Spelling suggestions: "subject:"fenêtre"" "subject:"ancêtre""
1 |
Bien-être psychologique et épuisement au travail : l'influence des domaines de vie, de la résilience et des inducteurs professionnels et psychosociaux chez les professionnels de l'aide au GabonMaganga-Bignoumba, Rose de Lima 08 June 2015 (has links)
Donner du sens à sa vie, c'est donner une orientation, une direction qui permet de trouver un équilibre entre sa vie professionnelle, sa vie privée et sa santé psychologique. De ce fait, la présente recherche porte sur la santé psychologique et l'équilibre personnel des professionnels de l’aide au Gabon. Son objectif est de montrer l'influence des domaines de vie (travail et hors travail) et des inducteurs professionnels (demandes et autonomie), psychosociaux (soutien professionnel, organisationnel et extraprofessionnel) et individuels (engagement et résilience) sur le bien-être psychologique et les différentes dimensions de l'épuisement professionnel. Ce travail prend appui sur trois approches théoriques à savoir : le modèle « exigences-contrôle » (Karasek, 1979), le modèle de la « conservation des ressources » (Hobfoll, 1989) et celui des « exigences-ressources » (Bakker, Demerouti, De Boer, & Schaufeli, 2003). Les résultats de cette thèse font ressortir différents liens. Les demandes psychologiques et les deux formes de conflit influencent significativement la santé psychologique. Pour faire face à ces exigences les salariés en cas de gain de ressources s'adaptent aux différents rôles. Ces ressources font référence, au soutien social (professionnel, organisationnel et extraprofessionnel), à l'autonomie et la résilience. Par ailleurs, l'engagement au travail est une valeur qui permet au travailleur de pouvoir concilier ses domaines de vie et en réduisant les effets néfaste du burnout. La thèse montre l'importance de tenir compte du salarié dans sa globalité pour évaluer sa santé psychologique / Giving meaning to one’s life, is giving an orientation, a direction to finding balance between professional life, private life and psychological health. This research therefore focuses on the psychological health and personal balance of Social workers in Gabon. The study aims at showing the influence of life domains (work and non-work), professional inductors (demands and control), psychosocial (support social) and individual (commitment and resilience) have on psychological well-being and the burnout. The work is based on three theoretical approaches namely: the Job Demands-Control model (Karasek, 1979), the Conservation of Resources theory (Hobfoll, 1989) and the Job Demands-Resources model (Bakker, Demerouti, De Boer, & Schaufeli, 2003). The results of this thesis show different links. Psychological demands and the two forms of conflict significantly influence psychological health. To cope with these requirements, employees have to adapt to different roles, but that is if they get necessary resources. These resources are social support (professional, organizational and extraprofessional), control and resilience. Moreover, work engagement is a value that allows workers to be able to reconcile their domains of life and reduce the harmful effects of professional tiredness. The thesis shows the importance of considering the salaried employee as a whole in the assessment of his psychological health
|
2 |
Human resource management and employee well-being in ChinaLiu, Li 03 July 2018 (has links)
Le résumé en français n'a pas été communiqué par l'auteur. / Context-specific and employee-centred have emerged as two central perspectives to advance HRM research. Context-specific inquires the contextual antecedents and boundary conditions of HRM; employee-centred underlines the incorporation of employee experience, particularly employee well-being into HRM-performance models. The two perspectives extend the classic HRM-performance model into a multilevel model channelled via multiple processes. The present thesis aims to study Chinese HRM by integrating the context-specific and employee-centred perspective. It primarily consists of three papers: a systematic review on the HRM-performance link in the China-based literature (Chapter 2), a construct clarification on employee wellbeing (Chapter 3), and an empirical study on the detrimental effect of guanxi HRM (Chapter 4). By synthesising 52 survey studies, the review (Chapter 2) shows that the Chinese literature is following the West to embrace the context-specific and employee-centred perspective, but the former is less extensively addressed than the latter. This review contributes to the literature by providing a research map on empirical Chinese HRM research focusing on the context-specific and employee-centred perspective. Building on extant well-being models, the second paper (Chapter 3) substantiates employee wellbeing as an equilibrium of multiple dimensions: hedonic and eudaimonic well-being, individual and social well-being, and positive and negative affect. The qualitative and quantitative analyses based on a survey of 544 Chinese employees support the propositions except for the distinction between individual and social well-being. Drawing on basic psychological needs theory, the third paper (Chapter 4) postulates that guanxi HRM creates a detrimental environment that would frustrate employees’ basic psychological needs, and it would undermine employee well-being in sequence; reflecting on the Chinese context, it proposes that the value of perseverance would moderate the process from need frustration to employee well-being. The results based on a survey of 321 Chinese employees support the hypotheses except for the moderating effect of perseverance when employee well-being is operationalised as emotional exhaustion. The thesis contributes to the literature by integrating the context-specific and employee-centred perspective to study HRM in China. It has generated a research map on HRM-performance link, clarified the conceptualisation of employee well-being, and delineated the detrimental effect of guanxi HRM. The exploration invites researchers to contribute to the global HRM research base by addressing the context and paying due attention to employee well-being in China.
|
3 |
Le niveau de mentalisation influence-t-il le niveau de bien-être subjectif d'un individu?Morency, Geneviève January 2013 (has links)
Ce projet étudie la relation entre la mentalisation et le bien-être subjectif chez une population adulte. La mentalisation est définie par Fonagy comme étant la capacité d'un individu à reconnaître et à nuancer ses états mentaux ainsi que ceux de l'autre. Notre projet s'inscrit dans le courant de pensée de Fonagy, qui considère les processus de mentalisation comme fondamentaux pour comprendre le fonctionnement de la personnalité, abordée selon une perspective psychodynamique. Notre projet se démarque des études s'étant intéressées à ce jour aux relations entre le bien-être subjectif et la personnalité, qui était le plus souvent définie selon une approche par traits. Partant du fait que les processus de mentalisation influencent l'individu au niveau de ses relations d'objets, de son identité et de la régulation de ses émotions, nous avons émis une première hypothèse postulant qu'ils influencent de surcroit l'individu au niveau de son bien-être subjectif. Notre deuxième hypothèse visait à vérifier l'apport spécifique de la mentalisation à l'égard du bien-être subjectif au-delà des traits de personnalité. Un total de 40 individus issus de populations clinique et non-clinique ont participé à une entrevue visant à évaluer leur niveau de mentalisation, durant laquelle ils décrivaient des interactions relationnelles avec des gens significatifs pour eux. Ils ont aussi complété des questionnaires visant à mesurer leur niveau de bien-être subjectif et leurs traits de personnalité. Les analyses de régression corroborent notre première hypothèse et soulignent l'influence significative de la mentalisation sur le bien-être subjectif. L'analyse de régression hiérarchique corrobore partiellement notre deuxième hypothèse et souligne l'apport significatif de la mentalisation comme un prédicteur du niveau de bien-être subjectif au-delà de la part déjà prédite par les traits de personnalité. Notre étude a permis de nourrir les réflexions au sujet du bien-être subjectif, de la personnalité, des processus de mentalisation et des implications au niveau de la psychothérapie.
|
4 |
L'attitude ludique à l'âge adulte : définition conceptuelle et utilisation en ergothérapieGuitard, Paulette January 2002 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
5 |
Le concept de "phénomène" dans Être et le temps de HeideggerRoy, Martin January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
6 |
Ouverture et vérité dans Être et temps de Martin HeideggerSchürch, Franz-Emmanuel January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
7 |
Éducation des adultes au bonheur : modélisation du bonheur, caractérisation des modalités et des principes d’apprentissage.Feuvrier Marie-Pierre January 2015 (has links)
Dans un contexte où la demande sociétale de bonheur croît parallèlement aux diverses expressions du mal-être, y compris au travail, le bonheur fait l’objet de propositions éducatives - jusqu’à présent, l’éducation ciblait plutôt sur un bonheur différé. Leur apparition jouxte les découvertes scientifiques en psychologie positive, qui mettent à jour la possibilité d’améliorer son bonheur par des facteurs endogènes. Cette recherche vise la caractérisation des dispositifs d’éducatifs au bonheur. Le bonheur étant un construit polysémique, nous avons analysé les conceptualisations, parfois divergentes, du bonheur, pour aboutir à la proposition d’un modèle intégratif. Le bonheur n’apparaît pas comme un état statique ou un but, mais comme un processus motivationnel contribuant à la gestion de nos ressources, nous permettant d’agir et d’évoluer dans nos environnements. Le modèle est conforté par une première étude auprès un échantillon de 33 personnes. La deuxième étude concerne l’analyse qualitative des principes et modalités d’apprentissage proposé par un échantillon diversifié de cinq éducateurs d’adultes au bonheur. Elle révèle que le bonheur peut s’apprendre et que cela permet d’obtenir un état de bonheur plus durable. Des postulats communs se dégagent, malgré des approches très différentes. Ils concernent la compréhension et la prise de conscience des mécanismes intérieurs en œuvre dans nos actions et nos interactions avec l’environnement, et le développement de capacités essentielles, conatives, émotionnelles et cognitives, non intégrées par l’éducation initiale. L’apprentissage est socioconstructiviste et expérientiel. Les méthodes employées présentent des divergences, et notre modèle s’avère capable de positionner chaque mode d’apprentissage du bonheur, non seulement des cinq cas étudiés, mais, par extension, des multiples représentations du bonheur. Les retombées sont avant tout scientifiques sur l’avancée de la compréhension de la nature et du rôle du bonheur, et pratiques dans le domaine de la formation adulte et de la qualité de vie au travail.
|
8 |
La relation entre le gouvernement et le bonheur : analyse des gouvernements provinciaux canadiensBeaudin, Évelyne January 2015 (has links)
L’objectif de cette recherche est de déterminer si les gouvernements provinciaux canadiens pourraient être en relation avec le bonheur de leur population. Les études antérieures indiquent qu’il n’existe toujours pas de consensus sur la manière dont la taille de l’État et dont les différents secteurs de dépenses gouvernementales interagissent avec le bonheur. La méthodologie de cette recherche utilise une base de données rassemblant des informations sur des Canadiens et Canadiennes de toutes les provinces. Des variables collectives sur la taille de l’État, sur les dépenses gouvernementales et sur le contexte économique sont ensuite associées à chaque individu.
Grâce à des régressions de type probit ordonné, nous arrivons à la conclusion qu’il est plus probable que les variables individuelles soient en relation avec le bonheur que les variables collectives. La taille de l’État ne semble pas être en relation avec le bonheur des individus. Toutefois, bien que plusieurs résultats soient non statistiquement significatifs, ceux qui le sont portent à croire que les dépenses en logement, en loisirs, en environnement, en éducation, en services économiques, en services sociaux et en santé seraient en relation positive avec le bonheur, alors que celles en planification et en aménagement des régions (et possiblement les dépenses sociales prises dans leur ensemble) laissent plutôt transparaître une relation négative. La décentralisation de l’administration provinciale vers les administrations locales semble également être en relation positive avec le bonheur, alors que le service de la dette de l’État provincial serait en relation négative avec celui-ci.
Pour ce qui est des variables individuelles, être marié ou en couple (par rapport à être célibataire), être en bonne santé, avoir une bonne confiance sociale, être satisfait financièrement et accorder beaucoup d’importance à Dieu sont des variables qui, de manière assez robuste, semblent en relation positive avec le bonheur. De plus, les habitants de la Nouvelle-Écosse seraient possiblement plus heureux que ceux vivant en Ontario. À l’inverse, être une personne de couleur, avoir comme plus haut diplôme un diplôme collégial, être sans emploi, être un immigrant et être un homme seraient en relation négative avec le bonheur.
Nous avançons comme explications à nos résultats que dans les analyses du bonheur, les facteurs ayant une répercussion plus concrète dans la vie quotidienne des individus semblent prendre une plus grande importance. Pour l’étude de la relation entre le gouvernement et le bonheur, nous invitons donc les chercheurs à se concentrer sur des politiques ou des secteurs de dépenses plus spécifiques, aux impacts plus directs. Enfin, l’utilisation de variables subjectives pourrait apporter de nouveaux éclairages au domaine de l’analyse des politiques.
|
9 |
Les deux consciences : de l'étant-humain à l'Être et retour / The two consciousnesses : from human beings to Being and returnGraftieaux, Jean-Pierre 02 June 2009 (has links)
Le fait d’être conscient, en éveil et donc en veille, implique une relation, éthique en ce qu’elle manifeste ses capacités d’ouverture sur l’altérité. Il suit de là que la conscience de soi est aussi conscience de l’autre. Cette conscience, interface entre l’Etre et l’être humain, est conscience morale, conscience dont la structure interne n’est pas le remord (repli sur soi tourné vers l’intériorité) mais ek-sistence vers autrui. Au nom de quoi une telle conscience se laisse t-elle nécessairement interpeller et comment se manifeste sa capacité à sortir de soi ? L’Être, porteur du discours ontologique de l’inquiétude, la convoque à s’ouvrir à l’être. L’intrusion de l’inquiétude dans ma conscience l’enjoint à une authenticité : celle d’avoir à être pour autrui, obligation manifestée et inscrite dans mon devoir. Le je suis conscient (qui n’est pas le j’ai conscience) signifie je suis présent d’une présence qui n’est pas une coïncidence et qui me renvoie par l’Être à ma responsabilité pour l’être. Au dieu des philosophes donneur d’Être répond une conscience dont l’effectivité n’est pas divine mais strictement humaine. Une conscience qui renvoie à une finalité commune quant à la relation entre le patient et le médecin, celle de ne pas en faire une relation d’objet et qui répond à une interrogation existentielle de la finitude humaine : pourquoi y a-t-il de l’Être / The fact of being conscious, awake and therefore in a watchful state implies a relation, which is ethical in that it reveals its ability to become aware of otherness. From then on it follows that self consciousness is also consciousness of the other. This consciousness – an interface between Being and human beings is in fact some moral consciousness whose internal structure cannot be based on remorse, which is withdrawal into oneself turned towards interiority, but based on the act of ek-xsistere which is turned towards others. In whose name should such consciousness necessarily be questioned? In what manner does it reveal its ability to come out of the self? Being as carrying the ontological discourse of anxiety invites consciousness to open up to human beings. The intrusion of anxiety in our consciousness enjoins it to be authentic, that is of having to be for others, an obligation shown and inscribed in our duty. “I am conscious” means that I am present, a presence which is no coincidence and sends us back via Being to our responsibility for human beings. To the god of philosophers, the one that gives Being, responds a consciousness whose efficiency is not from divine essence but strictly from human one. This consciousness refers to a common aim regarding the relation between patient and medical doctor, that of not making it a relation of objects, and which answers the existential interrogation of human finitude: why is there some Being
|
10 |
Antonio Tabucchi. : Le temps de l'être. Le temps d'être. / Antonio Tabucchi. : The time of the being. The time of being.Pastore, Elda 10 September 2015 (has links)
Le terme « temporalité » définit la question de l’être comme la primauté de l'Être-vers-la-mort (le temps de l’être depuis la naissance jusqu’à sa mort) et la nécessité de l'Être-tendant-vers-le-possible (le temps d’être, de faire). Avant que la mort ne soit absence et donc sentiment de manque, de perte, qui pousse les personnages à aller au-delà des confins avec les morts, l’être est confronté à ses obsessions, ses échecs et ses rêves, ses cauchemars et ses désirs. C’est une souffrance existentielle se manifestant par l’incertitude, le regret, le remords et, surtout, des crises d’identité dues à l’impossibilité pour l’homme de se connaître soi-même. De sa fragmentation, sa division et cet immense désir d’unité qui le possède découle la forte présence de la pluralité, de la recherche du double, cet autre, peut-être vraiment autre, différent, ou frère, ou miroir, qui ne se laissera jamais rattraper. Pourtant, c’est dans ce sens qu’il lui faut chercher si l’homme veut recueillir de minuscules pièces de son puzzle intérieur. C’est la pensée douloureuse (élément pour comprendre le monde) du temps d’un être qui, après avoir constaté que le vide immense a désormais pénétré tous les domaines de l’existence humaine et du monde, trouve sa propre marche à suivre pour se sortir de sa caverne intérieure dans la constitution fondamentale de l'Être-Soi-même tabucchien, à savoir un Être-tendant-vers-le-possible au quotidien. Parce qu’il n’y a pas d'être-au-monde possible sans la préoccupation de tout ce qui est à-portée-de-la-main, notre auteur s’interroge sans cesse, intervient sur tous les fronts et à tous les niveaux de son vécu. / The term temporality defines the question of the human being as the primacy of the being-going-towards-death (the time span of the human being from birth to death) and the necessity of the-being-going-towards-the-possible (the time of being/doing). Before death becomes absence and thus a feeling of lack, of loss, which drives people to go beyond the limits with the dead, the human being is confronted with his obsessions, his failures and his dreams, his nightmares and his desires. It's an existential suffering shown through incertitude, regret, remorse and, above all, identity crises, because it is impossible for man to know himself. From its fragmentation, division, and the immense desire for unity which possesses him, results the strong presence of plurality, the search for one's double, this other, perhaps really other, different, or brother, or mirror, which can never be caught. Nevertheless it is in this direction that man must search if he is to gather the tiny pieces of his interior puzzle. It is painful reflection (element for understanding the world) on the time span of a being who after observing that the great emptiness has penetrated all areas of human existence and the world, finds his own path to follow out of his interior cave in the fundamental constitution of the Tabucchian being-oneself, that is to say a being-tending-towards-the-possible every day. Because there is no being possible in the world without concerning oneself with what is close at hand, our author questions himself from all angles and at all levels of his existence.
|
Page generated in 0.0304 seconds