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Contribution à l'étude de la céramique islamique : analyse du matériel archéologique de RAHBA - MAYADIN (Syrie, vallée de l'Euphrate)

Rousset, Marie-Odile 10 January 1997 (has links) (PDF)
La synthèse des travaux réalisés sur les sites de Mayadin et de Rahba, de 1976 à 1979, études de terrain et de la céramique, confirme les données textuelles. La ville de Rahba, au bord du fleuve, a bien été construite à l'époque abbasside, dans la première moitié du IXe siècle. L'abandon de cette première ville se situe au moment où les textes ne font référence qu'à la citadelle et à son rôle défensif, face aux invasions mongoles. L'évolution de la seconde ville de Rahba, au bord du plateau, est étroitement liée à l'activité de la citadelle.<br />La période des Xe-XIe siècles, mal connue sur d'autres sites, est relativement bien représentée à Rahba. Un atelier de fabrication de céramique en est la principale illustration. L'étude des produits a permis de mettre en évidence des influences perses. Leur répartition, dans la moyenne vallée de l'Euphrate, correspond au territoire dominé par les Mirdasides, pendant la période d'indépendance de Rahba.<br />Pour la période de la fin du XIe au XIIIe siècle, les plans des bâtiments mis au jour sont originaux : à l'époque seljoukide - zankide, les maisons, de plan carré, sont organisées autour d'une cour centrale sur laquelle s'ouvrent des iwans. Ces plans sont très proches de modèles afghans. Leur évolution à l'époque ayyoubide reflète le souci d'adapter les logements à une concentration de la population.<br />Le grand bâtiment sondé au pied de la citadelle, dans la seconde ville de Rahba, est un exemple d'architecture publique, probablement une mosquée.<br />Enfin, l'analyse de la place de Rahba au sein des différentes zones de distribution des céramiques, à travers les époques, met en valeur l'évolution des échanges économiques dans la moyenne vallée de l'Euphrate et l'importance des ensembles géopolitiques successifs.
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Raconter le haschich dans l’époque mamelouke : étude et édition critique partielle de la Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ de Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489) / Stories of hashish eaters in the Mamlūk period : a study and a partial critical edition of the Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ of Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489)

Marino, Danilo 29 May 2015 (has links)
Dans cette étude nous cherchons à explorer le lien entre haschich et humour par l'analyse du corpus des récits arabes contenus dans la Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ (“Le repos des âmes dans le haschich et le vin”) de Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489). L'originalité de cette anthologie qui existe en quatre manuscrits dont seulement deux étaient connus à la critique, découle du fait qu'elle est le plus ancien recueil en langue arabe de textes en prose et en vers inspirés du haschich. Dans la première partie, nous abordons le haschich d'un point de vue historique, médicale et juridico-religieux. Longtemps utilisé en médicine et pour la fabrication de cordes et tissus, on ignore quand le cannabis (qinnab) est passé de médicament à substance enivrante et récréative. Cependant l’utilisation de cette herbe était devenue un problème social, si entre le VIIe/XIIIe et le VIIIe/XIVe siècle plusieurs oulémas y consacrèrent des écrits, tant qu'ils l'incluront dans la liste des munkarāt, (les choses blâmables, défendues), à côté du vin (ḫamr), de la fornication (zinā) et de l’homosexualité (liwāṭ). Parallèlement, la littérature n’a pas manqué de représenter l’expérience de psychotropes. Et c'est autour des enjeux littéraires soulevés par cette substance que nous centrons la deuxième partie de notre travail. Par l'étude d'un certain nombre de motifs nous montrons que le personnage du ḥaššāš fonctionne comme un «catalyseur thématique» des motifs littéraires auparavant associés aux ivrognes, aux stupides ou aux fous. L’ordre que nous avons suivi est: la méprise, la stupidité et folie, le rapport au rêve et à l’imaginaire et l'avidité. Nous concluons sur le fait que le passage à la littérature du motif du mangeur de haschich représente le processus de cristallisation d’une figure narrative à potentiel fortement humoristique, née dans la première époque post-abbasside et dérivée d’une série de matériaux narratifs attribués auparavant à d’autres figures littéraires. / In this study we explore the link between hashish and humor through the analysis of Arabic stories contained in the Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ (“The delight of the souls on hashish and wine”), written by Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489), that exists in four manuscripts of which only two were known until now. This work, of which no complete edition has been established yet, seems to be the oldest and most comprehensive Arabic anthology containing poetry and anecdotes inspired by hashish. In the first part we discuss hashish from a historical, medical, legal and religious perspective. Early on, hashish was used in medical treatments and for the manufacture of ropes and fabrics but it is not clear when cannabis (qinnab) has changed from a remedy into an intoxicating and a recreational substance. However, the use of this herb had become a social problem, since between the VIIth/XIIIth and the VIIIth/XIVth centuries several ʿulamā’ wrote about it and the consumption of hashish was considered among the munkarāt (forbidden or reprehensible actions), as well as wine (ḫamr), fornication (zinā) and homosexuality (liwāṭ). Literature quickly represented the psychotropic experiences. Thus the aesthetics of hashish consumption is the main issue of the second part of our study. There, we focus on some comic motifs that appear in a number of anecdotes and we prove that the ḥaššāš character acts as a «thematic catalyst» of literary motifs which were associated in classical Arabic literature with drunkenness, insanity and foolishness. Thus, the order of our presentation is: the mistake; hashish, insanity and foolishness; dream and imagination and finally food and avidity. We infer from this, that the hashish eater as literary motif represents the process of crystallization of a humorous narrative character that took shape during the first part of the post-abbasid period and developed from a series of narrative materials earlier attributed to other literary figures.
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Raconter le haschich dans l’époque mamelouke : étude et édition critique partielle de la Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ de Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489) / Stories of hashish eaters in the Mamlūk period : a study and a partial critical edition of the Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ of Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489)

Marino, Danilo 29 May 2015 (has links)
Dans cette étude nous cherchons à explorer le lien entre haschich et humour par l'analyse du corpus des récits arabes contenus dans la Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ (“Le repos des âmes dans le haschich et le vin”) de Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489). L'originalité de cette anthologie qui existe en quatre manuscrits dont seulement deux étaient connus à la critique, découle du fait qu'elle est le plus ancien recueil en langue arabe de textes en prose et en vers inspirés du haschich. Dans la première partie, nous abordons le haschich d'un point de vue historique, médicale et juridico-religieux. Longtemps utilisé en médicine et pour la fabrication de cordes et tissus, on ignore quand le cannabis (qinnab) est passé de médicament à substance enivrante et récréative. Cependant l’utilisation de cette herbe était devenue un problème social, si entre le VIIe/XIIIe et le VIIIe/XIVe siècle plusieurs oulémas y consacrèrent des écrits, tant qu'ils l'incluront dans la liste des munkarāt, (les choses blâmables, défendues), à côté du vin (ḫamr), de la fornication (zinā) et de l’homosexualité (liwāṭ). Parallèlement, la littérature n’a pas manqué de représenter l’expérience de psychotropes. Et c'est autour des enjeux littéraires soulevés par cette substance que nous centrons la deuxième partie de notre travail. Par l'étude d'un certain nombre de motifs nous montrons que le personnage du ḥaššāš fonctionne comme un «catalyseur thématique» des motifs littéraires auparavant associés aux ivrognes, aux stupides ou aux fous. L’ordre que nous avons suivi est: la méprise, la stupidité et folie, le rapport au rêve et à l’imaginaire et l'avidité. Nous concluons sur le fait que le passage à la littérature du motif du mangeur de haschich représente le processus de cristallisation d’une figure narrative à potentiel fortement humoristique, née dans la première époque post-abbasside et dérivée d’une série de matériaux narratifs attribués auparavant à d’autres figures littéraires. / In this study we explore the link between hashish and humor through the analysis of Arabic stories contained in the Rāḥat al-arwāḥ fī l-ḥašīš wa-l-rāḥ (“The delight of the souls on hashish and wine”), written by Badr al-Dīn Abū l-Tuqā al-Badrī (847-894/1443-1489), that exists in four manuscripts of which only two were known until now. This work, of which no complete edition has been established yet, seems to be the oldest and most comprehensive Arabic anthology containing poetry and anecdotes inspired by hashish. In the first part we discuss hashish from a historical, medical, legal and religious perspective. Early on, hashish was used in medical treatments and for the manufacture of ropes and fabrics but it is not clear when cannabis (qinnab) has changed from a remedy into an intoxicating and a recreational substance. However, the use of this herb had become a social problem, since between the VIIth/XIIIth and the VIIIth/XIVth centuries several ʿulamā’ wrote about it and the consumption of hashish was considered among the munkarāt (forbidden or reprehensible actions), as well as wine (ḫamr), fornication (zinā) and homosexuality (liwāṭ). Literature quickly represented the psychotropic experiences. Thus the aesthetics of hashish consumption is the main issue of the second part of our study. There, we focus on some comic motifs that appear in a number of anecdotes and we prove that the ḥaššāš character acts as a «thematic catalyst» of literary motifs which were associated in classical Arabic literature with drunkenness, insanity and foolishness. Thus, the order of our presentation is: the mistake; hashish, insanity and foolishness; dream and imagination and finally food and avidity. We infer from this, that the hashish eater as literary motif represents the process of crystallization of a humorous narrative character that took shape during the first part of the post-abbasid period and developed from a series of narrative materials earlier attributed to other literary figures.
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Le druzisme au IXe/XVe siècle : entre hagiographie sayyidienne et réalités sociales / Druzism in the 9 th/15th century : between Sayyidian hagiography and social realities

Halawi, Wissam 03 December 2016 (has links)
L’historiographie traditionnelle considère que le druzisme – entendu comme la doctrine religieuse du tawḥīd propre aux Druzes – a connu son apogée au IXe/XVe siècle grâce à l’enseignement et à la direction spirituelle d’al-Sayyid (m. 884/1479). La présente étude a pour objectif d’analyser cette construction d’une figure mythifiée de grand saint et d’un récit peu ancré dans les réalités sociales au niveau local. Une telle révision est rendue possible par un double renouvellement : une lecture critique des sources et un élargissement du corpus à des manuscrits druzes inédits. Confronter les hagiographies sayyidiennes aux chroniques locales permet de distinguer entre les Vitae du saint et le personnage historique d'al-Sayyid, afin d’étudier sa vision, son action et son autorité dans les contrées syriennes du Ġarb et du Šūf. Les traités de droit druze livrent par ailleurs des indications précieuses sur l’organisation nouvelle mise en place par ses disciples après sa mort et sur le fonctionnement des communautés druzes au niveau local. Enfin l’articulation du pouvoir religieux des initiés avec le pouvoir politique des émirs ḥusaynides, issus des Banū Buḥtur, est révélatrice des formes de légitimation qui apparaissent alors. / Traditional historiography considers that Druzism – understood as the religious doctrine of tawḥīd specific to the Druzes – had its heyday in the 9th/15th century through teaching and spiritual guidance from al-Sayyid (d. 884/1479). The present study aims to analyse this construction of a mythical figure of a great saint as well as that of a narrative scarcely rooted in the local social realities. Such a revision was made possible by double-renewal: a critical reading of the sources and the enrichment of the corpus with unpublished Druze manuscripts. Confronting Sayyidian hagiographies to local chronicles allows us to distinguish between the Vitae of the saint and the historical character of al-Sayyid, and thus to study his vision, action, and authority in the Syrian regions of the Ġarb and Šūf. The Druze law treaties also give valuable information on the new organisation implemented by his followers after his death as well as the functioning of Druze communities at the local level. Finally, the articulation of the religious power of initiates with the political power of the Ḥusaynid emirs from the Banū Buḥtur, reveals the forms of legitimation which then appear.
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L'expansion urbaine de Damas extra muros depuis l'époque seldjukide jusqu'à la fin de l'époque mamelouke : l'exemple de quartier d'al-Midan / Extramural expansion of Damascus from the Seljukid period to the Mamluk period : the example of the quarter of al-Midan

Dayoub, Bassam 21 October 2016 (has links)
Le quartier d'al-Mïdan est un exemple judicieux pour présenter l'histoire et le développement de l'expansion urbaine extra-muros de la ville de Damas. En effet, son expansion s'est poursuivie sans interruption au fil des siècles. Longeant la Rue principale vers la Terre Sainte, l'Égypte et la Palestine, ce quartier a été divisé en trois parties (Nord, Centre et Sud) afin d'en faciliter son étude. Le quartier s'est développé à partir des villages des premières tribus arabes installées aux alentours de la muraille (VIIe et VIII siècle). La partie Nord a été le premier secteur du quartier à connaître un vrai essor dans son urbanisation jusqu'à l'époque ayyoubide (570-658/1174-1260) où le Musalla a été transformé en mosquée (en 606/1211) et où la partie centrale a connu un noyau d'urbanisation. A l'époque Mamelouke (658-923/1258-1516), le village al-Qubaybat est apparu dans le Sud avec sa mosquée, la Mosquée al-Karïmï (en 718/1318). Par la suite, la Mosquée de Manjak a été érigée (avant 826/1423) dans le secteur Central qui a intégré la partie Nord. Suite à cela, al-Qubaybat a perdu son indépendance en intégrant l'unité spatiale du quartier avant l'arrivée des ottomans (en 923/1516). L'étude architecturale de l'ensemble des monuments du quartier d'al-Mïdan révèle une identité spécifique avec, d'une part, l'absence totale de madrasa et, d'autre part, la présence de mausolées mamelouks à deux coupoles. Par ailleurs, le quartier présente le seul exemple dans l'architecture damascène d'un édifice proche du type« sabïl- maq'ad », bien connu au Caire d'époque mamelouke. Les sources historiques et les documents écrits des archives fournissent des listes importantes de monuments du quartier disparus de nos jours. Cela s'ajoute à la liste issue des travaux sur le terrain et permet d'avoir une vue plus complète sur l'histoire de l'urbanisation du quartier. La société a été composée de plusieurs classes: les notables (al-Kubartiou al-A 'yiin) qui ont collaboré avec les militaires pour contrôler les peuple (al-'Amma), sans oublier les grand commençants et les milices locales appelées « al-Zu 'ur ». Le pouvoir était représenté par un walï, qui avait la responsabilité de le contrôler, d'y maintenir l'ordre et de collecter les impôts. Ce dernier était soutenu dans sa mission par deux autres personnages : le Shaykh al-hara, qui en général était choisi par le pouvoir parmi les élites ou les personnes puissantes du quartier, et le 'Arif al-hara, qui était un des chefs des milices locales « al-Zu 'ur ». / The district of al-Mïdan is a perfect example to present the history and development of the extramural expansion of the city of Damascus. Indeed, its expansion has continued without interruption for centuries. On both sides of the main road to the Holy Land and Egypt, the area was divided into three sections (North, Central and South) to facilitate its study. The district started to develop from the villages of the first Arab tribes settled a round the wall (seventh and eighth century AD). The northern part was the first sector to experience a real momentum in its urbanization in the Ayyubid period (570-658 / 1174-1260), where the Musalla was converted into a mosque (in 606/1211) and the central part became the core of urbanization. ln Mamluk times (658-923 / 1258-1516), the town of al-Qubaybat appeared in the South with its al­Karimï mosque (in 718/1318). Thereafter, the Jamï Manjak was erected (before 826/1423) in the central area which then incorporated the northern part. Subsequently, al-Qubaybat lost its independence by incorporating into the spatial unity of the area before the arrival of the Ottomans (in 923/1516). The architectural study of the monuments in the district of al-Mïdan reveals a specific identity, total lacking madrasas on the one hand, and on the other band, including: Mamluk mausoleum with two domes. Furthermore, the district has the only example in Damascus of a building approximating to the type "sabïl­maq'ad", well known under the Mamluks in Cairo. The historical sources and written documents of the archives provide important lists of monuments today disappeared. This can be added to the list of the monuments studied and provides a more comprehensive view of the area's urbanization. The social organization was composed of several classes: the notables (al-Kubariï or al-a’yan) who worked with the military to control the people (al-'Amma), without forgetting the well known merchants and local militias called "al-Zu'ur ". The authority was represented by the walï, who was responsible for control, maintaining order and collecting taxes. The walï was supported in his mission by two other persons: Shaykh al-hara, who in general was chosen by the authorities among the elites or powerful people in the district, and the 'Arif al- hara, who was a leader of local militias "al-Zu'ur".

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