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Écoutez-moi ; suivi de, Ça reste entre nous

Roberge, Valérie 04 1900 (has links) (PDF)
Écoutez-moi est un texte contrapuntique, une composition à quatre voix dans laquelle quatre personnages-narrateurs, membres d'une même famille, se partagent l'espace du récit. Chacun présente une vision particulière du monde, une pensée et une parole spécifiques. Dans la dynamique du récit, construit sans aucune intervention externe de narration, chaque personnage est envisagé comme une conscience : l'important n'est pas de connaître toutes ses caractéristiques, son nom, son statut social, bref la place qu'il occupe dans le monde, mais plutôt de se glisser à l'intérieur de lui pour savoir ce qu'il pense du monde et, par conséquent, de lui-même. Tel un contrepoint musical, les quatre voix expriment alors leur singularité, mais elles sont également étroitement liées. Ce sont ces relations de tension, d'assonance et de dissonance qui forment la cinquième mélodie, le chant harmonique du contrepoint. Dans tout ceci, j'aborde en somme l'écriture comme une instance de confidence. La confidence plutôt que la parole usuelle, parce que s'y logent une vérité, une vulnérabilité : une pensée si intime qu'elle côtoie le silence, mais à l'intérieur de la solitude et de la souffrance, elle explose comme des cris. Ça reste entre nous est lui aussi structuré comme un chant polyphonique, sur le principe de l'entrecroisement. Tout au long d'un parcours entre le passé et le présent, les voix se confrontent, alternent ou se superposent. Il y a celle qui cherche et qui doute, et celle qui découvre et qui s'autorise peu à peu... Entre voix intérieure et voix extérieures, hésitations et questionnements, lettres adressées à Émile Cioran et Antonin Artaud, échanges entre ma pensée et celles de différents auteurs, l'essai crée un espace pour la parole. Mon attention s'y oriente tantôt sur des concepts (la voix, le seuil, l'intime) tantôt sur des relations ou des oppositions (écrire/ne pas savoir écrire, le parlé/l'écrit, musique/écriture, résistance/abandon). Je tente de développer une position intérieure face à l'écriture, sans souci du bel effet. Je veux créer à partir d'une nécessité, à partir de ce qui résiste; me départir des formes usuelles pour aller vers une vérité intérieure, vers un battement interne : atteindre une qualité vibratoire dans l'écriture. Avec Artaud et Cioran, je cherche en fin de compte une réponse aux questions fondamentales qui animent ma démarche : comment construire tonalement dans l'écriture une subjectivité et une intimité non personnelle? Comment approcher le pulsionnel, inscrire le corps à partir de la voix? Comment créer une écriture musicale? Comment, en somme, devenir dans l'écriture une respiration, un chuchotement, un silence? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Voix, Création, Pluralité, Corps, Intime, Seuil, Polyphonie
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Des corps et des continents ; suivi de, Incitation à la révolte

Guerrette, François 12 1900 (has links) (PDF)
Un recueil de poèmes et un essai, dans ce mémoire, mettent en lumière la relation de proximité entre le travail créateur et la révolte. Plus spécifiquement, ce projet questionne les liens entre la poésie, la prise de parole et la volonté de comprendre le monde actuel. Le comprendre pour reconnaître ses contradictions, ses contraintes et son lot d'injustices. Puis se réapproprier, au moment du poème, une langue, un corps, ainsi qu'une certaine subjectivité; une part fragile de notre humanité que nos cultures contemporaines et nous-mêmes semblons continuellement mettre en danger. La poésie est affirmation et transformation du monde : la révolte aussi. Prendre la parole pour écrire et/ou se révolter, c'est précisément se porter à la défense d'un réel toujours en appel de sens, de formes et de légitimité. J'écris pour reconnaître autour de moi et en moi ce qui vaut encore la peine d'être défendu, d'être aimé. Me révolter est une manière d'espérer : le désastre du monde actuel n'est peut-être pas définitif. La langue du poème, pourtant, ne ment pas; l'anéantissement de l'homme par l'homme est réel et déjà bien entamé. Cet état d'urgence, en poésie, devient le point de départ d'une réflexion nécessaire sur la possibilité de vivre moins violemment dans ce qui nous tue : la culture, le corps, ainsi qu'une inquiétante communauté de destins. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Corps, Culture, Ensauvagement, Éthique, Espoir, Honte, Parole, Poésie, Révolte, Subjectivité
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Hémérocalles ; suivi de, Celle qui écrit et Chambre d'écho

Cousineau, Édith 11 1900 (has links) (PDF)
Le premier volet de ce triptyque comprend un recueil de fragments. La plupart de ces textes brefs, écrits au présent, proviennent de la voix d'un enfant qui fait le récit des moments forts, parfois incongrus, qui ont marqué son enfance. Ils sont intercalés par un autre genre de fragments issus, cette fois, de la voix de ce même enfant devenu adulte qui décrit des photos d'album. Dans le recueil, les récits et les descriptions s'entremêlent, non pas de manière logique ou chronologique, mais par associations poétiques. L'ensemble de ces fragments révèlent, au moyen d'une écriture minimaliste fondée sur le non-dit, les deux versants de l'enfance que sont le beau et le troublant. Le deuxième volet brosse le portrait d'un processus créateur littéraire qui établit des liens avec les arts visuels, en particulier la peinture et le cinéma. À partir d'artistes qu'elle admire tels Jean Renoir, Andrei Tarkovsky, Lucian Freud, Francis Bacon, Le Corbusier, et Louise Bourgeois, et de livres qui l'attirent, le personnage de Celle qui écrit se définit au fil de ses découvertes. Les points de vue de l'acte créateur s'élaborent en de courts essais qui se recoupent, se répondent et, à mesure, s'amalgament en un tout cohérent. Des thèmes comme le gros plan, le détail, l'image (valeur, constitution, contenu), le minimalisme et le montage gravitent autour de deux questions fondamentales qui sous-tendent la réflexion : la perception de la mémoire et sa représentation artistique. Il s'agit d'un parcours intuitif, c'est-à-dire non déterminé d'avance, qui honore et reflète la part de non-savoir inhérent à tout processus créateur. Le troisième volet poursuit, à titre d'expérimentation, la recherche d'une forme représentative de la mémoire, en utilisant les matériaux du mot et de l'image, et en questionnant leur influence réciproque. Il inclut un DVD sur lequel quatre fragments du recueil sont lus en voix off et scénarisés par un montage de film 8mm relatif à l'enfance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : mémoire, image, gros plan (cinéma), regard.
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Les vérités mobiles ; suivi de, Penser l'oblique : écrire dans le sens des yeux

Rioux-Soucy, Louise-Maude 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est né de la force d'un lieu, Manseau, un modeste village du Centre-du-Québec dont le surplus d'âme rachète largement la pauvreté des moyens. Bicéphale, il se partage entre la création et la réflexion. La première partie, Les vérités mobiles, prend la forme d'une fiction; la seconde, Penser l'oblique: écrire dans le sens des yeux, d'un essai réflexif. Les vérités mobiles est un court roman qui a ses racines dans le sol mansois. Il s'ouvre sur la mort de Nadia Camirand, pulvérisée par un train à quelques jours de son entrée à l'université. La disparition de la jeune femme ouvre une brèche dans l'âme de ce village fantasque et gouailleur, pétri de contradictions et gangrené par une petite mafia qui fait passer ses intérêts devant ceux des villageois. Royaume de la débrouille, ce Manseau est le fruit d'une reconstruction complète. Pensé comme un parchemin palimpseste, le village tire ses formes de l'accumulation d'une multitude de traces (souvenirs, odeurs, impressions, bruits, images, couleurs), qui agissent comme des fenêtres s'ouvrant et se refermant sur l'intimité des villageois. Le fil narratif s'enroule autour des pensées des uns et des autres. Celles-ci s'enchaînent, s'interpellent et se heurtent, tissant leur toile de vérités mobiles et changeantes jusqu'à ce que finisse par émerger la voix d'un grand Manseau chimérique, véritable conscience de ce roman choral. Le document d'accompagnement, Penser l'oblique: écrire dans le sens des yeux, s'attache à penser la reconstruction d'un lieu par l'écriture en prenant pour point de départ ce que Vladimir Nabokov a nommé la « transparence des choses », c'est-à-dire l'invisible qui se cache derrière le « mince vernis de réalité » d'un objet, d'une personne, d'un lieu. Le regard est au cœur de cette réflexion, qui aborde la valeur fondamentale de l'oblique comme mode de reconstruction et de scénarisation du réel. Des clochers de Martinville proustiens au décryptage photographique de La Chambre claire de Barthes, le regard oblique est pensé de manière à réunir dans l'écriture des éléments hétérogènes qui, sans être nécessairement antinomiques, ne sont pas naturellement liés. Les espaces parallèles nés de ces rapprochements sont à leur tour éclairés par les travaux de Bernard Noël et de Georges Didi-Huberman sur les liens invisibles qui relient les choses entre elles et la nécessité d'étirer ou de raccourcir le regard pour en percevoir les infimes richesses. En découle une écriture du regard apte à percer le mur des mots pour voir ce qui palpite, vit et meurt derrière, en vue de construire, non seulement une ville, mais tout un univers fictionnel. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écriture romanesque, espace, regard, oblique, décalage.
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Screenplay : movie script or literature

Saeed Zanjani, Ali January 2006 (has links) (PDF)
L'existence de centaines de scénarii dans les librairies, qu'il s'agisse de nouveaux textes ou de rééditions de textes plus anciens comme celle de Citizen Kane, prouve que les scénarii sont lus pour leur valeur littéraire et non pour les seules indications techniques en vue de la réalisation filmique. Malgré ce fait, la nature du scénario en tant que genre littéraire autonome, à la fois fictionnel et narratif, n'a pas été sérieusement identifiée et étudiée. C'est le sujet que nous essayerons d'examiner dans la présente recherche. Il existe un consensus parmi les spécialistes des études cinématographiques et les scénaristes pour admettre que le scénario est une sorte de guide pour la réalisation d'un film, un modèle à partir duquel les réalisateurs, les acteurs et les techniciens peuvent travailler. Ils rejettent l'aspect «oeuvre littéraire» du scénario parce qu'à leurs yeux celui-ci manque de «mérite», et trouvent la conception artistique de l'écriture scénaristique «provocatrice» plutôt qu' «évocatrice.» Cependant, bien que leurs critiques n'hésitent pas à rejeter la valeur littéraire du scénario, elles ne clarifient pas le terme «littérature.» Qu'est-ce que la littérature? Dans son livre, Qu'est-ce que la littérature? Jean-Paul Sartre répond à cette question. Il reconnaît que l'acte littéraire dépend d'un grand nombre de facteurs: le goût personnel, le but de l'écriture, mais aussi l'histoire, le temps, les conventions et beaucoup d'autres choses encore. En d'autres termes, il n'y a aucune définition et description concrètes de la «littérature.» «L'art de l'écriture» est aussi ouvert et souple que n'importe quelle convention sociale. Nous croyons, en ce qui nous concerne, que le scénario est un genre littéraire parce qu'il propose une structure linguistique spécifique. Connaître les éléments qui forment la langue artistique du scénario et la manière dont ils fonctionnent est la clef pour entrer dans une relation littéraire avec le scénario. Que l'on apprenne la nature de ce langage, et notre perception du scénario changera. Etudier les caractéristiques de ce langage, tel est l'objectif de notre recherche.
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Les cahiers rouges suivi de : Écrire : dialogue fictif avec Marguerite Duras

Foreste, Julia Farrah January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'air miné, fiction romanesque ; suivi de La pulsion textuelle : réflexion sur la création littéraire

Beaudoin, Daniel January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
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O fora na literatura de Hilda Hilst

Moura, Amanda Jéssica Ferreira January 2016 (has links)
MOURA, Amanda Jéssica Ferreira.O fora na literatura de Hilda Hilst. 2016. 93f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Letras, Fortaleza (CE), 2016. / Submitted by Gustavo Daher (gdaherufc@hotmail.com) on 2017-09-28T17:47:41Z No. of bitstreams: 1 2016_dis_ajfmoura.pdf: 876497 bytes, checksum: 7dfe03371b885fdcf85c45f8b0b9f3b7 (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2017-09-29T14:35:16Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2016_dis_ajfmoura.pdf: 876497 bytes, checksum: 7dfe03371b885fdcf85c45f8b0b9f3b7 (MD5) / Made available in DSpace on 2017-09-29T14:35:16Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2016_dis_ajfmoura.pdf: 876497 bytes, checksum: 7dfe03371b885fdcf85c45f8b0b9f3b7 (MD5) Previous issue date: 2016 / A presente pesquisa dedica-se ao estudo de três textos de Hilda Hilst — A Obscena Senhora D, Com os meus olhos de cão e “Kadosh” — propondo-se a refletir acerca de um fio condutor que parece interligá-los: a recorrência de personagens escritores que intentam uma busca por Deus. Tal situação parece nunca levar os protagonista à paz interior ou ao apaziguamento de suas questões, mas a uma zona de inquietação e extravio, a um fora, onde Hillé, Amós e Kadosh já não têm domínio; região ou experiência de mistério, de quebra da lógica tradicional. Nesse percurso, observamos que o divino e a palavra poética pressionam os sujeitos destituindo-os de autoridade para que o fora, a voz vinda de outro lugar, o desconhecido, possa, insubordinado, brilhar. Em diálogo, especialmente, com o pensamento de Maurice Blanchot, mas também com pensadores como Barthes, Foucault e Bataille, questões relativas ao fazer literário são postas, como: a dispensa do autor, a solidão essencial, o silêncio próprio à literatura, a palavra bruta e a palavra essencial, a imagem e o símbolo no espaço literário e a noção do neutro.
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Les croisées du « grand reportage » : analyse comparée de « récits de Russie » du début et de la fin du XXe siècle

Tremblay, Audrey 25 July 2018 (has links)
Si le champ de la non-fiction, et en particulier le « literary journalism », bénéficie aux États-Unis d’une longue tradition de recherche, sa prise en compte au sein de la production médiatique francophone est beaucoup plus récente. De ce fait, les procédés par lesquels ces œuvres factuelles assurent leur légitimité journalistique sont encore incomplètement connus en tant que tels, et moins encore dans leur évolution diachronique au cours du XXe siècle. Notre recherche propose de contribuer à cet approfondissement collectif en observant de façon contrastive l’ethos discursif des écrivains-journalistes, de même que la mise en image du réel qu’offrent leurs « récits de Russie » publiés à deux époques différentes, celle de l’entre-deux-guerres et la nôtre. Considérant l’évolution générale du journalisme, l’hypothèse est que les textes qui nous sont contemporains témoignent d’inflexions vers des formes moins emphatiques et plus objectivantes, bien qu’ils soient tout autant investis par les ambitions spécifiques du grand reportage. À cet égard, c’est la question de la « valeur discursive » qui se pose particulièrement dans le cas du grand reportage, ce que nous avons notamment circonscrit au moyen de la notion d’ « efficacité de la parole ».
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O maravilhoso em Apuleio e o frenético em Nodier : estilos e poéticas /

Sedenho, Bruno Sérgio. January 2011 (has links)
Resumo: O presente trabalho objetivou comparar duas obras literárias de períodos diferentes que apresentam temas, personagens e espaços muito semelhantes, mas sem deixarem de ter suas particularidades: trata-se de O Asno de Ouro, de Apuleio, do século II d.C., escrita em latim, e Smarra ou Les Démons de la Nuit, de Charles Nodier, do século XIX, em francês. Como instrumento de análise literária foram utilizadas as bases teóricas estabelecidas pela estilística, cujos principais teóricos consultados são J. Marouzeau e Pierre Guiraud. Buscaram-se, ainda, nas obras de Hênio Tavares, Catherine Fromilhague e Heinrich Lausberg, as informações mais relevantes a respeito das figuras linguagens e dos elementos necessários para a análise. Assim, a partir dessa perspectiva, pretendeu-se identificar os recursos empregados pelos autores para estabelecerem o sobrenatural em suas obras, pois ambas possuem bruxas, delírios, sangue e assassinatos. Contudo, nesse aspecto, são diferentes: O Asno de Ouro vincula-se ao gênero maravilhoso, e Smarra, ao frenético, nome que o gótico recebeu na tradição francesa, sendo que este antecipa algumas características presentes no fantástico, e aquele, algumas do gótico. Após terem sido traduzidos e analisados trechos do livro I, de O Asno de Ouro, bem como dos cinco capítulos de Smarra, apresentaram-se as relações entre as obras com a intenção de compará-las. Determinou-se, por fim, que, embora apresentem temática popular, as respectivas linguagens dos autores colaboram com a literariedade desses textos e, consequentemente, promovem sua poeticidade / Abstract: Ce travail a visé à comparer deux oeuvres littéraires de différentes époques qui présentent des thèmes, des personnages et des espaces similaires, mais qui montrent chacune des particularités spécifiques: il s'agit de L'Âne d'or, d'Apulée, du IIème siècle, écrit en latin, et Smarra ou Les Démons de la Nuit, de Charles Nodier, du XIXème siècle français. Comme un outil d'analyse littéraire, on a utilisé les bases théoriques établies par la stylistique, dont les principaux théoriciens sont J. Marouzeau et Pierre Guiraud. On a cherché aussi dans les oeuvres d'Henio Tavares, Catherine Fromilhague et Heinrich Lausberg les informations les plus pertinentes sur les figures de style et sur les éléments nécessaires à l'analyse. Alors, dans cette perspective, puisque les deux oeuvres présentent des sorcières, des illusions, du sang et des assassinats, on y a cherché à identifier les ressources utilisées par les auteurs pour établir le surnaturel. Toutefois, à cet égard, elles sont différentes : L'Âne d'or est considérée comme appartenant au genre merveilleux et Smarra, au genre frénétique, nom qui a pris le gothique dans la tradition française; tandis que celui-ci a quelques caractéristiques du fantastique, celuilà présente celles du gothique. Après avoir été traduits et analysés des extraits du livre I de L'Âne d'or, ainsi que ceux des cinq chapitres de Smarra, ont été preséntés les rapports entre ces deux oeuvres dans le but de les comparer. On a déterminé, enfin, que, quoiqu'ils présentent une thématique populaire, le langage employé par chaque auteur confère de la littérarité à ces textes, les rendant donc poétiques / Orientador: Márcio Thamos / Coorientador: Ana Luiza Silva Camarani / Banca: Cláudio Aquati / Banca: Adalberto Luis Vicente / Mestre

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