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Mental disorders in ecstasy users: a prospective-longitudinal investigation

Lieb, Roselind, Schuetz, Christian G., Pfister, Hildegard, Sydow, Kirsten von, Wittchen, Hans-Ulrich 05 April 2013 (has links) (PDF)
Objectives: To investigate the relationship between ecstasy use and mental disorders in a representative sample of adolescents and young adults. Method: Data for this investigation were drawn from the Early Developmental Stages of Psychopathology (EDSP) study, an epidemiological-longitudinal study in which 14-24 year-olds were examined prospectively over a period of about 4 years. Results are based on N=2462 participants who completed the whole study period and for whom drug use behavior could be determined. Results: (1) Ecstasy users, compared with non-users, were at significantly increased risk of DSM-IV substance related disorders, including alcohol use disorders (52.6 vs. 15.6%; OR=5.6, 95% CI=3.8-8.1). Further, ecstasy users also had a higher risk of alcohol use disorders, when compared with users of other illicit substances (52.6 vs. 40.3%; OR=1.7, 95% CI=1.1-2.4). (2) Ecstasy users had significantly higher rates for almost all DSM-IV mental disorders examined when compared with non-users (any non-substance use disorder: 68.7 vs. 44.5%; OR=3.1, 95% CI=2.1-4.4) and compared with users of other illicit drugs (any non substance use disorder: 68.7 vs. 55.5%; OR=1.8, 95% CI=1.2-2.6). (3) Ecstasy users also reported significantly higher rates of prescription medicine use, though they did not use more medical services than non-drug users. (4) Analyses of temporal patterns of ecstasy use and disorder onset revealed that the first use of ecstasy was secondary to the onset of DSM-IV mental disorders in the majority of cases. Still, subjects with mental disorders at baseline also showed a significantly increased risk for initiation of ecstasy use during the 4-year follow-up period. Conclusions: Care should be taken in cross sectional studies in interpreting mental disorder signs and symptoms merely as a consequence of ecstasy use, as ecstasy use might be associated with the use of multiple substances, and onset of mental disorder is more likely to precede rather than to follow use of ecstasy and related substances.
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Alkoholkonsum bei Jugendlichen mit Angststörungen : eine Analyse der Komorbidität /

Zimmermann, Petra. January 2007 (has links)
Universiẗat, Diss.--Würzburg, 2003.
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La formation du paradigme cybernétique : varias et devenirs en psychopathologie

Le Bars, Alain 12 July 2014 (has links) (PDF)
Nous étudions les antécédents et la formation du paradigme cybernétique. Nous examinons en particulier comment la cybernétique a considéré les questions posées par la psychopathologie.Nous nous interrogeons ensuite sur la manière dont le paradigme cybernétique a été pris en compte dans le champ de la psychopathologie, particulièrement par la psychanalyse et par la psychologie cognitive. Jacques Lacan se réfère pendant un temps à la cybernétique dans sa construction du registre du symbolique. Certains auteurs cognitivistes désignent la cybernétique aux origines des sciences cognitives.Nous tentons de caractériser les véritables relations épistémologiques que ces deux courants entretiennent avec la cybernétique, en distinguant le niveau des modèles et le niveau des paradigmes
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Der pathographische Blick Physiognomik, Atavismustheorien und Kulturkritik ; 1870 - 1930

Person, Jutta January 2003 (has links)
Zugl.: Köln, Univ., Diss., 2003
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Le statut des oeuvres d'art créées en etablissement psychiatrique /

Schweizer, Laurent. January 1996 (has links) (PDF)
Univ., Diss. u.d.T.: Schweizer, Laurent: De la production et de l'exploitation des oeuvres des beaux-arts du patient soigné en établissement psychiatrique--Lausanne, 1995.
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Apotheosen narzisstischer Individualität Dilettantismus bei Karl Philipp Moritz, Gottfried Keller und Robert Gernhardt

Wick, Nadja January 2007 (has links)
Zugl.: Bonn, Univ., Diss., 2007
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Le tilt au poker en ligne : description, mesure et lien avec le jeu excessif / Online poker tilt : description, assessment and relation with excessive gambling

Moreau, Axelle 18 March 2016 (has links)
Etude 1 : La revue de littérature a identifié 16 articles. Plusieurs facteurs prédicteurs du jeu excessif ont été identifiés (le stress, les attributions internes, la dissociation, l’ennui, les émotions négatives, les croyances irrationnelles, l’anxiété et l’impulsivité). Enfin, la validité des outils utilisés pour mesurer le jeu excessif et les croyances irrationnelles dans cette population est remise en question. Etude 2 : Le Tilt serait lié à une perte de contrôle et des émotions négatives (colère, frustration), associées à des expériences dissociatives transitoires. Causé par des évènements tant internes qu’externes, le Tilt affecterait les processus comportementaux, émotionnels et cognitifs.Etude 3 : L’échelle OPTS mesure la fréquence des épisodes de Tilt au poker en ligne. Les items ont été créés à partir de la littérature et de 10 entretiens semi-directifs de joueurs de poker en ligne. L’échelle est composée de 2 facteurs appelés « Tilt émotionnel et comportemental » et « Tilt cognitif ». Etude 4 : Nos résultats indiquent que la fréquence des épisodes de Tilt est un prédicteur significatif de l’utilisation excessive du poker en ligne. La fréquence des épisodes de Tilt est quant à elle prédite par les croyances irrationnelles de type « incapacité à s’abstenir de jouer » et « interprétations favorables à la poursuite du jeu ». Le Tilt et les croyances irrationnelles sont donc fortement associés au jeu excessif au poker en ligne. / Study 1: A total of 16 relevant studies were identified. Several factors predicting excessive gambling were identified (stress, internal attribution, dissociation, boredom, negative emotions, irrational beliefs, anxiety and impulsivity). Finally the validity of the tools used to measure excessive or problematic gambling and irrational belief are not suitable for online poker. Study 2: The Tilt would be related to both loss of control and negative emotions (e.g. anger, frustration) and associated to dissociative experiences but transitive ones. The Tilt, as a result of intern and extern events, would impact behavioral, cognitive and emotional process. Study 3: The OPTS, a 17-item self-report questionnaire, measures the frequency of Tilt episodes associated with online poker. Items were created based on the literature and 10 semi-structured interviews conducted on 10 online poker players. The scale is composed of 2 factors, namely “emotional and behavioral Tilt” and “cognitive Tilt”. Study 4: Our findings evidenced that frequency of Tilt episodes is a significant predictor of excessive online poker gambling. As far as frequency of Tilt episode is concerned, irrational beliefs such as “incapacity of preventing to play” and “positive interpretation for paying” would be predictors. As a consequence, the Tilt and irrational beliefs are strongly associated with excessive online poker gambling.
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Liens entre les représentations d'attachement et l'anxiété chez des enfants et adolescents souffrant de troubles anxieux

Castonguay-Jolin, Laura January 2018 (has links)
Les troubles anxieux font partie des troubles psychiatriques les plus diagnostiqués chez les enfants et les adolescents (Cartwright-Hatton, McNicol, & Doubleday, 2006; Costello, Egger, Copeland, Erkanli, & Angold, 2011; Merikangas et al., 2010; Rapee, Schniering, & Hudson, 2009). Plusieurs études s’intéressent donc à leur étiologie afin d’optimiser les traitements et la prévention (Bosquet & Egeland, 2006; Manassis & Bradley, 1994). Plusieurs facteurs de risque ont été mis de l’avant à travers les années et l’attachement fait partie de ceux-ci (Nolte, Guiney, Fonagy, Mayes, & Luyten, 2011). En effet, l’insécurité d’attachement chez l’enfant a été empiriquement associée à des plus hauts niveaux d’anxiété et de symptômes intériorisés que la sécurité d’attachement (Brumariu & Kerns, 2010a; Brumariu & Kerns, 2010b; Brumariu & Kerns, 2013; Brumariu, Kerns, & Seibert, 2012; Colonnesi et al., 2011; Groh, Roisman, van IJzendoorn, Bakermans-Kranenburg, & Fearon, 2012 ; Ivarsson, Granqvist, Gillberg, & Broberg, 2010; Madigan, Atkinson, Laurin, & Benoit, 2013; Madigan, Brumariu, Villani, Atkinson, & Lyons-Ruth, 2016; Manassis, 2001). Néanmoins, les résultats de ces études n’offrent pas de consensus en ce qui a trait aux associations spécifiques entre, d’une part, les différents patrons d’attachement et, d’autre part, les différents symptômes anxieux (Brumariu & Kerns, 2010b). La présente thèse a pour principal objectif de clarifier les liens existant entre l’attachement et l’anxiété. Pour ce faire, les représentations d’attachement de 30 jeunes âgés entre 8 et 16 ans provenant d’une clinique pédopsychiatrique de troubles anxieux ont été mesurées à l’aide de l’Entrevue d’attachement de l’enfant (Child Attachment Interview, CAI). Les analyses ont plus précisément visé à étudier la distribution de l’attachement dans un échantillon clinique, ainsi qu’à observer si des liens spécifiques pouvaient être trouvés entre l’attachement, considéré de manière catégorielle et continue, et l’anxiété, considérée de manière développementale et médicale. Les résultats aux analyses de la présente thèse mettent principalement de l’avant des relations distinctes entre l’attachement et l’anxiété selon chaque trouble anxieux. En effet, le trouble d’anxiété de séparation serait associé à l’insécurité d’attachement, le trouble d’anxiété généralisé serait associé à la sécurité d’attachement, et, finalement, la phobie spécifique et le trouble panique ne seraient pas associés à l’attachement. Ces résultats seront discutés à la lumière de la théorie actuelle et les forces et les limites de l’étude seront exposées. Brièvement, ces résultats démontrent qu’il serait pertinent de poursuivre l’étude des liens entre l’anxiété et l’attachement en considérant la différence pouvant exister entre chaque trouble anxieux. Finalement, à un niveau clinique, alors que de plus en plus d’interventions basées sur l’attachement sont développées pour les enfants et les adolescents (Diamond, Wagner, & Levy, 2016; Emery, 2016; Huber, McMahon, & Sweller, 2015; Kobak, Zajac, Herres, & Krauthamer Ewing, 2015), les présents résultats démontrent que celles-ci pourraient présenter une pertinence variable selon le trouble anxieux.
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« Two is better than one » :Une proposition pour réhabiliter l'usage de la composante P300 audio-visuelle en routine clinique.

Delle-Vigne, Dyna 18 April 2016 (has links)
Depuis toujours, la question de la prise en charge la plus adéquate de l’individu en souffrance a préoccupé chercheurs et cliniciens. Comment obtenir un diagnostic fiable ?Peut-on prévenir le décours d’un trouble ?Quel type d’intervention est le plus adapté pour la personne ?Avec l’évolution des techniques d’imagerie, la discipline s’est ajustée au fil du temps, rendant indispensable une collaboration multidisciplinaire, avec un objectif commun :restaurer un bien-être bio-psycho-social pour l’individu.Nous nous intéressons dans ce manuscrit à une des méthodes d’imagerie en particulier, les potentiels évoqués et la composante P300. Reléguée au second plan au profit d’autres techniques comme l’imagerie fonctionnelle par résonance magnétique ou la magnétoencéphalographie, nous soutenons qu’il est pourtant profitable de renouveler et réinstaurer son usage en routine clinique. En rendant visible l’invisible, en permettant de détecter des dysfonctionnements cérébraux avant qu’ils ne se muent en symptômes cliniques, ils nous offrent en effet une information inédite sur le fonctionnement cérébral, que nulle autre méthode ne fournit, à savoir le décours temporel en direct des opérations mentales suite à une tâche cognitive. Notre proposition vise à améliorer l’application courante de ces potentiels évoqués, malgré un rapport négatif à leur encontre de la part du KCE (Centre d’expertise des soins de santé en Belgique). A travers l’exemple de la dépression sous-clinique, nous testons la sensibilité d’un paradigme oddball audio-visuel, permettant de révéler chez ces individus, une atteinte des processus intégratifs, déficit que l’emploi actuel des potentiels évoqués ne permettait pas de mettre en évidence. Nous insistons également sur une approche « multi-composantes », impliquant de relever des indications sur le fonctionnement cérébral à différents moments du continuum du traitement de l’information (e.g. perceptif, attentionnel, décisionnel), afin d’obtenir une impression globale du fonctionnement cognitif de l’individu.Cette démarche soulève, bien entendu, un certain nombre d’implications expérimentales et cliniques. Au niveau expérimental, un travail doit être fait par la communauté scientifique pour standardiser la méthode d’acquisition, et en ce sens, un « guideline » et des données normatives manquent encore à l’heure actuelle. Explorer la pathologie d’un point de vue psychophysiologique pourrait amener à redéfinir des catégories nosographiques transcendant les traditionnels critères de type DSM. Au niveau clinique, puisque les atteintes sous-cliniques deviennent maintenant détectables, les démarches préventives de la pathologie sont questionnées, à travers la possibilité réelle de déterminer des marqueurs physiologiques potentiels de la maladie mentale, avec les conséquences éthiques que cela comporte. Une réflexion sur l’intervention thérapeutique doit également être entreprise, puisqu’en révélant l’origine cognitive des symptômes de l’individu, un réentrainement personnalisé de ces fonctions cognitives déficientes peut constituer la première étape d’une réhabilitation d’un fonctionnement psycho-social adéquat pour l’individu. En travaillant d’abord sur un changement méthodologique, nous soutenons que les potentiels évoqués méritent à nouveau la place qui leur revient dans la « boite à outils » du clinicien. Pour paraphraser le professeur Guérit, il convient de laisser à l’ouvrier, avec son bagage de connaissances et de compétences, la liberté de choisir les outils qu’il considère les plus appropriés dans son intervention auprès de l’individu en souffrance. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Corps et monde dans l'autisme et la schizophrénie : approches ontologiques en psychopathologie / Body and world in autism and schizophrenia : an ontological approach in psychopathology

Grohmann, Till 11 December 2015 (has links)
Ce travail propose une analyse phénoménologique du corps et du monde dans l’autisme et la schizophrénie. Il s’agira d’aborder ces pathologies à partir des expériences vécues des patients eux-mêmes. A partir d’un matériel autobiographique, clinique et scientifique, la thèse vise ainsi à comprendre les formes de cohérence typiques pour ces deux pathologies. Il s’agit d’introduire le concept d’« ontologie » en psychopathologique et de saisir schizophrénie et autisme, non pas simplement comme des problèmes psychologiques, mais au contraire comme des affections qui transforment l’ensemble de la présence de ces sujets. Dans un premier moment, nous présentons une analyse du corps-monde tel qu’il nous est accessible dans l’expérience normale. Cette entrée dans le sujet vise à nous familiariser avec un certain nombre d’éléments et d’expériences que nous rencontrerons par la suite, de manière excessivement altérée, d’abord dans les états autistiques, ensuite schizophréniques. Nous allons voir ainsi que les états pathologiques de l’autisme et de la schizophrénie nous sont compréhensibles, puisqu’ils se nourrissent de possibilités et de potentialités qui s’esquissent dans le fonctionnement normal du corps. Dans la deuxième partie, l’expérience autistique nous confrontera à un corps étrangement désubjectivé. Le corps autistique ne sert plus de médium à l’ouverture d’un monde – car au contraire il la ferme. Il s’agira d’établir le sens fondamental du corps autistique et d’esquisser la structure de son « monde » fermé. Dans la troisième partie, nous nous tournerons vers l’affection schizophrénique. Nous y rencontreront une manière tout à fait différente dont un corps peut faire barrière au monde. Dans la schizophrénie, la désubjectivation du corps ne concernera pas tant un manque d’accès à la distinction sujet-objet comme dans l’autisme, mais elle se nourrit au contraire d’une utilisation abusive de cette distinction. / This work presents a phenomenological analysis of body and world in autism (Autism Spectrum Disorder) and Schizophrenia. In the center of the analysis stands the subjective experience of the patients themselves. Starting with autobiographical, clinical an scientific material the present thesis aims to understand the forms of coherence typical for those two pathologies. The idea is to introduce the concept of “ontology” in psychopathology. By there, autism and schizophrenia should be understood not in the sense of a mere psychological problem, but rather as a transformation of the whole presence in the world. In the first section, we present an analysis of the world and the body as they are accessible in normal experience. This entry into the topic aims to familiarize us with a certain number of elements and experiences. It is those elements that we are about to encounter afterwards in an excessively altered manner in autism and schizophrenia. In the second section, autistic experience will present us with a strangely desubjectivized body. The autistic body serves not anymore as a medium towards the world – it rather closes the world itself. We will try to establish the fundamental sense of the autistic body and sketch the structure of his closed “world”. In the third section, we will turn the schizophrenic affection. We will encounter a completely different manner of how a body can constitute a barrier against the world. In schizophrenia, the désubjectivation of the body does not concern merely a lack of access to the subject-object distinction as in autism, but it is grounded on an abusive use of this distinction itself.

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