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La vérité chez Alasdair MacIntyre : heuristique, herméneutique, thématique

Rouard, Christophe 25 August 2008 (has links)
The theme of truth in the work of Alasdair MacIntyre has rarely been developed. The present thesis aims at filling this lack. In a long first part the goes in details through the whole of MacIntyre’s work with a special attention to the item of truth, which is omnipresent. This heuristic part leads to a hermeneutic part, in which the thought of the Anglo-Saxon philosopher is compared with that of Hans-Georg Gadamer - to whom he affirms to be widely indebted - in order to discern the proper of the Macintyrian researcher and that of his access to truth, which he considers as absolute. The unifying thread of it is the dichotomy Aristotle vs. Heidegger in Gadamer’s work. This dichotomy, which is suggested by the Anglo-Saxon philosopher, proves to be an important key of interpretation of his thought in the field of hermeneutic. In a third part the author studies a diversity of themes for a right understanding of the Macintyrian conception of truth: today’s context of plurality of traditions and civilisations, Macintyrian Thomism, the absolute and what is relative and truth as a good. This thematic part is built upon a confrontation with the thought of the second Hilary Putnam, that of "Reason, Truth and History", which is used as a safeguard in the work of MacIntyre when he tries to define the conception of truth in the tradition rationality. The author makes some critics of MacIntyre’s thought, notably on the credit given to human rationality: the Anglo-Saxon philosopher does not seem to understand the limits proper to it, on theoretical level and practical level as well. / Le thème de la vérité chez Alasdair MacIntyre restait trop peu connu. Cette thèse entend contribuer à combler ce manque. Dans une longue première partie, l’ensemble de l’œuvre macintyrienne est épluché en suivant le thème de la vérité, qui y est omniprésent. Cette partie heuristique débouche sur une partie herméneutique, où la pensée du philosophe anglo-saxon est confrontée à celle de Hans-Georg Gadamer, envers lequel il reconnaît une dette importante, afin de discerner quelle est la part propre de la situation de l’investigateur macintyrien et celle de son accès à la vérité, qu’il considère finalement comme étant absolue. La dichotomie Aristote vs Heidegger chez Gadamer en constitue le fil rouge. Cette dichotomie, suggérée par le philosophe anglo-saxon, s’avère être une clé d’interprétation importante de sa pensée dans le champ de l’herméneutique. Dans une troisième partie sont étudiés divers thèmes importants pour une juste compréhension de la conception macintyrienne de la vérité : le contexte contemporain de la pluralité des traditions et des civilisations, le thomisme macintyrien, le relatif et l’absolu, et la vérité comme (un) bien. Cette partie thématique est charpentée par une confrontation avec la pensée du second Hilary Putnam, celui de "Reason, Truth and History", qui sert en quelque sorte de garde-fou dans l’œuvre macintyrienne quand il s’agit de définir la conception de la vérité impliquée dans la tradition rationality. Certaines critiques de la pensée d’Alasdair MacIntyre sont faites, notamment en ce qui concerne le crédit qu’il accorde à la rationalité humaine : le philosophe anglo-saxon ne semble pas prendre la mesure des limites qui lui sont propres, tant au niveau théorique qu’au niveau pratique.
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La Force et son Double : l'écriture de la cruauté chez Antonin Artaud

Boivin, Jean-Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Du gène égoïste à la physiologie du phénotype étendu : vers une redéfinition des frontières de l'individualité biologique

Méthot, Pierre-Olivier January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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De la totalité radicale aux modes finis : l'ontologie moniste du multiple de Spinoza

Hotton, Alexis January 2013 (has links)
Le premier grand geste philosophique de l’Éthique de Spinoza consiste en un rejet de l'existence des substances individuelles au profit de la reconnaissance d'une substance unique qui englobe l’intégralité du réel au sein de sa propre causalité interne. Cette option moniste est l’une des grandes sources de critique du spinozisme. Selon ses détracteurs, ce dernier ruinerait soit toute pensée véritable des réalités individuelles en les écrasant sous un fond commun d'identité, soit toute conception authentique de Dieu, identifié à la substance unique, en le diluant dans l’infinité des modes. Tel est le coeur de la problématique de ce mémoire où nous proposons un examen des concepts fondamentaux de la métaphysique de Spinoza. De la substance unique aux modes finis en passant par les attributs et les modes infinis, nous parcourons l'itinéraire qui permet de penser ensemble le tout et la partie, la totalité radicale et les existences particulières. De surcroît, cette entreprise de recherche, à l’instar de l'Éthique elle-même, se double d'un questionnement sur la nature ontologique de l’homme et la possibilité réelle de son accès au salut. Ainsi, ce projet se conclut sur une analyse de la singularité du mode fini humain.
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Méthode et métaphysique chez Descartes / Method and metaphysics in Descartes

Paik, Joo-Jin 07 September 2017 (has links)
Descartes inaugure, dans le Regulae, l'idéal d'une science universelle par la méthode. La méthode cartésienne consiste avant tout à résoudre de la manière la plus parfaite possible les questions. Pour cela, il faut que l'esprit fonde sa solution sur l'expérience du réel tout en assurant qu'elle soit la solution la plus efficace possible. Dans ce sens, la méthode de Descartes comporte déjà un caractère métaphysique, car la recherche de la solution la plus efficace ne se sépare pas de la recherche d'une réalité absolue. La métaphysique cartésienne, étant le lieu où cet idéal de la méthode se réalise le mieux, fonde cette méthode sur l'expérience de la réalité absolue. Le cogito, ergo sum illustre le pouvoir de l'esprit de s'orienter par une expérience intérieure de l'esprit sur soi. Mais pour que ce pouvoir de l'esprit devienne une force productive du vrai, il faut que l'esprit participe à la puissance de Dieu tout en gardant son indépendance. Ainsi, la méthode s'étend jusqu'au fond de la métaphysique, si bien qu'elle devienne constitutive de l'unité de la métaphysique elle-même. / Descartes inaugurated, in the Regulae, the ideal of a universal science by method. The Cartesian method consists above all of solving the questions in the most perfect way possible. To do this, the mind must base its solution on the experience of the real while ensuring that it is the most effective solution possible. In this sense, Descartes' method already has a metaphysical character, for the search for the most effective solution is not separated from the search for an absolute reality. Cartesian metaphysics, being the place where this ideal of method is best realized, bases this method on the experience of absolute reality. The cogito, ergo sum illustrates the power of the mind to orient itself through an inner experience of the mind on oneself. But for this power of the mind to become a productive force of truth, the mind must participate to the power of God, while remaining independent. Thus the method extends to the heart of the metaphysics, so that it becomes constitutive of the unity of metaphysics itself.
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La métaphysique de Georges Gusdorf : métamorphoses et continuité de la conscience

Couturier, Marie-Claude January 2005 (has links)
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Apparences et dialectique dans le Sophiste de Platon

Zaks, Nicolas 23 April 2016 (has links)
Apparences et dialectique dans le Sophiste de Platon (résumé) A la différence des commentateurs qui estiment que seul le cœur du Sophiste (236d-264b), voire seule la partie constructive de ce cœur (251a-264b), est digne d’intérêt, j’ai tenté de produire, dans ma thèse de doctorat, un commentaire qui parvienne à articuler les différentes parties du Sophiste et à mettre en évidence leur unité. Pour restituer cette unité, il m’a semblé plausible et fécond de me concentrer sur la différence entre les apparences (ou les jugements perceptifs, cf. 264a-b), qui peuvent être vraies ou fausses, et la dialectique (ou la science suprême, cf. 253c), qui ne peut pas ne pas être vraie. Cette distinction correspond en effet à la distinction fondamentale et structurante pour le platonisme entre la doxa et l’epistêmê que les commentateurs semblent le plus souvent négliger quand ils interprètent le Sophiste. L’effort de ma recherche consistait donc à montrer que, dans le Sophiste, Platon, loin d’oublier que la science et l’opinion diffèrent, maintient une distinction entre, d’une part, l’expérience interrogative, dialogique et productive de la connaissance, dont le critère de vérité est la cohérence avec soi-même, et, d’autre part, l’acte prédicatif et propositionnellement structuré consistant à juger, dont le critère de vérité est la correspondance avec son objet empirique. La progression argumentative du Sophiste confirme une telle thèse. En effet, opérer le distinguo entre dialectique et apparences permet d’expliquer pourquoi, dans la coque du dialogue (216a-236d ;264b-268d), la méthode de division, qui est la méthode propre à la science dialectique, est appliquée au sophiste de sept façons différentes. C’est que l’étranger cherche, en entrelaçant méthodiquement des déterminations, à clarifier dialectiquement les différentes façons dont le sophiste apparaît à lui-même et à Théétète. Dans cette lecture, seules ces différentes apparences sont susceptibles d’être vraies ou fausses ;les entrelacements dialectiques qui permettent de les expliciter ne peuvent, quant à eux, qu’être vrais. En outre, la partie qui opère la transition de la coque au cœur du Sophiste (232b-236d) peut se lire comme une thématisation progressive du rôle de l’art sophistique dans la production des apparences qui le concernent. Il est vrai que cette partie transitionnelle est aussi l’occasion, pour l’étranger, de basculer vers le paradigme de l’image. Cependant, j’ai essayé de montrer que ce basculement intervient dans le but de réserver au sophiste la production d’apparences fausses intrinsèquement associées à tout type d’image et singulièrement aux simulacres. Quant à la partie aporétique (236d-251a) du cœur du Sophiste, elle se lit volontiers comme un travail extrêmement complexe de mise au jour des incohérences qui surgissent lorsque sont suivies, relativement à l’être et au non-être, les apparences non-conformes qui gouvernent les spéculations pré-platoniciennes. Restait à démontrer l’applicabilité de ma thèse à la partie constructive du cœur du dialogue. Schématiquement, j’ai cherché à montrer que le coup de force de l’étranger contre Parménide (251a-259d) n’a pas pour fonction d’établir une ontologie pour la prédication (comme on le croit le plus souvent), mais qu’il permet principalement d’assurer les conditions de possibilité de la dialectique (cf. 259d-260a). Une telle façon d’envisager les choses dissout la plupart des problèmes soulevés par la littérature secondaire concernant cette partie du Sophiste :puisque l’étranger ne considère pas que le mélange du Mouvement avec les autres très grands genres donne lieu à des « états-de-choses » complexes rendant vraies ou fausses des propositions structurées prédicativement, mais qu’il estime plutôt que ce mélange garantit la disponibilité d’un genre unique susceptible d’être divisé dialectiquement, il n’est plus nécessaire d’arracher du cœur du dialogue une distinction anachronique entre l’identité et la prédication (256a-b) ni d’y trouver à tout prix une explication de la prédication négative (257b-c) ou de la raison pour laquelle le Mouvement n’est pas prédicativement au repos (252d, 254d, 255a). Enfin, c’est seulement après avoir effectué ce coup de force garantissant la possibilité de la science dialectique que l’étranger peut, en adaptant sa nouvelle conception du non-être comme altérité à la structure des énoncés, des jugements et des apparences, démontrer la possibilité de la fausseté de ces phénomènes (260a-264b). Une telle logique argumentative conditionnant la fausseté de l’opinion à une clarification préalable de la science est en accord complet avec le programme annoncé par Socrate en Théétète 200c-d et confirme définitivement ma thèse. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Aliénation et absurde dans le "nouveau théâtre" : eugène Ionesco, Samuel Beckett, Arthur Adamov / Alenation and absurd in the "new theatre" : eugène Ionesco, Samuel Beckett, Arthur Adamov

Helberi, Mirela 14 December 2009 (has links)
Ayant vécu les grands désastres des deux guerres mondiales, trois dramaturges de cultures et d’horizons très divers, Eugène Ionesco, le Roumain, Samuel Beckett, l’Irlandais et Arthur Adamov, l’Arménien, se fraient un chemin à part dans lepaysage théâtral des années 1950, exprimant leur sentiment d’aliénation face à un monde incompréhensible et irrationnel où l’homme vit l’expérience irrémédiable de l’absurde. Peignant, chacun à sa manière, la condition de l’être jeté dans le tourbillon existentiel, condamné à mener une existence absurde qui le dépossède de lui-même, ils construisent,en même temps, un théâtre « nouveau », métaphysique, symbolique et allégorique, basé sur une réutilisation de procédés esthétiques et dramatiques très anciens, au service d’une réflexion philosophique neuve, moderne, très proche de la philosophie existentialiste. L’hypothèse d’interprétation du caractère allégorique de ce « nouveau théâtre» interroge l’existence comme acte d’une possible liberté éprouvée dans la confrontation avec l’aliénation et l’absurde, capable de l’éclairer et de lui donner un sens, à travers l’analyse de ses strates successives : les fondements philosophiques et dramatiques, la perception de l’espace théâtral qui fait découvrir des êtres dépersonnalisés aux propos désarticulés, présentés dans une durée déstructurée, par le jeu de pulsions premières. / Having lived through the tremendous disasters of the two world wars, three playwrights from different cultural backgrounds with different views, Eugene Ionesco the Romanian, Samuel Beckett the Irish and Arthur Adamov the Armenian opened up a new way in the 1950’s theatrical scenery, by expressing their feeling of alienation in an incomprehensible and irrational orld where human beings live the incurable experience of the Absurd. Exposing, each one in his particular manner, the condition of the human being thrown into the abyss of life, condemned to a meaningless existence which leads inevitably to strangement, the three playwrights are also building a “new”, metaphysical, symbolic and allegorical theatre, based on old raditional aesthetic and artistic procedures, yet serving a modern philosophical approach, profoundly related to existentialism. The interpretative hypothesis of this new allegorical theatre questions human life as a possible act of liberty tested in its confrontation with the feelings of alienation and absurd, capable of enlightening it by giving it meaning, throughout the analysis of each and every one of its successive strata: the philosophical and dramatic basis, the perception of the theatrical space, unveiling estranged human beings using distorted speech, presented in a devastated duration by the means of primary urges.
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Un espace-temps de contingences / Contingencies within space-time

Le Bihan, Baptiste 24 June 2015 (has links)
La théorie qui sert de point de départ à ce travail en métaphysique du temps est la théorie de l’univers-bloc, théorie fortement suggérée par la physique selon laquelle nous vivons dans un espace-temps à quatre dimensions. Selon cette théorie, le présent n’est pas la seule réalité : le passé et le futur sont tout aussi réels que le présent. Or, si le futur est aussi réel que le présent, l’avenir semble alors déterminé. Cette thèse explore certaines pistes pour montrer au contraire que le futur peut à la fois exister et être contingent dans le cadre de la théorie de l’univers-bloc. Après avoir exploré la solution qui consiste à réifier une pluralité de futurs possibles, sorte de réalisme modal, je proposerai une solution actualiste alternative basée sur une théorie conventionnaliste des modalités métaphysiques. Selon cette dernière théorie, les modalités métaphysiques sont purement conventionnelles. Je montrerai que la nécessité de l’occurrence du futur dans le cadre de la théorie de l’univers-bloc est une nécessité conventionnelle, fondée dans le langage. Couplée à un réalisme des modalités naturelles (les modalités causales et/ou nomologiques), cette théorie permet de défendre que le futur est conventionnellement fermé et naturellement ouvert dans la mesure où il existe, indépendamment du langage, des relations de contingence naturelle entre le présent et le futur. Cette solution a pour coût, à travers le conventionnalisme modal, de rejeter les essences et donc les objets ordinaires et les particules physiques. Je montre cependant que ce coût est acceptable et qu’il s’agit même d’une conséquence bienvenue. / I begin by giving reasons to accept the block-universe view, the strongly supported by physics view that we live in a four-dimensional world. According to it, the past and the future are as real as the present. But then, it seems that the future is determined in the sense that what will be the case will necessarily be the case. In the dissertation, I want to examine whether we have to accept this consequence. I show that we do not have to bite the bullet: the future might be both real and contingent. I first start to consider modal realism (possible futures are real) as a possible solution. However, I propose then another account, actualist (positing the reality of only one possible world: the space-time we live in). This solution relies on a conventionalist theory about metaphysical modality. It states that modal modality is purely conventional. In combination with a realist interpretation of natural modality (causal and/or nomological), this framework allows me to propose that the future is conventionally closed and naturally contingent. In this view, the necessity of the future holds in virtue of linguistic conventions and then is conventionally necessary. But this is a distinct phenomenon from the natural contingency of the future: the future is naturally contingent because there are mind-independent probabilistic relations holding between the present and the future. This solution has strong consequences: most importantly, an anti-realist view about ordinary objects and physical particles. I end up by presenting and arguing in favor of the general image of the world that comes out from these views.
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Genèse et évolution du principe de raison suffisante dans l’oeuvre de Leibniz / Genesis and evolution of the principle of sufficient reason by Leibniz

Lalanne, Arnaud 12 December 2013 (has links)
Cette étude porte, dans la première section, sur l’identification des sources auxquelles Leibniz se réfère pour établir le principe de raison. Cinq traditions principales apparaissent : la tradition de la « Regula Platonis », celle de la « topica aristotelica », celle des Stoïciens « de Fato » et du « milieu de Chrysippe », celle des Chrétiens à travers la « formule johannique » et celle des Modernes que Leibniz a croisée dans sa formation universitaire et scientifique. Dans la seconde section, nous étudions les cinq phases d’évolution des formulations du principe de raison : la phase 1 (1663-1677) où Leibniz détermine les domaines de la raison suffisante ; la phase 2 (1678-1685) où il constitue les principes des vérités ; la phase 3 (1686-1696) où il invente le « principe de la raison à rendre » ; la phase 4 (1697-1706) où il invente le « principe de la raison suffisante » et la phase 5 (1707-1716) où le principe de raison devient un principe de défense de la cause de Dieu et de la métaphysique. / In its first section, this study aims at identifying the sources which Leibniz refers to in order to establish the principle of reason. Five main traditions come out: first the tradition of the “Regula Platonis”, then the one of the “topica aristotelica”, that of the Stoics “de Fato” and of the “Chrysippus milieu”, also the Christian one through the “Johanical formulation”, and finally that of the Moderns that Leibniz encountered during his academic and scientific education. In the second section, we have studied the evolutions of the formulations of the principle of reason. Five phases can be distinguished : phase 1 (1663-1677) in which Leibniz defines the fields of the sufficient reason ; phase 2 (1678-1685) in which he establishes the principles of the truths ; phase 3 (1686-1696) in which he coins the « principium reddendae rationis » ; phase 4 (1697-1706) in which he coins the « principle of the sufficient reason » and phase 5 (1707-1716) in which the principle of reason becomes a principle of defence of the “causa dei” and of metaphysics.

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