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Gaza City : analyse de transformations urbaines : 1917 - 2011 / Gaza City : analysis of urban transformations : 1917 - 2011

Hansen, Kurt 05 February 2013 (has links)
L’étude menée ici prétend clarifier certains problèmes-clés pour la compréhension des processus actuels qui affectent l'aménagement spatial de la ville de Gaza, et qui ont remodelé la ville depuis l’époque du Mandat britannique jusqu'à la fin de 2011, aujourd’hui conditionné par la situation politique et géographique des Territoires Palestiniens Occupés.La ville de Gaza est le centre économique et administratif de la Bande de Gaza. Son développement urbain relève de cinq différentes administrations qui gèrent la ville selon des stratégies différentes. L’Empire ottoman n’a pas été inclus dans larecherche parce qu’il aurait nécessité une étude à lui tout seule. Une approche diachronique n’aurait pas permis une analyse du développement urbain de la ville. Le tissu urbain, surtout dans le centre historique est, pourrait-on dire, de nature organique, sans grille de distribution et où rues et cul-de-sac résultent d’une parcellisation progressive. Dans de nombreux blocks la trame ancienne et la réimplantation moderne se superposent avec une densité exceptionnelled’occupation des sols. Le mot block relève du cadastre et n’a pas de signification morphologique : pour cette raison, il sera toujours en italiques.La thèse analyse la transformation de la ville à travers les permis de construire, et présente le contexte historique de la ville, de la fin de période ottomane à la transition avec le Mandat Britannique. La création de la Bande de Gaza aconditionné le développement urbain de la ville jusqu’à nos jours. L’étude a été arrêtée à la fin de 2011. L’étude aboutie est le fruit d’un va-et-vient entre les données qualitatives, issues d’entretiens plus ou moins fiables, les données empiriques des permis de construire, les plans et la documentation photographique / The research project attempts to elucidate certain key issues in the understanding of process affecting urban planning of the city of Gaza and that have shaped its image since the days of the British Mandate rule until today, 2011, in the light ofthe particular political and geographic situation that condition life in the occupied Palestinian territories.Gaza city is the economic and administrative centre of the Gaza Strip. Its present urban situation has as its basis the five different administrations that have influenced the city through different strategies. We have not been so ambitious asto deal with the Ottoman Empire, as it would have needed a full research on its own. A diachronic approach would not have been useful for the analysis of the city. Its urban fabric, in particular in the old core is « organic » with no regular gridpattern and many dead-end streets that are the result of progressive haphazard parcelling. In many of its blocks the old fabric and the modern are superimposed with intense land-use density. The word block is used in the cadastral sense andnot in its morphological meaning: for this reasons it is always written in italics.The text analyses the transformation of the city through its building permits, presenting as contextual support the historical growth of the city from the end of the Ottoman rule to the transition to the British Mandate, to the creation of the Gaza Strip that has conditioned the next 60 years of planning in the city. The data utilised for the research stops at the end of 2011 although there are echoes of 2012 events, since the researcher is often in Gaza and is permeated by the reality of the city. The study is the product of a movement between qualitative data from the interviews, the empirical data of the building permits, maps and photographic documentation
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Le Saint-Siège face à la « question de Palestine », de la déclaration Balfour à la création de l’état d’Israël / The Holy See faced with the « Palestinian question », from the Balfour declaration to the creation of the state of israel

Mayeres-Rebernik, Agathe 25 January 2011 (has links)
L’objet de notre recherche est de définir la politique du Saint-Siège face à la « Question de Palestine », durant la période qui va de la Déclaration Balfour (1917) à la création de l’État d’Israël (1948). À ce moment précis de l’Histoire où les Britanniques s’apprêtent à recevoir de la Société des Nations un mandat plaçant la Palestine sous leur tutelle, la « renaissance » d’Israël pose à l’Église catholique un double problème. Sur le plan politique, les pressions des diplomaties arabes et de la Congrégation pour l’Église orientale empêchent toute ouverture vers la création d’un État hébreu, le Vatican redoutant que les chrétiens arabes n’en paient le prix. Sur le plan théologique, le retour du peuple juif sur la Terre de la promesse pose à l’Église une question inédite. Cette restauration temporelle ne démontre-t-elle pas en effet que l’Alliance entre Dieu et le peuple d’Israël reste valide ? Et si Israël demeure le peuple élu, quelle est la raison d’être de l’Église ? Si le christianisme est par essence universel, il n’est pas pour autant dissocié de l’Histoire, et notamment de celle du peuple d’Israël « dont le Christ est issu selon la chair » (Rm 9, 3-5). Il s’agit donc de comprendre le particulier enchevêtrement du temporel et du spirituel dans cette région tourmentée du monde qu’est le Proche-Orient. / The object of this research is to define the policy of the Holy See faced with the “Palestinian Question” during the period dating from the Balfour Declaration (1917) to the creation of the State of Israel (1948). At the precise moment in history when the British received a mandate from the League of Nations placing Palestine under their tutelage, the “rebirth” of Israel posed a dual problem for the Catholic Church. On the political front, the pressures imposed by Arab diplomats and the powerful voice of the Congregation of Eastern Churches prevented any talk of creating a Jewish state, the Vatican's stance being that Christian Arabs should not pay the price for this. On the theological front, the return of the Jewish people to the Promised Land posed a new question for the Church. Did not this return prove that the relationship between God and the people of Israel was still valid ? If Israel remained the chosen people what would be the justification for the Church? If Christianity is essentially universal this does not disassociate it from its history, especially that of the people of Israel "of whom as concerning the flesh Christ came " (Rm 9: 3-5) It is therefore important to understand the particular overlap of politics and religion in this troubled region of the world which is the Middle East.
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LA MEMOIRE ET L'OUBLI A ARTAS : UN ELEMENT DE L'HISTOIRE RURALE DE LA PALESTINE, 1848-1948

Ida Falestin, Naili 13 October 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de la mémoire et de l'oubli des habitants d'Artas, un village situé dans une vallée fertile proche de Bethléem. Elle porte plus particulièrement sur les récits mémoriels à propos de cent ans d'histoire du village et à propos de la présence occidentale plus précoce dans ce village qu'ailleurs en Palestine ottomane. La liste des Occidentaux qui ont marqué par leur présence le village d'Artas inclut des colons millénaristes européens et nord-américains, la famille d'un missionnaire alsacien, un couvent catholique, des colons sionistes, des chercheurs spécialisés en études bibliques et en folklore, ainsi que l'anthropologue finlandaise Hilma Granqvist. L'attrait d'Artas pour ces personnes tenait généralement à son lien avec les jardins de Salomon nommés Etham et mentionnés dans l'Ancien Testament, mais au-delà de cet attrait, ces individus et ces groupes ont suivi des projets différents à Artas et ont entretenu des rapports différents avec la population locale. L'histoire de cette présence occidentale et la manière dont elle a été intégrée à la mémoire collective des villageois est analysée dans un va-et-vient entre sources archivistiques et sources orales et ceci à l'aide d'une méthodologie qui combine l'histoire sociale et l'anthropologie. Des entretiens menés auprès de réfugiés originaires d'Artas résidant aujourd'hui principalement à Amman, en Jordanie, et aussi auprès de descendants du missionnaire alsacien, font émerger les significations attribuées à cette histoire partagée d'une rencontre interculturelle. Les habitants contemporains d'Artas et les réfugiés originaires d'Artas qui résident aujourd'hui à Amman semblent avoir écarté la mémoire des colons millénaristes alors qu'ils ont soigneusement préservé la mémoire de deux Européennes qui ont vécu au village pendant de nombreuses années, au début du 20e siècle : Louise Baldensperger, fille d'un missionnaire alsacien, et Hilma Granqvist. Granqvist a même inspiré de manière posthume un habitant du village à créer un centre du patrimoine à Artas basé sur une conception nationaliste du patrimoine paysan et une volonté de mettre ce patrimoine au profit de projets de développement, notamment dans le domaine du tourisme.

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