développant une ethétique du détachement
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Ecrire en vain ? Le questionnement éthique dans Le jeu de patience, "archi-roman" de Louis Guilloux

Balembois, Stéphanie 21 March 2008 (has links) (PDF)
Quel impératif pousse Guilloux à se tourner vers les autres? Provient-il d'un appel au sentiment ? D'un appel à la raison ? Est-il la réponse à une éthique ? Pourquoi cette nécessité de rendre la vie valable ? La valeur d'un homme se juge d'après ses actes semble dire Guilloux. Qu'est-ce qu'écrire en regard de l'action ? Comment écrire dans un monde en guerre ? L'écriture peut-elle être agissante ? Guilloux a voulu partager ses interrogations avec ses lecteurs, esquisser tous les cheminements possibles jusqu'à la contradiction. D'abord, montrer le processus de mythification entourant les actions des hommes qui ont précédé Guilloux dans cette vie. Ceux d'avant savaient agir ensemble et pour le bien de tous, ce savoir s'est perdu laissant l'individu seul face à ses doutes. Les tourments qui agitent le début du XXème siècle n'ont fait qu'exacerber le questionnement existentiel. Les divers degrés de responsabilité des hommes se dévoilent ainsi dans leurs manières de se conduire vis-à-vis d'autrui, autant d'engagements concrets ou de retraits qui attestent de l'humanité ou de l'inhumanité: " Trop et pas assez d'intelligence - trop et pas assez d'amour ". Ni la famille, ni la société, jaugée au travers de ses institutions, l'école, la justice, le clergé, ne répondent plus à l'exigence d'équité. Alors c'est aux hommes de s'unir. Agir, pour Guilloux, semble une forme de révolte et d'indignation contre la souffrance et l'injustice. Lutter, c'est aussi veiller sur la vie des autres. En refusant toutes compromissions, les personnages que Guilloux met en scène voient leur champ d'action se réduire à l'action humanitaire, quant à l'auteur lui revient le devoir de témoigner. Il se lance alors dans une écriture labyrinthique, un incessant jeu de miroir qui rapproche les hommes les plus différents : l'homme d'action, l'homme de lettres, l'homme militant, l'homme pas cru, l'homme en difficulté, l'homme perdu... chacun explore, estime, selon son itinéraire, la valeur accordée à sa vie et à celles des autres, hanté toujours par le devoir et la volonté de changer le monde
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Penser un monde par-delà les frontières : Derrida et Tirumular, essai de philosophie comparative

Irudayadason, Nishant Alphonse 14 November 2008 (has links) (PDF)
Dans la philosophie de Derrida, " déconstruction " signifie, entre autres, découverte de l'autre, négligé, oublié ou poussé à la périphérie. Derrida tient que la justice et le " messianique ", en tant que clés d'une transcendance vers tout autre, ne peuvent pas être déconstruits. Cette approche lui permet de traiter d'une manière radicalement nouvelle des thèmes conventionnels comme le pardon, le don, l'hospitalité, etc., souhaitables et impératifs dans un monde déchiré par des divisions de toutes sortes, soutenues par des oppositions binaires où le premier élément de chaque binôme exerce sa domination sur le second. Il est étonnant de découvrir que la tradition sivaïte tamoule que l'on croit remonter au IIe siècle avant J.-C., et qui commença à se formuler philosophiquement au VIe siècle, a un même objectif : un monde ouvert dépassant les frontières. Déjà à l'époque classique de la littérature philosophique tamoule (l'époque du sangam, du IIe siècle), Kanniyan Poonkonranar exprima ce désir sous forme poétique: " Yadhum ouré; yavarum kélir ", " nous sommes tous du même village et de la même famille ". Cette vision radicale qui veut briser l'horizon est bien développée par Tirumular, saint shivaïte tamoul (saiva siddha) du VIe siècle, dans son Tirumantiram (prières sacrées) composé de 3000 poésies. Cependant, en soulignant qu'il est important de dépasser les frontières, Tirumular ne cesse d'affirmer le rôle central d'une expérience mystique de l'immanence dans la conscience par les chemins du yoga. Une telle vision " au-delà des frontières " est notamment un point de convergence entre la pensée philosophique de Derrida et celle de la tradition philosophique du sivaïsme tamoul, et particulièrement celle de Tirumular. Cette idée d'un monde ouvert est-elle une utopie ou une invitation à la sagesse ? L'issue serait-elle la " déconstruction " ? Quel pourrait être, en la matière, le rapport entre la tradition indienne et la philosophie occidentale dans sa version contemporaine ? Notre tâche consiste à pénétrer la réflexion philosophique occidentale, en interrogeant la pensée de Derrida touchant cette ouverture. Cela nous permet d'entrer dans les traditions qui l'ont formé et celles qui ont été initiées par sa pensée. Cette recherche est aussi un approfondissement de la philosophie de Tirumular. C'est une étude comparative entre deux pensées, l'une occidentale et l'autre indienne
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Le principe Développement

Broca, Alain De 11 December 2008 (has links) (PDF)
Qui est l'homme si ce n'est un être en développement permanent ? Quel est ce phénomène appelé développement si ce n'est un principe immanent à l'homme ? Notre travail montre que l'homme est, ontologiquement soi, soi-même comme un autre, tout au long de sa vie. De ce fait, aucune étape de la vie, jeune ou vieillard, malade ou bien portant, ne peut prétendre à avoir plus de valeur d'humanité qu'une autre. Le développement de l'homme n'est pas accumulation de nouvelles compétences pour elles-mêmes mais est perte de ses enveloppes (lat. : de voloper faluppa) de sa toute-puissance. La première partie montre que l'homme doit assumer sa finitude corporelle avec les deuils inhérents à ces pertes. La seconde montre que le sens de la vie s'inscrit invariablement dans l'intersubjectivité entre dons et pardons, où l'homme exprime son historicité en vivant pleinement ses présent-vécus. Ainsi, l'homme doit accepter ne pas se considérer seulement au singulier mais assumer sa singularité riche de ses alliances à retisser quotidiennement, c'est à dire assumer sereinement son interdépendance avec ceux qu'il côtoie dans une société donnée. Etre homme, c'est assumer son Je-suis comme un Je-suis-parceque-en-relation. La loi que le Je pourra dire n'est ni autonomie kantienne ni autodétermination utilitariste, mais bien une loi qui ne peut se dire et se vivre que par, avec et grâce à autrui(s), concept que nous appelons principe de konomie. La troisième partie montre que pour assumer sa position spécifique, l'homme doit donner du sens à son historicité, à sa liberté et au respect qu'il doit à tout autrui. Assumer son principe développement c'est vivre ensemble une anthropoéthique
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"Dans ce chant d'Arlequin, la Haute voix du coeur" : lyrisme et quête identitaire dans l'oeuvre poétique de Jean Sénac

Lafitte, Fanette 16 May 2008 (has links) (PDF)
Jean Sénac, poète algérien du XXème siècle, est avant tout connu pour son engagement en faveur de l'indépendance algérienne. Ses poèmes dénoncent l'autoritarisme colonial comme ils révèlent la violence morale et sociale qui accompagne la mise en place du nouveau régime politique de Houari Boumedienne succédant à celui, plus en adéquation avec les attentes du poète, d'Ahmed Ben Bella. Mais ce serait amputer l'oeuvre poétique sénacquienne d'une grande richesse thématique et stylistique que de la résumer à quelques uns de ses plus grands recueils " politiques ". Car, derrière la voix d'un homme engagé dans le combat sociopolitique de son pays s'entend celle d'un artiste qui s'interroge, dès ses premiers écrits, sur les fondements de son existence, sur la réalisation du sujet en tant qu'homme, mais aussi en tant que poète, et sur les possibilités ontologiques et littéraires d'y parvenir. Une parole lyrique fonde et / ou transcrit alors la quête existentielle en même temps qu'elle interroge sa légitimité et l'espace de son déploiement. La problématique de l'interdépendance entre voeu d'unité ontologique et pluralité des modalités d'énonciation permet d'appréhender le polymorphisme stylistique et thématique de cette oeuvre singulière, polymorphisme au service d'un cheminement ontologique étroitement nourri des révélations générées par l'écriture poétique. La première partie de ce travail a donc pour vocation de mettre en lumière la corrélation réciproque entre l'expérience phénoménologique et sensitive du monde menée par le poète et celle de l'écriture, corrélation sur laquelle repose la prise de conscience réfrénée puis acceptée d'une diffraction du sujet. L'écriture poétique, espace de représentation et de construction de l'ego, renseigne le sujet lyrique sur la nature de sa disparité et devient le champ d'expérimentation d'un projet de réunification du corps et de l'esprit en lieu du poème ; ce que Jean Sénac nommera le " corpoème ". La seconde partie fait état d'un degré supérieur d'interrogation existentielle et analyse l'enjeu verbal et ontologique d'une substitution du poète à Dieu. Jean Sénac éprouve le besoin de se confronter à la divinité, référentiel d'un espace absolu, afin de mesurer la nécessité et les possibilités d'une incarnation définie selon ses propres concepts. L'écriture préfigure donc un " parcours de soi " inachevable en même temps qu'elle instaure les limites d'un espace de re-présentations où le poète appréhende la fragmentation du " moi " avant d'en faire un motif de justification d'un questionnement cyclique sur les conditions de son identité. Toutes les figures du sujet lyrique convergent alors dans cet espace d'agencement que représente l'oeuvre poétique, et leur rassemblement autorise le poète à profiler la voie /voix d'une réalisation singulière
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Lecture hégélienne des fondements de l'État moderne en Afrique

Edzang Abaga, Jean-Bosco 27 November 2008 (has links) (PDF)
Ce travail s'interroge sur les fondements de l'Etat moderne en Afrique à travers l'oeuvre de Hegel. Confronter l'oeuvre de Hegel avec les réalités africaines relève en soi de l'audace à cause de sa thèse polémique sur l'anhistoricité des cultures non occidentales et spécialement celles de l'Afrique. Cependant, la pensée politique de Hegel constitue un cadre théorique original capable d'interpréter l'actualité la plus gaie (comme la prospérité des nations) et la plus absurde (comme une guerre civile ou la pauvreté). Ce que les peuples sont, ils le doivent à leur histoire, leurs cultures et à leurs institutions. Des auteurs comme Hippocrate, Montesquieu et Karl Ritter avaient fait de l'environnement géographique le facteur des civilisations, des progrès techniques et scientifiques des peuples. Mais chez Hegel, les hommes doivent à l'Etat moderne d'être libres d'une liberté qui compénètre toutes les sphères de la vie éthique. Là où l'Etat n'est pas, il n'y a ni liberté ni progrès

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