• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 9
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 12
  • 7
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Le récit du fils prodigue et la pièce-parabole : entre analyse et création dramaturgique

Dancause, Julien 15 August 2018 (has links)
Cette thèse a pour but d’explorer la forme théâtrale de la « pièce-parabole » dans le cadre d’un schéma narratif particulier, soit celui du fils prodigue, par le biais d’une analyse théorique ainsi que d’un volet créatif. Plus spécifiquement, cette thèse examine les possibilités dramaturgiques qu’offre l’utilisation des caractéristiques de la « pièce-parabole » dans l’adaptation théâtrale de la parabole biblique du fils prodigue dans un contexte contemporain et en fonction d’un thème précis, celui de la quête identitaire. Dans un premier chapitre, sont cernées les caractéristiques principales de la forme de la pièce-parabole, telles que décrites par Jean-Pierre Sarrazac dans son ouvrage La parabole ou l’enfance du théâtre. Les analyses de Sarrazac portant sur les pièces-paraboles de Paul Claudel et Bertolt Brecht y sont résumées afin d’illustrer les caractéristiques du genre. Le deuxième chapitre est consacré à l’analyse des particularités formelles et thématiques de la pièce Le Retour de l’Enfant prodigue d’André Gide, laquelle est envisagée comme un cas exemplaire de l’adaptation de la parabole du fils prodigue sous la forme d’une pièce-parabole, en fonction de la thématique de la quête identitaire. Cette démonstration met en relief le trajet en trois étapes propre à la quête identitaire du fils prodigue dans le texte gidien, soit celles du « témoignage », de l’« action » ainsi que de la « libération », trajet qui mène l’individu à s’affranchir du giron familial et de l’héritage de la religion institutionnalisée. Le troisième chapitre présente les choix dramaturgiques ayant présidé à la création de mon propre texte théâtral, Si la tendance se maintient..., lequel s’appuie sur le récit du Fils prodigue et sur les composantes formelles de la pièce-parabole. Avec ce texte théâtral, j’ai voulu actualiser le récit du fils prodigue afin d’aborder le problème du rapport à l’héritage religieux dans la société québécoise contemporaine. Ce texte constitue en quelque sorte une réponse au propos de Gide sur les rapports entre quête de soi et héritage.
2

Le film-parabole dans les Offices du « cinéma éducateur » en France dans l'entre-deux-guerres : histoire d'un cinéma de propagande et étude d'un genre cinématographique / The parable film in the offices of « educational cinema » in France between interwar years : history of a propaganda cinema and study of a film genre

Laborderie, Pascal 12 June 2009 (has links)
Cette étude explique pourquoi et comment le monde de l’éducation populaire laïque favorisa l’émergence d’un genre de film, appelé « film-parabole », dans le cadre d’un cinéma de propagande en France dans l’entre-deux-guerres. En concurrence avec les œuvres du patronat et de l’Église, les instituteurs de l’école laïque encadraient les loisirs des familles ouvrières ou paysannes au sein d’associations fédérées par la Ligue de l’enseignement. Des Offices du « cinéma éducateur » avaient constitué un vaste réseau qui faisait la propagande de la culture française et des idées politiques du Cartel des gauches, puis du Front populaire [Partie I]. Selon leurs visées récréatives et éducatives, ces Offices privilégièrent des longs-métrages de non-fiction, des films à la fois narratifs et argumentatifs, tels qu’ils étaient réalisés par Jean Benoit-Lévy. Ces « films-paraboles » sont étudiés selo! n une méthode d’analyse qui ouvre des perspectives théoriques concernant l’étude des genres [Partie II]. En définitive, ce travail de recherche consiste à mener de manière complémentaire histoire du « cinéma éducateur » et étude du genre « film-parabole », afin d’étudier comment un contexte socioculturel [le cinéma d’éducation populaire laïque] et un mode de production de sens [la parabole] sont articulés à des fins de propagande / This study explains why and how the popular State Education contributed to the emergence of a genre, called “parable film”, within the context of a propaganda cinema in France between the interwar years. Competing with the charities of the Employers and of the Church, the teachers of the State Education took in hand the leisure of the working-class and farming-class families within associations federated by the Ligue de l’enseignement. Offices of the “educational cinema” constituted a vast network which did the propaganda of French culture and of the political ideas of the Cartel des gauches, and then of the Popular Front [part I]. With their entertaining and educational aims, these offices favoured narrative and argumentative non-fiction feature films, such as those directed by Jean Benoit-Lévy. Those “parable films” are studied according to a method of analysis which offers theoretical viewpoints on the study of the genres [! part II]. Eventually, this work consists in leading in a complementary way history of “educational cinema” and the study of the “parable film” genre in order to consider how a sociocultural context popular State Education cinema and a mode of production of meaning the parable are linked with propaganda aims
3

<STRONG>Le je(u) de <EM>La mémoire tatouée</EM> </STRONG>

REIMER, ANDREW P. January 2005 (has links)
No description available.
4

Traduction et interprétation du livre des Proverbes à travers le Talmud et les commentaires juifs médiévaux / Translation and interpretation of the book of the Proverbs through the Talmud and medieval Jewish commentaries

Smilévitch, Éric 15 September 2014 (has links)
Depuis la traduction grecque des Septante, le livre biblique Michlé est traduit par « Livre des Proverbes ». Or, dans la tradition herméneutique juive, la signification correcte n’est pas « proverbes » mais « paraboles ». Ce choix de signification modifie le contenu de l’ensemble du livre, puisqu’il invite à lire et à interpréter ses assertions dans un tout autre horizon que la perspective reçue depuis la Septante. Il fallait donc traduire le texte hébraïque de Michlé sur de nouvelles bases, en suivant l’herméneutique talmudique et midrachique, reprise et développée à l’époque médiévale par les commentateurs, les philosophes et les grammairiens juifs. Nous proposons ainsi une traduction nouvelle, accompagnée de commentaires et de notes philologiques qui explorent « les » sens du texte hébreu en fonction de ses strates métaphoriques et allégoriques, et en déploient le contenu. Cette traduction est précédée d’une longue introduction qui permet de comprendre les prémisses de l’herméneutique juive ; et s’efforce de déchiffrer les processus littéraires et historiques qui en empêchent l’accès, et engendrent les malentendus dont Michlé est un exemple crucial. Il importait encore de faire le point sur l’état actuel de la traduction des textes bibliques, tant du point de vue des travaux réalisés en France que du point de vue des impératifs internes de la tradition hébraïque. Une part importante de l’introduction est donc aussi consacrée aux problèmes méthodologiques particuliers à la traduction des écrits bibliques ; et à l’esquisse d’une démarche dont la traduction de Michlé est la mise en pratique. / Since the Greek Septuagint, the biblical book Mishlei is translated "Book of Proverbs". But in the Jewish hermeneutic tradition, the correct translation is "parables". This new meaning changes the meaning of the whole book. It was therefore necessary to translate the Hebrew text of Mishlei on a new basis, following the Talmudic and midrashic hermeneutics, extended and developed in medieval times by commentators, philosophers and Jewish grammarians. Thus, we propose a new translation, with commentary and philological notes that explore the meanings of the Hebrew text including its metaphorical and allegorical layers. This translation is preceded by a long introduction devoted to locate the premises of Jewish hermeneutics, and to understand the literary and historical proces that prevent access, and create misunderstandings which Mishlei is a crucial example. An important part of the introduction is also devoted to methodological problems of translation of biblical writings.
5

Valeurs et paraboles : une lecture du discours en Matthieu 13, 1-53

Jouseau-Rohmer, Céline 09 April 2013 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur le discours en paraboles mis en récit au chapitre 13 de l'évangile selon Matthieu. Elle interroge la manière dont ce corpus défend un certain nombre de valeurs auprès des lecteurs. Dans un premier temps, la recherche établit les principaux axes d'interprétation de Mt 13 : sources rédactionnelles, structure, auditoires et fonction des paraboles. Cet état de la question invite à lire Mt 13 selon la relation dynamique qu'il nourrit avec le lecteur. Une exégèse synchronique, puis diachronique, propose dans un deuxième temps de préciser la question des valeurs, de la poser à partir du langage parabolique et de son sujet-Royaume des cieux. Dans un troisième temps, la méthode d'analyse développée par Vincent Jouve (Université de Reims) est appliquée à Mt 13 : issue de la sémiotique narrative, elle vise àdéterminer l'effet-valeur d'un texte, c'est-à-dire son système idéologique. L'étude met ici en évidence une valorisation du désir porté par le paraboliste, une vérité du texte située au plan existentiel. Une relecture du discours en termes d'effets est alors proposée et mesure l'effet parabole en texte puis hors texte. Délogé de son système idéologique habituel, le lecteur de Mt 13 est en effet conduit dans sa lecture à s'exposer aux paraboles qui, par l'imaginaire déployé, deviennent de véritables conductrices de réel. Les résonances, issues de l'interaction entre texte et lecteur, éveillent à une expérience parabolique dont le langage ne peut pas totalement rendre compte mais dont le récit garde les traces. L'espace susceptible d'être creusé par ce discours au cours de son appropriation par le lecteur peut ainsi devenir terre d'accueil pour "la parole du Royaume".
6

Valeurs et paraboles : une lecture du discours en Matthieu 13, 1-53 / Values and parables : discourse's reading in Matthew 13 : 1-53

Rohmer, Céline 09 April 2013 (has links)
Cette étude porte sur le discours en paraboles mis en récit au chapitre 13 de l’évangile selon Matthieu. Elle interroge la manière dont ce corpus défend un certain nombre de valeurs auprès des lecteurs. Dans un premier temps, la recherche établit les principaux axes d’interprétation de Mt 13 : sources rédactionnelles, structure, auditoires et fonction des paraboles. Cet état de la question invite à lire Mt 13 selon la relation dynamique qu’il nourrit avec le lecteur. Une exégèse synchronique, puis diachronique, propose dans un deuxième temps de préciser la question des valeurs, de la poser à partir du langage parabolique et de son sujet-Royaume des cieux. Dans un troisième temps, la méthode d’analyse développée par Vincent Jouve (Université de Reims) est appliquée à Mt 13 : issue de la sémiotique narrative, elle vise àdéterminer l’effet-valeur d’un texte, c’est-à-dire son système idéologique. L’étude met ici en évidence une valorisation du désir porté par le paraboliste, une vérité du texte située au plan existentiel. Une relecture du discours en termes d’effets est alors proposée et mesure l’effet parabole en texte puis hors texte. Délogé de son système idéologique habituel, le lecteur de Mt 13 est en effet conduit dans sa lecture à s’exposer aux paraboles qui, par l’imaginaire déployé, deviennent de véritables conductrices de réel. Les résonances, issues de l’interaction entre texte et lecteur, éveillent à une expérience parabolique dont le langage ne peut pas totalement rendre compte mais dont le récit garde les traces. L’espace susceptible d’être creusé par ce discours au cours de son appropriation par le lecteur peut ainsi devenir terre d’accueil pour "la parole du Royaume". / This study deals with parables’ discourse related in chapter 13 of Matthew’s Gospel. It questiones the way this corpus presents some values to the readers. In the first part, the research establishes the main interpretation’s axes of Mt 13 : redaction and sources, structure, attendances and parables’ fonction. This state of the art proposes to read Mt 13 following a dynamic relation with the reader. In the second part, a synchronic exegesis, then a diachronic exegesis are proposed and both specify the question of values based on the parabolic language and his theme, the Kingdom of heaven. In the third part, Vincent Jouve’s method of analysis (University of Reims) is applied to Matthew 13 : on the basis of narrative semiotic, it aims to determine the value-effect of a text, i.e. its ideologic system. At this stage, the study highlightes the desire’s valorization expressed by the parabolist, i.e. a truth of existential nature led by the story. A re-reading of the discourse in terms of effects is then proposed and measures the parable effect in text and out of text. Excluded from his usual ideologic system, the reader of Matthew 13 must indeed be confronted to parables : these promote the imaginery and make discover the real. Touched by the text, the reader can live a parabolic experience. This experience cannot be totally included by the langage but it leaves clues in the story. During the appropriation work of the reader, a meeting with the text can happen and "the word of Kingdom" can be received.
7

Le favole di Oddone di Cheriton. Edizione critica e studio introduttivo. Die Fabeln des Odo von Cherington. Kritische Ausgabe und einleintende Studie

Piro, Valentina 12 April 2022 (has links)
The so-called “Fabulae” written by Odo of Cheriton (1180/90-1246/47) owe their traditional title to Hervieux’s edition published in 1896, still used as a reference. This work aims at providing the reader with a new edition based on an accurate philological inquiry into the text and its manuscripts. If the literary features of Odo’s fables have, indeed, been studied, especially in regard to their innovative elements, such as their christianized morals and the relationship of the tales to preaching, the collection has not been studied from a philological point of view. Before this research there was no clarity in regard to the total number of tales, which varied in previous editions between 60 and 117, nor to the determination and inner divisions of the corpus; moreover, all previous editions are based on only one manuscript or little more. As a matter of fact, Hervieux basically published a codex optimus that he only occasionally emended – but did not declare where he operated basing the correction on other manuscripts and where he did so ope ingenii – which is Cambridge, Corpus Christi College, 441; other editions are the ones done by Voigt (1878), Oesterley (1868 and 1871) and Perry (1952). Voigt is the only one to study the relationship between codices, although only between a small portion of them (11); Oesterley uses only one manuscript in both his editions (although the two are different between one another) and Perry only publishes a selection of the tales present in Hervieux, adding an apparatus which informs the reader on variantes available in the already existing studies, but not conducting a new research himself. Other issues of Odo’s status queastionis are the absence of a comprehensive study of his works, all unpublished apart from 65 of his “Sermones dominicales” (Paris, 1520) and the tales themselves, the lack of a census and, concerning the fables, of a systematic analysis of the whole collection. This situation prevents from making extensive comparisons and evaluations of the author’s usus scribendi, which is why the first purpose of this dissertation was a general introduction that could account for the main literary features shared by the whole collection. Starting from a short contextualization of Odo’s biography and his other works, we looked into the prologue of the tales, that heavily references the Sacred Scriptures and relies on the allegorical method proper to exegesis, which is strongly stressed, even more so than the usage of Aesopical tales in the collection, although as important. Secondly, the title itself has been questioned: even if the collection is usually called “Fabulae”, the manuscripts never offer this lectio, which is instead Hervieux’s arbitrary choice. In the prologue, Odo talks of his work not as fabulae, but instead as a tractatus parabolicus: if one is to give the collection a proper title, then, the latter one must be used, although there is no evidence of a specific rubric redacted by Odo to be used as a title. One of the new discoveries made in this research is then the refusal of the title currently used and the clarification of another ambiguity derived by Hervieux’s edition. As a matter of fact, the French scholar not only arbitrary called the tales “Fabulae”, but also decide to publish some excerpta from Odo’s sermons under the title “Parabulae”. He did so by isolating these extracts from ms. Paris, Bibliothèque nationale de France, lat. 16506, thus creating a significant confusion in subsequent research trying to address the two texts: even nowadays it is quite hard to understand if a catalog is, for example, talking about the tale collection or the sermons. During this research, it was discovered that some extracts on fables topics from the sermons actually circulated throughout the Middle Ages, as nine manuscripts who hold them included them into bigger exempla collections; nonetheless, these exceerpta never constituted an independent work, and the only tale collection produced by Odo is the one that should more properly be called tractatus parabolicus. Moreover, the introduction includes a short analysis of the main literary features of the text, with a particular attention given to the mixing up of the fable and exemplum genres in Odo’s work, as he used for every one of his stories the allegorical method proper to biblical exegesis. The aim of such an introduction is to be a first step into a deeper and more complex analysis of Odo’s works as a whole, an accomplishment that, however, will inevitably need wider studies dedicated also to the other books he wrote in order to be completed. In regard to the tale collection, particularly developed is its social and religious critique, which Odo wanted to express in his allegory-rich and heavily christianized morals. This critique is addressed especially against ecclesiastical hierarchies – not the Church itself, but its people – but not only those; it is against all who abuse their subjects when in a position to exercise power over others. Odo thus condemns not only bishops, ministers and prelates who only worry about earthly matters and fall short of their responsibilities, indulging in vices instead, but also rich masters and rulers who vex their subjects. However, Odo’s attack does not spare the humbles too, who are criticized when they try to improve their social standing and thus forget their place, or who are more generally guilty, as anyone, of the seven deadly sins, of lack in faith or of conducting themselves not virtuously enough. It can be easily noticed, then, that Odo had a strong drive towards contributing to reforming his contemporary society, whose morals felt in need of a deep renovation. Lastly, the introduction addresses shortly the success of Odo’s collection, which was translated into vernacular three times (into Gaelic, Chwedlau Odo, into Old-French, Les Parables Maystre Oe de Cyrintime, into old Spanish, Libro de los gatos); apart from these works, it must also be mentioned that Odo probably influenced Nicole Bozon, John of Sheppey and maybe, Clemente Sánchez, Stephan of Bourbon and the Speculum laicorum as well. After the analysis of the main literary features of the collection, the research proceeded with the production of a new, updated census of the manuscripts transmitting the Tractatus parabolicus. Seventy-one codices have been found, in comparison to Hervieux’s twenty-five and to other ten that had already been identified by previous bibliography (see Dicke-Grubmüller 1987 and Welter 1927). Thanks to this recensio we were also able to investigate the definition itself of Odo’s corpus, a topic made quite complex by the constitutive mobility of the fable genre in the Middle Ages. As a matter of fact, it is quite common for the author and text identity to be easily and almost immediately lost in this genre, also due to the easy addition or elimination of some of the apologues due to different motivations, that vary also from manuscript to manuscript. Since tales were often included into bigger collections that took on from various sources, it is extremely difficult to determine the original corpus. Moreover, in Odo’s case the matter is even more complicated due to a sometimes ambiguous internal division of tales, once again partially depending on Hervieux’s choices, partially on the tradition itself. As a matter of fact, Hervieux chose to number the tales not progressively, but by sometimes adding letters onto numbers, especially when he thought that two consequent tales revolved around the same topic. One then finds, for example, tales 56, 56a, 56b, 56c, which Hervieux separated in his edition but which should instead considered as only one fable; conversely, tales 1, 1a, 1b, 1c, 1d e 1e are on one hand independent ones (1, 1a, 1c, 1e), on the other the result of corruptions of the tradition (1b, 1d). At the same time, manuscripts sometimes don’t distinguish clearly between Odo’s tales, fusing some together or dividing others in peculiar ways, so a degree of uncertainty is to be found not only in the history of studies, but also in the tradition itself. Another accomplishment of this dissertation is thus precisely giving a new, clearer definition of the corpus, not only in regard to its internal divisions, based upon the manuscript tradition, but also to their number and the identification of spurious fables, such as 76, 1b and 1d. Starting from the new recensio, the dissertation then proceed onto the philological and textual analysis of the collection, with the hope of tracing a stemma codicum. We thus selected thirty-six manuscripts according to their antiquity, place of origin (with a predilection for England) and portion of the text transmitted, into which some loci critici that cover around one-third of the work were identified. Unfortunately, though, manuscripts present a lot of different variantes, but not of stemmatical importance: they are often lectiones adiaphorae and/or small differences in the order of words, alteration of conjunctions, verbal tenses and so on. It was then not possible to trace a proper stemma, but we still tried to account for the different features of the tradition. Five different orders in the transmission of the collection were found, which seem to present themselves also when studying the text of the loci critici. Apart from one (δ, linked to order D and to one manuscript of the order A), it is improper to talk about families, but it is only possible to group the non fragmentary codices – we intend with the expression “fragmentary codices” all those manuscripts that only transmit a maximum of ten tales, generally dispersed within the codex itself, which usually collects materials from different sources – based upon quite uniform geographical areas. That is to say that there seem to be a link between almost all German manuscripts and one Italian one (Wo, order B), between the bohemian and eastern-European codices (order C), between some English manuscripts and two French ones (order E), whereas the majority of the English codices (plus two German, one Austrian, one bohemian and two French) share order A. The five orders that can be identified in most of the tradition seem to have also a textual foundation, although only δ features proper errors. Once the philological inquiry, conducted on a wide portion of the textual witnesses, was completed, the impossibility of a stemma made necessary to conduct the edition based on different criteria. We have thus relied first of all on the most ancient manuscripts, dating back to the 13th century; in order to balance the fact that all of them, apart from C1, do not transmit tales 61-75, we have chosen to add to this number two German codices (B5 Ba), considering that the German group is the only one to hold this portion of the text as well, and another English manuscript, Du, in order to better represent the tradition. The critical edition thus follows a conservative approach, that mostly relies to C1, quite close to the author, but corrects its mistakes by integrating its testimony first of all with B2 C2 L4 O2 V, the most ancient manuscripts, and then B5 Ba Du, as already stated. For the portion of the text collated for the loci all the thirty-six manuscripts used in the collection itself were also included. The critical apparatus thus concerns nine codices for the whole text, thirty-six for the loci. Lastly, the edition also provides the first Italian translation of Odo’s fables and a small paragraph that, tale by tale, reminds the reader of the witnesses of the text and of other retellings available in a selection of other medieval Latin fabulists, apart from references to the principal repertoires of the genre. To sum up, this dissertation had as its purpose not only trying to account for the main literary features of the Odo’s fables collection, even if, of course, in a limited way, but also studying this work from a philological and textual point of view. We thus tried to offer a wide as possible exam of the tradition, although very complex, proposing then a new critical edition of the text that tries to overcome Hervieux’s, so as to give the reader the tools needed to approach a text as solid ad possible. We wish that, in the future, similar endeavors will be conducted for all of Odo’s works.
8

La fiction est-elle un outil adapté pour transmettre l’Évangile? : réflexion à partir de ma pratique d’auteure

Amabili, Rita 03 1900 (has links)
L’objectif de ce mémoire est d’analyser une praxis, la mienne, au moyen des techniques de la praxéologie, en tentant ainsi de réaffirmer le bien-fondé de mon travail d’auteure au service de la foi. En effet, la rédaction de Saffia, femme de Smyrne, débutée après une quinzaine d’années de vie professionnelle active en tant qu’écrivaine, me laisse croire que ce roman historique et sa présentation sont des outils adaptés pour transmettre l’Évangile. Ma recherche débute par une présentation générale de l’œuvre de fiction Saffia, femme de Smyrne ainsi que des conférences qui en découlent. Je mettrai ensuite en mots l’observation du discours secondaire, composé des appréciations ou des impressions de lecteurs. Mon interprétation ou mon hypothèse surgiront de ma problématisation par la question praxéologique Pourquoi est-ce que je fais ce que je fais et seront formulées au moyen des cinq fonctions d’élaboration. La partie ayant trait à la transmission de l’Évangile sera évaluée par des lectures en théologie, qui mettent en exergue les études d’auteurs : Jean-Guy Nadeau, Pierre Vadeboncœur, et Norbert Greinacher tandis que celle référant aux sciences humaines sera étudiée au moyen des œuvres de spécialistes Gérard Delteil, Régis Debray, Félix Moser et Antoine Compagnon. Soutenue par ces différentes études, je serai en mesure de mieux définir ce que la fiction en général peut apporter à la transmission de l’Évangile en m’appuyant sur l’étude de la fiction en théologie faite par des auteurs comme Paul Ricœur et Joseph Moingt. Je conclurai par une réflexion sur le mode de transmission de Saffia, femme de Smyrne et, je l’espère, par une explication de la raison pour laquelle je continuerai à utiliser la fiction pour transmettre l’Évangile. Une courte nouvelle me permettra d’appliquer mon étude et ainsi d’ouvrir ma réflexion dans une praxis. / The objective of this dissertation is to analyze a praxis, mine, using praxeology techniques, in an attempt at reaffirming the validity of my work as an author serving faith. As a matter of fact, the writing of Saffia, femme de Smyrne, which started after about fifteen years of an active professional life as a writer, lead me to believe that this historical novel and its presentation are tools adapted for the transmission of the Gospel. My research begins with a general presentation of the work of fiction, Saffia, femme de Smyrne, as well as the ensuing conferences. I then put into words the observation of the secondary discourse composed of readers’ opinions or impressions. My interpretation and/or hypothesis arise from my problematisation defined by the praxeological question Why do I do what I do and through the five development functions. The part relating to the transmission of the Gospel is evaluated through readings in theology which highlight the studies of authors such as Jean-Guy Nadeau, Pierre Vadeboncœur, and Norbert Greinacher, while that referring to the social sciences is studied using works of specialists such as Gérard Delteil, Régis Debray, Félix Moser and Antoine Compagnon. Supported by these different studies, I am in a better position to define what fiction can bring to the transmission of the Gospel based on studies of fiction in theology by authors such as Paul Ricœur and Joseph Moingt. I conclude with a reflection on the transmission method of Saffia, femme de Smyrne and, I hope, with an explanation, namely, of why I continue using fiction to transmit the Gospel. A short story makes it possible for me to apply my study and, thereby, to open my reflection in a praxis.
9

La fiction est-elle un outil adapté pour transmettre l’Évangile? : réflexion à partir de ma pratique d’auteure

Amabili, Rita 03 1900 (has links)
L’objectif de ce mémoire est d’analyser une praxis, la mienne, au moyen des techniques de la praxéologie, en tentant ainsi de réaffirmer le bien-fondé de mon travail d’auteure au service de la foi. En effet, la rédaction de Saffia, femme de Smyrne, débutée après une quinzaine d’années de vie professionnelle active en tant qu’écrivaine, me laisse croire que ce roman historique et sa présentation sont des outils adaptés pour transmettre l’Évangile. Ma recherche débute par une présentation générale de l’œuvre de fiction Saffia, femme de Smyrne ainsi que des conférences qui en découlent. Je mettrai ensuite en mots l’observation du discours secondaire, composé des appréciations ou des impressions de lecteurs. Mon interprétation ou mon hypothèse surgiront de ma problématisation par la question praxéologique Pourquoi est-ce que je fais ce que je fais et seront formulées au moyen des cinq fonctions d’élaboration. La partie ayant trait à la transmission de l’Évangile sera évaluée par des lectures en théologie, qui mettent en exergue les études d’auteurs : Jean-Guy Nadeau, Pierre Vadeboncœur, et Norbert Greinacher tandis que celle référant aux sciences humaines sera étudiée au moyen des œuvres de spécialistes Gérard Delteil, Régis Debray, Félix Moser et Antoine Compagnon. Soutenue par ces différentes études, je serai en mesure de mieux définir ce que la fiction en général peut apporter à la transmission de l’Évangile en m’appuyant sur l’étude de la fiction en théologie faite par des auteurs comme Paul Ricœur et Joseph Moingt. Je conclurai par une réflexion sur le mode de transmission de Saffia, femme de Smyrne et, je l’espère, par une explication de la raison pour laquelle je continuerai à utiliser la fiction pour transmettre l’Évangile. Une courte nouvelle me permettra d’appliquer mon étude et ainsi d’ouvrir ma réflexion dans une praxis. / The objective of this dissertation is to analyze a praxis, mine, using praxeology techniques, in an attempt at reaffirming the validity of my work as an author serving faith. As a matter of fact, the writing of Saffia, femme de Smyrne, which started after about fifteen years of an active professional life as a writer, lead me to believe that this historical novel and its presentation are tools adapted for the transmission of the Gospel. My research begins with a general presentation of the work of fiction, Saffia, femme de Smyrne, as well as the ensuing conferences. I then put into words the observation of the secondary discourse composed of readers’ opinions or impressions. My interpretation and/or hypothesis arise from my problematisation defined by the praxeological question Why do I do what I do and through the five development functions. The part relating to the transmission of the Gospel is evaluated through readings in theology which highlight the studies of authors such as Jean-Guy Nadeau, Pierre Vadeboncœur, and Norbert Greinacher, while that referring to the social sciences is studied using works of specialists such as Gérard Delteil, Régis Debray, Félix Moser and Antoine Compagnon. Supported by these different studies, I am in a better position to define what fiction can bring to the transmission of the Gospel based on studies of fiction in theology by authors such as Paul Ricœur and Joseph Moingt. I conclude with a reflection on the transmission method of Saffia, femme de Smyrne and, I hope, with an explanation, namely, of why I continue using fiction to transmit the Gospel. A short story makes it possible for me to apply my study and, thereby, to open my reflection in a praxis.
10

Le récit de soi comme écriture de résistance face au nazisme : du sentiment à l'acte : définition d'une poétique du récit de soi en résistance

Galichon, Isabelle 21 June 2013 (has links) (PDF)
Nous proposons, dans le cadre de cette thèse, de définir une poétique du récit de soi en résistance face à l'expérience de répression nazie, dans un contexte historique élargi. Notre étude couvre une période qui s'étend des premières manifestations antifascistes en France, dès les années trente, avec, en particulier, la création en 1934 du Comité de Vigilance des Intellectuels Antifascistes jusqu'à la fin des années cinquante, marquées par la sortie du film Nuit et Brouillard d'Alain Resnais, en 1956. Afin d'appréhender la notion de récit de soi, nous partons des conclusions que Michel Foucault propose dans son cours au Collège de France en 1982, sur " L'Herméneutique du sujet ", et nous considérons donc le récit de soi dans la perspective d'un renouvellement des pratiques du souci de soi. C'est à partir d'une sélection de douze textes, choisis dans un corpus de récits de soi français ou francophones, que nous analysons l'écriture personnelle de la résistance. Notre sélection rassemble des récits de soi choisis pour leur diversité générique - journal, témoignage, poésie, correspondance, livre de raison, essai - ainsi que pour les différentes situations de résistance qu'ils présentent. Il s'agit donc de revisiter l'idée de résistance personnelle perçue comme une attitude de " refusance " telle que Philippe Breton l'a décrite, et de définir, dans le cadre de l'écriture du récit de soi, comment le sujet entre en résistance et dans quelle mesure cette résistance personnelle peut être assimilée à un acte : d'une position foucaldienne de résistance en puissance, émanant de la pratique du souci de soi, le récit de soi devient un acte de résistance face à l'expérience nazie.

Page generated in 0.0322 seconds