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From High School into Higher Education: Diving into the Summer Melt Phenomenon at an Urban School DistrictZilliox, Tammy R. January 2019 (has links)
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Barn som växer upp och går i skolan i ett särskilt utsatt område : En kvalitativ studie / Children who grows up and attends school, in a particularly vulnerable area : a qualitative studyMann, Frida, Alvhage, Erika January 2023 (has links)
This report examines the risk and protective factors that the students who live and attend school in a particularly vulnerable area have, according to the “school personnel”, that are linked to antisocial and norm-breaking behavior. A particular targeting has been made for the girl’s risk- and protective factors. Semi-structured interviews have been conducted at a school for children between 6-12 years old, which is presented and analyzed using a thematic analysis and literature. The report uses the ecological explanatory model as a theoretical background. The conditions are different for children living and attending school in a particularly vulnerable area, where the students risk factors significantly outnumber their protective factors, that increase the student’s risk of developing anti-social and/or norm-breaking behavior such as drug use, violence and criminality. School personnel are positive about their own work and the school's role as a protective factor but illustrate several challenges for their work. In the discussion, the student’s risk- and protective factors are problematized, and the Swedish language is presented to be the factor that has the greatest impact on the student’s future without antisocial and/or norm breaking behavior. / Denna rapport undersöker risk- och skyddsfaktorer, kopplade till antisocialt och normbrytande beteende, som skolpersonal identifierar hos sina elever, som bor och går i skolan i ett särskilt utsatt område. En särskild fördjupning görs gällande flickornas risk- och skyddsfaktorer. Detta görs genom semistrukturerade intervjuer på en låg- och mellanstadieskola, som redovisas och analyseras med hjälp av en tematisk analys och befintlig litteratur/forskning. Rapporten har den ekologiska förklaringsmodellen som teoretisk bakgrund. Förutsättningarna är annorlunda för de barn som bor och går i skolan i ett särskilt utsatt område. Dessa elever exponeras för betydligt fler riskfaktorer än skyddsfaktorer, vilket ökar risken för eleven att utveckla antisocialt och/eller normbrytande beteende såsom droganvändning, våld och kriminalitet. Skolpersonalen förhåller sig positiva till sitt eget arbete och skolans roll som skyddsfaktor men belyser även ett flertal utmaningar i sitt arbete. I diskussionen problematiserats elevens risk- och skyddsfaktorer och det svenska språket redovisas vara den faktor som har störst betydelse för elevens framtid utan ett antisocialt och/eller normbrytande beteende.
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Intervensieprogram vir graad 1-leerders uit 'n lae sosio-ekonomiese omgewing / Intervensieprogram vir graad een leerders uit 'n lae sosio-ekonomiese omgewing / Intervention programme for grade 1 learners from a low socio-economic environment / Intervention programme for grade one learners from a low socio-economic environmentVan Wyk, Maria Magdalena 02 1900 (has links)
This study was initiated when the researcher became aware of the problem that learners from low socio-economic environments tend to experience barriers to learning in numeracy and literacy. These barriers were identified in a class of Grade 1 learners through extensive literature study, after which the development, teaching and learning of numeracy and literacy in grade 1 were investigated. The researcher then developed intervention programmes for literacy and numeracy, each running for a period of six weeks, in order to overcome learners’ difficulties in these learning areas. Each programme was subdivided into three shorter programmes of two weeks each, which addressed different aspects of literacy and numeracy. Each sub-programme was supplemented by a schedule of daily activities in order to reinforce learning.
Learners’ competence in literacy and numeracy was assessed before starting the programme and re-assessed at the end, using the same tests they had done at the beginning. Learners’ marks in both sets of tests were compared, which demonstrated their progress or non-progress after having participated in the intervention programmes. / Educational Studies / M. Ed. (Sielkundige Opvoedkunde)
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Effets d’un programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux pour prévenir la dépression postnatale des femmes de classes moyenne et défavorisée habitant en Catalogne Nord et en France SudOrtiz, Maria Assumpta 04 1900 (has links)
La dépression postnatale (DP) est un problème de santé publique très fréquent dans différentes cultures (Affonso et al, 2000). En effet, entre 10% à 15% des mères souffrent d’une symptomatogie dépressive ainsi que l’indiquent Gorman et al. (2004). La prévention de la DP est l’objectif de différents programmes prénatals et postnatals (Dennis, 2005; Lumley et al, 2004). Certains auteurs notent qu’il est difficile d’avoir accès aux femmes à risque après la naissance (Evins et al, 2000; Georgiopoulos et al, 2001). Mais, les femmes fréquentent les centres de santé pendant la grossesse et il est possible d’identifier les cas à risque à partir des symptômes prénataux dépressifs ou somatiques (Riguetti-Veltema et al, 2006); d’autant plus qu’un grand nombre de facteurs de risque de la DP sont présents pendant la grossesse (O’Hara et Gorman, 2004). C’est pourquoi cette étude fut initiée pendant le premier trimestre de la grossesse à partir d’une détection précoce du risque de DP chez n= 529 femmes de classes moyenne et défavorisée, et, cela, au moyen d’un questionnaire validé utilisé à l’aide d’une entrevue. L’étude s’est effectuée dans trois villes : Barcelone, Figueres, et Béziers au cours des années 2003 à 2005.
Objectif général : La présente étude vise à évaluer les effets d’un programme prénatal de groupes de rencontre appliqué dans la présente étude chez des couples de classe socioéconomique non favorisée dont les femmes sont considérées comme à risque de dépression postnatale. L’objectif spécifique est de comparer deux groupes de femmes (un groupe expérimental et un groupe témoin) par rapport aux effets du programme prénatal sur les symptômes de dépression postnatale mesurés à partir de la 4ème semaine après l’accouchement avec l’échelle EPDS.
Hypothèse: Les femmes participant au programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux, composé de 10 séances hebdomadaires et inspiré d’une orientation psychosomatique présenteront, au moins, un taux de 6% inférieur de cas à risque de dépression postnatale que les femmes qui ne participent pas, et cela, une fois évaluées avec l’échelle EPDS (≥12) 4 semaines après leur accouchement.
Matériel et méthode: La présente étude évaluative est basée sur un essai clinique randomisé et longitudinal; il s’étend de la première ou deuxième visite d’échographie pendant la grossesse à un moment situé entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale.
Les participants à l’étude sont des femmes de classes moyenne et défavorisée identifiées à risque de DP et leur conjoint. Toutes les femmes répondant aux critères d’inclusion à la période du recrutement ont effectué une entrevue de sélection le jour de leur échographie prénatale à l’hôpital (n=529). Seules les femmes indiquant un risque de DP furent sélectionnées (n= 184). Par la suite, elles furent distribuées de manière aléatoire dans deux groupes: expérimental (n=92) et témoin (n=92), au moyen d’un programme informatique appliqué par un statisticien considérant le risque de DP selon le questionnaire validé par Riguetti-Veltema et al. (2006) appliqué à l’aide d’une entrevue. Le programme expérimental consistait en dix séances hebdomadaires de groupe, de deux heures et vingt minutes de durée ; un appel téléphonique entre séances a permis d’assurer la continuité de la participation des sujets. Le groupe témoin a eu accès aux soins habituels. Le programme expérimental commençait à la fin du deuxième trimestre de grossesse et fut appliqué par un médecin et des sages-femmes spécialement préparées au préalable; elles ont dirigé les séances prénatales avec une approche psychosomatique.
Les variables associées à la DP (non psychotique) comme la symptomatologie dépressive, le soutien social, le stress et la relation de couple ont été évaluées avant et après la naissance (pré-test/post-test) chez toutes les femmes participantes des deux groupes (GE et GC) utilisant : l’échelle EPDS (Cox et al,1987), le Functional Social Support Questionnaire (Broadhead et al, 1988), l’évaluation du stress de Holmes et Rahe (1967) et, l’échelle d’ajustement dyadique de Spanier (1976). La collecte des données prénatales a eu lieu à l’hôpital, les femmes recevaient les questionnaires à la fin de l’entrevue, les complétaient à la maison et les retournaient au rendez-vous suivant. Les données postnatales ont été envoyées par les femmes utilisant la poste locale.
Résultats: Une fois évalués les symptômes dépressifs postnatals avec l’échelle EPDS entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale et considérant le risque de DP au point de césure ≥ 12 de l’échelle, le pourcentage de femmes à risque de DP est de 39,34%; globalement, les femmes étudiées présentent un taux élevé de symptomatologie dépressive. Les groupes étant comparables sur toutes les variables prénatales, notons une différence dans l’évaluation postnatale de l’EPDS (≥12) de 11,2% entre le groupe C et le groupe E (45,5% et 34,3%). Et la différence finale entre les moyennes de l’EPDS postnatal est de 1,76 ( =11,10 ±6,05 dans le groupe C et =9,34 ±5,17 dans le groupe E) ; cette différence s’aproche de la limite de la signification (p=0,08). Ceci est dû à un certain nombre de facteurs dont le faible nombre de questionnaires bien complétés à la fin de l’étude. Les femmes du groupe expérimental présentent une diminution significative des symptômes dépressifs (t=2,50 / P= 0,01) comparativement au pré-test et indiquant une amélioration au contraire du groupe témoin sans changement.
Les analyses de régression et de covariance montrent que le soutien social postnatal, les symptômes dépressifs prénatals et le stress postnatal ont une relation significative avec les symptômes dépressifs postnatals (P<0,0001 ; P=0.003; P=0.004). La relation du couple n’a pas eu d’impact sur le risque de DP dans la présente étude. Par contre, on constate d’autres résultats secondaires significatifs: moins de naissances prématurées, plus d’accouchements physiologiques et un plus faible taux de somatisations non spécifiques chez les mères du groupe expérimental.
Recommandations: Les résultats obtenus nous suggèrent la considération des aspects suivants: 1) il faudrait appliquer les mesures pour détecter le risque de DP à la période prénatale au moment des visites d’échographie dont presque toutes les femmes sont atteignables; il est possible d’utiliser à ce moment un questionnaire de détection validé car, son efficacité semble démontrée; 2) il faudrait intervenir auprès des femmes identifiées à risque à la période prénatale à condition de prolonger le programme préventif après la naissance, tel qu’indiqué par d’autres études et par la demande fréquente des femmes évaluées. L’intervention prénatale de groupe n’est pas suffisante pour éviter le risque de DP chez la totalité des femmes. C’est pourquoi une troisième recommandation consisterait à : 3) ajouter des interventions individuelles pour les cas les plus graves et 4) il paraît nécessaire d’augmenter le soutien social chez des femmes défavorisées vulnérables car cette variable s’est révélée très liée au risque de dépression postnatale. / Postnatal depression (PD) is a universal problem for public health (Affonso and al, 2000),as indicated in studies on its prevalence as between 10% and 15% (Gorman and al, 2004).
The prevention of this problem is the main objective of several programs that are applied before and after birth (Dennis, 2004; Lumley and al, 2004). Some authors have noted that it is difficult to access women who are most at risk in the postnatal stage (Evins and al, 2000;Georgiopoulos and al, 2001). During pregnancy, women use healthcare centres very often and it is possible to detect the risk of having PD. There are also many women who indicate
a risk of PD due to somatic or depressive symptoms (Riguetti-Veltema and al, 2006), above all, because the majority of risk factors are present during pregnancy (O’Hara and Gorman,2004). Therefore, this study was started during the first three months of pregnancy with early detection of women at risk based on a validated questionnaire used in the interview.
The study was carried out in three cities: Barcelona, Figueres (north of Catalonia) and
Béziers (south of France), between 2003 and 2005. General aim: This study intends to assess the effects of a prenatal group program directed at future parents on postnatal depression symptoms in women considered at risk.
The specific aim is compare the depressive postnatal symptoms of the women in the
experimental group with the depressive postnatal symptoms of the women in the
control group.
Hypothesis: The women taking part in the prenatal group program (directed at future
parents, with 10 weekly sessions, and based on a psychosomatic approach) present, at
least a 6% lower rate of postnatal depression than women who did not take part, once assessed with the EPDS (≥12) scale 4 weeks after the birth.
Materials and method: This assessment study is a random, longitudinal clinical trial; it
starts from the first or second ultrasound scan of the pregnancy and concludes between
the 4th and 12th postnatal week.
Those taking part in the study are women of middle, low, or very low socioeconomic
status who have been identified as being at risk of PD, and their partners or husbands. All the women (n=529) fulfilling the criteria for being included during the selection period have been interviewed at the hospital on the same day as the antenatal scan. Only women
indicating a risk of PD were selected (n=184). They were then distributed into two
random groups (n=92) experimental group (EG) and (n=92) control group (CG) – by
means of a software program in which a statistic considering PD risk, according to the validated questionnaire developed by Riguetti-Veltema et al (2006) used in the interview,was applied. The experimental program consisted of 10 weekly sessions of two hours twenty minutes long; a telephone calls between sessions to be ensured the continuity of the participants in the program. The control group had access to the usual care and assistance. The experimental program started at the end of the second trimester of the pregnancy and was put into practice by specially trained midwives, who led the birth preparation sessions using a psychosomatic approach.
The variables associated to PD (not psychotic), such as, for example, prenatal depressive symptoms, social support, stress, and couple relationships were assessed before and after the birth (pre/post-test) in all the women from both study groups (EG and CG), using the EPDS scale (Cox et al,1987), the Functional Social Support Questionnaire (Broadhead et al, 1988), the stress test developed by Holmes and Rahe (1967), and the Spanier dyadic adjustment scale (1976). The prenatal data was gathered at the hospital where the women
received the questionnaire, which they filled in at home and returned on their following visit. The postnatal data was sent by mail by the women taking part in the study.
Results: Once the depression symptoms were assessed with the EPDS scale between the
4th and 12th postnatal week, and considering PD risk at the cutting point (≥ 12) of the
scale, the percentage of women with a risk of PD is 39.34%; globally, the women studied
have a high rate of risk of PD. We noticed that the two groups were comparable in all the prenatal variables, and that there is a difference in the EPDS (≥12) postnatal assessment of 11.2% between group C and group E (45.5% and 34.3%, respectively). In the postnatal analysis between both groups, the difference of means of the postnatal EPDS is 1.76( x =11.10 ±6.05 in group C and x =9.34 ±5.17 in group E); this difference only approaches the significance limit (p=0.08). This is due to several factors; the number of correctly filled-in questionnaires in the last part of the study, among them.The control group has an evolution without modifications between pre- and post-natal assessments, with a very slight increase in symptoms after the birth (t=-0.92 / P=0.36). In contrast, women
from the experimental group have a significant decrease in depression symptoms (t=2.50/P= 0.01), in comparison to the pre-test. Recommendations: The results obtained suggest we consider the following aspects: 1)measures to detect the risk of PD during the prenatal period should be applied, when women come for their antenatal scans, because practically all women are willing to be approached; it is possible to use, in that moment, a validated detection tool, since its effectiveness appears to be demonstrated; 2) although the prenatal group intervention seems effective, it is not a sufficient strategy to significantly prevent the risk of PD. Women identified at risk during the prenatal period, therefore, should be worked with on condition that the preventive program is prolonged after the birth, as other studies have indicated, and as the women under study have indicated with a strong demand for continuity; 3) individual interventions should be added for more serious cases; and finally, 4) it is necessary to increase social support for low-income, vulnerable women,because this variable is very related with the risk of PD.
Keywords : postnatal depressive symptoms, depression postnatal risk, social support,
stress, couple relationship, psychosomatic approach, randomized trial, prenatal group
programme, low socio-economic level women.
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Effets d’un programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux pour prévenir la dépression postnatale des femmes de classes moyenne et défavorisée habitant en Catalogne Nord et en France SudOrtiz, Maria Assumpta 04 1900 (has links)
La dépression postnatale (DP) est un problème de santé publique très fréquent dans différentes cultures (Affonso et al, 2000). En effet, entre 10% à 15% des mères souffrent d’une symptomatogie dépressive ainsi que l’indiquent Gorman et al. (2004). La prévention de la DP est l’objectif de différents programmes prénatals et postnatals (Dennis, 2005; Lumley et al, 2004). Certains auteurs notent qu’il est difficile d’avoir accès aux femmes à risque après la naissance (Evins et al, 2000; Georgiopoulos et al, 2001). Mais, les femmes fréquentent les centres de santé pendant la grossesse et il est possible d’identifier les cas à risque à partir des symptômes prénataux dépressifs ou somatiques (Riguetti-Veltema et al, 2006); d’autant plus qu’un grand nombre de facteurs de risque de la DP sont présents pendant la grossesse (O’Hara et Gorman, 2004). C’est pourquoi cette étude fut initiée pendant le premier trimestre de la grossesse à partir d’une détection précoce du risque de DP chez n= 529 femmes de classes moyenne et défavorisée, et, cela, au moyen d’un questionnaire validé utilisé à l’aide d’une entrevue. L’étude s’est effectuée dans trois villes : Barcelone, Figueres, et Béziers au cours des années 2003 à 2005.
Objectif général : La présente étude vise à évaluer les effets d’un programme prénatal de groupes de rencontre appliqué dans la présente étude chez des couples de classe socioéconomique non favorisée dont les femmes sont considérées comme à risque de dépression postnatale. L’objectif spécifique est de comparer deux groupes de femmes (un groupe expérimental et un groupe témoin) par rapport aux effets du programme prénatal sur les symptômes de dépression postnatale mesurés à partir de la 4ème semaine après l’accouchement avec l’échelle EPDS.
Hypothèse: Les femmes participant au programme prénatal de groupe adressé aux couples parentaux, composé de 10 séances hebdomadaires et inspiré d’une orientation psychosomatique présenteront, au moins, un taux de 6% inférieur de cas à risque de dépression postnatale que les femmes qui ne participent pas, et cela, une fois évaluées avec l’échelle EPDS (≥12) 4 semaines après leur accouchement.
Matériel et méthode: La présente étude évaluative est basée sur un essai clinique randomisé et longitudinal; il s’étend de la première ou deuxième visite d’échographie pendant la grossesse à un moment situé entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale.
Les participants à l’étude sont des femmes de classes moyenne et défavorisée identifiées à risque de DP et leur conjoint. Toutes les femmes répondant aux critères d’inclusion à la période du recrutement ont effectué une entrevue de sélection le jour de leur échographie prénatale à l’hôpital (n=529). Seules les femmes indiquant un risque de DP furent sélectionnées (n= 184). Par la suite, elles furent distribuées de manière aléatoire dans deux groupes: expérimental (n=92) et témoin (n=92), au moyen d’un programme informatique appliqué par un statisticien considérant le risque de DP selon le questionnaire validé par Riguetti-Veltema et al. (2006) appliqué à l’aide d’une entrevue. Le programme expérimental consistait en dix séances hebdomadaires de groupe, de deux heures et vingt minutes de durée ; un appel téléphonique entre séances a permis d’assurer la continuité de la participation des sujets. Le groupe témoin a eu accès aux soins habituels. Le programme expérimental commençait à la fin du deuxième trimestre de grossesse et fut appliqué par un médecin et des sages-femmes spécialement préparées au préalable; elles ont dirigé les séances prénatales avec une approche psychosomatique.
Les variables associées à la DP (non psychotique) comme la symptomatologie dépressive, le soutien social, le stress et la relation de couple ont été évaluées avant et après la naissance (pré-test/post-test) chez toutes les femmes participantes des deux groupes (GE et GC) utilisant : l’échelle EPDS (Cox et al,1987), le Functional Social Support Questionnaire (Broadhead et al, 1988), l’évaluation du stress de Holmes et Rahe (1967) et, l’échelle d’ajustement dyadique de Spanier (1976). La collecte des données prénatales a eu lieu à l’hôpital, les femmes recevaient les questionnaires à la fin de l’entrevue, les complétaient à la maison et les retournaient au rendez-vous suivant. Les données postnatales ont été envoyées par les femmes utilisant la poste locale.
Résultats: Une fois évalués les symptômes dépressifs postnatals avec l’échelle EPDS entre la 4ème et la 12ème semaine postnatale et considérant le risque de DP au point de césure ≥ 12 de l’échelle, le pourcentage de femmes à risque de DP est de 39,34%; globalement, les femmes étudiées présentent un taux élevé de symptomatologie dépressive. Les groupes étant comparables sur toutes les variables prénatales, notons une différence dans l’évaluation postnatale de l’EPDS (≥12) de 11,2% entre le groupe C et le groupe E (45,5% et 34,3%). Et la différence finale entre les moyennes de l’EPDS postnatal est de 1,76 ( =11,10 ±6,05 dans le groupe C et =9,34 ±5,17 dans le groupe E) ; cette différence s’aproche de la limite de la signification (p=0,08). Ceci est dû à un certain nombre de facteurs dont le faible nombre de questionnaires bien complétés à la fin de l’étude. Les femmes du groupe expérimental présentent une diminution significative des symptômes dépressifs (t=2,50 / P= 0,01) comparativement au pré-test et indiquant une amélioration au contraire du groupe témoin sans changement.
Les analyses de régression et de covariance montrent que le soutien social postnatal, les symptômes dépressifs prénatals et le stress postnatal ont une relation significative avec les symptômes dépressifs postnatals (P<0,0001 ; P=0.003; P=0.004). La relation du couple n’a pas eu d’impact sur le risque de DP dans la présente étude. Par contre, on constate d’autres résultats secondaires significatifs: moins de naissances prématurées, plus d’accouchements physiologiques et un plus faible taux de somatisations non spécifiques chez les mères du groupe expérimental.
Recommandations: Les résultats obtenus nous suggèrent la considération des aspects suivants: 1) il faudrait appliquer les mesures pour détecter le risque de DP à la période prénatale au moment des visites d’échographie dont presque toutes les femmes sont atteignables; il est possible d’utiliser à ce moment un questionnaire de détection validé car, son efficacité semble démontrée; 2) il faudrait intervenir auprès des femmes identifiées à risque à la période prénatale à condition de prolonger le programme préventif après la naissance, tel qu’indiqué par d’autres études et par la demande fréquente des femmes évaluées. L’intervention prénatale de groupe n’est pas suffisante pour éviter le risque de DP chez la totalité des femmes. C’est pourquoi une troisième recommandation consisterait à : 3) ajouter des interventions individuelles pour les cas les plus graves et 4) il paraît nécessaire d’augmenter le soutien social chez des femmes défavorisées vulnérables car cette variable s’est révélée très liée au risque de dépression postnatale. / Postnatal depression (PD) is a universal problem for public health (Affonso and al, 2000),as indicated in studies on its prevalence as between 10% and 15% (Gorman and al, 2004).
The prevention of this problem is the main objective of several programs that are applied before and after birth (Dennis, 2004; Lumley and al, 2004). Some authors have noted that it is difficult to access women who are most at risk in the postnatal stage (Evins and al, 2000;Georgiopoulos and al, 2001). During pregnancy, women use healthcare centres very often and it is possible to detect the risk of having PD. There are also many women who indicate
a risk of PD due to somatic or depressive symptoms (Riguetti-Veltema and al, 2006), above all, because the majority of risk factors are present during pregnancy (O’Hara and Gorman,2004). Therefore, this study was started during the first three months of pregnancy with early detection of women at risk based on a validated questionnaire used in the interview.
The study was carried out in three cities: Barcelona, Figueres (north of Catalonia) and
Béziers (south of France), between 2003 and 2005. General aim: This study intends to assess the effects of a prenatal group program directed at future parents on postnatal depression symptoms in women considered at risk.
The specific aim is compare the depressive postnatal symptoms of the women in the
experimental group with the depressive postnatal symptoms of the women in the
control group.
Hypothesis: The women taking part in the prenatal group program (directed at future
parents, with 10 weekly sessions, and based on a psychosomatic approach) present, at
least a 6% lower rate of postnatal depression than women who did not take part, once assessed with the EPDS (≥12) scale 4 weeks after the birth.
Materials and method: This assessment study is a random, longitudinal clinical trial; it
starts from the first or second ultrasound scan of the pregnancy and concludes between
the 4th and 12th postnatal week.
Those taking part in the study are women of middle, low, or very low socioeconomic
status who have been identified as being at risk of PD, and their partners or husbands. All the women (n=529) fulfilling the criteria for being included during the selection period have been interviewed at the hospital on the same day as the antenatal scan. Only women
indicating a risk of PD were selected (n=184). They were then distributed into two
random groups (n=92) experimental group (EG) and (n=92) control group (CG) – by
means of a software program in which a statistic considering PD risk, according to the validated questionnaire developed by Riguetti-Veltema et al (2006) used in the interview,was applied. The experimental program consisted of 10 weekly sessions of two hours twenty minutes long; a telephone calls between sessions to be ensured the continuity of the participants in the program. The control group had access to the usual care and assistance. The experimental program started at the end of the second trimester of the pregnancy and was put into practice by specially trained midwives, who led the birth preparation sessions using a psychosomatic approach.
The variables associated to PD (not psychotic), such as, for example, prenatal depressive symptoms, social support, stress, and couple relationships were assessed before and after the birth (pre/post-test) in all the women from both study groups (EG and CG), using the EPDS scale (Cox et al,1987), the Functional Social Support Questionnaire (Broadhead et al, 1988), the stress test developed by Holmes and Rahe (1967), and the Spanier dyadic adjustment scale (1976). The prenatal data was gathered at the hospital where the women
received the questionnaire, which they filled in at home and returned on their following visit. The postnatal data was sent by mail by the women taking part in the study.
Results: Once the depression symptoms were assessed with the EPDS scale between the
4th and 12th postnatal week, and considering PD risk at the cutting point (≥ 12) of the
scale, the percentage of women with a risk of PD is 39.34%; globally, the women studied
have a high rate of risk of PD. We noticed that the two groups were comparable in all the prenatal variables, and that there is a difference in the EPDS (≥12) postnatal assessment of 11.2% between group C and group E (45.5% and 34.3%, respectively). In the postnatal analysis between both groups, the difference of means of the postnatal EPDS is 1.76( x =11.10 ±6.05 in group C and x =9.34 ±5.17 in group E); this difference only approaches the significance limit (p=0.08). This is due to several factors; the number of correctly filled-in questionnaires in the last part of the study, among them.The control group has an evolution without modifications between pre- and post-natal assessments, with a very slight increase in symptoms after the birth (t=-0.92 / P=0.36). In contrast, women
from the experimental group have a significant decrease in depression symptoms (t=2.50/P= 0.01), in comparison to the pre-test. Recommendations: The results obtained suggest we consider the following aspects: 1)measures to detect the risk of PD during the prenatal period should be applied, when women come for their antenatal scans, because practically all women are willing to be approached; it is possible to use, in that moment, a validated detection tool, since its effectiveness appears to be demonstrated; 2) although the prenatal group intervention seems effective, it is not a sufficient strategy to significantly prevent the risk of PD. Women identified at risk during the prenatal period, therefore, should be worked with on condition that the preventive program is prolonged after the birth, as other studies have indicated, and as the women under study have indicated with a strong demand for continuity; 3) individual interventions should be added for more serious cases; and finally, 4) it is necessary to increase social support for low-income, vulnerable women,because this variable is very related with the risk of PD.
Keywords : postnatal depressive symptoms, depression postnatal risk, social support,
stress, couple relationship, psychosomatic approach, randomized trial, prenatal group
programme, low socio-economic level women.
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A Comparison Of Eighth Grade Reading Scores By State And By The Four Census-defined Regions Identified By NaepGordon, William, II 01 January 2009 (has links)
This study provided information for policymakers and practitioners by comparing performance of eighth grade students in 2007 on state standardized reading assessments and by the four census-defined regions identified by NAEP. NCLB required states to set their own performance standards and to create their own data collection instruments resulting in increased transparency of student performance data and a lack of uniform accountability systems. The inability of educators, policy-makers, and the general public to make state-by-state comparisons in the area of reading was the catalyst for the study. NAEP data were collected from NCES and state performance data were collected from the USDOE SY 2006-2007 CSPR to determine if a relationship existed between eighth grade students' state scores and NAEP scores in the four census-defined regions. Data were further disaggregated by low socioeconomic students and by nonwhite students. A regression analysis was statistically significant in predicting: a) the state proficient and above scores from the NAEP proficient and above scores, b) the low socioeconomic state proficient and above scores from the NAEP proficient and above scores in the West census-defined region, and c) the nonwhite state proficient and above scores from the NAEP proficient and above scores in all regions. A regression analysis was not statistically significant in predicting low socioeconomic state proficient and above scores from the low socioeconomic NAEP proficient and above scores in the Midwest, South and Northeast regions.
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Barriers in acquiring basic english reading and spelling skills by Zulu-speaking foundation phase learnersMahabeer, Sandhya D. 11 1900 (has links)
This study focuses on the barriers that hinder the Zulu-speaking English second language learner in the Foundation Phase in acquiring basic reading and spelling skills. Nine hypotheses were developed from the literature study. Emanating from this, a quantitative empirical investigation, undertaken at various Foundation Phase schools in and around the greater Durban area, examined these barriers. A questionnaire was used as the main instrument in investigating these barriers.
The study highlighted the relationships between the various variables. These relationships were, in the main, found significant. The research has indicated that contextual, language, school and intrinsic factors are significantly correlated to the problems L2 learners experience in acquiring English reading and spelling skills. The limitations of this investigation were discussed and recommendations, based on these results, were forwarded. / Educational Studies / M. Ed. (Guidance & Counselling)
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Barriers in acquiring basic english reading and spelling skills by Zulu-speaking foundation phase learnersMahabeer, Sandhya D. 11 1900 (has links)
This study focuses on the barriers that hinder the Zulu-speaking English second language learner in the Foundation Phase in acquiring basic reading and spelling skills. Nine hypotheses were developed from the literature study. Emanating from this, a quantitative empirical investigation, undertaken at various Foundation Phase schools in and around the greater Durban area, examined these barriers. A questionnaire was used as the main instrument in investigating these barriers.
The study highlighted the relationships between the various variables. These relationships were, in the main, found significant. The research has indicated that contextual, language, school and intrinsic factors are significantly correlated to the problems L2 learners experience in acquiring English reading and spelling skills. The limitations of this investigation were discussed and recommendations, based on these results, were forwarded. / Educational Studies / M. Ed. (Guidance & Counselling)
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Intervensieprogram vir graad 1-leerders uit 'n lae sosio-ekonomiese omgewing / Intervensieprogram vir graad een leerders uit 'n lae sosio-ekonomiese omgewing / Intervention programme for grade 1 learners from a low socio-economic environment / Intervention programme for grade one learners from a low socio-economic environmentVan Wyk, Maria Magdalena 15 August 2012 (has links)
Abstract in Afrikaans and English / This study was initiated when the researcher became aware of the problem that learners from low socio-economic environments tend to experience barriers to learning in numeracy and literacy. These barriers were identified in a class of Grade 1 learners through extensive literature study, after which the development, teaching and learning of numeracy and literacy in grade 1 were investigated. The researcher then developed intervention programmes for literacy and numeracy, each running for a period of six weeks, in order to overcome learners’ difficulties in these learning areas. Each programme was subdivided into three shorter programmes of two weeks each, which addressed different aspects of literacy and numeracy. Each sub-programme was supplemented by a schedule of daily activities in order to reinforce learning.
Learners’ competence in literacy and numeracy was assessed before starting the programme and re-assessed at the end, using the same tests they had done at the beginning. Learners’ marks in both sets of tests were compared, which demonstrated their progress or non-progress after having participated in the intervention programmes. / Inleidend tot die studie word ‘n uiteensetting gegee van hoe die navorser bewus geword het van die navorsingsprobleem, wat as volg gestel word: Die navorser is bewus daarvan dat leerders uit ‘n lae sosio-ekonomiese milieu gewoonlik struikelblokke in leeraktiwiteite in gesyferdheid en geletterdheid ervaar. Deur literatuurstudie is die struikelblokke wat graad 1-leerders in geletterdheid en gesyferdheid ondervind, geïdentifiseer. Vervolgens is die ontwikkeling, onderrig en leer van geletterdheid en gesyferdheid volledig uiteengesit en intervensieprogramme in geletterdheid en gesyferdheid saamgestel om leerders se struikelblokke tydens leeraktiwiteite te bowe te kom.
Drie intervensieprogramme in geletterdheid en drie in gesyferdheid is saamgestel, wat elk vir twee weke gevolg is. Volledige skedules van daaglikse aktiwiteite wat by elke program uitgevoer is, is ook ingesluit. Leerders se bedrewenheid in geletterdheid en gesyferdheid is geassesseer voor daar met die programme begin is. Na afloop van die intervensieprogramme het leerders weer dieselfde toetse afgelê waardeur hulle vordering of nie-vordering bepaal kon word. Verskeie tabelle is saamgestel wat leerders se vordering aantoon. / Educational Studies / M. Ed. (Sielkundige Opvoedkunde)
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Managing for improved school effectiveness at selected primary schools in the Gauteng provinceKobola, Matshidiso Walter 01 1900 (has links)
The research study investigated management strategies through which school effectiveness could be enhanced in primary schools situated in Gauteng Province. The enhancement of school effectiveness necessitated the discussion on school improvement to find ways to turn around the situation in dysfunctional schools in the province. The province is characterised by urban and suburban areas, townships, and informal settlements. Teachers in schools in these areas are well qualified. However, different challenges in these areas impact upon the enhancement of school effectiveness. A literature review was conducted to provide a conceptual framework and explain concepts such as effective management, administration, leadership, principal effectiveness, and teacher effectiveness. The literature review also investigated the factors that impact upon school effectiveness and school improvement and explored the historical development of School Effectiveness Research (SER) in the United States of America, Europe, Australia, and Africa to expound the problem investigated. An empirical investigation using a qualitative approach was conducted. Six primary schools were selected using purposive sampling to ensure that different demographic areas were covered in the research. Purposive sampling allowed the researcher to target schools from high and low socio-economic areas because they often experience different challenges concerning to school effectiveness. Data were collected through individual interviews with principals and officials from the Gauteng Department of Education (GDE) at the district and teachers in focus groups. Key findings were identified. Participants from the three categories respectively identified several characteristics of effective schools which concurred with the literature on school effectiveness. They also identified two features of effective schools which were unique to the study: in effective schools, there is little or no learner and teacher absenteeism; and school values which shape the behaviour of learners are clearly articulated. School values include trustworthiness, respectfulness, honesty, responsibility, striving for excellence and good leadership. School effectiveness is hindered by the current process of appointing principals which does not always succeed in selecting principals with the required leadership qualities and management skills. Further, the incorrect implementation of the Integrated Quality Management System (IQMS) in schools hinders teacher development and leads to poor teacher performance. / Die navorsingstudie ondersoek bestuurstrategieë waardeur die effektiwiteit van primêre skole, geleë in die Provinisie van Gauteng verhoog kan word. Die verhoging van effektiwiteit in skole het die bespreking oor skoolverbetering genoodsaak om maniere te vind om die situasie in disfunksionele skole in die provinisie om te draai.
Die provinsie word gekenmerk deur landelike en stedelike gebiede, lokasies, en informele nedersetttings. Onderwysers van skole in hierdie gebiede is goed gekwalifiseerd. Verskeie uitdagings in hierdie gebiede het egter n uitwerking op die verhoging van effektiwiteit in skole. ʼn Literêre oorsig is uitgevoer om n konseptuele raamwerk te voorsien en om konsepte soos effektiewe bestuur, administrasie, leierskap, effektiwiteit van die skoolhoof, en onderwysers te verduidelik. ʼn Kwalitatiewe benadering is gebruik om die empiriese ondersoek uit te voer. Ses primêre skole is gekies en doelgerigte steekproefneming is gebruik om te verseker dat verskillende demografiese gebiede deel was van die navorsing. Doelgerigte steekproefneming het die navorser toegelaat om skole van hoë en lae sosio-ekonomiese gebiede te teiken omdat hulle dikwels verskillende uitdagings aangaande die effektiwiteit van skole ervaar. Data is versamel deur indivduele onderhoude met skoolhoofde en amptenare van Gauteng Onderwys Departement (GDE) by die distrik en deur fokusgroep onderhoude met onderwysers. Sleutelbevindinge was soos volg.
Deelnemers uit die drie kategoriëë het onderskeidelik geidentifiseer met verskeie eienskappe van effektiewe skole wat ooreenstem met die literatuur op effektiwiteit in skole. Hulle het ook twee kenmerke van effektiewe skole wat uniek was tot die studie geïdentifiseer: in effektiewe skole is daar min of geen afwesigheid van leerders en onderwysers; en skoolwaardes wat die gedrag van leerders vorm word duidelik verwoord. Skoolwaardes sluit betroubaarheid, respek, eerlikheid, verantwoordelikheid, strewe na uitenmendheid en goeie leierskap in. Effektiwiteit in skole word verhinder deur die huidge proses van aanstelling van skoolhoofde wat nie altyd daarin slaag om skoolhoofde te kies wat die nodige leierskap en bestuurseienskappe het nie. Verder, die verkeerde implementering van die Geïntegreerde Bestuurstelsel (IQMS) in skole belemmer die ontwikkeling en lei tot swak prestasie van onderwysers. / Dinyakisiso tse tsa go ithuta di be di tsomana le mekgwanakgwana ya bolaodi bja thuto go tiisetsa gore dikolo tsa motheo Profentsheng ya Gauteng di soma mesomo yeo e nepagetsego. Tiisetso ya go soma mesomonepagetsego ya sekolo e dirile gore go ahlaahliwe hlabollo ya dikolo go humana ditselana tseo ka tsona re ka hlabolang dikolo tseo di sa someng botse mo profentsheng. Profentshe ya Gauteng e na le dikolo tsa motsesetoropong le tsa mo go bego go dula batho basweu fela. Barutisi mo mafelong a ba na le di thuto tse maleba. Fela, dihlotlo tseo dileng gona mo mafelong a di huetsa tiistso ya go soma mesomonepagatso sekolong. Go dirilwe tekololeswa ya dingwalwa go hlalosa dikgopolo tse bjalo ka taolonepagatso, boetapele, mesomonepagatso ya hlogo ya sekolo le mesomonepagatso ya morutisi. Tekololeswa ya dingwalwa e nyakisisitse dintlha tseo di huetsang mesomonepagetso sekolong le hlabollo ya sekolo go lebeletswe tswetsopele ya dinyakisiso tsamesomonepagatso ya dikiolo dinageng tsa United States of America, Europa, Australia le Afrika go hlalosa bothata bjo bo nyakisiswago. Go dirilwe dinyakisiso ka poledisano go somiswa mokgwa wa kwalitetifi. Go kgethilwe dikolo tse tshela tsa fase ka go somisa kgetho ka maikemisetso go direla gore go akaretswe dikolo go tswa mafelong a go fapana. Kgetho ka maikemisetso e dumelela monyakisisi go tswa mafelong a batho ba go ba le sa bona le mafelong a batho ba go hloka sa bona ka ge ba itemogela dihlotlo tse fapaneng mesomonepagatso. Tshedimoso ye e kgobokeditswe ka dipoledisano le dihlogo tsa dikolo motho a le nosi le bahlankedi bammuso wa Kgoro ya Thuto ya Kgauteng motho a le nosi le dipoledisano ka sehlopha. Dintlha tsa dipoelo di be di le mo go latelago: Batseakarolo go tswa mafapeng a go fapana ba hlaotse diponagalo tsa dikolo tseo disomago ka nepagalo tseo di dumelelanago le tekololeswa ya dingwalwa. Gape ba hlaotse dipanagalo tse dingwe tsa moswana nosi: Dikolo tsa go soma ka nepagalo ga di na barutwana goba barutisi ba go se tle sekolong. Meano ya sekolo e akaretsa botshephegi, tlhompho, boikarabelo le go somela bobotse ka go fetisa le boetapele bjo bo botse. Mosomonepagatso ya sekolo e sitiswa ke tshepediso ya go thwala dihlogo tsa dikolo yeo ka nako tse dinwe e sitago ke go hlaola hlogo ya sekolo yeo e nago le boetapele le bolaodi bjo bo botse. Gape, go tsentshatirisong wo o fasagetseng wa tshepetso ya bolaodi bja hlabollo ya barutisi go sitisa tswelopele. / Educational Management and Leadership / Ph. D. (Education Management)
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