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Representation of Compositional Relational ProgramsPaçacı, Görkem January 2017 (has links)
Usability aspects of programming languages are often overlooked, yet have a substantial effect on programmer productivity. These issues are even more acute in the field of Inductive Synthesis, where programs are automatically generated from sample expected input and output data, and the programmer needs to be able to comprehend, and confirm or reject the suggested programs. A promising method of Inductive Synthesis, CombInduce, which is particularly suitable for synthesizing recursive programs, is a candidate for improvements in usability as the target language Combilog is not user-friendly. The method requires the target language to be strictly compositional, hence devoid of variables, yet have the expressiveness of definite clause programs. This sets up a challenging problem for establishing a user-friendly but equally expressive target language. Alternatives to Combilog, such as Quine's Predicate-functor Logic and Schönfinkel and Curry's Combinatory Logic also do not offer a practical notation: finding a more usable representation is imperative. This thesis presents two distinct approaches towards more convenient representations which still maintain compositionality. The first is Visual Combilog (VC), a system for visualizing Combilog programs. In this approach Combilog remains as the target language for synthesis, but programs can be read and modified by interacting with the equivalent diagrams instead. VC is implemented as a split-view editor that maintains the equivalent Combilog and VC representations on-the-fly, automatically transforming them as necessary. The second approach is Combilog with Name Projection (CNP), a textual iteration of Combilog that replaces numeric argument positions with argument names. The result is a language where argument names make the notation more readable, yet compositionality is preserved by avoiding variables. Compositionality is demonstrated by implementing CombInduce with CNP as the target language, revealing that programs with the same level of recursive complexity can be synthesized in CNP equally well, and establishing the underlying method of synthesis can also work with CNP. Our evaluations of the user-friendliness of both representations are supported by a range of methods from Information Visualization, Cognitive Modelling, and Human-Computer Interaction. The increased usability of both representations are confirmed by empirical user studies: an often neglected aspect of language design.
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Etude de la compilation des langages logiques de programmation par contraintes sur les domaines finis: le système clp(FD)Diaz, Daniel 13 January 1995 (has links) (PDF)
Ce travail porte sur la compilation des langages de programmation logique par contraintes sur les domaines finis (DF). Plutôt que d'adopter l'approche usuelle considérant le résolveur comme une boîte noire nous avons choisi l'approche boîte de verre de P. Van Hentenryck. Dans celle-ci, le résolveur gère une seule contrainte primitive. Toutes les contraintes complexes (équations, contraintes symboliques...) sont traduites en des appels de contraintes primitives. Le résolveur est ainsi simple et homogène. De plus, l'utilisateur peut définir ses propres contraintes en termes de cette primitive. Cette primitive nous permet de définir une machine abstraite pour la compilation des contraintes DF. En outre, le traitement d'une seule primitive permet de définir des optimisations globales dont bénéficient toutes les contraintes de haut niveau. Toutes ces idées sont détaillées et aboutissent à la définition du langage clp (FD). L'étude des performances de clp (FD) montre que cette approche est très efficace, meilleure en tous cas que les résolveurs boîtes noires. Nous étudions également les aptitudes de clp (FD) à résoudre des contraintes booléennes car elles sont un cas particulier des DF. Là encore clp (FD) se compare très bien avec des résolveurs spécialisés. Nous nous intéressons enfin à la détection de la satisfaction des contraintes pour permettre à l'utilisateur de spécifier des calculs dirigés par les données (plutôt que par les instructions). Ce travail débouche donc tout naturellement sur l'implantation des langages concurrents.
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Compiling Unit Clauses for the Warren Abstract MachineHerbert, George D. 01 January 1987 (has links)
This thesis describes the design, development, and installation of a computer program which compiles unit clauses generated in a Prolog-based environment at Argonne National Laboratories into Warren Abstract Machine (WAM) code. The program enhances the capabilities of the environment by providing rapid unification and subsumption tests for the very significant class of unit clauses. This should improve performance substantially for large programs that generate and use many unit clauses.
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Ache Lhamo: jeux et enjeux d'une tradition théâtrale tibétaineHenrion-Dourcy, Isabelle 17 September 2004 (has links)
L'objet de cette thèse est une monographie du théâtre traditionnel tibétain, ou ache lhamo, souvent appelé lhamo tout court, tel qu'il était joué à l'époque pré-moderne (antérieure à 1950) et tel qu'il est encore joué actuellement en Région Autonome du Tibet (République Populaire de Chine) et dans la diaspora tibétaine établie en Inde et au Népal. Comme la plupart des théâtres d'Asie, il est un genre composite :à la fois drame à thématique religieuse (issue du bouddhisme mahāyāna), satire mimée, et farce paysanne, il comprend de la récitation sur un mode parlé, du chant, des percussions, de la danse et des bouffonneries improvisées, ainsi qu'un usage de masques et de costumes flamboyants, qui tranchent avec la sobriété absolue des décors (la scène est vide) et de la mise en scène. Bien qu’il ait été encouragé et financé par le gouvernement des Dalai Lama, de grands monastères et des familles aristocratiques, c’est un théâtre avant tout populaire, et non pas réservé à une élite lettrée. Cette étude a circonscrit à la fois le contenu, le rôle social, le langage artistique et les implications politiques du théâtre dans la civilisation tibétaine.<p><p><p>La méthodologie a été composée en combinant les apports et réflexions critiques de trois disciplines :l'ethnologie, la tibétologie et les études théâtrales. L'approche est fondamentalement ethnologique, en ce que la production des données repose sur une immersion de plus de deux ans parmi des acteurs de théâtre de la Région Autonome du Tibet (1996-1998) et de près d'un an parmi ceux de la diaspora d'Asie du Sud (1998-2000). Elle l’est aussi en ce que l’intention a été de constituer une intelligibilité englobante pour l'ache lhamo, c'est-à-dire de mettre au jour l'intrication des dimensions culturelle, sociale, politique, économique, rituelle et symbolique de la pratique théâtrale. L’une des contributions principales du travail est d’étoffer l’ethnologie régionale du Tibet central, mais ses conclusions et son esprit critique le placent également dans la liste déjà importante des travaux consacrés à l'invention des traditions. La tibétologie a fourni le cadre interprétatif fondamental des données recueillies. Une importance très grande a été accordée à l'histoire du pays ainsi qu'à la philologie et aux terminologies vernaculaires particulières au théâtre. L’étude s’inscrit dans l’un des courants novateurs de la tibétologie, privilégiant les aspects non plus religieux et politiques de cette civilisation, mais sa partie « populaire » et anthropologique, mettant au premier plan l’analyse des pratiques et non celle des doctrines. Des sources écrites (textes pré-modernes et sources secondaires de folkloristes tibétains et chinois) ont été intégrées aux observations. En ce qui concerne la troisième approche méthodologique, cette étude ne s'inscrit ni dans le courant des « performance studies » de Richard Schechner, ni dans l'anthropologie théâtrale d’Eugenio Barba, ni dans l'ethnoscénologie telle qu'elle est défendue par Jean-Marie Pradier, mais plutôt dans l'anthropologie du théâtre, au sens d'étude interprétative et multidimensionnelle, utilisant les référents établis de l'anthropologie et les savoirs indigènes pour décrire une expression culturelle déterminée et reconnue comme un genre à part entière, le théâtre.<p><p><p>Les résultats sont présentés en trois parties, qui peuvent être résumées de manière lapidaire par trois adjectifs :culturelle, sociologique, artistique. La première partie, intitulée "Le cadre culturel du lhamo avant 1959", est consacrée au contexte (historique, religieux et littéraire) dans lequel le théâtre est inscrit, ainsi qu’aux textes (leur contenu, leurs modalités de composition et de transmission) qui révèlent l'imaginaire propre du théâtre. La deuxième partie est une analyse de "L'ancrage sociologique du lhamo". Les conditions matérielles des représentations y sont examinées :les divers types de troupes, leur organisation interne, le statut social des acteurs, l'inscription de la pratique du théâtre dans le système socio-économique pré-moderne, et les rapports d'obligations tissés entre acteurs et seigneurs, ainsi qu'entre acteurs et commanditaires des représentations. La dernière partie, "Art et savoirs des acteurs", jette un éclairage sur la matière vive du lhamo. Elle rend compte des conceptions, valeurs, plaisirs et difficultés de ceux qui pratiquent cette forme d'art. Les divers registres de leur discipline sont analysés en détail :costumes, masques, gestuelle, chant, accompagnement musical (percussions) et sentiments exprimés. L'appréciation qui en est faite par le public est aussi consignée. Au cœur de cette partie se trouve une réflexion sur la nature rituelle et non rituelle du lhamo, et sur les liens éventuels de ce dernier avec d'autres activités religieuses, telles la possession. Les dernières pages de la thèse constituent un épilogue, qui fait le point sur la situation contemporaine, donc les implications politiques, du théâtre des deux côtés de l'Himalaya. <p><p><p>L'image anthropologique du lhamo qui a pu être dégagée de ces trois volets d'analyse le fait apparaître comme essentiellement ambivalent :le lhamo est un théâtre de paradoxes. À l'image de la civilisation tibétaine, il est composite et cohérent à la fois. Sa cohérence réside dans son ambivalence :il traverse et relie des aspects contrastés de la culture. Il introduit du jeu entre les polarités que Tibétains et tibétologues établissent parfois un peu trop à la hâte entre culture savante et culture populaire, écriture et oralité, éléments exogènes et apports autochtones, bouddhisme et cultes qui ont précédé son implantation, aspiration religieuse et intérêts mondains, spécialistes rituels et bénéficiaires qui les rémunèrent. Combinant fonction pédagogique et fonction rituelle, sacré compassé du texte et irrévérence grivoise des improvisations, le lhamo correspond aussi très bien à la manière dont les théâtrologues appréhendent le théâtre :comme un objet curieux, créé par les hommes et qui pourtant ne cesse de les intriguer, comme s'il était venu d'ailleurs. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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