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Les structures narratives dans le Roman de Renart

Suomela-Härmä, Elina. January 1981 (has links)
Thesis (doctoral)--Faculté des lettres, Université de Helsinki, 1981. / Includes bibliographical references (p. 253-261) and index.
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Les structures narratives dans le Roman de Renart

Suomela-Härmä, Elina. January 1981 (has links)
Thesis (doctoral)--Faculté des lettres, Université de Helsinki, 1981. / Includes bibliographical references (p. 253-261) and index.
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Natural Law and the Law of Nature in Early British Beast Literature

Wang, Laura Li Ching January 2013 (has links)
In the tumultuous political environment of late fifteenth- and early sixteenth-century Britain, animal literature saw rapid development and innovation. Beast fable and epic, which already had a long tradition in Latin and French, gained new vigor and popularity in English and Scots renditions. Simultaneously, a new strain of political theory appeared in the vernacular. This dissertation makes a tripartite argument about the relationship between these two discourses. First, writers of literature and political theory alike struggled to reconcile an optimistic view of human society, inherent in the prevailing philosophical tradition of natural law, with the widespread corruption they witnessed in ecclesiastical and royal courts. The fruits of this struggle were darkly humorous works of beast epic and fable in the former case, and pragmatic political theory in the latter. Second, because of its literary character, beast literature actually proved more adventurous than political theory in demonstrating how one might use dissimulation to dominate the predatory world of politics, and in showing the moral and linguistic exhaustion that could result from such manipulation of others. Third, as political writers adapted their theories to reflect politics as it was actually practiced, they explicitly turned to beast literature for images and exempla, so that the animal characters of Aesopian fable and Reynardian epic stealthily crept into works of serious political inquiry.
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La moralisation du second cycle renardien : De "Renart Le Nouvel" de Jacquemart Gielée aux "Regnars traversant" de Jean Bouchet / Moralizing discourse of the Second Cyle of Reynard : From "Renard le Nouvel" of Jacquemart Gielée to the "Regnars traversant" of Jean Bouchet

Bulthé, Stéphanie 24 November 2014 (has links)
Le motif renardien n'allait pas se tarir avec l'achèvement du Roman de Renart. Au XIIIe siècle, de nouvelles versions de ces histoires animalières voient le jour. Cependant, les codes de ce cycle à part entière sont profondément modifiés par rapport au Roman originel. Le facétieux goupil est devenu une absatraction personnifiant le mal sur terre et surtout les aventures sont réinvesties en un sens moral. La fortune de cette nouvelle veine est extraordinaire puisque des récits moralisés de Renart se perpétuent jusqu'au XVIe siècle. La littérature édifiante, souvent pensée comme faible stylistiquement, amène à reconsidérer les frontières de la littéralité. Nous voulons ici interroger la renardisation de l'espace littéraire du milieu du XIIIe siècle au début du XVIe siècle en lien avec la moralisation qui sous-tend ces textes. Cette étude se propose de caractériser les moralisations en étudiant les formes prises par un didactisme qui repose en grande partie sur l'humanisation et l'allégorisation des personnages animaliers. Nous assistons à une réécriture qui se veut métamorphose du cycle renardien. Il s'agit de montrer comment le discours moral et le discours littéraire s'imbriquent. Le discours des moralisateurs des aventures du renard sont tous fondés sur l'angoisse du temps présent. Elle véhicule chez les auteurs une peur et une révolte qui ne se limite pas à la nostalgie mais qui est profondément métaphysique. Ainsi, si l'angoisse prend la forme d'une intense mélancolie, il s'agit d'une mélancolie activement tournée contre le renard qui entend être force de salut. En même temps, il s'agira de caractériser à l'intérieur de ce cycle l'évolution de la satire politico-morale. / The theme of Reynard the fox was not dry up with the completion of the Roman de Renart. In the thirteenth century, new versions of these animal stories are emerging. Howerver, the codes of full cycle are deeply different from the original Roman of Renart. The facetious fox became an abstraction personifying evil on earth and especially adventures are reinvested in a moral purpose. The fortune of this new vein is extraordinary because moralized stories of Reynard perpetuated until the sixteenth century. Edifying literature, often though of as weak stylistically, involves to reconsider the frontier of literariness. In this work, we want to examine the moral Reynard in the literature space between the thirteenth century to the early sixteenth century linked with the moral question. This study aims to characterize the moralizing studying the forms taken by a didactism that is largely based on the humanization and allegory of animal characters. We can see a rewriting which is a metamorphosis of the first renardian cycle. This is to show moral discourse and literary discourse overlap. The moralizing discourse of the adventures of fox are based on the anguish of the present. The vehicle at the authors, fear and revolt, is not restricted to nostalgia, but is deeply metaphysical. Thus, if anxiety takes the form of extreme melancholy, it is a melancholy actively turned against the fox, and a melancholy that tries to serve the salvation of souls. At the same time, we will characterize in these texts the moral and political satire.
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La littérature aux limites du lisible : singularités de l’expérience littéraire dans le champ poétique français contemporain

Trahan, Michaël 11 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse à la lisibilité de la littérature — à la lisibilité d’une certaine littérature : française, contemporaine, une littérature qu’on classe plus souvent qu’autrement du côté du champ poétique. Au départ, un simple constat : certains livres sont difficiles à lire. Parfois, on va même jusqu’à dire qu’ils sont illisibles; si ce jugement ne saurait fournir un concept rigoureux pour décrire les textes, il soulève toutefois un certain nombre de questions qui, elles, sont au cœur de cette thèse. Car il n’y a rien d’illisible en soi : l’illisible n’est pas une propriété, mais un jugement qui traduit une impasse de lecture. Ainsi, les verdicts d’illisibilités ont des causes et des conséquences très variées. L’illisible est situé : on peut difficilement l’aborder hors de ses circonstances, puisqu’il renvoie moins à un contenu spécifique qu’à une expérience. Il ne s’agit donc pas, ici, de lever l’incompréhension que l’on peut ressentir devant certains textes, mais bien d’interroger la place qu’elle occupe dans nos façons de lire et dans notre rapport à la littérature. Cette thèse se propose de réfléchir à ces questions en abordant, sous le mode du dialogue, les œuvres de Jean-Michel Reynard, Christophe Tarkos, Denis Roche, Anne-Marie Albiach, Jean-Marie Gleize, Christian Prigent, Valère Novarina et Pierre Guyotat. Ces œuvres n’occupent pas toutes la même place dans cette thèse. En ce sens, l’objectif n’est pas de les épuiser mais de soulever un certain nombre de questions à travers elles. Des questions différentes selon les œuvres, selon les écrivains, mais qui sont traversées par un même fil conducteur : l’expérience littéraire. À partir de situations chaque fois singulières, il s’agit ainsi d’éclairer certains aspects, certaines modalités de l’expérience littéraire. Les deux pôles de cette expérience sont ici l’écriture et la lecture, auxquelles il faut associer les figures de l’écrivain et du lecteur, qui occupent dans cette thèse une place centrale. La perspective est donc généraliste, qui soulève des questions tantôt poïétiques, axées sur la façon dont les écrivains vivent la genèse de leurs œuvres, et tantôt plus poétiques, voire politiques, qui renvoient plutôt à la façon dont les lecteurs font à leur tour l’expérience de ces textes à la singularité parfois radicale. En somme, les objectifs de cette thèse sont : 1) d’éclairer sous un nouvel angle les œuvres étudiées; 2) à travers leur exemple problématique, de poser les bases d’une réflexion sur la lisibilité, qui accorde une large place à la posture des écrivains et à la façon dont ils vivent la genèse de leurs œuvres; et 3) de contribuer aux études sur la genèse, la réception et la médiation des œuvres littéraires en réfléchissant à nos façons de vivre (avec) la littérature. / This dissertation focuses on the readability of literature—on the readability of a certain literature: French, contemporary, a literature that is more often than not classified in the poetic field. At first, a simple observation: some books are difficult to read. Sometimes we even get so far as to say they are unreadable; if this judgment cannot provide a rigorous concept to describe the texts, it nevertheless raises a number of questions which are at the heart of this dissertation. For there is nothing unreadable in itself: the unreadable is not a property, but a judgment that translates an impasse in reading. Thus, the verdicts of unreadability have varied causes and consequences. The unreadable is situated: it is difficult to approach it outside of its circumstances, since it refers less to a specific content than to an experience. The objective here is not to alleviate the misunderstanding that can be felt in front of certain texts, but rather to question the place it occupies in our ways of reading and our relation to literature. This dissertation proposes to reflect on these questions by approaching the works of Jean-Michel Reynard, Christophe Tarkos, Denis Roche, Anne-Marie Albiach, Christian Prigent, Valère Novarina and Pierre Guyotat. These works do not all have the same place in this dissertation. In this sense, the aim is not to exhaust them but to raise a number of questions through them. Different questions according to the works, according to the writers, but which are crossed by a common thread: the literary experience. From singular situations, the goal is thus to understand certain aspects, certain modalities of the literary experience. The two poles of this experience are writing and reading—related to those are the figures of the writer and the reader, which occupy an important place in this dissertation. Therefore, the perspective is broad, which raises questions sometimes of poietic, centred on the way writers live the creation of their works, and sometimes more of poetic, even politic, which rather refer to the ways in which readers, on their side, experience these radically singular texts. In short, the objectives of this dissertation are: 1) to study these works from a new angle; 2) through their problematic example, to lay the foundations for a reflection on readability that gives a large place to the writers’ posture and the way they live the creation of their works; and 3) to contribute to studies on creation, reception and mediation of literary works by reflecting on our ways of living (with) literature.

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