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La déposition des chemins ; suivi de Promenades en territoires éparpillés

Dawson San Martin, Nicholas January 2009 (has links) (PDF)
Le volet création de ce mémoire comporte trois parties. Dans la première, le sujet affirme son exil en éparpillant ses origines, les saisons et les langues. À la fin de cette partie, le sujet se situe à la croisée des chemins, celui de la mémoire et celui de l'imaginaire. Dans la seconde partie, le sujet choisit de parcourir le chemin lui permettant de construire son propre territoire identitaire. Toute son attention est portée vers le paysage, si bien qu'il pourra déambuler librement au cours de la troisième partie. Il construit alors son identité à partir des signes recueillis à même le paysage montréalais pour que la fin de l'hiver coïncide avec la réconciliation, avec son exil. Les deux premières parties sont écrites en vers -la première étant exempte de ponctuation -, tandis que les poèmes de la troisième partie sont en prose. Cette exigence formelle illustre le parcours du sujet: le projet s'élabore d'abord autour de la rupture pour tendre vers une écriture plus fluide. Le dossier d'accompagnement comprend quatre promenades thématiques. Dans la première, l'exil est présenté comme un état: pour l'exilé, le fantasme du pays perdu est confronté à son appartenance à la terre d'accueil. Cette confrontation empêche l'exilé de s'enraciner dans un pays particulier. Le lieu d'habitation est plutôt un entre-deux qui induit un mouvement. Celui-ci est conceptualisé dans la seconde partie à l'aide de la théorie du sujet lyrique. Le je y est présenté comme une quatrième personne du singulier se projetant dans les autres auxquels il s'adresse, dans les objets qu'il convoque et dans les divers lieux qu'il arpente. La troisième partie se consacre à la déambulation qui est pour l'exilé la seule façon de s'inscrire dans le monde. La quatrième partie soulève la question de la langue: l'écrivain qui écrit en langue d'emprunt n'abandonne pas sa langue maternelle, mais lui donne une place privilégiée afin de rendre compte de l'expérience de l'exil. Ces quatre promenades visent à illustrer l'éparpillement des lieux, du temps et des idées que l'exil implique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Exil, Entre-deux, Sujet lyrique, Déambulation, Lieu, Langue, Altérité, Frontières.
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Entre nous, l'instant ; suivi de L'errance féconde : expérimenter la brièveté

Allaire, Camille January 2007 (has links) (PDF)
Entre nous, l'instant rassemble vingt et une nouvelles brèves. Par cette multiplicité qui le caractérise, le recueil s'inscrit d'emblée sous le signe de la fragmentation. Son unité tient d'ailleurs à l'extrême hétérogénéité qui s'illustre à travers le paradigme de la rupture, et cela même si les nouvelles entretiennent des liens parfois étroits et peuvent s'appeler les unes les autres en regard d'une vision du monde ou d'un style. Plus ou moins poétiques, ou ancrées dans une réalité concrète, plus ou moins narratives ou énigmatiques, chaque nouvelle constitue une tentative, par la prose, de s'approcher au plus près du réel, de trouver une manière d'aborder l'articulation entre un événement et un personnage, l'influence du monde sur les êtres, en disant cet instant où une part du réel nous échappe. L'errance féconde: expérimenter la brièveté constitue une réflexion en sept chapitres sur l'être à la recherche de son propre lieu. Le lieu d'où il serait possible d'évoquer la part du réel qui est inaccessible, que certains nomment Poésie, Innommable ou Essentiel. L'appareil réflexif qui suit explore les passages entre les genres littéraires que sont la poésie et la prose, afin de comprendre ce qui tente de se dire au-delà des genres. Cette exploration s'articule autour du pari selon lequel les formes brèves sont particulièrement aptes à y parvenir, entre autres par la fragmentation et la discontinuité, qui sont des fondements de leur esthétique commune. L'errance féconde ... témoigne d'une démarche de légitimation du regard à travers l'expérience de l'écriture de Entre nous, l'instant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nouvelle, Brièveté, Hétérogénéité, Recueil, Regard, Errance.
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L'homme qui racontait des histoires ; suivi de, "Le bâton brisé"

Boisvert, Julien-Pier 06 1900 (has links) (PDF)
L'homme qui racontait des histoires est une expérience littéraire sur le phénomène de la voix et sur l'impact de la matérialité du texte sur celle-ci. Trois voix différentes racontent des épisodes d'une même histoire. Pourtant, les trois voix proviennent de la même plume. C'est en jouant sur la relation entre les voix narratives et le langage qu'elles utilisent comme rapport au monde que se construit le roman. Chacune de ces voix porte en son sein une vision du langage qui l'anime, et cette vision langagière est intrinsèquement liée à une façon de voir le monde. Trois voix, trois postures langagières, trois perceptions du monde. Le bâton brisé témoigne de prises de position sur deux enjeux de l'écriture romanesque. Le premier : la fiction comme moteur de l'esprit du roman, ainsi que l'appelle Kundera, qui invoque l'ambiguïté et le questionnement comme raisons d'être principales de l'écriture romanesque. Le second enjeu : un engagement pour une stylistique personnelle par opposition à l'académisme, le style journaleux, comme l'appelle Céline, celui des prosateurs imperméables à l'émotivité du langage, dont les mots étouffent toute possibilité de ressentir; un engagement, donc, pour une langue vivante, libérée de ses mécanismes lourds, une langue qui se joue d'elle-même, qui s'amuse avec ses propres règles, une langue travaillée avec minutie afin qu'elle puisse résonner dans la tête du lecteur grâce à sa prosodie, à son rythme, à son écart par rapport à la langue normative, celle de tous les jours, celle qui ne saurait animer un roman, sauf à être sublimée par le style. ______________________________________________________________________________
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Notes et propositions sur le verset français

Piché, Alexandre 02 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire étudie les rapports, généralement ignorés par la théorie des genres littéraires, entre verset biblique et verset moderne. Il est constitué d'un texte de création et d'un essai qui affirment tous deux la nécessité de penser le poème en versets à la lumière du texte biblique. Les trente poèmes de la suite Demeure ajourée, qui précèdent les considérations théoriques, constituent un lieu d'expérimentation où a pu s'élaborer, se consolider, se modifier la conception du poème en versets mise de l'avant par l'ensemble de la présente démarche. Ces textes sont en partie des palimpsestes de récits bibliques issus du Pentateuque. On y retrouve des mythes génésiaques, des bribes de lois, des généalogies ainsi qu'un calendrier de fêtes. La lecture de la Bible dans plusieurs traductions françaises est une expérience qui sous-tend ici la pratique d'écriture. Les poèmes de ce projet cherchent pourtant à effectuer un déplacement par rapport au texte biblique, déplacement qui se traduit par l'impossibilité de la relation à Dieu. Alors que la Bible construit une énonciation entièrement soutenue par Dieu et transcendée par lui, la parole contenue dans les poèmes découvre plutôt qu'elle n'est autorisée par rien et qu'elle n'est aucunement fondée en autorité. C'est à partir d'une attitude problématique à l'égard de la prière que prend forme ce recul devant l'adhésion, attitude qui se distancie du pouvoir d'évocation (d'invocation) du langage et qui motive un travail de dépouillement des ressources rhétoriques de la phrase. Les Notes et propositions théoriques, pour leur part, s'ouvrent sur un inventaire des définitions du verset poétique disponibles. Cet examen est l'occasion de dresser un bilan des critères définitoires généralement admis et de cerner avec précision l'origine du verset biblique lui-même. Vient ensuite l'élaboration de critères inédits, suscités par la prise en compte du texte biblique : d'une part, une relation au sublime caractérisée par des facteurs stylistiques et syntaxiques, d'autre part une parenté énonciative irréductible entre verset poétique et verset biblique qui implique, dans le cadre de toute pratique d'écriture, une approche du rapport à la transcendance. Au-delà des solutions proposées pour enrichir le discours sur les genres littéraires, cet essai veille à faire de la pratique singulière de chaque auteur l'un des pivots de la recherche théorique. C'est d'ailleurs dans le contexte de cette réflexion ayant pour objet les problèmes de définition du verset que sont soulevées notamment les difficultés des œuvres contemporaines à renouveler cette forme poétique moderne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Verset, Bible, Dieu, Énonciation, Modernité, Poésie, Théorie des genres, Palimpseste.
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Dans la lueur des lucioles ; suivi de, Pneuma : témoigner pour résister

Thisdale, Isabelle 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est composé de deux parties. D'abord, un recueil de poésie qui a comme point de départ la tentative de suicide de ma sœur cadette et son aveu, prend la forme d'un témoignage littéraire. Cette expérience, ainsi que la réflexion sur la mort, le deuil et le manque qui en a découlé, sont mis en scène dans les poèmes et font l'objet d'une réflexion qui traverse le recueil. Les poèmes sont traversés par un souffle dont le rythme évolue au fil du recueil. Ce souffle représente les variations que subit la parole, rendant tangible la particularité du témoignage. Le rythme est également porté par le visage de la sœur, qui revient à plusieurs reprises sous diverses formes et assure la liaison entre les différentes sections. Le dossier d'accompagnement développe une réflexion sur le témoignage dans un contexte de création littéraire. Il interroge la position de témoin du témoin et tente de mettre en lumière le rôle d'accompagnement de celui qui voit un proche échapper à la mort. Cela implique que le témoin affirme sa responsabilité envers celui qu'il accompagne. Ce dernier entre dans un lieu où se réactualise sa présence antérieure aux événements traumatiques. L'espace aménagé par le témoignage est un lieu de convergence des temps. C'est là que sont convoqués les visages des absents et les figures du deuil qui appartiennent au passé du drame, et que le témoin se doit de rencontrer pour accomplir le don de sa parole. Le témoignage permet alors la restitution d'une image manquante, que la part de fiction du témoignage littéraire contribue à rétablir. Une parenté entre le matériau plastique et le matériau langagier est ensuite établie afin de démontrer que l'écrivain, comme le peintre, possède le pouvoir de pétrir le langage. Le don que constitue le témoignage est une prise en charge de la douleur. La violence faite au langage par l'écriture permet un transfert du corps au corpus, et rend possible un apaisement du corps meurtri. Dans le cas du témoignage de la perte, l'abandon, de même que le don accompli par le témoignage, permet de reconnaître le véritable objet du deuil, plaçant ainsi l'absence non plus sous le signe d'un drame mais sous le signe d'un manque fondamental que la poésie peut combler. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Témoignage littéraire, Deuil, Corps, Violence, Poésie, Écriture matérielle, Arts visuels
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L'écologie de la chronique, incluant le recueil « Immédiates »

Ranger, Christian 06 June 2012 (has links)
La chronique médiatique contemporaine est indissociable de son contexte de production. Un cadre strictement générique ne suffit donc pas à rendre compte de la forme que revêtent aujourd'hui les chroniques. En étudiant l’écologie de production du genre, caractérisée en aval par le pacte conclu entre le chroniqueur et son éditeur et en amont par un narrataire qu’éclaire le courrier du lecteur, nous proposons ici une explication de certains traits caractéristiques du genre – comme la brièveté du texte, l’aspect fragmentaire du propos et le ton de la conversation privilégié par le chroniqueur. Notre étude de quatre recueils de chroniques explore la relation intime mais conflictuelle qu’entretient la chronique avec le temps. François Mauriac, Bernard-Henri Lévy, Gil Courtemanche et Jacques Brault déploient des stratégies variées pour s’acquitter de leur tâche d’écriture périodique, ainsi qu’afin de concilier deux horizons de lecture, dont l’un est immédiat et l’autre dans la durée. Enfin, nos propres chroniques - les Immédiates -, explorent trois thèmes : l’âge adulte, la ville et l’américanité.
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L'écologie de la chronique, incluant le recueil « Immédiates »

Ranger, Christian January 2012 (has links)
La chronique médiatique contemporaine est indissociable de son contexte de production. Un cadre strictement générique ne suffit donc pas à rendre compte de la forme que revêtent aujourd'hui les chroniques. En étudiant l’écologie de production du genre, caractérisée en aval par le pacte conclu entre le chroniqueur et son éditeur et en amont par un narrataire qu’éclaire le courrier du lecteur, nous proposons ici une explication de certains traits caractéristiques du genre – comme la brièveté du texte, l’aspect fragmentaire du propos et le ton de la conversation privilégié par le chroniqueur. Notre étude de quatre recueils de chroniques explore la relation intime mais conflictuelle qu’entretient la chronique avec le temps. François Mauriac, Bernard-Henri Lévy, Gil Courtemanche et Jacques Brault déploient des stratégies variées pour s’acquitter de leur tâche d’écriture périodique, ainsi qu’afin de concilier deux horizons de lecture, dont l’un est immédiat et l’autre dans la durée. Enfin, nos propres chroniques - les Immédiates -, explorent trois thèmes : l’âge adulte, la ville et l’américanité.
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Dans le vide suivi de Étude de l'évocation dans le recueil de nouvelles Qui a tué Magellan? de Mélanie Vincelette

Handfield, Camelia January 2012 (has links)
Le premier volet du mémoire présente Dans le vide , un recueil de huit brèves nouvelles impressionnistes qui mettent en scènes des situations ou des personnages étonnants et privilégient une narration sur le mode implicite. Suit le volet théorique, une étude ayant comme point de départ le silence et les non-dits. En se basant sur les théories de la nouvelle récente qui souligne le caractère elliptique du genre, l'analyse du recueil Qui a tué Magellan ? et autres nouvelles de Mélanie Vincelette dégage des constructions narratives fréquentes dans une esthétique de l'évocation. On remarque un resserrement de la narration autour d'éléments du récit sur lesquels le narrateur insiste par le biais d'énumérations de détails ou de répétitions. On note que l'écriture concentre les fonctions de narration, de description et d'expression dans les mêmes phrases, les mêmes mots ou les mêmes détails. Dans le recueil de Vincelette, ce choix esthétique pourrait refléter l'incommunicabilité. À quoi bon s'exprimer explicitement quand la communication est vouée à l'échec et les gens à la solitude? Un retour sur Dans le vide clôt le mémoire en retraçant l'origine des nouvelles et l'intention derrière chacune de celles-ci. Une mise en parallèle entre l'écriture de l'auteure et celle de Vincelette évalue l'efficacité du travail de création.
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Anonymes ; suivi de L'auteur, la plume, le texte

Poirier, Étienne January 2006 (has links) (PDF)
Anonymes est un recueil hétérogène de nouvelles courtes sur les thèmes de la mélancolie et de l'exclusion. Chaque nouvelle est la dramatisation d'un instant précis de la vie des personnages et ne sont contenues en elles que les actions qui mènent à l'aboutissement de ce moment. Ainsi, chaque texte se veut le captage instantané d'une expérience humaine. La langue employée est un québécois correct : disons un français académique ponctué d'expressions et de tournures locales. Il y a peu de proximité entre les personnages et l'instance narrative, celle-ci se bornant au rôle de témoin silencieux. La distance entre la narration et l'action vise à produire un effet de détachement vis-à-vis du sujet exploré. Ce détachement est nécessaire à l'expérience de l'exclusion. Les lieux explorés sont ceux qui composent le paysage urbain : un parc, une ruelle, un bâtiment déserté, un appartement. Les noms de ceux-ci ne sont pas dévoilés, pas plus que ceux des personnages : autre manière de suggérer l'anonymat et la cruauté que subissent les personnages. L'auteur, la plume, le texte est une réflexion personnelle sur différents aspects du travail d'écrivain de nouvelles. Divisé en cinq parties, cet appareil réflexif propose une vision selon laquelle la force de la littérature réside dans l'engagement de l'auteur, tant au niveau social qu'artistique, que seul cet engagement permet à la littérature de trouver sa légitimité. Il met également de l'avant l'idée que la littérature a pour rôle d'être le vecteur d'une réalité nouvelle susceptible d'ébranler celle de celui ou de celle qui la lit. De plus, on y expose un questionnement sur la notion de destinataire de l'oeuvre littéraire. L'idée mise de l'avant est que la littérature ne fonctionne pas selon un axe communicationnel standard. En effet, la littérature naît d'une distortion de l'ordre de la communication (locuteur-message-destinataire). On y discute également le rôle du personnage dans les différents genres narratifs de la littérature, notamment le roman et la nouvelle. Quelques nuances apparaissent dans la fonction même du personnage, autour duquel s'organise le roman, mais qui, dans la nouvelle, revêt un rôle plus ambivalent, davantage lié aux autres éléments du texte. Enfin, l'appareil réflexif se questionne sur l'utilisation du langage dans la construction de la réalité du texte littéraire selon le concept de grandiloquence développé par Clément Rosset dans Le réel, traité d'idiotie (Les éditions de Minuit, Paris, 1977). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Engagement,Réalité, Destinataire, Nouvelle, Mélancolie, Exclusion.
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L'amour tout court = Just p(l)ain love ; suivi de, Esquisses, tremblements et approchements

Bosman, Julie 09 1900 (has links) (PDF)
Deux parties composent ce mémoire en création littéraire. Dans « L'amour tout court. Just P(l)ain Love », un sujet féminin évoque, en 57 textes brefs, les hommes qui ont traversé sa vie. Au final, ils forment le tableau d'une femme qui aime, souffre, et espère. Dans « Esquisses, tremblements et approchements », une écriture réflexive se déploie en 32 courts textes. Sont abordés à travers eux la genèse de ce projet et de la venue à l'écriture, la question de l'intime et de l'autobiographique, la différence entre vérité et justesse, la forme brève, les silences, et le rôle de l'autre dans la création. Trente-deux esquisses qui font écho aux tremblements ressentis dans les approchements d'une voix de fond. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Écriture, Intime, Autobiographie, Fragment, Blanc

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