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Langue(s) en portage : résurgences et épistémologies du langage dans les littératures autochtones contemporaines

Bradette, Marie-Eve 06 1900 (has links)
En prenant en compte le contexte des nombreuses dépossessions, de l’arrachement et de l’invisibilisation des langues Autochtones, puis de l’imposition des langues coloniales dont la littérature des pensionnats témoigne avec force détail, cette thèse aménage une réflexion autour de la manière dont les autrices Autochtones contemporaines, qui écrivent en anglais ou en français (Virginia Pésémapéo Bordeleau, Kateri Akiwenzie-Damm, Marie-Andrée Gill, Leanne Betasamosake Simpson, Natasha Kanapé Fontaine et Cherie Dimaline), négocient avec le langage dans leurs œuvres. Plus spécifiquement, par une lecture au plus près des textes littéraires, cette thèse étudie la façon dont les écritures Autochtones sont des lieux de savoir profondément corporéïsés, situés et relationnels et, en tant que telles, elles donnent à penser les pouvoirs du langage en employant les moyens du littéraire. L’hypothèse formulée est donc que les littératures Autochtones actuelles élaborent des théories critiques du langage dans lesquelles le corps, la langue et le territoire (physique et métaphysique) sont intimement liés; le langage et sa conceptualisation par les écrivaines font ainsi se manifester une toile de relations que supporte la littérature par la création et la mise en présence de cette interconnexion entre le monde sensible et spirituel, entre les êtres humaines et les êtres autres qu’humaines. Bref, en appuyant les réflexions sur les épistémologies Autochtones (Kovach, Wilson, Ermine, Bazile, Sioui, Simpson, Bacon, Vizenor), cette thèse avance que, moins par un retour à des structures linguistiques que par le truchement d’une imagination poétique et narrative, les autrices à l’étude réclament les épistémologies et créent des théories du langage qui sont ramenées sur la scène de la présence littéraire. / Considering the context of multiple dispossessions, the extraction and invisibilization of Indigenous languages, and the subsequent imposition of colonial languages, which residential school literature recounts in great detail, this dissertation reflects on how contemporary Indigenous women writers, who write in English or in French (Virginia Pésémapéo Bordeleau, Kateri Akiwenzie-Damm, Marie-Andrée Gill, Leanne Betasamosake Simpson, Natasha Kanapé Fontaine and Cherie Dimaline), are attempting to (re)negotiate both Indigenous and colonial languages in their works. More specifically, through a close reading of selected texts, this thesis explores how Indigenous literatures are deeply embodied, situated, and relational places of knowledge and, as such, they convey the possibilities of language through their literary interventions. Thus, I argue that contemporary Indigenous literatures enable the creation of critical theories of language, in which body, language, and land (both physical and metaphysical) are intimately connected; language, and its conceptualization by women writers, enables a web of relations through writing that presents this interconnectedness between the sensible and spiritual worlds, and between human and other-than-human beings. Building on Indigenous epistemologies (Kovach, Wilson, Ermine, Bazile, Sioui, Simpson, Bacon, Vizenor), this thesis argues that through poetic and narrative imagination, which differs from a return to the linguistic structures of Indigenous languages, the creative writers explored in this dissertation are reclaiming epistemologies and creating theories of language by putting them at the forefront of their literary practices.
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« La force, la grâce, la souplesse » : l’éducation physique des jeunes filles canadiennes-françaises à Montréal (1860-1920)

St-Georges, Valérie 06 1900 (has links)
Cette étude porte sur l’histoire de l’éducation physique des jeunes filles canadiennes-françaises à Montréal de 1860 à 1920, c’est-à-dire des premières manifestations d’une éducation corporelle dans le réseau éducatif privé jusqu’à la période dite de « l’âge d’or » des sports féminins au Canada. Dans une première partie, le mémoire analyse les discours des hommes de science canadiens-français de manière à saisir leur réflexion théorique sur le corps féminin en mouvement et les prescriptions qu’ils ont formulées à ce sujet. Dans une seconde partie, il présente l’évolution des pratiques gymnastiques et sportives dans les grands pensionnats catholiques de Montréal tenus par les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame et les Sœurs des Saints Noms de Jésus et de Marie. Il apparaît que les promoteurs de l’éducation physique féminine font face à certains défis : comment encourager l’exercice pour les jeunes filles sans trop les exposer dans l’espace public ? Comment concilier l’entraînement physique et l’idéal esthétique de la féminité ? Enfin, comment promouvoir davantage de mouvements pour le corps féminin juvénile sans risquer de nuire à sa capacité reproductive ? Médecins et pédagogues, face à ce dilemme, définirent les contours d’une éducation physique et sportive féminine acceptable. Cependant, bien que les normes diffusées par la littérature prescriptive essentiellement masculine aient été contraignantes, des pratiques innovantes, répondant à des objectifs précis, apparaissent dès les années 1860 dans les grands pensionnats montréalais et se diversifient au début du XXe siècle sous l’impulsion des actrices historiques — religieuses enseignantes, professeures de gymnastique et couventines. / This study examines the history of the physical education of Montreal’s young French Canadian girls from 1860 to 1920; from the first manifestations of corporal education in the private education network to the so-called « golden age » of women’s sports in Canada. Firstly, the discourses of French Canadian scientists are analyzed in such a way as to capture their theoretical reflections on the female body in movement and the prescriptions they formulated. Subsequently, this study presents the evolution of sport and gymnastic practices in the Catholic female boarding schools of Montreal held by the Sisters of the Congregation of Notre-Dame and the Sisters of the Holy Names of Jesus and Mary. Proponents of women’s physical education faced certain challenges: how to promote exercise for young women without exposing them to the public space? How to reconcile physical training with the aesthetic ideal of femininity? Finally, how to promote more movement for the juvenile female body without risking its reproductive capacity? Doctors and educators, faced with this dilemma, defined the contours of an acceptable female physical and sports education. However, although the norms disseminated by the predominantly male prescriptive literature were restrictive, innovative practices that met specific objectives started to appear in Montreal’s boarding schools in the 1860s. These practices diversified in the first decades of the twentieth century under the impetus of historical actresses – teaching sisters, gymnastic professors and students.
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Exploration des perceptions d’étudiants allochtones envers la réconciliation avec les peuples autochtones au Canada

Melouka, Ismehen 04 1900 (has links)
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