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Quand l'Autre prend la parole. La représentation de trois formes d'altérité dans le roman contemporain.

Cabri, Julie 17 January 2012 (has links)
La notion d’altérité circule avec insistance dans la conscience collective contemporaine, mais, à ma connaissance, il n’y a pas d’ouvrage critique qui aborde simultanément la spécificité de différentes sortes d’altérité dans la fiction pour en saisir les formes, la signification et les enjeux, surtout à partir de la perspective de l’Autre. Ce travail organise l’étude de la représentation de trois formes d’altérité dans six romans contemporains français, québécois et francophones dans lesquels l’Autre est le sujet du discours : 1. L’étranger : La dot de Sara (Agnant, 1995) et Un aller simple (van Cauwelaert, 1994) ; 2. La folie : Moha le fou Moha le sage (Ben Jelloun, 1978) et La chaise au fond de l’œil (Aude, [1979] 1997) ; 3. La pauvreté : L’exil aux portes du paradis (Dahan, 1993) et Conte d’asphalte (Calife, 2007). Mon objectif principal est de cerner la représentation textuelle de ces formes d’altérité ainsi que leur rôle et leur signification quand la diégèse adopte la perspective d’un personnage qui exprime lui-même sa dissemblance et son aliénation potentielle. Quand l’Autre prend la parole, son statut est entièrement bouleversé, car il ne s’agit plus d’une représentation « traduite » de son expérience ou d’une appréhension de ce personnage par un tiers. Mon travail révèle selon la perspective du marginalisé soit une transformation dans la signification de l’altérité soit un brouillage des frontières entre la marge et le centre qui remet en question, dans certains cas, l’existence même de l’altérité. Cette étude dégage également les caractéristiques discursives communes et distinctives des formes de l’altérité. En outre, elle met en lumière l’instabilité du statut Autre dans le texte romanesque : ce statut peut évoluer, se transformer et parfois même disparaître alors que, dans d’autres circonstances, il peut être un facteur identitaire incontournable et immuable. La multiplicité de ces variations illustre la complexité de chaque manifestation d’altérité et la flexibilité de la notion que le roman d’expression française utilise de façon centrale et critique. Cette thèse contribue ainsi à l’enrichissement de notre compréhension de l’exploitation littéraire des formes de l’altérité, phénomène qui marque de manière importante la littérature contemporaine.
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Quand l'Autre prend la parole. La représentation de trois formes d'altérité dans le roman contemporain.

Cabri, Julie 17 January 2012 (has links)
La notion d’altérité circule avec insistance dans la conscience collective contemporaine, mais, à ma connaissance, il n’y a pas d’ouvrage critique qui aborde simultanément la spécificité de différentes sortes d’altérité dans la fiction pour en saisir les formes, la signification et les enjeux, surtout à partir de la perspective de l’Autre. Ce travail organise l’étude de la représentation de trois formes d’altérité dans six romans contemporains français, québécois et francophones dans lesquels l’Autre est le sujet du discours : 1. L’étranger : La dot de Sara (Agnant, 1995) et Un aller simple (van Cauwelaert, 1994) ; 2. La folie : Moha le fou Moha le sage (Ben Jelloun, 1978) et La chaise au fond de l’œil (Aude, [1979] 1997) ; 3. La pauvreté : L’exil aux portes du paradis (Dahan, 1993) et Conte d’asphalte (Calife, 2007). Mon objectif principal est de cerner la représentation textuelle de ces formes d’altérité ainsi que leur rôle et leur signification quand la diégèse adopte la perspective d’un personnage qui exprime lui-même sa dissemblance et son aliénation potentielle. Quand l’Autre prend la parole, son statut est entièrement bouleversé, car il ne s’agit plus d’une représentation « traduite » de son expérience ou d’une appréhension de ce personnage par un tiers. Mon travail révèle selon la perspective du marginalisé soit une transformation dans la signification de l’altérité soit un brouillage des frontières entre la marge et le centre qui remet en question, dans certains cas, l’existence même de l’altérité. Cette étude dégage également les caractéristiques discursives communes et distinctives des formes de l’altérité. En outre, elle met en lumière l’instabilité du statut Autre dans le texte romanesque : ce statut peut évoluer, se transformer et parfois même disparaître alors que, dans d’autres circonstances, il peut être un facteur identitaire incontournable et immuable. La multiplicité de ces variations illustre la complexité de chaque manifestation d’altérité et la flexibilité de la notion que le roman d’expression française utilise de façon centrale et critique. Cette thèse contribue ainsi à l’enrichissement de notre compréhension de l’exploitation littéraire des formes de l’altérité, phénomène qui marque de manière importante la littérature contemporaine.
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« L’empêchement moteur » : les fonctions des procédés métatextuels dans l’œuvre d’Hervé Bouchard

Villemure, Caroline 09 1900 (has links)
No description available.
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La vie économique dans le roman québécois (1956-1983) : représentations, histoire et pratiques

Nadon, Rachel 05 1900 (has links)
Cette thèse propose une analyse, par le prisme de l’imaginaire social, d’œuvres littéraires québécoises qui mettent en scène la vie économique, depuis la phase d’essor industriel qui marque l’après-guerre jusqu’aux années 1980. Conjuguant l’histoire culturelle et la sociocritique, nous étudions les représentations de la vie économique, leurs conditions de possibilité, de production et de circulation. Notre travail s’intéresse à la dimension idéologique et politique des classes populaires, des ouvriers et des ouvrières fictifs chez des auteurs marginaux (Jean-Jules Richard, Pierre Gélinas, Germain Archambault, Maurice Gagnon et Élisabeth Vonarburg) et d’autres plus connus (Claude Jasmin, Jacques Ferron, Jacques Renaud, Francine Noël). Tout comme la figure de l’écrivain, le personnage du travailleur est un « foyer normatif complexe » (Hamon, 1984). En croisant l’analyse de différentes productions culturelles avec la lecture approfondie de romans choisis, nous interrogeons le présumé désintérêt de la littérature québécoise envers les questions qui concernent la vie économique. Nous tentons d’abord de repenser les catégories de l’histoire littéraire, soit le réalisme, le régionalisme, le « documentaire » et le roman social. Une analyse du discours des écrivains et des critiques dans les périodiques révèle les différentes définitions du rôle social de la littérature et de l’écrivain qui circulent dans les années 1950. La réception contrastée des romans sociaux signale leur qualité littéraire parfois moyenne, mais un enthousiasme pour les représentations du « milieu ». Articulant histoire, politique et travail industriel, les romans de Pierre Gélinas et de Jean-Jules Richard offrent un point de vue informé par une sensibilité communiste sur les grèves ouvrières de l’époque. Dans leurs œuvres, tout comme dans celles publiées à la revue et aux Éditions Parti pris, les représentations des femmes proposent par leur complexité une perspective éclairante sur la vie économique. La figure du chauffeur de taxi, coureur des bois (et des rues) moderne, témoigne exemplairement de l’exploration de la marginalité et de la mobilité qu’on retrouve dans plusieurs parutions de la maison d’édition. Le dernier chapitre s’attache à la figure de la ménagère et à la question du travail ménager. En étudiant Maryse de Francine Noël et Le Silence de la Cité d’Élisabeth Vonarburg, nous réévaluons les présupposés selon lesquels le réalisme serait la forme privilégiée de la représentation économique. / This thesis proposes an analysis, through the prism of the imaginaire social, of literay works that represent economic life, from the industrial boom that marked the post-war period to the 1980s. Combining cultural history and sociocriticism, we study the representations of economic life, their conditions of possibility, production and circulation. Our work focuses in particular on the ideological and political dimension of the working classes and of fictitious workers among marginal authors (Jean-Jules Richard, Pierre Gélinas, Germain Archambault, Maurice Gagnon and Élisabeth Vonarburg) and others who are better known (Claude Jasmin, Jacques Ferron, Jacques Renaud, Francine Noël). As the figure of the writer, the worker is a “complex normative focus” (Hamon, 1984). By crossing the analysis of different cultural productions with the reading of specific novels, the thesis questions the supposed disinterest of Québec literature for economic life. We first attempt to rethink the categories and oppositions of literary history: realism, regionalism, “documentary” and the social novel. An analysis of the discourse of writers and critics in periodicals sheds light on the different definitions of the social role of literature and of the writer circulating in the 1950s discourse. The contrasting reception of social novels indicates the average literary quality of some of those literary works but a certain enthusiasm for social representations. Articulating history, politics and industrial work, the novels of Pierre Gélinas and Jean-Jules Richard offer a marginal point of view on the workers' strikes of the time informed by a communist sensibility. In their works, as in those published in the review and in Éditions Parti pris, the representations of women offer, by their complexity, a significant perspective on economic life. The exploration of marginality and mobility in the publishing house's publications creates the figure of the taxi driver, a modern-day coureur des bois. The last chapter focuses on the figure of the housewife and on the issue of housework. By studying Francine Noël's Maryse and Élisabeth Vonarburg's Le Silence de la Cité, we reassess the presupposition that realism is the preferred form of economic representation.
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De résistances en rapatriements critiques : la situation québécoise au prisme des postcolonialismes

Constant, Marie-Hélène 08 1900 (has links)
No description available.
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Que notre joie demeure (roman) ; suivi de Rater mieux : essai sur le fantasme en création

Lambert, Kevin 01 1900 (has links)
Thèse en recherche-création / Que notre joie demeure s’inspire de la prose vaste et compassionnelle de Marie-Claire Blais. Le roman explore, tout comme le cycle Soifs, la forme polyphonique et la « représentation de la vie psychique » (Dorrit Cohn). Le travail de préparation m’a amené à m’intéresser au roman moderne du premier XXe siècle. Henry James, Virginia Woolf et Marcel Proust forment, avec des textes thématiques sur l’architecture, l’économie et la ville, mon corpus de création. Je me questionne, avec Blais, sur l’héritage possible de cette conception du roman aujourd’hui. J’imprime à ma réflexion sur la création littéraire (dans l’essai qui suit) un léger déplacement : comment un empêchement imposé de l’extérieur est-il vécu par une créatrice qui souhaite produire une œuvre ? Mon roman politise cette question en mettant en scène une architecte québécoise qui décroche enfin, après une brillante carrière internationale, un grand projet à Montréal. Ce projet soulèvera cependant une forte protestation populaire. C’est à travers le prisme des classes sociales et du privilège économique que je relis les œuvres mentionnées plus haut en m’intéressant aux affects que suscite la contestation des inégalités chez celles et ceux qu’elles favorisent. Que notre joie demeure comporte une forte dimension sociale. Le texte me permet de décrire les processus d’embourgeoisement – largement documentés – qui touchent actuellement Montréal et l’évolution des disparités économiques au Québec depuis les années 1970. L’essai Rater mieux porte sur le processus créateur dans sa relation avec le fantasme, d’une part, et la matérialité du support livresque, d’autre part. Pourquoi les écrivain·es ont-il·les, en reprenant des composantes du fameux Livre mallarméen (Notes en vue du « Livre »), placé une partie de leur œuvre sous le magistère d’un « Fantasme de Roman » (Barthes, La préparation du roman) ? Que nous apprennent du processus créateur ces « livres-que-je-n’écris-pas » (Cixous), devenus objets de fiction ? Ces fantasmes traduisent fréquemment une volonté de défaire l’objet-livre, de congédier ou de transcender la matérialité du support, comme si la littérature devait parfois se déployer hors du livre. Croisant la discussion théorique, l’analyse textuelle et l’essai personnel, ma thèse développe une conception de la création intimement liée au ratage et à la notion d’échec (Beckett). Au carrefour de la psychanalyse, des théories queer et de l’histoire du livre, j’analyse les différentes modalités de ces ratages dans les œuvres littéraires et dans la théorie (Agamben, Butler, Deleuze, Foucault, Grossman). Je fais dialoguer les textes de Roland Barthes, de Victor-Lévy Beaulieu, de Marie-Claire Blais et d’Hélène Cixous avec des œuvres savantes et populaires, tant européennes, québécoises qu’américaines (Hubert Aquin, les Beatles, Joan Didion, Céline Dion, Lautréamont, Courtney Love, Stéphane Mallarmé, Marcel Proust, Ginette Reno, André Roy, Chloé Savoie-Bernard, Zadie Smith). L’échec est vécu de façon mélancolique chez un écrivain comme Beaulieu, comme jouissance libératoire chez Cixous, il est passage obligé chez Barthes, tandis qu’il acquiert une dimension éthique chez Marie-Claire Blais. La notion de fantasme me permet d’aborder différentes économies psychiques et libidinales de l’écriture, dont je propose une interprétation queer. Il s’agit de renouveler par ces analyses et ces propositions théoriques le cadre de lecture découlant de la mise en abyme des livres fictifs ainsi que les approches du processus créateur. / May Our Joy Remain is a novel inspired by the vast and compassionate prose of Marie-Claire Blais. The novel explores, like the These Festive Nights novels cycle, the polyphonic form and the “representation of psychic life” (Dorrit Cohn). The preparatory work led me to the modernist novel of the first half of the twentieth century. Henry James, Virginia Woolf, and Marcel Proust form, alongside thematic texts on architecture, economy, and the city, a sum of works that inspired me. I wonder, with Blais, about the possible legacy of the modernist novel today. How is an impediment imposed from the outside experienced by an artist who wishes to produce a work of art? My novel politicizes this question by featuring a Québec architect who finally obtains, after a shining international career, a major project in Montréal. However, this project will provoke a fierce popular protest. It is through the prism of social classes and economic privilege that I read the above-mentioned works and take an interest in the affects that contestation of inequalities arouse in those who promote them. May Our Joy Remain has a strong social dimension. The text allows me to describe the gentrification processes (widely documented) currently impacting Montréal and the evolution of economic disparities in Québec since the 1970s. The essay Fail Better focuses on the creative process in its relation to fantasy (phantasm) on the one hand, and the materiality of the book, on the other hand. Why do writers, by using components of the famous Mallarmean Book, place part of their work under the magisterium of a “Fantasmatic Novel” (Barthes, La preparation du roman)? What do these “books-I-do-not-write” (Cixous), which have become objects of fiction, teach us about the creative process? These phantasms frequently bear a desire to undo the object-book, to dismiss or transcend the materiality of the medium, as if literature sometimes had to unfold outside the book. Crossing theoretical discussion, textual analysis, and personal essay, my thesis develops a conception of writing intimately linked to failure (Beckett). At the crossroads of psychoanalysis, Queer theories, and book history, I analyze the different modalities of these failures in literary works and in theory (Agamben, Butler, Deleuze, Foucault, Grossman). I make the texts of Roland Barthes, Victor-Lévy Beaulieu, Marie-Claire Blais, and Hélène Cixous interact with scholar and popular works, both from Europe, Québec and the United States (Hubert Aquin, The Beatles, Joan Didion, Céline Dion, Lautréamont, Courtney Love, Stéphane Mallarmé, Marcel Proust, Ginette Reno, André Roy, Chloé Savoie-Bernard, Zadie Smith). Failure is experienced as a melancholy for a writer like Beaulieu, as a liberating jouissance for Cixous, it is a necessary step for Barthes, while it acquires an ethical dimension in the works of Marie-Claire Blais. The notion of fantasy allows me to approach different psychic and libidinal economies of writing, of which I propose a Queer interpretation. I hope through these analyzes and these theoretical proposals to contribute renewing the reading framework of fictitious books and of discourses on the process of literary creation.

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