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Studies on the immunobiology of infections with the metacestodes of Echinococcus multilocularis in rodentsKroeze, Wesley Kars January 1987 (has links)
The relationships among parasite growth, responses to infection and host genetic factors were examined in rodents infected with Echinococcus multilocularis. Mongolian gerbils, cotton rats and C57L/J mice were relatively susceptible to the infection, whereas five other inbred strains of mice, and hybrids and backcrosses between C57L/J and C57BL/6J mice were more resistant. In mice, susceptibility to E. multilocularis was controlled by multiple, non-H-2-linked genes, as were pathological, inflammatory and specific (antibody) responses to the infection. These responses were also affected by the degree of parasite growth in individual hosts. Antibodies, natural killer cells and hematological responsiveness were ruled out as contributing to resistance to E. multilocularis. Studies on peritoneal leukocytes from infected animals suggested that infections with E. multilocularis were controlled by cells in two phases: an acute phase involving neutrophils and mononuclear cells and a chronic phase involving eosinophils and mononuclear cells.
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Häufigkeit und klinische Präsentation von alveolärer und zystischer Echinokokkose an einem tertiären Zentrum in Deutschland 2004-2018: Lehren aus einer NiedrigprävalenzregionReinhardt, Fabian 01 March 2021 (has links)
Einführung
Die Prävalenz der alveolären (AE) und zystischen
Echinokokkose (CE) in Deutschland nimmt zu, aber die Gesamtzahl
der Fälle in den nördlichen und östlichen Bundesländern
ist noch immer gering. Betroffene Patienten werden
überwiegend in wenigen spezialisierten Zentren in Süddeutschland
behandelt, sodass in anderen Regionen Deutschlands
bislang nur relativ wenig klinische Erfahrung mit AE und
CE vorhanden ist.
Ziele
Ziel unserer Studie war es, das derzeitige Management
von Patienten mit Verdacht auf oder bestätigter Echinokokkose
an einem Zentrum der tertiären Versorgungsstufe in
einer Niedrigprävalenzregion zu bewerten, um eine Verbesserung
des Vorgehens bei Verdacht auf AE/CE bzw. bereits
gesicherter Diagnose zu erreichen.
Methodik
Alle Patienten, die am Universitätsklinikum Leipzig
zwischen dem 01.01.2004 und dem 30.09.2018 infektionsserologisch
auf Echinokokken untersucht wurden oder die Diagnose
„AE“ bzw. „CE“ erhalten hatten, wurden in eine retrospektive
Kohortenstudie eingeschlossen. Klinischer Verlauf,
bildgebende sowie histopathologische Befunde, Therapiecharakteristika,
relevante Begleiterkrankungen und mögliche Risikofaktoren
für AE bzw. CE wurden bewertet. Die Datenanalyse
umfasste weiter eine zeitlich gestaffelte Prävalenzabschätzung
für unser Zentrum sowie Sensitivitäts- und Spezifitätsberechnungen
für die durchgeführten serologischen Tests.
Ergebnisse
Insgesamt wurden 382 Patienten in die Analyse
einbezogen. 11 AE- und 7 CE-Fälle wurden identifiziert. Die
mittlere Prävalenzrate der AE in dieser Kohorte lag bei 2,9 %
und die der CE bei 1,8 %. Bei 4 Patienten war die Diagnose bereits
auswärtig gesichert worden und eine gezielte Überweisung
zur spezialisierten Behandlung erfolgt. 56 % der Patienten
wiesen bekannte Risikofaktoren für CE bzw. AE auf. Mit
Ausnahme eines Falls waren alle CE-Fälle Migranten mit ausländischer
Herkunft. Die durchgeführten serologischen Tests
zeigten für beide Erkrankungen eine Sensitivität von 86 %
und eine Spezifität von 91 %. 2 Patienten mit zunächst falsch
negativer Diagnose (einer mit AE und einer mit CE) wurden
durch ultraschallgestützte Biopsie korrekt diagnostiziert. Alle
CE-Fälle und 5 AE-Fälle (45 %) wurden unter Albendazolschutz
chirurgisch versorgt. Die restlichen 6 AE-Fälle erhielten eine
Langzeitbehandlung mit Albendazol. Es wurden keine Todesfälle
infolge Echinokokkose beobachtet.
Schlussfolgerungen
Sowohl AE als auch CE sind im
Großraum Leipzig seltene Erkrankungen, wenngleich ein Anstieg
der Fallzahlen an unserem Zentrum zu verzeichnen ist.
Aufgrund unterschiedlicher begünstigender Faktoren wie
z. B. Zunahme der Migration ist in Zukunftmit einemweiteren
Anstieg zu rechnen. Diagnosestellung und Therapiemanagement
stellen sowohl für die AE als auch für die CE eine Herausforderung
dar und sollten von einem Expertenteam begleitet
werden, darunter erfahrene Infektiologen, Bildgebungsspezialisten
und versierte hepatobiliäre Chirurgen. Der Aufbau
eines deutschen Echinokokkosenetzwerks wäre sinnvoll.
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Studies on the immunobiology of infections with the metacestodes of Echinococcus multilocularis in rodentsKroeze, Wesley Kars January 1987 (has links)
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Étude à différentes fenêtres de perception, des facteurs impliqués dans la transmission d'Echinococcus multilocularis, parasite responsable d'une maladie émergente : l'échinococcose alvéolaireGuislain, Marie-Hélène 14 December 2006 (has links) (PDF)
L'échinococcose alvéolaire, qui peut être fatale si le diagnostic est tardif, est une zoonose émergente. Elle est due à un cestode, Echinococcus multilocularis, dont le cycle fait intervenir le renard roux, Vulpes vulpes, comme hôte définitif et les campagnols prairiaux (Microtus arvalis et Arvicola terrestris) comme hôtes intermédiaires. Relativement peu de données sont actuellement disponibles sur les facteurs écologiques qui peuvent moduler l'intensité de la transmission du parasite entre ses hôtes aux fenêtres d'observation régionales et locales. Dans ce contexte, nous avons conduit une étude du fonctionnement du cycle d'Em à différents niveaux de perception, dans le département français des Ardennes, considéré comme une région de nouvelle endémie. La prévalence vulpine, estimée à 53 % pourrait être expliquée par une densité relativement élevée de renards et une importante consommation de M. arvalis de leur part. A une étendue régionale (900 km²) et un grain local (1 km²), la prévalence vulpine et la distribution des charges parasitaires apparaissent très hétérogènes, avec un gradient croissant nord-sud très marqué. La majorité de la biomasse parasitaire est concentrée sur quelques individus et sur quelques kilomètres carrés. Les caractéristiques du paysage et les densités de rongeurs hôtes intermédiaires semblent influencer les prévalences vulpines. Enfin, à une étendue locale (90 km²) et un grain micro-local (1000 m²), les lisières semblent particulièrement favorables à la transmission parasitaire, puisque c'est dans ce milieu que coïncident des densités élevées de fèces de renards et de rongeurs et, donc, que les contacts entre oeufs et hôtes intermédiaires sont les plus probables.
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Étude de la prévalence d’infection aux parasites du genre Echinococcus chez les canidés sauvages au QuébecLavallée-Bourget, Ève-Marie 08 1900 (has links)
Echinococcus est un parasite zoonotique présent mondialement circulant entre les canidés et les rongeurs ou les cervidés. L’humain est un hôte accidentel et la maladie qu’il peut développer à la suite d’une infection peut entraîner de graves signes cliniques en l’absence de traitement. Dans la faune au Québec, on reconnaît E. canadensis, responsable de l’échinococcose kystique, alors qu’E. multilocularis, associé à l’échinococcose alvéolaire, n’a pas encore été détecté. Cependant, le diagnostic récent au Québec d’un cas humain d’échinococcose alvéolaire porte à croire que le parasite circule sur le territoire. Cette étude de type transversale menée dans 12 régions administratives au Québec d’octobre à mars 2020–2021 en collaboration avec des trappeurs a pour but d’estimer la prévalence du parasite chez les coyotes et les renards roux à proximité des zones habitées et de déterminer les principaux foyers d’infection. Un test RT-PCR sur contenu intestinal a été effectué sur 707 prélèvements à partir de carcasses récupérées par les trappeurs (423 coyotes et 284 renards roux). Au total, ce sont 38 échantillons qui sont revenus positifs à Echinococcus spp. (24 coyotes et 14 renards roux) et 25 à E. multilocularis (14 coyotes et 11 renards roux). Deux zones d’infection ont aussi été identifiées, soit en Montérégie et au Bas-St-Laurent, où le risque d’infection est de 5.4 à 14.4 fois plus élevé (p < 0.05). Des analyses de régression logistique n’ont pas permis de déterminer une association statistiquement significative entre le sexe, l’espèce, la localisation géographique et le statut d’infection. Les analyses effectuées ont permis de comparer les tests de diagnostic de coproscopie et RT-PCR pour Taenia spp. et l’identification des échinocoques. Cette étude a permis de démontrer la circulation du parasite sur le territoire québécois dans la majorité des régions administratives étudiées. / Echinococcus is a zoonotic parasite present worldwide circulating between canids as definitive hosts and rodents or cervids as intermediate hosts. Humans are accidental hosts and the disease they may develop because of an infection can lead to serious clinical signs if left untreated. In Quebec, the presence of E. canadensis, responsible of cystic echinococcosis is recognized in wildlife, but E. multilocularis has not yet been identified. The recent diagnosis of a human case in Quebec of alveolar echinococcosis, the disease caused by E. multilocularis, leads us to consider that the parasite may circulate on the territory. This cross-sectional study conducted in 12 administrative regions in Quebec from October 2020 to March 2021 in collaboration with trappers aims to estimate the prevalence of the parasite in coyotes (Canis Iatrans) and red foxes (Vulpes vulpes) near populated areas and to detect high-risk areas of infection. An RT-PCR test on intestinal contents was carried out on 707 samples from carcasses recovered by trappers (423 coyotes and 284 red foxes). A total of 38 samples were positive for Echinococcus spp. (24 coyotes and 14 red foxes) and 25 for E. multilocularis (14 coyotes and 11 red foxes). Two high-risk areas of infection have also been identified, in Montérégie and Bas-St-Laurent, where the risk of infection is 5.4 to 14.4 times higher (p < 0.05). Logistic regression analyzes failed to determine a statistically significant association between sex, species, geographic location and infection status. The analyzes allowed us to compare the diagnostic tests of coproscopy and RT-PCR for Taenia spp. and identification of Echinococcus. This study demonstrated the circulation of Echinococcus spp. and E. multilocularis on the Quebec territory in most of the administrative regions studied.
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Paysage et risque sanitaire - Le cas de l'echinococcose alvéolaire. Approche multiscalaireTolle, Florian 09 December 2005 (has links) (PDF)
Echinococcus multilocularis est un parasite responsable chez l'homme d'une maladie grave : l'échinococcose alvéolaire. Les oeufs du parasite, agent pathogène, sont présents dans les fèces de renard et peuvent survivre plusieurs mois dans l'environnement. Le risque épidémiologique lié à la maladie a conduit, en France et en Europe, à la mise en place de programmes d'épidémiosurveillance. Ils ont permis de collecter des échantillons géoréférencés dont la contamination éventuelle a été testée. Cette base de données a servi au développement sur SIG d'un protocole de recherche de descripteurs paysagers présumés indicateurs du potentiel de risque. Trois échelles ont successivement été abordées. Dans le Doubs, département situé en zone de haute endémie, une analyse en régression logistique binaire a permis l'identification d'indices paysagers associés aux zones présentant des échantillons positifs. La qualité des modèles prédictifs générés a été testée par la méthode des courbes ROC. La représentation cartographique des facteurs paysagers présumés à risque a conduit à identifier des zones potentiellement favorables à l'établissement du cycle parasitaire. Pour l'ensemble français, les nuées dynamiques floues ont été utilisées pour le choix de niveaux d'échelle pertinents. Une typologie des paysages environnant les échantillons collectés a été conduite. La prévalence de chaque type paysager ainsi défini a été calculée. Les paysages ont été représentés en fonction de leur susceptibilité présumée à accueillir le cycle parasitaire. Enfin, à l'échelle européenne, les données climatiques ont permis la délimitation d'une limite méridionale théorique d'extension du parasite. Ces résultats montrent les possibilités offertes par les outils d'analyse spatiale et de modélisation dans les problématiques de risque sanitaire.
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Caractérisation et validation du marqueur microsatellite multilocus répété en tandem EmsB pour la recherche de polymorphisme génétique chez Echinococcus multilocularis : application à l'étude de la transmission du parasite en EuropeKnapp, Jenny 09 July 2008 (has links) (PDF)
Echinococcus multilocularis est un parasite nécessitant pour survivre un passage successif entre les carnivores, comme le renard et les micro-mammifères. Le parasite est responsable chez l'homme de l'Echinococcose Alvéolaire, une maladie mortelle si elle n'est pas prise en charge. Uniquement décrit dans l'hémisphère nord (Chine, Japon, Europe et Amérique du Nord), la distribution spatiale du parasite semble connaître une évolution récente, notamment en Europe, où l'Arc alpin est décrit comme le foyer historique d'E. multilocularis dans cette région. Le génotypage a été choisi pour étudier la diffusion du parasite en Europe. Cependant, le manque d'outils de détection du polymorphisme du parasite nécessitait la recherche et la caractérisation de marqueurs possédant un haut pouvoir discriminant. Après caractérisation et validation de la cible EmsB multilocus répétée en tandem, la diversité génétique du parasite en Europe a été étudiée à différentes échelles spatiales d'analyse. A l'échelle micro-locale (rongeurs parasités d'une même pâture), les isolats présentaient une faible diversité génétique entre eux, évoquant une contamination des rongeurs par une même source infectieuse (e.g. les fèces d'un même renard parasité). A l'échelle locale (900 km²), 140 parasites de 25 renards ont été étudiés. Les parasites présentaient une diversité génétique permettant de distinguer 6 profils EmsB. La présence simultanée de différents profils chez le renard a été décrite de manière fréquente, évoquant des infestations répétées des renards. Un faible taux d'hétérozygotie a été trouvé chez le parasite, ce qui pourrait être expliqué par un mode de reproduction principalement clonal. A l'échelle continentale (9 sous-régions européennes de la zone endémique historique et de la périphérie de celle-ci) la diversité génétique et la structure spatiale du polymorphisme ont été étudiées à partir de 653 isolats (596 vers adultes isolés de 129 renards, 57 lésions opérés chez des patients et des animaux vivant en captivité). Une grande diversité génétique a été observée en Europe, avec la description de 54 profils EmsB. Des profils transversaux ont été trouvés de part et d'autre de la zone d'étude alors que d'autres plus endémiques étaient limités spatialement. L'étude de la composition génétique au sein des sous-régions européennes a permis de mettre en évidence une plus grande diversité génétique dans le foyer historique par rapport à sa zone périphérique, où quelques profils représentaient la majorité des parasites. Cette distribution évoque une dispersion du parasite à partir de la zone centrale vers la zone périphérique dans un système de transmission « continent-île ». Chez l'homme et l'animal en captivité des profils EmsB décrits comme endémiques ont été trouvés sur plusieurs années, montrant une contamination de manière locale par une même souche. Cette étude constitue la première application d'un marqueur microsatellite multilocus pour l'étude de la circulation d'un helminthe à l'échelle continentale.
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