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La guerre, le Prince et ses sujets. Les finances des Pays-Bas bourguignons sous les règnes de Marie de Bourgogne et de Philippe le Beau (1477-1506) / The War, the Prince and his Subjects. The Finances of the Burgundian Netherlands under the Reigns of Mary of Burgundy and Philipp the Fair (1477-1506)

Sablon du Corail, Amable 02 December 2017 (has links)
Entre 1477 et 1493, l’État bourguignon traversa la plus grave crise de son existence. Face à Louis XI, les successeurs de Charles le Téméraire durent d’abord défendre l’intégrité territoriale de leurs possessions. À l’intérieur de celles-ci, ils furent confrontés aux revendications des villes de Flandre et de Brabant, porteuses d’un projet politique fondé sur l’autonomie urbaine. Au contexte politique très difficile, s’ajoute une conjoncture défavorable, en raison du très haut niveau des salaires, et donc du coût de la guerre, à la fin du XVe siècle. Les structures financières et militaires de l’État bourguignon montrèrent très vite leurs limites, obligeant les capitaines de Maximilien de Habsbourg à vivre d’expédients, de réquisitions et de pillages. Après la défaite des rebelles de Flandre, de Hollande et de Brabant, l’État bourguignon, désormais recentré sur les Pays-Bas, poursuivit son intégration sous le règne de Philippe le Beau. L’acceptation d’une fiscalité commune, débattue dans les assemblées représentatives des principautés et aux États généraux, est au cœur de ce processus. / Between 1477 and 1493, the Burgundian state was confronted with the most serious crisis of its history. Against Louis XI, the successors of Charles the Bold had to defend the territorial integrity of his heritage. Within the Burgundian Netherlands, they were challenged by the claims of the largest Flemish and Brabantine cities, who promoted a political agenda based on urban autonomy. Besides the political background, the economic environment raised other difficulties, owing to the general high level of wages, which dramatically increased the cost of war at the end of the XVth century. The fiscal and military structures of the Burgundian state quickly found their limits and collapsed several times, forcing Maximilian’s captains to live by one’s wits, requisitioning supplies, extorting money or plundering the countryside, so that the inability of the medieval state to lastingly finance war invariably led to outbursts of violence. After the defeat of the Flemish-Brabantine revolt, the political integration of the Habsburg-Burgundian Netherlands made continuous progress. The rise of a common tax system, discussed at the States-General, without offending the strong particularism of the Netherlands principalities, played a crucial role in this process.
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Marie de Bourgogne et le Grand Héritage : l’iconographie princière face aux défis d'un pouvoir en transition (1477-1530) / Mary of Burgundy and the Great Heritage : princely iconography facing the challenges of power in transition

Karaskova, Olga 21 March 2014 (has links)
Marie de Bourgogne (1457–1482), fille unique de Charles le Téméraire et de ce fait « la plus grande héritière qui fust de son temps », a jusqu’ici attiré assez peu d’attention de la part des spécialistes du XVe siècle. Une figure ambiguë, dont l’image oscille entre deux concepts opposés : une duchesse faible et inexpérimentée, qui ne joua qu'un rôle de pion dans la grande partie diplomatique entre l’Empire et la France, – ou bien une princesse résolue et indépendante qui savait ce qu'elle voulait et réussit à imposer sa volonté, Marie reste généralement dans l'ombre de ses proches parents. Il semble bien que cette attitude envers la duchesse est surtout le fait de la politique de ses descendants et successeurs, qui employaient son image dans leurs propres intérêts. Désireux de légitimer la transition du pouvoir de la Maison de Valois à celle des Habsbourg, ils ont opté pour la représentation de Marie comme héritière de Bourgogne, dame noble et pieuse dévouée à son mari et à sa famille, et non comme une femme de pouvoir. Cette image de la princesse semble être si puissante que souvent les historiens furent amenés à croire que l’œuvre politique sous le règne de Marie était principalement l'affaire de son époux. Ils concentrèrent alors leur attention sur Maximilien, le faisant ainsi – volontairement ou non – le héros principal de l'épopée bourguignonne pendant les années de crise qui ont suivi la mort du Téméraire. Or la réalité fut plus complexe. Jamais réellement retirée de la vie politique, ne cessant de voyager à travers ses pays afin d'assurer et affirmer l'omniprésence de l'autorité ducale, suivant de près les affaires politiques, Marie prit aussi un soin tout particulier à la création et la promotion de son image. La jeune duchesse qui, dès son accès inattendu au pouvoir en janvier 1477, dut affronter les attaques et les intrigues de Louis XI ainsi que les émeutes de ses sujets, fut de toute évidence parfaitement consciente, non seulement d’être la dernière héritière de la glorieuse maison de Bourgogne-Valois, mais encore d’être en position de faiblesse de par sa condition de femme. Elle chercha alors des réponses adéquates à ses défis – réponses militaires et diplomatiques ainsi qu’« iconographiques ». Ses ambitions, de souligner les liens dynastiques, d’appuyer la légitimité de sa succession et de son pouvoir suo jure, d’affirmer ses droits aux pays bourguignons, ainsi que d’asseoir son autorité sur les sujets indociles, ont influencé considérablement sa conséquente politique de représentation. Une étude de cette politique, fondée sur le regroupement inédit d’œuvres littéraires, historiographiques et iconographiques, et leur analyse, nous permettra d’abord de souligner la construction et l’évolution symbolique de l’image de Marie de Bourgogne en tant que femme régnante, mais aussi de reconsidérer une période de l’histoire de l’État bourguignon, celle de la transmission du pouvoir de la maison de Valois de Bourgogne à la dynastie des Habsbourg. / Mary of Burgundy (1457-1482) as ruler seems to be rather a non sequitur topic for a study as her short reign – sandwiched between those more important of her belligerent father, Charles the Bold, and her imposing spouse, Maximilian of Austria – is often marginalized by researchers. A somewhat ambiguous figure, whose image hovers somewhere in the space limited by two opposing concepts – an inexperienced and weak duchess, a mere pawn in the great political game played between France and the Holy Roman Empire, and a self-determined young princess who knew what she wanted and managed to dictate her will, praised by her biographers, Mary still remains generally in the shade of her nearest kinsmen despite the abundant publications concerning the Duchy of Burgundy.This attitude towards Mary was mainly formed by the politics of her successors and descendants, who employed her image in their own interests; eager to legitimize the transition of power from the House of Valois to that of the Habsburgs, they opted for the representation of Mary as the heiress of Burgundy, a noble and pious lady devoted to her family, and not as an independent sovereign. This image of “Mary the Rich” appears to be so powerful that often historians focus their attention primarily on Maximilian, thus – involuntarily or not – making him the main hero of the Burgundian epic of the crisis years. The real situation was, however, more complex. Never in fact retired from political life, never ceasing to travel across her lands in order to ensure and state the ubiquity of ducal authority, Mary was taking great care in creating and promoting her image, sending out to her contemporaries easily recognizable signs communicating her strong sense of who she was and how she wished to be seen. Recollected and examined with closer attention, these symbolic messages could depict a different image of this “lady of the country”, who was “revered and feared more than her husband”, according to the omniscient Philippe de Commynes, and reveal the clear political and cultural intentions she wanted to convey. Based on a number of important works of literature, history and iconography associated with the duchess as well as on various accounts on her, provided either by her contemporaries or – in a certain manner – by herself, principally through performing highly symbolic acts or through artistic commissions, the present research aims thus to reassess the person and the actual role of Mary of Burgundy in the history of the Burgundian state.
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Pieces of the Body, Shards of the Soul: The Martyrs of Erik Ehn

Linn, Rachel E. 25 August 2015 (has links)
No description available.
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Foreign heroes and Catholic villains : radical Protestant propaganda of the Thirty Years' War (1618-1648)

Foster, Darren Paul January 2012 (has links)
My dissertation examines radical Protestant propaganda of the Thirty Years’ War (1618-1648). It investigates the radicals’ depiction of foreign allies of the German Protestants as well as the presentation of German Catholic leaders in pamphlets and broadsheets of the war. Through analysis of representative sources portraying Prince Bethlen Gabor of Transylvania and King Gustavus Adolphus of Sweden, it examines the arguments used to gain support for foreign Protestant figureheads among the moderates of the Protestant camp. The dissertation also investigates the presentation of Emperor Ferdinand II and Duke Maximilian of Bavaria in order to determine how propagandists denounced German Catholic rulers as no longer worthy of German Protestant allegiance or tolerance. My conclusion demonstrates how radical propagandists sought to change moderate Protestant attitudes towards German Catholic rulers and foreign allies through a cohesive and sophisticated campaign.
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Kayser Fridrichs loblich gedechtnus – Das Grablegeprojekt Kaiser Friedrichs III. für Wiener Neustadt

Menke, Stefanie 07 December 2012 (has links)
Die Dissertation untersucht ausgehend von einer sorgfältigen Durchsicht der relevanten Schriftquellen Ort, Ausgestaltung und Bestandteile der ursprünglichen Grablegekonzeption Kaiser Friedrichs III. In Absetzung von der aktuellen Forschung, die in der letztlich im Wiener Stephansdom realisierten Sepultur die Umsetzung eines originären Grablegevorhabens verwirklicht sieht, kommt die Studie zu dem Schluß, daß das Neukloster der Zisterzienser in Wiener Neustadt als zunächst ausersehener Beisetzungsort Friedrichs III. anzusprechen ist, wie bereits Teile der älteren Forschung vermutet hatten. Welche konkreten Hinweise es hierfür gibt, inwieweit das als Grabkirche ausgewählte Bauwerk und die das Grab betreuende geistliche Gemeinschaft konkret auf das Vorhaben hin ausgerichtet waren und welche materiellen Einzelelemente sich für das Projekt geltend machen lassen, ist Gegenstand eingehender Untersuchung. Des weiteren wird die schließlich in Wien realisierte Grablege speziell unter dem Gesichtspunkt herrschaftlicher Repräsentation daraufhin befragt, welche Veränderungen der Ortswechsel in bezug auf die konkrete Ausgestaltung der Grablege nach sich zog. Dabei zeigt sich, daß die Translozierung von Wiener Neustadt nach Wien einen Wandel von einem individuell auf die Person Friedrichs III. zugeschnittenen und bereits Züge renaissancehafter Selbstinszenierung aufweisenden Konzept hin zu einer Einbindung in dynastische und mithin eher traditional geprägte Memorialstrukturen mit sich brachte. Dies läßt den gegenüber seinem Sohn Maximilian I. in Dingen der Kunstförderung und instrumentalisierung wie der Herrschaftsrepräsentation allgemein nach wie vor als wenig ambitioniert geltenden Kaiser in einem neuen Licht erscheinen.
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Die Blockstelle Lotzdorf: Die Sächsisch-Schlesische Eisenbahnlinie Dresden Görlitz mit ihren Besonderheiten, zwischen den Bahnanlagen der Bahnhöfe durch Blockstellen als „Bahnanlagen auf freier Strecke“ die Betriebssicherheit im Zugverkehr abzusichern - und das entbehrungsreiche Leben der letzten Bahnwärterfamilie am Lotzdorfer Block von 1930-1975

Schönfuß, Klaus, Schönfuß-Krause, Renate 10 April 2024 (has links)
Die Arbeit reiht sich in die Historie der Sächsisch-Schlesischen Eisenbahnlinie Dresden-Görlitz-Breslau seit der Inbetriebnahme des ersten Teilabschnittes am 17.11.1845 zwischen dem Schlesischen Bahnhof Dresden (Bahnhof Dresden-Neustadt) und dem Bahnhof Radeberg ein. Im Teil 1 werden die Besonderheiten beschrieben, um zwischen den Bahnanlagen der Bahnhöfe als „Bahnanlagen auf freier Strecke“ die Betriebssicherheit im Zugverkehr auf längeren Teilstrecken durch Einrichtungen von Streckenblöcken (Blockstellen) mittels gesonderter signaltechnischer Sicherung zu gewährleisten. Dazu erfolgt die Einteilung in fortlaufende „Streckenblöcke“ („Oberbahnwärterstrecke“ und „Bahnwärterstrecke“). Diese sorgt durch aufeinanderfolgendes Blockieren einzelner Streckenabschnitte für den Folgezug dafür, dass auf einem Streckenabschnitt mehrere Züge im festgelegten räumlichen Abstand zum vorausfahrenden Zug fahren, wodurch die Zugfolgen wesentlich erhöht und die „Totzeiten“ verringert, also die Kapazität einer Bahnstrecke vervielfacht werden kann. Außerdem können so – falls der Abschnitt dafür eingerichtet ist – diese Zugfahrten auch vor Gegenfahrten geschützt werden. Dieser bestimmte Abstand, die Blocklänge, wird durch ortsfeste technische Einrichtungen bestimmt (optische und akustische Signale) und gemäß einer orts- sowie einer zugbezogenen Logik dem Lokführer signalisiert. Technische Entwicklung und Funktionsweise, bauliche Einrichtungen, personelle und signaltechnische Struktur, optische / akustische und anfängliche telegrafische Kommunikationsmöglichkeiten z.B. mittels Schrittschaltwerken werden erläutert. Für den beschriebenen Streckenabschnitt werden Bau und Erneuerung der Gleisanlagen einschl. der Demontage eines der beiden Gleise als Reparationsleistung 1946 an die Sowjetunion sowie der schrittweise Wiederaufbau der zweigleisigen Strecke ab 1967 bis 1975 detailgetreu beschrieben. Die Schließung und Demontage der Blockstelle Lotzdorf im Zusammenhang mit der Fertigstellung der zweigleisigen Strecke mit neuer moderner Signal- und Strecken-Sicherungstechnik am 17.6.1975 beendet den Teil 1. Belegt wird das mit einer Vielzahl von historischen Dokumenten, Landkarten und Original-Bildmaterial, darunter auch ein einmaliges Foto des Schnellzuges Dresden – Breslau um 1939, gezogen von einer vollverkleideten schweren Dreizylinder-Schnellzug-Dampflokomotive der Baureihe 01.10, mit Verkleidungs-Durchbrüchen (Jalousien) vor den Treibrädern, bei der Vorbeifahrt am Block Lotzdorf. Im Teil 2 wird das Leben und Wirken der Menschen an einer Eisenbahn-Blockstelle erläutert. Beispielgebend wird das schwere und entbehrungsreiche Leben und die Arbeit der letzten Blockwärterfamilie des Maximilian Drobny am Block Lotzdorf zwischen den Bahnhöfen Radeberg und Langebrück von 1930 – 1975 dargestellt. Der harte Alltag unter einfachsten Wohn- und Lebensbedingungen, fernab der nächsten Ortschaften, jedoch mit der Maßgabe der absolut sicheren und zuverlässigen Erfüllung der Dienstpflichten ohne fester Regel-Arbeitszeit, wird wahrheitsgemäß und dokumentarisch, auch durch Zeitzeugen belegt, dargestellt. Ein umfangreiches Verzeichnis von Quellen, Literatur und Erläuterungen rundet diese Arbeit ab.:Erinnerungen an den legendären Lotzdorfer Block .................................................. 2 Teil 1 .......................................................................................................................... 4 Der Abschnitt Dresden – Radeberg der Sächsisch-Schlesischen Eisenbahn ....... 4 Die Notwendigkeit und Funktion von Blockstellen ................................................. 6 Die Blockstelle Lotzdorf ........................................................................................ 10 Die Hochbauten am Lotzdorfer Block ................................................................... 12 Die Gleisanlagen .................................................................................................. 14 Teil 2 ........................................................................................................................ 22 Menschen am Lotzdorfer Block ............................................................................ 22 1845: Hauptbücher der Lotzdorfer Schule geben als erste Zeitdokumente Auskunft über neue Berufe im Dorf: Bahnwärter, Eisenbahnarbeiter und Weichenwärter ................................................................ 22 1927: Das Radeberger Adressbuch verzeichnet die erste Block-Anschrift „Radeberg, An der Bahn 61“ ................................................................................ 23 1930: Die Bahnwärterfamilie des Maximilian (Max) Drobny zieht am Lotzdorfer Block ein ............................................................................................ 24 Leben und Arbeit des Bahnwärters Max Drobny am Lotzdorfer Block ................ 30 1939–1945: Zweiter Weltkrieg – Neue Gefahren und Probleme ......................... 33 Das Leben der Bahnwärterfrau Hulda Drobny am Lotzdorfer Block .................... 34 Epilog auf den Lotzdorfer Block und seinen letzten Blockwärter… .................... 37 Bildnachweis ........................................................................................................... 40 Quellen und Erläuterungen ..................................................................................... 41

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