• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 562
  • 70
  • 41
  • 15
  • 12
  • 9
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 899
  • 344
  • 341
  • 265
  • 200
  • 143
  • 133
  • 131
  • 100
  • 93
  • 86
  • 82
  • 81
  • 75
  • 73
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
71

Le monde du livre en salon : le Livre sur la Place à Nancy (1979-2009) / Exhibiting the World of the Book : the Livre sur la Place in Nancy (1979- 2009)

Clerc, Adeline 07 July 2011 (has links)
Les conditions de rencontre physique entre un écrivain et un lecteur n'ont pas encore fait l'objet de recherches universitaires. Or les occasions de médiation présentielle entre ces deux acteurs sont, depuis les années 80, de plus en plus fréquentes : cafés littéraires, séances de dédicaces en librairie, salons du livre, interventions d'un écrivain en milieu scolaire, etc. En outre, le désintérêt que rencontrent ces événements au sein de la communauté scientifique, notamment en ce qui concerne leurs publics et les relations qu'ils nouent avec des auteurs, est d'autant plus surprenant lorsqu'il s'agit d'événements ancrés dans le paysage culturel d'un territoire, tel le salon du livre de Nancy : le Livre sur la Place. Au-delà de l'examen de ce qui se joue entre un écrivain et un lecteur, nous souhaitons dépasser le discrédit ambiant jeté sur les salons. Souvent stigmatisés, associés à une littérature « commerciale » et taxés négativement de « foires », où seule l'approche mercantile et l'appât du gain importent, ils sont régulièrement pointés du doigt. En se nourrissant de ce discrédit et de ce paradoxe (multiplication des salons versus absence d'analyses universitaires), cette recherche veut démontrer la thèse suivante : le salon (microcosme littéraire) est le lieu de sédimentation d'un certain nombre de caractéristiques et de représentations relatives au monde du livre (macrocosme), tels les auteurs vedettes, la lecture divertissante et intime, le statut des écrivains, l'importance du cérémonial dédicatoire, les prix littéraires et le clivage entre le monde inspiré et le monde marchand. / The conditions behind the physical meeting of a writer and a reader have not yet been the object of academic research. Since the 1980s, however, the opportunities of face-to-face contact between these two actors have been more and more frequent, notably in such forms as literary cafés, book-signings, book fairs, and interventions of writers in schools. The lack of interest these events have met with within the scientific community, in particular as regards their publics and the relations they form with authors, is surprising, all the more so when these events are anchored in the cultural landscape of a territory, such the book fair of Nancy : the Livre sur la Place. Beyond examining what takes place when a writer and a reader meet, I wish to present book fairs in a more positive light than that in which they are usually cast. Often stigmatized through their association with 'trade' literature, where money and sales alone are highlighted, these 'fairs' have repeatedly been derided. Feeding on such depreciation and on the paradox it entails (the multiplication of shows versus the absence of academic research on them), this research aims at demonstrating that the book fair (or literary microcosm) is the place of sedimentation of quite a number of characteristics and of representations of the world of the book (or macrocosm), including celebrity authors, public and private readings, writer status, booksignings, literary prizes and the division between the 'inspired' world and the trade world.
72

La destruction des genres : jane Austen, Madame d'Epinay ou l'echec de la transgression / Destruction of gender : jane Austen, Madame d'Epinay or transgression defeated

Grangé, Jérémie 08 February 2008 (has links)
Au travers de ses six romans, Jane Austen a revisité sans cesse une seule et même histoire, l’accession d’une héroïne au mariage. Dans Histoire de Madame de Montbrillant, Madame d'Épinay dresse le portrait de l’échec d’un mariage, et plus généralement de l’échec d’une femme à conférer un sens à une existence décevante. A priori, rien de plus éloigné que ces deux manières de relater une existence féminine. Pourtant, les deux œuvres s’avèrent extrêmement proches dès lors que des fissures apparaissent dans le tableau brossé par Austen : loin de dessiner l’accomplissement d’une existence, les romans de cette femme de lettres font toujours ressortir les multiples déceptions et échecs d’une existence traversée par la soumission et par les clichés. Bien plus, est-ce seulement de la vie des femmes que traitent les deux auteures ? À travers leurs héroïnes, et à travers une écriture qui délaisse la fluidité au profit de l’accroc, de la rature, de la mise en évidence des faiblesses, ces deux femmes s’interrogent sur les moyens dont disposent les femmes pour acquérir une voix qui leur soit propre : trop marquée par l’autorité des siècles passés, la voix féminine est-elle irrémédiablement vouée à répéter des codes sur lesquelles elle n’a pas prise ? Les œuvres de Jane Austen et de Madame d'Épinay s’inscrivent dans un courant littéraire apparu dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, caractérisé par l’épanouissement des romans écrits par des femmes et par la reconduction de stéréotypes d’un ouvrage à l’autre, dont les principaux, inspirés en grande partie de Samuel Richardson, sont le respect accordé à la tradition, un schéma diégétique invariable, l’autorité indéfectible de la voix narratrice, et la focalisation autour de l’héroïne. Cette reconduction presque inchangée de traits communs permet de réunir ces romans sous la commune appellation de romans de l’immuable. Si les deux femmes de lettres étudiées n’attaquent pas frontalement ce courant, et même en réutilisent de nombreux traits caractéristiques, elles fondent leur écriture sur sa contestation, en soulignent les insuffisances et mettent en évidence son inadéquation à la réalité. Ainsi, l’écriture se trouve saturés par des références qui sont l’une après l’autre dénoncées comme inappropriés pour le monde contemporain : l’héroïne perd son rayonnement exclusif, le schéma dramatique est montré comme artificiel, et le narrateur est dépossédé de sa toute-puissance (si Jane Austen utilise l’ironie pour contester cette figure, Madame d'Épinay emploie la multiplicité des voix narratives propres au roman épistolaire). Les clichés du roman de l’immuable sont donc violemment attaqués ; cependant, ils continuent d’occuper l’espace romanesque, comme autant de cicatrices dans une écriture qui ne parvient pas à se débarrasser entièrement d’eux. Cela signifie-t-il que les deux auteures sont impuissantes à expulser des préceptes adoubés par la tradition et destinés à imprégner leurs œuvres ? Ou bien Austen et Madame d'Épinay posent-elles comme préalable à cette expulsion la dénonciation systématique, fût-ce au prix de la pureté idéale d’une écriture affranchie de toute tutelle antécédente ? L’impossibilité de se détacher d’un passé omnipotent dissimule en effet un questionnement autour des moyens dont dispose l’expression féminine pour exister, qui sont étudiés au travers des différentes héroïnes et des autres personnages féminins. Austen et Madame d'Épinay se concentrent ainsi sur le moment où l’expression naît, plus que sur une parole achevée : c’est l’éclosion qui est considérée, non l’aboutissement. Et de fait, toutes ces personnes nées de la fiction échouent à construire un langage commun ; bien plus, les stratégies utilisées dans l’avènement du discours sont invariablement débusquées ou contournées par leurs homologues masculins, qui s’assurent ainsi la mainmise sur le dialogue. Mais cet échec du discours féminin n’est pas seulement celui des personnages. Il concerne tout aussi bien les auteures, incapables de congédier définitivement les influences qui pèsent sur leur expression, et contraintes de montrer cette impuissance au cœur de leurs ouvrages. Il s’agit donc bien d’ouvrages de dénonciation, mais qui, pour faire éclore cette dénonciation, sont obligés d’en exhiber les stigmates. Nulle tranquillité née d’un accomplissement total chez les deux auteures, mais au contraire l’inquiétude d’une parole forcée de s’avouer sous tutelle, et toujours menacée de se découvrir vaine (les personnages féminins, de même que les narrateurs, ne cessent de proclamer leur incapacité à rendre compte du réel, et craignent perpétuellement de tomber dans l’ineffable). Pourtant, de cet échec naît aussi une ambition : Jane Austen et Madame d'Épinay fixent les exigences pour la constitution d’une écriture nouvelle. L’expression féminine doit s’édifier dans la conscience de ce carcan primordial, et les deux auteures ont pour tâche de faire ressortir la puissance, mais aussi les limites de celui-ci. Si bien que l’on assiste à une écriture inquiète, mécontente d’elle-même, mais aussi une écriture qui se refuse à la naïveté, et qui fait du roman un espace complexe où la mise en perspective devient possible : les auteures n’écrivent plus dans la droite ligne d’écrits et d’autorités antérieurs, elles contestent ceux-ci en les confrontant à leurs impasses, et, si elles ne proposent pas de voie résolument nouvelle, font du roman le lieu d’un nouveau scepticisme. Les certitudes anciennes sont abolies, et leur est substituée une expression insatisfaite mais consciente d’elle-même, prélude, peut-être, à l’avènement d’une autre écriture, que les deux auteures se refusent, ou échouent, à envisager. / In her six novels Jane Austen has constantly revisited the same and only story of a heroine eventually acceding to marriage. In Histoire de Madame de Montbrillant Madame d’Épinay has described the failure of married life and more generally the impossibility for a woman to give meaning to her disenchanted life. At first glance nothing could be farther removed than those two ways of relating a woman’s existence. Yet the works of both writers prove quite close from the moment that some cracks appear in the picture painted by Jane Austen : far from depicting the fulfilment of a lifetime, she keeps bringing out in her novels the many disappointments and setbacks suffered by women tangled up in submission and mediocrity. But do the authors only deal with women’s lives after all ? Through their heroines, and through an écriture where fluidity is abandoned and leaves the field clear for cutting and slashing and the uncovering of all kinds of weaknesses, the two women-writers wonder about the means left to women to win a voice of their own — because the authority of past centuries has imprinted too heavy a mark on woman’s voice, would it then not be irrevocably doomed to repeat codes which it has no hold on ? The works of Jane Austen and Madame d’Épinay fit in with a new literary movement that appeared in the second half of the 18th century and which was characterized by a blossoming of novels written by women and the re-using of the same stereotypes novel after novel. Those stereotypes, mostly inspired by Samuel Richardson, dealt with the respect of tradition, an invariable diegetic pattern, the unfailing authority of the narrative voice and focalization on the heroine. The recurrence of these dominant features in 18th century fiction has led us to distinguish the novels that shared the same characteristics as novels of the immutable. If the two women-writers have made no frontal attack upon this literary movement and have even used for themselves most of its relevant features, they have nevertheless based their writing on the contestation of it, stressed its weaknesses and emphasized its inadequacy to reality. As a consequence their writing is overloaded with references that are denounced one after the other as unsuitable to the contemporary world : the heroine has lost her particular radiance, the dramatic pattern is shown as artificial and the narrator is deprived of her omnipotence (if Jane Austen makes use of irony to dispute this figure, Madame d’Épinay uses all of the narrative voices that belong to the epistolary novel). The clichés of the immutable novel are thus vigorously questioned but they are maintained in the fictional space like as many scars in an écriture that could not get rid of them. Does that mean that both authors are powerless to do away with precepts dubbed by tradition and intended to permeate their works ? Or do Austen and Madame d’Épinay have systematically recourse to denouncement as a prerequisite, should it be at the expense of absolute purity of writing freed from all previous constraints ? The impossibility for Jane Austen and Madame d’Épinay to get rid of an overpowering past actually conceals their questioning about the means — explored through their heroines as well as other female characters — for feminine expression to exist. Austen and Madame d’Épinay focus their attention on the very moment when expression is revealed rather than on the accomplished parole, on birth rather than achievement. And it is a fact that all these characters born out of fiction fail to construct a common language, with the result that the strategies used to bring speech into existence are invariably driven out or bypassed by their masculine counterparts who thus secure their hold on dialogue. The failure of feminine discourse does not only belong to the characters but is also due to the authors who are unable to do away with the influences that weigh heavy on their manner of writing, and who are compelled to show their impotence to the core of their novels. We are thus faced with novels of denouncement in which the stigmatae have to be displayed for denouncement to be brought to light. No peace then after full achievement for our two women-writers but the restlessness of an expression forced to admit its dependance and always threatened to be faced with its uselessness — the female characters, and the narrators as well, keep proclaiming their inability to account for reality and never-endingly fear to fall into the ineffable. Yet, an ambition has been born of that defeat : Jane Austen and Madame d’Épinay have set the requirements for new writing. Feminine expression has to be built while the two writers are being aware of its original shackles and have to bring out the power as well as the limits of it. So much so that we can observe a kind of restless écriture, unhappy with itself but an écriture that refuses naïvety and turns the novel into a new complex space where a new viewpoint has been made possible. The two authors no longer write in the main thread of former writings and authorities which they dispute and set against their dead ends and impossibilities, and if they have proposed no really new way, they have nonetheless turned the novel into a locus for new scepticism. Old certainties have been done away with and have left the room for a new expression, unhappy with itself but self-aware, as a possible prelude to the rise of another écriture that the two women-writers have refused or failed to consider.
73

Ce qu’il reste de nous (nouvelles) suivi de Écriture du corps et fragilité dans quatre nouvelles d’Aude

Vich-Morency, Mélissa January 2017 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à la fragilité des personnages en crise, à leur évolution psychologique et à leurs perceptions du corps dans l’espace. De tels personnages sont présents dans mon écriture, ainsi que dans les œuvres d’Aude (1947-2012), une écrivaine québécoise ayant publié six romans et cinq recueils de nouvelles. Dans la première partie de ce mémoire, je présente un recueil de six nouvelles, intitulé Ce qu’il reste de nous, composé de prose et de fragments poétiques. Dans chacun des textes, un personnage traverse une crise reliée à un problème corporel et se sert souvent de l’art pour tenter de la surmonter. Le recueil cherche à rendre différentes vulnérabilités humaines et les gestes posés par les personnages afin de se reconstruire physiquement et mentalement. La partie réflexive analysera les mouvements du corps et des lieux, tout autant que l’évolution psychologique des personnages dans quatre nouvelles d’Aude, issues de deux recueils publiés aux éditions XYZ : Banc de brume, ou La petite fille qu’on croyait partie avec l’eau du bain, publié en 1997, et Cet imperceptible mouvement, publié en 2006. L’analyse de composantes textuelles illustrant la perte ou la guérison des personnages est menée en fonction de la transformation corporelle et environnementale des protagonistes dans les nouvelles « Cet imperceptible mouvement que l’on appelle la vie » et « L’interdite ». Deux autres nouvelles, « Fêlures » et « Période Camille », permettront de montrer l’incidence de l’art et de la peinture sur la transformation du ou de la protagoniste.
74

Nos autres: Écrits du Montréal anglophone

Milner, Valérie January 2016 (has links)
Cette thèse prend la forme d’un recueil de nouvelles littéraires de langue anglaise récentes (publiées entre 2002 et 2015), traduites vers le français; les œuvres, au nombre de dix, ont été sélectionnées en fonction du fait qu’elles prennent la ville de Montréal pour décor, et que leurs auteurs écrivent depuis, ou sur, cette ville. La thèse est donc sommairement divisée en deux parties : la première est constituée des traductions elles-mêmes, auxquelles on a tenté d’insuffler un ton et un registre proprement montréalais, étudiant de près le travail sur la langue effectué par chacun des auteurs. La seconde, de nature plus théorique, fait appel à certains principes traductologiques pour analyser la place de cette littérature de langue anglaise dans le paysage culturel du Québec d’aujourd’hui, ainsi que les implications sociolinguistiques et éthiques d’une telle entreprise. Une part importante de cette étude sera en outre consacrée à l’analyse littéraire de ces textes de l’urbanité, tant dans leur fond que dans leur forme, afin de mettre à jour les réflexions et les mécanismes ayant permis de mener à bien la re-création des nouvelles en français, langue avec laquelle, implicitement, elles cohabitent.
75

Paul Verlaine critique littéraire : aspects biographique, esthétique et discursif / Paul Verlaine as literary critic : biographical, esthetic and discourse aspects

Absalyamova, Elina 07 December 2012 (has links)
À travers l’expérience de Verlaine, cette thèse s’interroge sur la critique littéraire d’un écrivain. Les raisons d’être et les particularités formelles d’une production quotidienne d’un poète accédant graduellement à la notoriété sont étudiées en partant d’un panorama des définitions du phénomène (introduction). La triple analyse biographique, esthétique et discursive expose le lien étroit entre le contexte de production de la critique, les constructions théoriques qu’elle véhicule et les formes discursives qu’elle prend. La position marginale de Verlaine dans le champ littéraire prédétermine sa méfiance envers les mécanismes del’institutionnalisation, autant qu’envers les théories qui la justifient. D’où la faible conceptualisation théorique et le maniement contradictoire et décourageant des notions existantes. Les particularités de l’autoreprésentation (provocation, ethos faible) découlent également de sa position dans le champ littéraire et accompagnent l’abandon des théories prescriptives au profit d’une tolérance accrue. L’accent se déplace du domaine conceptuel vers le domaine discursif où se cultivent l’affectivité, l’expressivité, l’ironie qui rapprochent la critique de la création poétique, sans toutefois l’apparenter à la poésie en prose. Cette critique garde le caractère pragmatique d’élément de communication littéraire, son efficacité renforcée par certains traits de l’idiolecte (jeux de sonorités, métaphores, segmentation des phrases), dégagés de leur valeur poétique dans le nouveau contexte. / Verlaine’s experience allows to question the phenomenon of writer criticism. The rationale and the formal qualities of the daily critical output of a poet acceding to celebrity are studied after an overview of the phenomenon’s definitions (introduction). The triple biographical, esthetic and discourse analysis reveals the tight bond between critical production context, theories used and form given to critical texts. Verlaine’s marginal position in the literary field predetermines his distrust of institutionalization mechanisms and oftheories justifying them resulting in low conceptualization as well as in contradictory and discouraging handling of existing notions. The particularities of self-representation (provocation, weak ethos) equally result from his position in the literary field and go along with abandoning prescriptive theories in the name of tolerance. The emphasis moves from the conceptual sphere to the discourse accentuating affectivity, expressivity and irony which bring it closer to poetical creativity but not so as to become prose poetry. This criticism does not loose its pragmatic turn inherent to literary communication, its efficiency being reinforcedby certain features of idiolect (play upon sounds, metaphors, segmentation of phrases), freed of their poetical value in the new context.
76

Des "cadavres exquis" aux paradis virtuels : jeux et enjeux de la littérature sur support informatique

Bernier, Gina 24 April 2018 (has links)
Cette recherche porte sur les nouveaux enjeux de la littérature sur support informatique. Les nouvelles technologies de l'information et des communications (NTIC) apportent de nouvelles possibilités créatrices et d'organisation de l'écrit qui viennent bouleverser certains paramètres fondamentaux de l'écriture. De nouveaux paradigmes d'écriture émergent, de nouveaux genres littéraires semblent en train de se constituer. Mais quels sont les véritables enjeux de ces nouvelles formes d'écriture? Telle est la question fondamentale à laquelle nous tentons de fournir quelques éléments de réponse. Cette recherche comporte deux sections principales: une section théorique ainsi qu'une section création. La partie théorique com porte trois chapitres, dont le premier vise à décrire sommairement les principales formes d'application de l'informatique à la création littéraire, tout en les situant dans le contexte historique de leur apparition: la génération automatique de textes, l'écriture télématique ainsi que l'écriture hypertextuelle. Le deuxième chapitre est entièrement consacré à l'hypertextualité. Nous y voyons comment cette nouvelle technologie du texte entraîne la remise en question des rôles de l'auteur et du lecteur ainsi que de la notion même d'oeuvre littéraire. Le troisième chapitre vise à soulever la problématique reliée à la construction d'un recueil poétique hypertextuel, Histoires sorties du miroir. L'essence de cette expérience étant de n'être possible que sur support informatique, elle n 'est donc disponible que sur CD-ROM et via Internet, à l'adresse URL:http://pages.infinit.net/gulliver / Québec Université Laval, Bibliothèque 2018
77

Thèse de création

Dufour, Marie, Dufour, Marie 01 May 2024 (has links)
No description available.
78

Formes comiques et création littéraire

Dussault, Daniel 26 April 2024 (has links)
« Dans le cadre de cette thèse de création, nous avons préjugé (et non méjugé, espérons-le) de nos dons drôlatiques et tenté d'appliquer dans des nouvelles de différentes longueurs les procédés que Bergson a dégagés d'oeuvres comiques. « Dan Druff », « Au-delà du bien et du mal » et « Le Bébé de Rosemarie» font appel aux procédés du comique de situation. « Sarah » utilise les procédés propres au comique de caractère. Enfin, « La mission de Jérome », « Un horla dans le frigo » et « Le Nauséeux » sont l'application des procédés du comique de mots. Dans la partie critique, nous exposerons dans ses grandes lignes la théorie d'Henri Bergson sur le comique, puis décrirons plus en détail les procédés employés dans nos nouvelles pour ensuite discuter des résultats de l'application. Au besoin, nous recourrons à d'autres théories explicatives du comique. »--Pages 4-5
79

L’alliance : recherche-création sur l’application des Cycles Repère à l’écriture dramatique

Godin, Marie-Josée 19 April 2018 (has links)
L’alliance est une recherche-création au cours de laquelle écriture dramatique et Cycles Repère furent mis en parallèle. Cet essai témoigne de mon expérience d’auteure dramatique dans un processus suivant celui des Cycles Repère. Il vise à questionner l’utilisation de ceux-ci au profit de l’écriture dramatique. Il explicite, en premier lieu, les quatre étapes des Cycles Repère pour ensuite témoigner de la façon dont elles ont été appliquées et utilisées dans le contexte de mon travail. Il présente également le texte L’alliance, issu de ce parcours créateur et présentée en lecture publique le 18 décembre 2012. De plus, il rend compte de l’influence et de l’apport des Cycles Repère sur le travail d’écriture.
80

Some writings

Hébert, Olivier 14 April 2020 (has links)
Mon mémoire est un essai bibliographique. Une tentative pour trouver naturellement une manière d’écrire et de discuter. Une recherche d’une forme authentique pour développer une pensée conséquente de mon travail d’atelier et par le fait même, éviter de décrire ce dernier. J’ai l’ambition d’évoquer implicitement la peinture, pour progresser, ou régresser, vers une sensation de crédibilité des choses. Some Writings est un exercice dont le cadre n’est pas théorique, mais littéraire, pour évoquer des choses indirectement, par analogie.

Page generated in 0.7832 seconds