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Une tradition technologique régionale de l’industrie de pierre polie dans la vallée de l’Outaouais au cours de l’Archaïque supérieur

Lapensée-Paquette, Manuel 04 1900 (has links)
La séquence culturelle régionale de l’Archaïque supérieur et terminal de la vallée de l’Outaouais n’est pas complétée, mais les variations stylistiques, technologiques et fonctionnelles des artéfacts sur le plan régional et local facilitent le découpage culturel. La reconstruction de la chaîne opératoire des haches, des herminettes et des gouges en pierre polie des sites Muldoon et Lamoureux, deux sites du sud-est ontarien, pourrait permettre de déceler une tradition technologique régionale à cheval entre l’Archaïque laurentien, l’Archaïque post-laurentien et d’autres courants des Grands Lacs. L’analyse des haches, des herminettes et des gouges des sites Muldoon et Lamoureux démontre l’utilisation massive de l’amphibolite. La moitié distale de ces outils est surtout polie et finement abrasée et la moitié proximale souvent éclatée, mais parfois abrasée. Ces éléments technologiques et l’industrie de pierre taillée démontrent des ressemblances et des différences avec les sites laurentiens de la région, et certains sites post-laurentiens du Québec et de l’Ontario méridional. Le matériel en pierre polie des sites Muldoon et Lamoureux démontre des liens technologiques vers l’Ouest tout en gardant un contact avec la sphère d’interaction postlaurentienne. La vallée de l’Outaouais semble alors prendre une place indépendante dans l’Archaïque supérieur, certaines continuités technologiques s’observent entre l’Archaïque laurentien et l’Archaïque post-laurentien. / The Late and Terminal Archaic cultural sequence of the Ottawa Valley region is not well defined. Definition of cultural boundaries should be based on stylistic, technological and functional variations, on a regional and local scale. The “chaîne opératoire” reconstruction of ground stone celts and gouges from the Muldoon and Lamoureux sites could lead to the recognition of a regional technological tradition linked to the Laurentian Archaic, the Post-Laurentian Archaic (Narrow Point) and other cultural trends from the Great Lakes. The analysis of celts and gouges from Muldoon and Lamoureux show a massive use of amphibolite. The distal half of these tools is mostly finely abraded and polished. The proximal half is frequently broken off, but sometimes abraded. These technological traits prove to have some resemblances and differences with Laurentian sites in the Ottawa Valley and some Post-laurentian sites in southern Quebec and Ontario. The ground stone material from these sites shows several links towards the west while participating in the Post-Laurentian Archaic interaction sphere. The Ottawa valley seems therefore to take an independent place in the Late Archaic, as technologic continuities are seen between Laurentian and Post-Laurentian assemblages.
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Variations inter journalières dans la structure des communautés de poissons : implications pour le développement de modèles de qualité d'habitats

Lanthier, Gabriel January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Variations inter journalières dans la structure des communautés de poissons : implications pour le développement de modèles de qualité d'habitats

Lanthier, Gabriel January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Entrevoir la construction de niche des Iroquoiens du Saint-Laurent dans les paysages de la vallée laurentienne aux XVIe et XVIIe siècles : quels enseignements pouvons-nous tirer des feux contrôlés dans la gestion des milieux naturels?

Fortin, Daniel 03 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objectif général d’apporter une contribution à la compréhension de la nature et l’étendue des modifications du paysage par les Iroquoiens du Saint-Laurent dans la vallée laurentienne au XVIe siècle. Comme « organismes vivants », ce groupe culturel apparenté qui occupait un grand territoire entre l’embouchure des Grands Lacs et le golfe du Saint-Laurent constituant une vaste zone de captage de ressources, a créé des niches pour assurer sa reproduction. Nous nous intéressons particulièrement à l’empreinte que ces niches réalisées ont laissé sur leur environnement en prenant spécifiquement le paysage comme objet d’étude. Nous avons cherché à évaluer l’importance ou l’étendue de cette « transformation ». Puisqu’il est difficile de « voir » ces paysages du passé, nous avons tenté de les décrire en utilisant des descriptions des premiers explorateurs, missionnaires, aventuriers, administrateurs et colonisateurs européens, d’une part, et à des études paléoécologiques et archéologiques plus récentes, de l’autre. La démarche adoptée est celle de la multidisciplinarité. Les études protohistoriques sur le paysage étant relativement peu fréquentes en écologie végétale et dans les disciplines de l’aménagement, nous nous appuierons principalement sur une revue de littérature dans les domaines de l’ethnologie, de l’ethnohistoire, de l’histoire, de l’ethnologie comparative, de la géographie, de l’écologie, de l’agronomie, de la palynologie, de l’étude des charbons de bois fossiles, de l’archéologie et de l’archéologie du paysage, considérant certains paysages comme une niche réalisée. Au final, plus de 400 textes ont été consultés dont 160 ont été cités dans ce mémoire. Les illustrations de l’explorateur et du cartographe Samuel de Champlain, sur la côte est de la Nouvelle-Angleterre, et celles de la vallée du Saint-Laurent ont été étudiées pour déterminer à la fois leur valeur de « vérité » et leur valeur de « connaissances » et, ainsi nous permettre de mieux comprendre les paysages anthropiques de ces territoires. Un des outils les plus efficaces pour défricher de larges pans des forêts pour ainsi ouvrir le paysage et permettre, en autre, la mise en culture de la terre est l’utilisation du feu. Nous avons recensé un certain nombre d’observations dans ce sens dans le nord-est de l’Amérique, mais pas strictement dans la vallée du Saint-Laurent. La niche réalisée par les Iroquoiens du Saint-Laurent devait constituer un ou des paysages de type mosaïque. C’est-à-dire que de grandes étendues de forêts denses pouvaient alterner avec des forêts de type « parc ». Les sources historiques retenues dans notre mémoire tendent à confirmer ce type de paysages dans certaines parties de la vallée laurentienne et autour des Grands Lacs. / The purpose of this thesis is to contribute to the understanding of the nature and extent of landscape changes by the Iroquoians of the St. Lawrence in the Laurentian Valley in the sixteenth century. As a "living organism" (Homo sapiens), this related cultural group, which occupied a vast territory between the mouth of the Great Lakes and the Gulf of St. Lawrence, was a large resource catchment area and created niches to ensure its reproduction. We are particularly interested in the « footprint » that these niches made to leave on their environment by specifically taking the landscape as a scale of study. We sought to assess the importance or extent of this "transformation". Since it is impossible to "see" these landscapes of the past, we have tried to describe them using descriptions of early explorers, missionaries, adventurers, administrators and European colonizers, on the one hand, and more recent paleoecological and archaeological studies, on the other hand. The approach adopted is that of multidisciplinarity. Protohistorical studies on landscape are relatively infrequent in plant ecology and in the disciplines of planning, we will rely primarily on a literature review in the fields of ethnology, ethnohistory, history, comparative ethnology, geography, ecology, agronomy, palynology, the study of fossil charcoal, archeology and landscape archeology, considering certain landscapes as a realized niche construction. In the end, more of 400 texts were consulted, of which 160 were cited in this master thesis. Illustrations by Samuel de Champlain, explorer and cartographer, on the east coast of New England, and those of the St. Lawrence Valley were studied to determine both their value as "truth" and their value as "knowledge" and thus allow us to "see" the anthropic landscapes of these territories. One of the most effective tools for clearing large part of forests to open up the landscape and allow, among other things, the cultivation of the land is the use of fire. We have identified a number of observations along these lines in northeastern America, but not strictly in the St. Lawrence Valley. The niche created by the Iroquoians of the St. Lawrence was to constitute one or more mosaic-type landscapes. That is, large areas of dense forest could alternate with "park" type forests. The historical sources retained in our memory tend to confirm this type of landscape in certain parts of the Laurentian valley and around the Great Lakes. As part of this master thesis, we are looking to know if the use of fires controlled by Aboriginals for the creation of a niche or for the maintenance of the niche created could be used in the management of natural environments by taking for example the speckled alder (Alnus incana ssp. rugosa) overgrowth in marsh of Lake Saint-François National Wildlife Area.
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L’évolution du terme « Métis » chez le Conseil national des Autochtones du Canada et l’Alliance laurentienne des Métis et Indiens sans statut entre 1971 et 1982

Bernard, David 12 1900 (has links)
Entre 1876 et 1982, en raison de la Loi sur les Indiens et ses clauses assimilatrices et discriminatoires, les Métis sont exclus des politiques indiennes du gouvernement fédéral et ne sont pas reconnus en tant qu’Autochtones. Entre la création du Conseil national des Autochtones du Canada (CNAC) en 1971 et le rapatriement de la constitution du Canada en 1982, de nombreux espaces de reconnaissance des droits et des identités autochtones des Métis et des Indiens sans statut (MISS) émergent au Canada. D’abord par la création des organisations représentatives MISS à travers le pays, ensuite par le financement de recherches historiques et légales dans le cadre des revendications territoriales, et finalement par la reconnaissance des Métis et de leurs droits au sein de la constitution. Dans le cadre de l’ouverture de ces espaces et dans le contexte pressant des revendications territoriales et du rapatriement de la constitution, le CNAC et l’Alliance laurentienne des Métis et des Indiens sans statut (ALMISS) ont mis en valeur différentes définitions et conceptions des droits et des identités MISS au Canada afin de se faire reconnaître par les sphères décisionnelles de l’État. À cet effet, dès 1978, le CNAC valorise une conception ethnonationale du fait métis centrée sur la communauté de la rivière Rouge. Quant à elle, l’ALMISS défend qu’il n’existe rien de tel qu’une Nation Métis au Québec et dans l’Est canadien, mais entend affirmer son appartenance au sein des réalités historiques, culturelles et familiales des Premières Nations. / Between 1876 and 1982, Métis were excluded from federal Indian policy, as they were not recognized as indigenous owing to the discriminatory and assimilationist clauses within the Indian Act. However, numerous spaces emerged for the recognition of the indigenous nature of the rights and identities of Métis and non-status Indians (MNSI) amid the creation of the Native Council of Canada in 1971 and the repatriation of the Canadian constitution in 1982. Among these were the creation of MNSI representative organizations across the country, the funding of historical and legal research for land claims, and lastly, the recognition of Métis rights as an Aboriginal people within the constitution. Within the scope of these spaces and the pressing context of land claims and constitutional repatriation, the NCC and the Laurentian Alliance of Metis and non-status Indians (LAMNSI) highlighted different ideas and definitions on the rights and identities of MNSI people in Canada in order to be recognized by the state. For this reason, the CNAC valued an ethno-national concept of Métis that was centered around the Red River community. Consequently, LAMNSI argued that there was no such thing as a Métis Nation in Quebec or in eastern Canada. Instead, LAMNSI affirmed that its members belonged to the historical, cultural and familial realities of the First Nations.

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