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Computerlinguistische Studie an 315 altägyptischen Göttersprüchen /Gaudenz, Ulrich. January 1900 (has links)
Diss.--Linguistik--Zürich, 1979. / Bibliogr. f. 193-194. Glossaire.
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Les formes brèves de la description morale : quatrains, maximes, remarques /Tourrette, Éric, January 2008 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Langue et littérature française--Lyon 3, 2004. Titre de soutenance : Une écriture du discernement : enquête sur les formes brèves de la description morale, 1574-1701. / Bibliogr. p. 501-511. Index.
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Les Maximes de la Rochefoucauld en anglais : pour une linguistique de l’aphorisme / La Rochefoucauld’s Maxims in English : towards a linguistic study of aphorismsDegoute, Mathias 12 June 2010 (has links)
Cette thèse porte sur les traductions anglaises des Maximes de La Rochefoucauld et explore par ce prisme les propriétés linguistiques, pragmatiques et stylistiques de ces énoncés autonomes que sont les aphorismes. Notre étude compare la maxime à d’autres types d’aphorismes tels que les proverbes, adages, dictons et autres mots d’esprit que l’on trouve aussi dans la littérature anglophone. Une réflexion sur la forme des maximes est menée au travers de deux approches. L’une, contrastive, compare la version originale du livre de La Rochefoucauld à huit de ses versions anglaises. Une analyse des écarts entre formulations françaises et anglaises permet d’éclairer l’existence d’une vision très différente de l’aphorisme entre les deux langues. Ces conceptions de la maxime divergent du point de vue de la rhétorique mais aussi de la réception. L’autre approche est génétique : nous nous penchons sur l’élaboration de l’œuvre au travers d’une étude des variantes des maximes que nous livrent les manuscrits et la correspondance de l’auteur. Nous en tirons la conclusion que l’écriture des maximes est circonscrite par des contraintes énonciatives et grammaticales bien précises, qui confèrent aux énoncés autonomie discursive et statut citationnel. On peut ainsi considérer que La Rochefoucauld s’est attaché à approcher un canon aphoristique dont les proportions et les mesures sont à rattacher à la longue tradition littéraire des formes brèves. Ces considérations font la lumière sur les démarches très variées et parfois surprenantes des traducteurs (versification, narrativisation, proverbialisation…). / This dissertation deals with the English translations of La Rochefoucauld’s Maxims in order to address the question of the linguistic, pragmatic and stylistic properties of the autonomous sentences referred to as aphorisms. My study carries out a comparison of the literary form of the maxim with other types of aphorisms such as proverbs, adages, sayings and sentences associated with the English tradition of wit. The formal features of maxims are analysed through a twofold approach. First, the translations of La Rochefoucauld’s sentences are studied in contrast: eight different English versions of the book are compared with the French original. The differences between both idioms’ wordings of such particular sentences point to very different conceptions of aphorisms as far as their use and structure are concerned. These conceptions differ in terms of rhetoric but also in terms of reception. Secondly, heed is paid to the very elaboration of the Maxims through a study of the book’s numerous variants that survived in the form of manuscripts and letters. The conclusion that is drawn sheds light on enunciative and grammatical constraints that define how maxims are written, giving the latter discursive autonomy and status of quotation. La Rochefoucauld’s work may thus be considered to be an attempt at reaching the perfection of an aphoristic canon, the proportions and features of which are to be linked to the ancient tradition of brevity in literature. These considerations contribute to explain and justify the very diverse, even sometimes surprising approaches of English translators since versified, dramatised or proverbialised versions are attested.
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Une écriture du discernementTourrette, Éric Landry, Jean-Pierre. January 2005 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Langue et littérature françaises : Lyon 3 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Mœurs et maximes : personnification, représentation et moralisation théâtrales, du "Gran teatro del mundo" au "Malade imaginaire /Rauseo, Chris, January 1998 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Freie Universität--Berlin, 1995. / Bibliogr. p. 295-300.
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L'art de s'emporter : colère et vengeance dans les nouvelles galantes et historiques (1661-1690)Roy, Roxanne January 2004 (has links)
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La Rochefoucauld, Mme de Sablé et Jacques Esprit : les Maximes, de l'inspiration commune à la création personnelleLiebich, Christine Renée. January 1982 (has links)
Although the Maximes as we know them are the original work of the duc of La Rochefoucauld, Jacques Esprit and Mme de Sable contributed to the first versions of the text. At one time, the three friends even talked of regrouping their contributions in one volume. However, little by little, the "common collection" seems to contain only the reflexions of La Rochefoucauld, and Mme de Sable and Jacques Esprit decide to become writers in their own right. So, while the marquise chooses also to write "maximes", Esprit prefers a moral treatise on the falseness of human vertus, La Faussete des vertus humaines. Having become writers, Esprit and Mme de Sable nonetheless produce second-rate works, while only La Rochefoucauld produces the masterpiece known as the Maximes. Our study traces the phenomenon of the artistic literary work which emerges from what began as a collective effort. Through a historical, thematic and stylistic approach, we establish different elements which contribute to the fundamental originality of La Rochefoucauld's Maximes.
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La Rochefoucauld, Mme de Sablé et Jacques Esprit : les Maximes, de l'inspiration commune à la création personnelleLiebich, Christine Renée January 1982 (has links)
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La construction textuelle du brevet d'invention : analyse et théorisation de la strate contributionnelleBorderieux, Julien 02 December 2013 (has links) (PDF)
Ce travail s'attache à la construction textuelle du brevet d'invention (type de texte spécialisé très normé) par l'étude des contraintes pragmatiques le structurant et notamment celles le définissant comme une contribution au sens gricéen (Grice), post-gricéen (Nemo, Portuguès) ou non-gricéen (Clark et Schaefer). Il étudie ses stratégies textuelles, par exemple en termes de rhétorique de la revendication, en se penchant sur son format particulier dans lequel sont isolés des éléments récurrents et autonomes, les ensembles contributionnels, et leurs liaisons.La première partie présente l'approche contributionnelle du texte de brevet d'invention. Il s'agit d'une part de décrire le texte comme un objet contributionnel, et d'autre part de se demander dans quelle mesure la confrontation avec un texte hyperformaté conduit à reconsidérer les maximes (gricéennes) régulant les contributions. Le corpus d'étude est constitué d'une base textuelle de brevets d'invention transformée en base de données contributionnelles. L'analyse de celle-ci permet une modélisation contributionnelle du texte de brevet fondée sur des marqueurs délimitant des ensembles contributionnels soumis à un schéma général invariant, prédictible et reproductible. La phase de modélisation est l'occasion de reformuler une partie des maximes gricéennes encadrant la production d'ensembles contributionnels. Dans le cadre d'une conception plurisémique de l'interprétation, la fin de l'étude dégage les propriétés de la strate contributionnelle, en montrant notamment qu'à partir de la contrainte de complétude du texte en train de se construire et au travers des différentes sous-contributions qui le constituent se met en place une mécanique textuelle reposant sur des enchaînements contributionnels spécifiques aux textes formatés. Ces considérations sur la matière contributionnelle des textes permettent d'aborder les fondements d'une théorie contributionnelle du texte.
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"Histoire et Sagesse d’Aḥiqar l’Assyrien" ou l’Ummānu sans descendance : Invariance et variations, de l’Antiquité au XVIIIe siècle / Story and Wisdom of Aḥiqar the Assyrian, Aramaic, Syriac and Ge’ez versions : Variations and reuses, from antiquity to the eighteenth centuryKarouby, Laurent 07 December 2013 (has links)
« Histoire et sagesse d’Aḥiqar l’Assyrien » est un texte d’exception puisqu’il plonge ses racines dans les temps lointains de la Mésopotamie antique. Son héros, Aḥiqar, est un Sage, un Ummānu, conseiller des rois d’Assyrie ; il fait l’objet d’une vile machination, ourdie par son neveu que le Sage avait pourtant élevé comme s’il était son propre fils ; après avoir frôlé la mort, Aḥiqar est réhabilité, puis envoyé en Egypte, afin d’affronter les énigmes et défis que le Pharaon a lancés contre son roi, tandis que son neveu est puni de mort. Notre corpus regroupe sept versions de « Histoire et sagesse d’Aḥiqar l’Assyrien », s’échelonnant de 500 avant notre ère jusqu’au XVIIIe siècle, et composées en araméen, syriaque, guèze, arabe et grec. Dans une comparaison menée en traduction française, à travers les versions dont nous disposons et au fil des différents épisodes du récit, nous étudierons tout d’abord la trajectoire dramatique de la vie d’Aḥiqar. Puis nous examinerons les énigmes et défis résolus par ce héros expert en langage face au Pharaon avant d’analyser les deux longues séries de maximes, d’abord éducatives puis punitives, qu’il administre à son neveu. Nous aborderons également les modalités du réemploi, ou comment l’histoire araméenne d’Aḥiqar a pu se trouver refonctionnalisée dans la Bible au « Livre de Tobie », dans la « Vie d’Ésope le Phrygien », célèbre fabuliste grec, et dans l’univers des « Mille et Une Nuits » avec le conte intitulé « Sinkarib et ses deux vizirs ». Enfin nous conclurons sur l’intérêt de cette grande figure de l’Ummānu ou conseiller du roi – héros ni guerrier ni saint mais homme de langage – pour l’histoire de la Rhétorique. / “History and wisdom Aḥiqar the Assyrian” is an exception text since its roots goes in the ancient times of ancient Mesopotamia. His hero, Ahiqar is a Sage, a Ummānu, advise the kings of Assyria, and he is the subject of a vile plot, hatched by his nephew that the Sage had yet raised as if he were her own son ; from the brink of death, Ahiqar is rehabilitated and sent to Egypt to confront the puzzles and the challenges that the Pharaoh launched against his king, while his nephew is punished by death. Our text corpus has seven versions of “History and wisdom Ahiqar the Assyrian,” ranging from 500 BC until the eighteenth century, and composed in Aramaic, in Syriac, in Ge’ez, in Arabic and in Greek. In a comparison conducted in French translation, through the versions we have and all along the different episodes of the story, we first study the dramatic trajectory of life Ahiqar. We then examine the puzzles and challenges addressed by this expert hero of language against Pharaoh before analyzing the two long series of maxims, first educational and punitive, that it administers to his nephew. We also discuss the terms of re-use, or how the history of Aramaic Ahiqar could be re-used, with more or less success, in the Bible, the “Book of Tobit” in the “Life of Aesop the Phrygian” famous Greek fabulist, and the world of “Arabian Nights” with the tale entitled “Sinkarib and two viziers.” Finally, we conclude on the interest of this great figure of Ummānu or advise the king - nor a warrior hero, nor a saint hero, but a language man - for the history of rhetoric.
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